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sur 431 notes
Battle Royale ! Une expression qui évoque un style de gameplay lancé par un fameux jeu vidéo... La comparaison n'est peut-être pas anodine et je ne serais pas étonné que les créateurs de Fortnite se soit inspirés du roman ultra-explosif de Koushun Takami paru à la fin des années 90, un roman rendu d'autant plus célèbre par l'adaptation cinématographique du regretté Kinji Fukasaku en 2000.
Pour ma part, c'est surtout son adaptation en manga qui m'a scotché, davantage que le film, un manga entrainé par le dessin réaliste façon gekiga de Masayuki Taguchi. Face au manga (dont Koushun Takami était aussi le scénariste), il fallait quand même lire le livre de base !

Une lecture d'abord un petit peu lourde, il faut bien l'avouer, surtout quand on connaît déjà l'adaptation en manga dont l'intrigue est extrêmement fidèle à l'oeuvre originale. de ce fait, pour tout les lectrices et lecteurs du manga édité chez Soleil, petit message : les péripéties et le dénouement sont exactement les même mis à part le background de certains protagonistes et quelques séquences d'actions plus développées dans le manga. de ce fait, on peut trouver le contenu un peu répétitif et sans surprise quand à la structure d'une intrigue qui se concentre sur ce décompte mortel.
De même, je me met à la place du lectorat qui ne connaît pas du tout Battle Royale et qui doit engloutir tout les noms des lycéens japonais qui défilent devant nos yeux. Il faut s'y retrouver mais, pour autant, Koushun Takami souligne l'importance de pratiquement chaque élève de cette classe, leur accordant à chacun et chacune leur réaction et leur point d'orgue face à ce jeu cruel et impitoyable.
Faut -il encore résumer ce livre ? Battle Royale, c'est un jeu de massacre instauré par un état fictif, un état totalitaire et conservateur (probablement bâtie sur les fondations du Japon). Cet état impose chaque année à une classe de lycée de participer à une sorte de jeu meurtrier dans lequel les élèves doivent s'entretuer sur une île isolée jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'un . Pour quelle raison ? Mais parce que c'est le jeu ma pauvre Lucette !

L'objectif de ce massacre tout comme le massacre en lui-même reste assez absurde et on aurait pu reprocher à Koushun Takami de vouloir simplement se livre à un espèce de roman noir profondément violent si il n'y avait cette critique amère d'un régime totalitaire, ce doux parfum de révolte rock'n'roll qui plane dans l'intrigue. Quel dommage de ne pouvoir trouver sur le net une interview de l'auteur du roman. A priori, Takami-san n'a pas écrit grand chose depuis la sortie de ce livre en 99. Toujours est -il que derrière ce jeu de massacre, l'auteur semble porter un tacle au nationalisme et au conservatisme japonais dont son avatar dans cette fiction semble en être une vision exacerbée et radical mais pas impossible.
Battle Royale peut être d'abord considéré comme un titre d'anticipation féroce, une distopie radicale (qui a sans doute inspiré des oeuvres plus édulcorés comme Hunger Games) sur une société totalitaire qui, pour imposer son contrôle, impose ce meurtre de masses. En opposition à ce nationalisme, l'auteur semble vouer derrière son personnage principal Shuya Nanahara une certain adoration au rock'n'roll, véritable leitmotiv de révolte, considéré ici comme une musique subversive. Par extension, l'écrivain semble considérer les Etats-Unis comme un bastion de liberté qui attend les personnages, vision un peu naive mais compréhensible face à un régime totalitaire.
Battle Royale n'est donc pas qu'un simple jeu de massacre même si toute l'action est concentré là -dessus. B.R est une oeuvre d'anticipation calculée sur un rythme effréné, une lame de fond des plus violente qui bousille les corps mais réaffirme certains esprits.
Le style de Koushun Takami est simple mais corrosif. L'auteur nous plonge quand même dans une ambiance assez gore et radicale et un ton parfois ironique agrémenté de quelques piques. Mais l'écrivain n'en oublie pas la force de ses personnages. Nous avons plusieurs point de vue, certains principaux autour d'élèves-clés comme Nanahara, le rockeur, Kawada l'ancien ou encore Mimura, le playboy ingénieux et Sugimura, le combattant taiseux. Mais le roman bascule également sous les autres points de vues de la plupart des élèves, même "secondaires". Une subjectivité multiple qui permet d'en apprécier chaque personnalité avec leur passé, leurs émotions et leurs destins souvent tragiques. En terme de personnages, et malgré leur brièveté, Koushun Takami nous rappelle leur humanité même si certains se glissent dans le cas des tueurs comme la redoutable Mistuko Soma, véritable déesse de perversion et le glacial Kazuo Kiriyama, véritable terminator humain. Des personnages forts entrainés dans cette danse macabre ... Si on se prend au" goût "du jeu , les quelques 815 pages sont lues rapidement. C'est une lecture corrosive, assez dure mais qui peut aussi se lire comme un véritable roman de suspense et d'action. L'auteur n'hésite pas y insérer quelques séquences spectaculaires comme une course-poursuite des plus haletantes.
Dans la forme, l'auteur fait aussi preuve de rock'n'roll.

