" Les jean-foutre et les gens probes, Médisent du vent furibond, Qui rebrousse les bois, Détrousse les toits, Retrousse les robes ", chantait Brassens. Les jean-foutre peut-être, cher Georges, mais pas nos Jean de Nantes à nous. Drôles de Jean qui, en bons Bretons, aiment non seulement le vent, mais le convoquent à leurs veillées du troisième millénaire pour attiser les braises, raviver les contes, chahuter leurs baroques vêtures et leurs plumes d'oiseaux rares. " D...
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