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4,19

sur 28223 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Patrick Süskind a réalisé un très bel exercice de style mais ce livre possède de nombreuses longueurs et répétitions.
Pour commencer je n'aime pas le style ruisselant de mots (comme en musique on peut parfois avoir l'impression qu'il y a trop de notes !) sans que cela ait rien de lyrique - le sujet ne s'y prête guère. On est constamment dans une sorte d'anaphore. Ensuite le roman avance de manière arbitraire, sans que les péripéties répondent à une nécessité de construction qui nous ferait saisir le comportement du personnage pour l'amener à sa fin (celle du roman et celle du "héros"). Bref, souvent on ne sait pas pourquoi le personnage principal prend telle décision (pas toujours, sur la fin l'auteur se rattrape…). Pour finir on a quand même beaucoup de mal à s'intéresser à ce personnage - non pas parce qu'il n'a rien du héros positif - mais parce qu'en soi il n'est guère intéressant et que l'auteur ne fait rien ou ne sait pas nous y intéresser.
L'idée était pourtant excellente et promesse de superbes pages sur les odeurs, les parfums, la sensualité et l'érotisme des corps féminins. Résultat : un réchauffé de roman du XIXème mais décharné, sans envolé, sans romantisme, sans style, sans génie et sans humour. Je me suis ennuyé et me suis forcé à le terminer en me disant que certainement quelque chose allait enfin se passer. Il y a certes quelques belles pages sur l'artisanat du parfumeur et sur l'ivresse qu'exhalent les jeunes filles en fleur, si bien qu'en coupant dans le gras et en ne gardant que l'essence du texte, peut-être cela aurait-il pu faire une excellente nouvelle au lieu de quoi, il m'a semblé que l'auteur, ne voulant pas gâcher une si bonne idée, a bourré son roman de ouate inutile et de personnages secondaires sans relief, abandonnés au fil du récit comme des papiers testeurs.
Je n'arrive pas a me faire un avis sur l'ensemble de l'oeuvre car à des moments il est génial et à d'autres je l'ai trouvé très fade.
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Le nez dans tous ses états jusqu'à la folie meurtrière, car Jean-Baptiste Grenouille, un nez doublé d'un criminel vécut en France au XVIIIe siècle. Il suivait ses victimes à l'odeur. Paradoxe des paradoxes, Grenouille n'avait aucune odeur mais sentait toutes les odeurs, et ne ressentait rien.
Des parfums de Grasse à la puanteur insupportable des bas fonds de Paris, l'univers olfactif créé par Patrick Süskind est colossal, et la drôlerie accompagne le cauchemar jusqu'à la chute. le nez en sent de toutes les odeurs : des fleurs et des herbes, des animaux, étables et porcheries, de la terre, de la chair humaine, mélanges d'infusions, d'épices et de liqueurs, chaque page sent très fort et entraîne notre nez de lecteur.
Grenouille, dans sa mégalomanie, voulait séduire et dominer par les essences, voulait le pouvoir par les sens car « qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur des hommes », et Grenouille les tenait tous par le bout du nez.
Le roman, un exercice de style excentrique pour le plus grand plaisir du lecteur, est aussi une interrogation sur la place dans la société et la reconnaissance sociale, la soif du pouvoir et les dégâts qui s'en suivent. La condition humaine en souffre.
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Je me souviens de ma mère me parlant du livre qu'elle avait lu, quand j'étais enfant. Après avoir lu quelques passages, je voyais ses narines se dilater, et ses yeux s'étonner. C'est là qu'elle m'a dit qu'elle avait tellement l'impression de sentir les odeurs décrites dans le livre qu'elle prenait maintenant attention à chaque senteur de la maison (ça n'a duré que quelques minutes, le temps que sa mémoire se mette en tête qu'elle n'était plus en train de lire). Dès ce jeune âge (entre 6 et 8 ans), j'ai décidé que je lirai ce livre coûte que coûte pour découvrir ce Jean-Baptiste Grenouille, dont j'entends parler régulièrement (quand mes parents jouent, ils s'insultent de tous les noms marrants qui leur passe par la tête comme "choucroute" ou "baleine" en passant par "Jean-Baptiste Grenouille !". Oui, ma famille est géniale :D). Maintenant, c'est chose faite. J'ai beaucoup apprécié et cette lecture aura toujours le même parfum dans mes souvenirs, celui de ma mère.
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Difficile pour moi d'avoir un avis tranché sur ce livre, quant à savoir si j'ai aimé ou pas...