Battle Royale est un puissant roman d'action et d'anticipation, une dystopie horrifique et effrénée supportée par une pointe d'ironie et une quantité non négligeable de férocité. Coup de coeur bien accroché !


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Dans un monde alternatif, sur le continent asiatique , se trouve la République d'Extrême-Orient ayant à sa tête un Reichfürer. Cette république est totalement fermée, information et produits étrangers sont illégaux, même s'il y a un gros marché noir pour les produits américains notamment. Dans cette "République", chaque année se déroule un programme militaire impliquant une classe de 3eme. Ces adolescent sont envoyés dans un lieux isolé, et, pendant 3 jours, ils devront s'entretuer jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un.
C'est un livre passionnant mêlant l'action à la psychologie des personnages. Nous suivons tour à tour les élèves en essayant de comprendre sa réaction face à la situation. L'auteur tente de nous expliquer les raisons de chacun. Ainsi nous accompagnons chaque participant, nous nous y attachons...ou pas !
Et inévitablement la question se pose : Qu'aurions nous fait dans pareille situation à leur âge ?
Un excellent roman dystopique que je conseille vivement !
Lien : https://youtu.be/CHT87ksZ87I
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Bien avant la série à succès Hunger Games paraissait ce jeu de massacre : Un régime dictatorial, une arène, 42 jeunes issus de la même classe, un seul survivant. Voilà un postulat pour le moins percutant pour plonger au coeur des mécanismes de survie ! Et en toile de fond, ceux qui font qu'une population finit par se laisser aller à vivre avec l'oppression. Si les litres de sang répandus sont bien au rendez-vous, l'écriture précise et cruelle n'est pas en reste. Elle sert à merveille ce décompte mortel dont le rythme évoque celui des mangas, alternant action en temps réel et flashbacks éclairant le passé des protagonistes. Ames modérément sensibles, éprises de pop-culture, préparez-vous à ne pas oublier ce livre de sitôt !
Elisa
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L'été dernier, j'ai eu l'occasion de regarder le film Hunger Games. Je me suis faite expliquer peu après que ce n'était qu'une pâle reprise du concept du Battle Royale de Koushun Takami. Je tenais là mon occasion de lire un auteur japonais. J'avais également entendu parler du film qui avait été tiré de ce roman, comme d'une oeuvre provocante, violente, mais aussi bien prenante.

Alors, la comparaison ? N'ayant toujours pas lu Hunger Games, j'admets qu'elle ne peut être que limitée, mais bon... quand faut se lancer...

Tout d'abord, les concepts sont pour moi tout de même assez différents. Certes, il y a un huis clos avec des ados qui doivent s'entre-tuer, dans les deux cas, mais il y a aussi de nombreuses divergences.

Alors oui, les états sont tous deux décrits comme suffisament totalitaires pour en être nazis, les combats sont utilisés par les autorités à forces de coups de communication pour apeurer les populations.

Mais sous-jacentes, certaines différences rendent les intrigues presque antinomiques :

- Tout d'abord, dans Battle Royale, les ados se connaissent depuis longtemps. Ils sont issus d'une même classe et se pratiquent parfois depuis la petite enfance. Ce n'est pas du tout le cas dans Hunger Games. Là, ils doivent se découvrir. Cela enlève une dimension psychologique qui est primordiale dans l'oeuvre de Takami. Il n'est plus question d'impacts sur la personalité, de défiance, de clans pré-composés, de trahison, de couples pre-formés...

- Ensuite, dans Battle Royale, ils ont tous le même âge (bah oui, même classe). Les hiérarchies sont donc moins automatiques, les combats plus égaux (a priori).

- J'ai eu vaguement l'impression que l'oppression de la population était mieux rendue dans Hunger Games, qui ne se focalise pas majoritairement sur les combats en eux-mêmes. Il y existe une dimension de lutte des classes beaucoup plus importante. la révolte est plus présente.

- le fait que les "spectateurs" d'Hunger Games puissent intervenir dans le jeu est également un éacrt majeur comparé à Battle Royale, dont le jeu se pratique en totale autarcie. Cela permet des développements marketing très intéressants.

- Et au final, peu de high tech dans Battle Royale, alors qu'on la devine omniprésente dans Hunger Games.

