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Un roman remarquable, un agréable moment de lecture. Un auteur que je viens de découvrir, je vais me laisser tenter à lire ses autres livres. Qui est cette femme appelée Melody, cette âme, ce fantôme, ce personnage récurent , qui est le sujet de cette histoire. Nous faisons la connaissance de Mr Stotz, un homme âgé au seuil de sa mort, ce dernier décide d' employer un secrétaire pour mettre de l'ordre dans ses papiers .Une aubaine pour Tom Elmer, qui n'arrivait pas à trouver un travail, il saute sur l'occasion, sans hésité. Tom devient très vite le confident de Mr Stotz. Il reste à son écoute , après moultes discussions, ce dernier va lui raconter son grand amour, son unique amour , celui de Melody .Cette amour , cette femme disparue à trois jours de leur mariage.la question se pose encore que lui est-il arrivée . Une enquête au point mort, aucune trace, tellement de questions, de suppositions, mais rien pour faire avancer cette quête. Là vie de Mr Stotz, a été de la retrouver et comprendre, ce qui a bien pu ce passer .Cela est devenu obsessionnel , sa seule ambition , les murs sont remplis de tableau de son amour . Peter décide de continuer ses recherches .arrivera t-il à percer ce mystère, cette énigme? Une histoire captivante, avec un mélange de passion, d'amour, de mensonges , de vérités, de fiction , de réalité, d'amour, obsessions, autant de mots qui résument le contenu du récit. L'auteur ne laisse rien au hasard, tout est essentielle, les personnages ont chacun un rôle diffèrent à jouer donnant plus d'intensité et de piment à la lecture. Au fur et mesure plusieurs éléments apparaissent, s'imbriquant tel à la construction d'un puzzle. Nous allons de surprises en surprises. Une plume fluide, subtile, tout est en finesse. Je me suis prise au jeu, une sensation d'accompagner Tom dans ses recherches. Un roman qui m'a happé dés le début , avec un final surprenant. Un hymne à l'amour, un hymne à la vie.
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Partie de cache-cache avec une disparue.
Comme je clique sur les clichés, dès que je commence un roman suisse, je zieute mon solde bancaire, je pleure, je dénonce mon chat à mon épouse dès qu'une croquette tombe à côté de l'écuelle et je suçote des bonbons Ricola, sauf quand je lis un Joel Dicker. Là, je bois juste beaucoup d'alcool pour défibriller des phrases inertes et débrailler un style plus fade qu'un promeneur avec un pull noué sur les épaules. Martin Suter, c'est entrement bon.
Cela faisait 5 ans que j'attendais la publication d'un nouveau roman de cet auteur dont j'avais adoré la série des « Allmen » et certains romans très bien construits comme « le temps, le temps », « Eléphant» ou « le Cuisinier ». Martin Suter adore surprendre et manipuler son lecteur, il lui fait souvent fréquenter de l'Helvète fortuné à la conscience pas si bien peignée.
Quelle est la partition de cette Melody ? Tom Elmer, ancien fils à papa plumé, étudiant professionnel, est engagé par un éminent membre de la bonne société Zurichoise, Tom Stoltz, en phase terminale qui se termine mais qui veut soigner sa postérité. Logé dans la vaste demeure du vieil homme qui vit seul avec une cuisinière trois étoiles et un homme à tout faire (son couteau suisse), le jeune juriste est chargé de dépoussiérer les archives d'une vie et de Dickeriser la biographie (oui, je m'acharne mais il m'agace celui-ci !) pour enluminer sa postérité.
Très vite, les conversations quotidiennes entre les deux hommes autour de repas qui laissent certaines pages collées de bave après mon passage, se focalisent sur le grand amour de Tom Stoltz et son obsession pour retrouver cette Melody, évaporée juste avant leur mariage et dont les portraits ornent les murs dans une jeunesse éternelle à la Dorian Gray. Une trame plutôt convenue me direz-vous ? Oui, en Suisse, tout est convenable mais les romans de Martin Suter appliquent toujours avec brio et malice la théorie de la relativité à la vérité. Les souvenirs deviennent les mensonges du passé.
Tom et la nièce du vieil homme, qui ont sympathisé bibliquement, vont consacrer la dernière partie du livre à retrouver la trace de la disparue.
Le scenario est brillant et cette histoire rappelle que si certains ne croient que ce qu'ils voient, d'autres ne voient que ce qu'ils ont envie de croire.
Allez, un Ricola ! Argousier ou Fleurs de sureau ? Quel suspense.
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C'est un livre de conversations intimes arrosées d'un bon cognac entre un vieil homme d'affaires de Zurich, Monsieur Stotz et son jeune employé, l' avocat Tom Elmer chargé d'archiver ses correspondances privées.