D'un côté, j'ai trouvé l'idée de départ très originale: tout décrire, que ce soit les lieux, les personnages et même les événements, à travers le filtre de l'odorat relève d'un tour de force que Patrick Süskind réalise avec brio. Les descriptions sont riches, le vocabulaire fourni mais toujours accessible; et au-delà des odeurs, j'ai aimé la peinture qui est faite de l'époque, dure à vivre pour ses contemporains, ainsi que les explications concernant les différentes techniques de fabrication des parfums.

D'un autre côté, j'ai eu l'impression, d'emblée, d'avoir été un trompée sur la "marchandise": j'aime les surprises mais, ici, je n'ai pas apprécié cette impression de lire un roman de science-fiction qui ne dit pas son nom et dont, en fait, je ne suis pas amateur.
Pour la scène finale, je ne mâcherai pas mes mots: personnellement, je l'ai trouvée grotesque!

Au final, un titre qui m'intriguait par l'aura de "classique" qu'il possède déjà malgré une écriture somme toute encore relativement récente (1985) et que je suis très contente d'avoir lu, très facilement, pour pouvoir me faire mon propre avis!
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Qui n'a jamais entendu parler de ce roman allemand des années 80, devenu un classique de la littérature ?
Un homme, venu des bas-fonds parisiens, doté d'un incroyable don pour sentir TOUTES les odeurs et à une distance folle, apprend à créer de merveilleux parfums avec les techniques traditionnelles. Mais très vite, ce sont d'autres odeurs qu'il veut capturer en bouteille...

Ce roman ne PEUT pas laisser indifférent. Comme Dix petits nègres ou Lolita, il dégage du malsain, il dérange. Et malheureusement, si je peux reconnaître l'intérêt ou le génie de ces livres, je n'arrive pas à les aimer. Je peux reconnaître leurs qualités ; le fait qu'ils me dérangent autant est le signe indéniable qu'ils sont « bons », mais rien à faire : je ne peux pas les encenser.

Pour le Parfum, quelques éléments m'ont tout de même particulièrement plu. D'abord, en savoir plus sur l'art de créer des parfums : c'est le genre de choses que j'adore découvrir dans les fictions. Ensuite, la narration : pour son côté sensoriel (les odeurs sont retranscrites d'une manière assez dingue) mais aussi parce qu'elle est faussement neutre, parfois sarcastique, ce qui donne l'impression d'une sorte de fable et qui, pour ma part, m'a empêchée de ressentir l'aspect glauque de certaines situations. Je ne peux pas nier que je tournais les 50 dernières pages plutôt fiévreusement, totalement happée par les événements.
Voilà, objectivement, ce que j'ai ressenti. Mais en le finissant, je ne savais vraiment pas quoi en penser. La fin est brutale ; il est difficile de trouver un message, une morale, à ce roman. Vous me direz que ce n'est pas une obligation ! Mais j'ai l'intuition qu'il y a quelque chose qui m'échappe peut-être.
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utant vous dire qu'avant même d'ouvrir ce livre, précédé par son incroyable réputation, la barre était placée très haut ! J'en attendais énormément, trop peut-être. Bref j'avais la pression !