Je n'irai pas comparer les styles d'écriture puisque je n'en ai lu qu'un seul. Je peux néanmoins dire que je n'ai pas décroché de Battle Royale. le style est haletant. Il faut arriver au terme du roman pour comprendre pourquoi l'auteur s'est attaché à quelques personnages plutôt qu'à d'autres. Ce fut un peu laborieux pour l'occidentale que je suis de me plonger dans tous ces noms japonais, mais on s'y fait.

Si vous l'aviez djà entendu (ou lu), je plussoie, Hunger Games, c'est de la gnognotte côté combats comparé à Battle Royale. Mais l'objectif n'était sûrement pas le même. Et puis dans un film à production américaine pour mineur, ce n'est pas vraiment étonnant. C'est forcément un peu aseptisé. Battle Royale est destiné à une autre population, je crois.

La toute toute fin est pour moi en revanche complètement ratée. Dommage que Takami n'ait pas arrêté son roman quelques pages plus tôt. Je lui aurais alors attribué le max de ma notation (très personnelle et subjective par ailleurs).

Du coup, j'en garde une très bonne impression et je vous recommande l'ouvrage, mais je ne le place pas dans ma pile "à relire".

[...]
Lien : http://question-sf.over-blog..
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Je suis très mitigée sur ce livre. Au vu des commentaires élogieux, j'ai dû mettre la barre trop haut et finalement quand j'ai fini ce roman je me suis dis: "tout ça pour ça !"

Je pensais que j'aurais affaire à la mise en place d'un moyen de survie intelligent avec plan et débrouillardise de la part de certains élèves afin de s'en sortir et surtout de réussir à contrer les organisateurs.
À la place j'ai eu une classe de 42 élèves qui sont très clichés dans leur comportement (nous avons le sociopathe, la fille qui joue sur son physique...) sans réel approfondissement de leur psychologie et à une suite incessante de scènes de meurtre. Si bien sûr, je m'attendais à cela, je ne pensais pas que l'histoire ne tournerait qu'autour de cela. À force, je me suis lassée.

Une autre chose m'a dérangée: on a quasiment le point de vue de tous les élèves au cours de l'histoire, chaque chapitre alternant les points de vue. 42 élèves, cela fait beaucoup à mémoriser et d'autant plus avec les noms japonais (et je précise que je suis familière des noms, lisant beaucoup en mangas). Si certains ont une place prépondérante et reviennent très souvent, donc facilement reconnaissables, ce n'est pas le cas de la majorité et j'ai eu beaucoup de mal à chaque nouveau chapitre à voir qui était qui et à me remémorer les personnages.

Après, il n'y a pas que de mauvaises choses: l'auteur à une qualité indéniable d'écriture. Les scènes d'action sont vraiment haletantes et extrêmement immersives.
En fait, il faut juste s'attendre à un jeu de cache cache mortel où chacun y va avec son arme. Il n'y a pas vraiment d'intrigue. J'ai même trouvé certaines révélations complètement évidentes tellement on voit venir à l'avance certaines choses.
Dommage, il y avait sûrement le potentiel pour en faire un bon roman avec une bonne intrigue, sauf que l'auteur s'est contenté de mettre en scène "comment tuer son camarade en 39 façons différentes".
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Roman d'anticipation. 42 collégiens. 3 jours. 1 seul survivant.

Débarqués sur une île, un collier autour du cou, une classe entière apprend qu'il ont été tirés au sort pour un programme annuel organisé par l'Etat. Equipés d'un sac à dos refermant toute sorte d'arme, il doivent s'entretuer pour qu'il n'en reste qu'un...tout en étant vigilant car des zones de l'île deviennent au fur et à mesure interdites.

Je n'ai plus en mémoire le prénom des personnages...cependant je garde de cette lecture que chaque personnage à un rôle important et que chaque relation homme/femme, homme/homme ou femme/femme, amicale ou amoureuse est passée au crible. Tout est basé sur le ressenti, les sentiments, la peur, les perceptions de chaque participant. Un véritable panel social est déployé dans ce roman.
L'univers d'un futur comparable à notre présent mais avec cette sélection est crédible.
Les personnages "gentils" sont ultra attachants et les "méchants" très...sombres.

La fin est ouverte ce qui permet donc d'imaginer une suite...
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Ce livre est d'une angoisse effrayante...
Des collégiens embarqués sur une île déserte, et qui on, comme seul choix vivre ou mourir.
À peine, débarquer les morts se multiplie...
Un livre prenant...
On suit nos héros tous le long de la fiction. Mais lequel va arriver à vivre ?
Jusqu'au bout de ce récit, j'ai eu peur avec eux, j'ai pleuré avec eux....