La troublante Villa Aurora rythme les journées de travail réglées avec minutie par le majordome et l'intendante de Monsieur Stotz comme si nous étions dans un autre monde et une autre époque.
Les bruits de la Ville et les contingences sociales sont mis à distance dans cette demeure bourgeoise qui sent bon aussi l'amour des livres.

Entre les volutes de fumée du boudoir et les effluves de la bonne cuisine, la langue de Monsieur Stotz se délie et raconte son histoire d'amour inachevée avec Melody.
L'amour avec un grand A qui se conjugue avec l'absence est la grande affaire de Monsieur Stotz que le jeune Tom entend ne pas classer dans le tiroir « sans suite » des archives à la mort du vieil homme.

Melody est un roman intime sur la transmission, l'héritage en souvenirs entre 2 hommes que tout oppose. Il raconte avec sensibilité la relève des sentiments d'un coeur usé dans le corps d'un jeune homme pour retrouver Melody. Un livre de confessions pour l'un, une mission d'émancipation pour l'autre.

J'ai aimé son atmosphère, très attentive aux détails, à la présence furtive des personnages, au lieu où l'on peut imaginer la mousse sur les pierres usées. Tout y est presque immuable. Seule Melody est cette voix qui vient de l'extérieur et à laquelle va répondre Tom en quête de sens.

Je remercie Babelio et les éditions Phébus pour cette lecture dans le cadre de la Masse Critique Littérature.

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Il est embauché pour mettre de l'ordre dans les documents de son patron avant que celui-ci ne décède. Son patron est un bavard qui veut lui raconter aussi sa vie, et surtout son grand amour, Melody. Il va devoir finir l'enquête seul pour avoir le fin mot de l'histoire, et que de découvertes il va faire. Voilà une bien jolie histoire d'amour. La presse s'est étonnement empressée d'être dithyrambique, je le suis moins même si j'ai passé un beau moment de lecture.
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C'est avec un immense plaisir que j'ai retrouvé la plume de Martin Suter. Je parle de celle de ses premiers romans , en particulier celle de Small World .. inoubliable et incontournable .

Melody , Melody c'est le grand amour perdu de M Stotz. PhD Stotz est à présent un homme âgé, sur le point de s'éteindre. Cet homme a marqué son temps, homme d'affaire, éminent politique, conseiller régional; faiseur de rois, richissime. Arrivé au seuil de sa vie , il décide d'engager Tom Helmer, jeune juriste, et de lui confier le tri de ses archives. A lui la mission délicate de donner à la postérité l'image que M Stotz a décidé de laisser... Mais Melody est là omniprésente.
Et si l'imagination l'emportait sur la réalité, le désir sur le concret? . Tom se doit de découvrir la vérité si vérité il y a .

Martin Suter brosse avec talent le portrait de cet homme de pouvoir amoureux fou d'une femme . Plus les obstacles s'accumulent plus il la veut et puis le drame ...
Autour de PhD Stotz fourmille une ribambelle de personnages plus époustouflants les uns que les autres. Tom bien sûr et Laura sa nièce , sa secrétaire personnelle , l'ami écrivain qui lui doit tout et les incontournables Roberto et Mariella. Roberto le majordome et Mariella la fée de la cuisine ... parce que Martin Suter aime la table ...

Voilà encore une fois Martin Suter m'a enchantée. Un immense merci aux éditions Phébus via Netgalley
#Melody #NetGalleyFrance !

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Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions Phébus pour la découverte de #Melody de Martin Suter.

Nous sommes en Suisse, de nos jours. Tom a obtenu son diplôme d'avocat mais ne trouve pas de place en cabinet malgré ses candidatures. L'une d'elle finit par aboutir sur un entretien pour un étrange poste auprès d'une pointure de la politique et de l'entrepreneuriat en fin de vie. Peter Stotz, PhD, lui confie la lourde tâche de classer ses documents pour n'en garder que l'essentiel, à savoir : "ce qui intéressera la postérité. Éventuellement.". le vieil homme se confie rapidement au jeune Tom au sujet d'une mystérieuse femme : Melody. Cette fiancée énigmatique, point d'orgue de la vie de Stotz, sera au centre de leurs conversations.

J'ai apprécié le style de Martin Suter : accessible et précis. Ses descriptions détaillées nous mettent vite "dans l'ambiance". Il raconte l'histoire de Tom à la troisième personne, ce qui laisse le lectorat un peu à distance. En revanche, Peter confie ses souvenirs à la première personne, ce qui nous rapproche de lui et de son intimité. Il se lance souvent dans des digressions plus ou moins drôles (et plus ou moins intéressantes), qui en disent long sur le Personnage.
J'ai trouvé la mise en place lente, mais cela permet de bien cerner les protagonistes. Les deux personnages centraux, Tom et Peter ne m'ont pas inspiré beaucoup de sympathie. Ils m'ont semblé tantôt fades, tantôt convenus au début. Mais ils gagnent peu à peu en profondeur, surtout le vieil homme. En revanche, Melody a vite attisé ma curiosité. C'est elle, l'absente du livre, qui a le plus retenu mon attention et a finit par m'intriguer. D'autant que les confessions de Stotz tournent finalement à l'enquête autour de la disparition de la jeune femme... mais je n'en dirai pas plus...
La troisième partie m'a beaucoup plus plu que les deux premiers tiers. Davantage tournée vers le voyage et l'enquête ; plus musicale aussi, dans les références et dans l'écriture ; l'intrigue s'accélère et cela améliore grandement le rythme.