Dès les premières pages, je comprends que je me lance dans une histoire assez insolite et complètement dérangeante voire perturbante ! Très rapidement, je me rends compte du talent de l'auteur, il a le don de faire de son histoire une poésie/conte mais également une histoire ultra violente grâce à son personnage principal.

L'écriture de l'auteur tantôt chirurgicale et noire, nous entraîne au coeur du XVIIIème siècle, à Paris et à Grasse. En un claquement de doigt, on se retrouve en immersion totale, dans la crasse, la puanteur, la violence du Paris de l'époque. C'est tellement bien rendu qu'on a l'impression de sentir toutes ces odeurs – celles des poissons pourris, celles des indigents que l'on frôle… Et puis, Patrick Süskind en l'espace d'une seconde nous fait oublier ces odeurs nauséabondes pour nous en faire découvrir d'autres, raffinées, délicates que les Grands du royaume de France s'arrachent. J'ai particulièrement aimé ce contraste entre la saleté des uns et les parfums émanant du laboratoire des grands parfumeurs.

Côté personnage, on sent que l'auteur s'est fait des noeuds dans le cerveau pour nous présenter ce Grenouille. Ce jeune homme est tellement particulier, froid, il met mal à l'aise ceux qu'il côtoie, sans qu'ils sachent forcément en déceler les raisons. Mais l'une d'elle est une de ses caractéristiques les plus mystérieuses : il n'a aucune odeur, ni bonne ni mauvaise… Or, c'est l'occasion pour l'auteur de nous faire réaliser que, même si ce n'est pas un phénomène conscient, nos sens nous transmettent toutes sortes d'informations. Pour certains, Grenouille est une aberration de la nature.

Le talent caché de Grenouille, c'est naturellement son nez, si fin et si développé qu'il est capable de ressentir la moindre odeur. Il a naturellement fait de cette capacité hors norme un outil pour « analyser » les âmes humaines et prendre le pouvoir – et ça, ça fait légèrement froid dans le dos, avouez !

Alors oui, là vous vous dites que tout les ingrédients sont réunis pour que ce livre soit pour moi un coup de coeur. Mais hélas non ! Pas totalement, pas vraiment, je ne suis convaincue qu'à moitié… J'ai le même sentiment que lorsque j'achète un vêtement qui ne me va ni mal ni bien, un vêtement que je ne sais pas si je cours l'échanger ou si je le garde dans mon dressing. Ici c'est pareil, si le personnage et l'histoire me parlent et sont géniaux, il y a des bémols. Pour moi, ce roman a été compliqué à lire. L'histoire est trop descriptive à mon goût, trop lente à se développer – mais diantre l'action arrive quand ? -, beaucoup de phrases sont alambiquées… Je pense que c'est un roman qu'il ne faut pas dévorer en une fois mais prendre son temps, le vivre comme une expérience. En ce qui me concerne, elle a tourné court…

Bref une lecture en demi-teinte… 😦 Et vous, vous l'avez lu ? Vous avez vu le film ? Est-ce qu'il vaut le coup ?
Lien : https://ogrimoire.com/2020/0..
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Pour ceux qui me suivent depuis un petit moment, la question qui vous vient ou vous est déjà venue est : mais pourquoi a-t-elle lu ça ? C'est pas du tout son genre ? En effet, lire le Parfum ne faisait pas partie de mes projets de lecture, jusqu'à ce qu'une collègue de la brocante livres de la kermesse me l'offre en me précisant que je devais absolument le lire. Je suis curieuse, quand on me conseille avec ferveur, j'ai tendance à vouloir aller voir par moi-même. Autant vous dire que si je ne regrette pas vraiment cette lecture, je ne suis pas prête de me remettre à un roman de ce genre…

Le Parfum nous narre l'histoire de Jean-Baptiste Grenouille, un homme sans odeur mais qui possède un odorat surprenant qui lui permet d'emmagasiner dans son esprit toutes les senteurs qui existent. Il entreprend donc de devenir parfumeur et de créer LE parfum pour conquérir le coeur des hommes. Cet être sans coeur va ainsi tâcher de capturer l'essence de certaines jeunes filles (entre autres) afin de créer ce produit prodigieux qui le transformerait en dieu aux yeux de ses pairs…