Un roman captivant...

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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Ce livre avait atterri dans ma wishlist à la fin de ma lecture des "Hunger Games", quand je me suis rendue compte qu'un certain nombre d'avis disait que ces derniers n'étaient qu'une pâle copie de "Battle Royale". Il a rejoint ma PAL peu de temps après (grâce à la box à laquelle j'étais abonnée à l'époque) et y est resté très longtemps, j'ai même honte de dire que je l'avais complètement oublié... C'est le tirage au sort qui a sorti son numéro ce mois-ci (le 28 sur 617, c'est vous dire s'il attend depuis un moment...).
Alors effectivement, il y a de nombreux points communs. le "jeu" est le même, si ce n'est que l'un se déroule dans le futur aux États-Unis et l'autre en 1997 au Japon. Mais les "Hunger Games" sont plutôt gentillets par rapport à "Battle Royale". Ce dernier est trash, violent, sanglant. Les scènes de tuerie sont décrites dans le moindre détail et par moment, il faut avoir le coeur (et l'estomac) bien accroché.
Et pourtant, j'ai adoré ! Ce n'était pas gagné au début, il y a 42 élèves, avec des prénoms/noms qui se ressemblent tous les uns les autres. Ça n'a finalement pas été compliqué, l'auteur fait de temps en temps des rappels, qui m'a aidé à me remémorer les événements les concernant. Alors même s'il a fallu que je lève le nez de ma lecture de temps en temps sur certains passages plutôt gores, je l'ai dévoré car impossible à lâcher.
J'ai beaucoup aimé le dénouement, empli de surprises, de rebondissements, avec un retournement de situation que je n'attendais pas.
Au final, je ne crois pas qu'il soit judicieux de le comparer avec les "Hunger Games". Même s'ils se ressemblent beaucoup sur certains points, ils ne visent pas du tout le même public.
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C'est en 2001 lors de sa sortie en salle que j'avais découverts Battle Royale avec le grand Takeshi Kitano dans le rôle du professeur Kitano que l'on retrouve sous le nom de Kinpatsu Sakamochi dans le roman. Ce film m'avait marqué à l'époque, car il me rappelait le chef d'oeuvre de William Golding : Sa majesté les mouches. L'impact de ce film fut-elle qu'en 2006 je me jetais sur le roman enfin traduit et publié chez Calman-Levy et également sur la version manga publiée chez Soleil Manga. Bien plus tard en 2009, nous aurons la trilogie de Suzanne Colins : Hunger Games qui n'est pas sans rappeler Battle Royale.



Ce que j'aime dans l'ensemble de ces romans et surtout les deux premiers, ce n'est pas tant la violence, mais comment ils ont pu en arriver là, le contexte qui entraîne ce déchaînement de violence justifié par la survie et la peur de l'autre.



Dans un autre registre, Batte Royale me fait penser à la Vague de Todd Strasser qui trouve ses origines dans l'expérience de Stanley Milgram sur la soumission à l'autorité. Ce moment où le citoyen lambda glisse dans la violence et le meurtre se sentant légitimé par les autorités compétentes.



Une thématique complexe qui fait que je ne pouvais qu'apprécier un roman tel que Battle Royale. le succès du film à entraîner une suite à laquelle je ne suis pas aussi enthousiaste.



Avant même d'écouter la version audio du roman, au contraire des mangas et suites diverses et variées que je n'ai pas cité, je savais à quoi m'attendre, mais la grande incognita était découvrir la prestation de la part de Fabian Finkels narrateur de ce livre audio de plus de 21 heures. Dès les premières minutes, on se rend compte, pour le plus grand bonheur de l'auditeur que Fabian a certainement vu le film ce qui se ressent fortement dans l'intonation et le jeu d'acteur, bien que le livre soit long et les noms japonais pas forcément évident à retenir, on reste aspiré par notre écoute avec ce côté japonais qui donne une impression de légèrement surjoué, mais qui est typique des films japonais.
Lien : https://www.bouquinovore.com..
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Arrivé à la moitié du livre je me suis brusquement rendu compte qu'il n'était pas fait pour moi. Une sorte d'époque révolue de mes années Manga m'ont poussé tenté l'expérience de ce roman. Même si c'est bien écris on que le concept est attrayant, très vite on se lasse. Les très nombreux personnages on un manque conséquent de profondeur, ils sont même plus que insipide. C'est répétitif et sans grand intérêt on à l'impression d'assister à une énième diffusion de Koh Lanta, c'est tout dire du manque d'intérêt de ce livre qui frappe à côté de la plaque à chaque fois. Et le côté violent du livre ne relève pas le niveau de cette histoire où on s'endort presque à chaque page tournée.
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