Dans ce roman, Martin Suter explore de nombreux thèmes : la maladie et vieillesse qui font perdre de sa superbe à un vétéran du gotha économico-politique ; la fragilité des couples mixtes (a fortiori dans les années 1980) ; le statut d'étranger (je regrette d'ailleurs le manque de recul et le peu de parallèles avec l'actualité). Autre sujet annexe et pourtant central : la nourriture... J'ai été vite lassée de lire et relire le détail des plats ingurgités par les personnages... Parmi les sujets abordés, j'ai surtout retenu celui de la différence sociale, qui peut autant rapprocher que séparer deux êtres, quelle que soit leur relation : professionnelle, amicale ou amoureuse...

#Melody #NetGalleyFrance
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Le dernier roman de Martin Suter, dans sa traduction française, remontait à 2017, une éternité quand on suit pas à pas les publications de l'auteur zurichois, depuis la parution de l'étourdissant Small World. D'emblée, Melody semble s'orienter vers le roman d'apprentissage classique, avec pour principaux protagonistes un jeune secrétaire particulier qui vient d'être embauché par un vieil homme, homme d'influence et richissime, pour classer ses archives, avant sa mort qui s'annonce pour les mois qui viennent. Mais très vite, dans une veine très feuilletonesque, le second va raconter par bribes au premier l'histoire d'amour qui a marqué sa vie et qui, comme souvent, finit mal. Oui, mais comment ? C'est ce qui nous tient en haleine pendant toute la première partie de l'ouvrage, entre repas très fins concoctés par une cuisinière italienne surdouée et dégustations d'alcools rares, au coin du feu. Tout n'est que luxe, lenteur et volupté, avec les affres de la vieillesse et de la maladie qui s'oublient un temps, pour celui qui égrène ses souvenirs sentimentaux auprès d'une oreille attentive et fascinée. La centaine de pages qui suit sera bien différente : rapide, ouverte sur les voyages et déconstruisant l'histoire contée auparavant, sans doute trop belle et romantique, pour être vraie. La vérité va finir par apparaître, non sans quelques rebondissements, dont le dernier se situe précisément dans l'ultime phrase du roman. Il est certain que Martin Suter a dû beaucoup s'amuser à écrire ce thriller amoureux autour de la part de fiction qui gouverne nos vies, bien plus séduisante et poétique, que la plate réalité. Et le plaisir est largement partagé par le lecteur.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Phébus.
Lien : https://cinephile-m-etait-co..
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Tom Elmer, qui vient de finir ses études d'avocat, vivote sans trop savoir quoi en faire, ayant bien du mal à trouver un emploi. Il répond à une annonce, sans conviction, de Peter Stotz, important notable de la société suisse qui a besoin d'un secrétaire personnel pour trier ses documents, afin d'en tirer une biographie à sa mort. Tom est engagé, nourri, logé, blanchi, et va vite découvrir que son rôle de secrétaire personnel ira bien plus loin que ce qui était prévu dans son contrat. Car le vieil homme pour qui il travaille, à l'article de la mort, a besoin d'une oreille pour lui raconter l'histoire de Melody, cette femme qui est omniprésente dans la demeure, de ses multiples portraits faits par Stoltz lui-même à son atelier de couture conservé, en passant par ses livres, certains de ses vêtements...

Le narrateur, Tom, bien que le protagoniste de l'histoire, n'est en fin de compte que le réceptacle de celle de Melody, et de son histoire d'amour d'avec Peter, dont l'on ne connaîtra les véritables ressorts que dans les toutes dernières pages du roman. Ainsi, l'on entre dans une atmosphère particulièrement romanesque, qui vient rompre avec le trivial d'un homme mourant qui cherche à revivre, une dernière fois, ses instants de bonheur avec la seule femme qu'il a aimée, atmosphère qui joue de manière plutôt intéressante, justement, avec les codes du romanesque et de la réalité pour nous entraîner dans des méandres de plus en plus troubles, qui nous font douter de la véracité de ce qui nous est conté.

Mais ce jeu, d'abord réussi, entre romanesque et réalité, prend un tour de plus en plus exagéré, de retournements de situation en retournements de situation qui ont finalement fini par me lasser, alors que la majorité de l'intrigue m'avait en premier lieu séduite.