Comme la plupart de ceux qui n'ont pas lu le bouquin, je connaissais de très loin l'histoire de ce mec qui tuait avec son odorat, mais ça n'allait pas plus avant. Aussi, quand j'ai commencé le livre, j'ai trouvé le tout très fascinant : le contexte de l'époque est très bien brossé, et la narration est « drolatique », donc on laisse filer les pages avec assez de fluidité, bien que le contenu n'ait en soit rien de réjouissant : dès les débuts de sa vie, Grenouille semble dépouillé d'humanité tant dans ce qu'il reçoit que ce qu'il ressent.

Dès le départ, tout est clair : nous suivons l'histoire d'un homme terrifiant et horrible, qui va se déployer comme une fleur carnivore, lentement mais sûrement. Au moyen de comparaisons peu flatteuses, Süskind va nous expliquer toute l'évolution de Grenouille, tout en développant un langage qui frôle le lyrique et évoque toute la beauté de certaines senteurs qui ont tout du divin, sinon de l'angélique.

Ce qui est dérangeant avec ce roman, c'est que tout se mêle en même temps : le beau et l'horrifique. On découvre le plus vil de l'homme et quelque chose de très puissant : le monde olfactif. Tout est si bien décrit que nous pourrions nous-mêmes nous mettre à sentir des trucs auxquels on n'avait pas prêté attention et on réalise le pouvoir que les odeurs possèdent sur nous, sur notre inconscient… et l'auteur a bien conscience du problème que ça peut nous poser, puisqu'il choisit de plonger dans le pire de ce que la nature humaine peut offrir.

Moi, c'est ça qui me dérange énormément et m'a filé la nausée : l'extrémisme qui est présenté dans la fin du roman. Les meurtres sont horribles parce que narrés avec simplicité, comme s'il s'agissait simplement d'expliquer la composition d'un parfum, le travail d'un orfèvre, et on assiste impuissant à la dépersonnalisation totale des victimes, surtout la dernière qui semble être le joyau suprême. Il y a de quoi réagir au moins un minimum ! Ce n'est encore rien à côté de l'exécution que nous attendons avec une impatience grandissante : il faut que ça se finisse. le malaise est trop important pour que le lecteur poursuivre longtemps sur la même route. Pourtant, le retournement induit est tout d'abord si surprenant qu'il frôle le fantastique, avant de tourner à l'horreur pure et simple, au bestial. Il en va de même pour la conclusion, cette mort que nous attendons tellement : sous couvert de banalité, une barbarie sans nom nous est décrite et confère au lecteur une bonne nausée en refermant le livre.

Oui, j'en étais à ce point. le bouquin m'a tellement brassée que j'ai dû immédiatement enchaîner avec quelque chose de plus joyeux, frais et innocent. J'ai trouvé la fin dégueulasse, pour parler franchement, et même si je ne peux qu'approuver le génie de Süskind qui a su adopter un ton de narration qui allège le tout, son apparente indifférence voire fascination pour son propre personnage m'a retournée. Il va sans dire pourtant qu'il a su imprégner l'esprit de son personnage, mais aussi d'autres personnages secondaires, comme le père de la dernière victime.

En dehors de ça, je dois aussi avouer que j'ai pas mal appris sur le contexte de l'époque : les manières de faire en parfumerie (distillation et autres procédés), mais aussi quelques théories un peu fumeuses comme le fluide létal et vital. Tout est ancré à tel point que l'on pourrait croire que tout a vraiment existé. Pour être honnête, ça fait encore plus peur de se faire cette réflexion.

En fin de compte, le Parfum est un roman de génie, mais de génie noir. le lecteur est entraîné avec simplicité et même un peu de sarcasme auprès de Grenouille, un meurtrier unique en son genre qui le fascinera autant qu'il le rebutera, voir l'horrifiera. Moi qui n'aime pas les thrillers et l'horreur, j'en ai eu pour mon compte, finissant le bouquin avec une certaine nausée et me demandant pourquoi j'avais laissé ma curiosité m'emporter au milieu de ces pages. Pour autant, je ne regrette pas cette lecture, parce que j'ai pu constater que l'on peut mêler le beau et l'horrifique ensemble, sans que cela choque au niveau de la narration, mais que le lecteur, lui, ressente tout avec une sensibilité incroyable. Ce roman est fait pour mettre mal à l'aise, tout en nous offrant la possibilité de contempler quelque chose d'assez rare et qui peut être ravissant : le monde des odeurs. Fascinant et révulsant, ce sont les deux termes qui collent le mieux à ce roman. Expérience marquante assurée !
Je lui attribue donc la note de 15/20. Pas parce que j'ai apprécié, vous vous en rendez bien compte, mais parce que je sais reconnaître qu'il y a un talent plus que certain et qu'il fallait oser. Mais je ne suis pas prête de renouveler l'expérience !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
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Livre choisi par Mladoria, dans le cadre de la pioche d'avril.

Voici un nouvel incontournable qui rejoint ma liste de livres lus. J'avais déjà fait une tentative de lecture il y a quelques années, mais j'avais abandonné à même pas la moitié. Cette fois-ci, je suis allée au bout. Ce ne fut pas un coup de coeur en raison de certaines scènes écoeurantes, mais j'ai bien aimé.
Je ne peux pas dire que le personnage principal est attachant, bien au contraire, mais il y a quelque chose de subjuguant et son histoire est captivante. Depuis le début, j'ai eu envie de savoir comment tout cela allait se terminer. D'ailleurs, sans rien révéler, la fin se pose là.
J'ai aussi apprécié les belles descriptions de l'auteur, qui ne m'int pas du tout parues lourdes ou encombrantes. Et le petit truc en plus qui m'a fait sourire, c'est les petites digressions de l'auteur, pour raconter l'histoire des personnages secondaires quand on les quitte, avant de revenir à l'intrigue principale.

Merci Mladoria pour ce choix.
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Jean baptiste GRENOUILLE - personnage atypique- à trois particularités : Il n'a aucune odeur corporelle propre à lui, il est dépourvu de tous sentiments moraux et il à un odorat extrêmement développer : il perçoit TOUTES les odeurs, les plus infimes, les plus imperceptibles.IL découvre le monde avec son nez, ce qui représente sa seul jouissance.
Le roman - qui nous retrace la vie de GRENOUILLE - nous emmène dans une ambiance du XIII ème siècle. le lecteur se pert dans les odeurs, les parfums dont GRENOUILLE s'imprègne. Nous vivons les aventures de ce protagoniste si particuliers et de sa quête à " fabriquer " le parfum parfait : Un parfum composé d'essence de jeunes femmes et capable d'inspirer l'amour aux êtres humains. Afin de réaliser son oeuvre, il tuera 24 jeunes femmes afin d'en capturer leurs odeurs indicibles.

J'ai aimé ce roman, ce personnage hors du commun. le lecteur fait un magnifique voyage aux coeur des différentes odeurs qui émane de ce monde. Cependant j'ai trouvé que la fin du roman – peu crédible et un peu grotesque à mon gout - faisait perdre toute crédibilité à l'histoire
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Un de vos lecteurs a qualifié ce livre d'inclassable. Je suis bien d'accord. Il ressemble à aucun autre de par son sujet et de par son écriture. Beaucoup de descriptions, de techniques de parfumerie, mais on ne s'ennuie pas: On apprend. le sujet est original et la fin est imprévisible. Je suis agréablement surprise.
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