Je remercie les éditions Phébus et NetGalley de m'avoir permis la découverte de Melody, un roman intéressant mais qui, à mon sens, perd en intérêt dans ses dernières pages.
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Chez Martin Suter, le climat est toujours unique. Je n'évoque pas ici la météo suisse mais bien l'atmosphère si particulière que cet immense auteur parvient à instaurer dans ses différents ouvrages avec autant de maestria.
Dans ce nouvel opus (et heureusement pas le dernier puisque j'ai lu dans une interview de l'intéressé que le suivant était déjà prêt ou en passe de l'être), l'héroïne centrale est une mystérieuse absente. La fameuse Melody. L'ancien (l'unique ?) amour de Monsieur Stotz. Ce dernier - parvenu à la fin de sa vie - veut remettre de l'ordre dans ses papiers et ses souvenirs. Il propose donc à un jeune diplômé en droit au chômage de venir faire le ménage dans ce monceau de documents. Et de lui raconter son histoire. Toute son histoire.
L'enquête peut alors commencer. Car le jeune Tom Elmer - très bien rémunéré pour cette tâche et magnifiquement nourri aussi - se laisse prendre au jeu du vieillard. Il l'écoute lui distiller au compte-gouttes, toute la genèse de cette love story impossible. Avec cette terrible question : mais qu'est devenue la divine Melody ?
Impossible de répondre à cette question sans "spoiler" la fin du roman.
Une fois de plus, Martin Suter réussit à nous transporter dans son univers. La magie opère. Encore et toujours. Merci infiniment, cher Martin.
Lien : https://bsky.app/profile/blu..
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Sa mort approchant à grands pas, un homme riche lance dans ses archives une vaste opération de death cleaning, concept de l'art de vivre scandinave qui consiste à désencombrer, faire le ménage dans une vie afin de décharger famille et proches lors du décès. Rien de morbide. Pour Peter Stotz, il s'agit plutôt de transmettre, à titre posthume, l'image d'un homme d'ordre et de préserver le récit patiemment construit au fil des décennies de son existence. Pour accomplir cette tâche, il engage Tom, un jeune juriste en recherche d'emploi, à qui il précise d'emblée que la nuance est mince entre poésie et vérité, et qu'il n'est pas contre – non pas une falsification – mais une pondération de son Histoire. Ne pas dire toute la vérité, ce n'est pas mentir, n'est-ce pas ?


A mon grand regret, je n'ai pas retrouvé le Martin Suter de mon adolescence dont j'ai dévoré de nombreux romans, notamment sa « trilogie neurologique » comme il a lui-même surnommés ses 3 premiers opus. Si le style propre et élégant est toujours présent, je n'ai pas réussi à m'approprier ses personnages que j'ai regardé évoluer à distance, comme à travers une vitre. J'ai eu l'impression d'être dans un zoo, devant une cage contenant les derniers specimens d'une espèce en voie de disparition.



Les personnages sont antipathiques. Peter (Ph.D), qui a été un homme de pouvoir dont il a exploité tous les avantages personnels, est infatué, imbu de sa personne. Dans ses archives prétentieuses, Tom trie, entre autres documents entassés par des secrétaires inféodées, des coupures de journaux relatant ses faits d'armes, des additions de restaurant, des serviettes en papier ou sous-bocks de bière griffonnés, billets de cinéma ou de théâtre, pochettes d'allumettes, résidus de la vie d'un homme persuadé de l'importance du moindre de ses gestes ou mots. A partir de ces scories, Tom devra élaborer une histoire qui rende son patron intéressant, car ne cherchons-nous pas tous une histoire nous montrant sous notre meilleur angle ?


Peter ressasse l'amour perdu de sa vie, saôule son auditoire en se saoûlant lui-même avec des alcools de grandes origines. Apprendre que le cognac et l'armagnac se boivent assis et le sherry debout ne m'a rien apporté. Bien sûr, de manière stéréotypée, son personnel de maison lui est inconditionnellement dévoué mais citer le menu italien élaboré pour chaque repas par sa cuisinière a fini par me lasser. Dans le même esprit, je n'ai pas été capable de décider si je préfère une Jaguar à une Mercedes.


Il y a enfin Melody, personnage central dont on parle sans cesse sans la voir, c'est l'arlésienne du roman, experte en broderies, dont tous les traits de caractère m'ont paru artificiels. La promesse de l'intrigue est de savoir ce qu'elle est devenue après s'être brusquement évaporée quelques jours avant son mariage. L'épilogue lève le voile.


Désolée pour ce retour de lecture fortement mitigé, je suis la première pénalisée et déçue d'avoir loupé des retrouvailles attendues avec un auteur pourtant très apprécié. Martin Suter dédie Melody à sa fille et à Margrith, son épouse récemment décédée.
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