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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Quelle Fresque ! Quelle épopée !
Elle démarre à Pétersbourg en 1805, de raouts en raouts, dans les froufrous des robes, des cancans, des intrigues et les rumeurs d'une guerre Napoléonienne qui semble inévitable, qui est même désirée, qui exacerbe les rêves de gloire.
Nous suivons principalement les membres de quatre familles, les Bolkonski, les Rostov, les Bezoukhov et dans une moindre mesure les Kouraguine jusqu'en 1813, avec une incursion en 1820 dans l'épilogue.
Pas besoin d'en dire plus sur le contexte, ça ne se raconte pas, ça se lit et se vit !

C'est le deuxième livre que je lis de Tolstoï, et les deux fois, ils ont fait un carton plein d'étoiles. J'en suis encore toute éblouie.
Les personnages sont vraiment d'une justesse remarquable. Ils s'empêtrent dans leurs contradictions faisant étalage de toutes les gradations de leurs défauts et de leurs qualités. Bref, des personnages parfaitement imparfaits à l'instar d'un Pierre qui dira qu'il « sentait qu'en lui-même le bon et le mauvais faisaient un mélange et s'atténuaient l'un par l'autre ».

Tolstoï a vraiment un talent admirable pour animer et faire vivre ses personnages, pour les faire rebondir et évoluer au gré des événements et des aléas qui les frappent, les fauchent ou les cajolent.
C'est d'autant plus accentué que l'écriture, à tout le moins dans les deux premiers livres (il y en a quatre), est très visuelle. C'est truffé de détails savoureux, tellement expressifs et humains. On croirait y être. J'y étais. Nous sommes projetés aux cotés des protagonistes et nous interagissons avec eux. Parfois d'ailleurs à leur insu, comme par exemple quand leur perception d'eux même est contredite par les événements. Certaines scènes m'ont beaucoup amusée. D'autres, comme les rituels militaires, notamment au début, m'ont carrément fait halluciner. J'ai parfois eu l'impression d'assister à un spectacle. Mais comme le chantait Freddie Mercury: the show must go on …

Et ce n'est pas tout... Tolstoï introduit graduellement, principalement à partir du troisième livre, la vision des historiens et sa propre vision. Il les fait cohabiter avec celle des protagonistes jusqu'à cet épilogue dans lequel il approfondit et développe ses convictions sur la science de l'histoire, ce qui met les hommes en mouvement, sur le libre arbitre, la responsabilité, le pouvoir. C'est passionnant et bien amené.

En tout cas, en ce qui me concerne, un grand moment de lecture ! Petite et grande histoire s'attirent et se repoussent dans une mazurka entrainante aux multiples variantes, à moins que ce ne soit dans un Danilo Cooper…
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Une fresque éblouissante!
Début du XIXè siècle en Russie, Napoléon est l'ennemi.
Tolstoï nous livre une observation détaillée de l'aristocratie à travers le parcours de nombreux personnages à la psychologie fouillée. Dans le faste de la vie de salon ou sur les champs de bataille, ils accumulent victoires ou défaites, personnelles ou militaires. Tous sont entravés par leur époque et par leur milieu, et cherchent un sens à leur vie. Entre grandeur et mesquinerie, amour et amitié, égoïsme et abnégation… la frénésie de leur recherche fait le tour des passions humaines.
Un chef d'oeuvre tout à la fois romanesque, historique, politique et social, qui engloutit le lecteur dès la première page pour, la dernière page tournée, le laisser abandonné et pantois.
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Mission accomplie. J'ai terminé mon défi du confinement avec l'intégrale de "LA GUERRE ET LA PAIX", tel est le titre retenu pour l'édition de décembre 1944 dans la Pléiade dans une traduction de Henri Mongault.
Ce livre-épopée est un monstre, mais un monstre magnifique. Jamais batailles n'ont été mieux décrites au coeur même de la mêlée, jamais l'âme russe n'a été aussi bien illustrée. Point n'est besoin de s'attarder outre mesure sur ce chef-d'oeuvre sur lequel tout a été dit.
Sauf à ajouter un petit bémol : le prodigieux écrivain qui a passé 5 années à enfanter ce roman-fleuve aurait pu faire l'économie de cette cinquantaine de pages finales qui embrouillent son propos par un trop plein d'explications.
Sur cette édition de la Pléiade de 1607 pages, l'histoire proprement dit se termine à la page 1556, soit au terme de la 1ère partie de l'épilogue. Puis l'écrivain se mue en professeur qui disserte à foison sur le sens de l'Histoire. Si vous n'êtes ni historien, ni philosophe, évitez cet ultime sentier escarpé. Pour le reste, rien que du bonheur !
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Quand on parle de classique, le roman fleuve de Tolstoï fait partie de ceux qui viennent tout de suite à l'esprit.
Cela faisait des années que Guerre et Paix, ou La Guerre et la Paix, était dans ma bibliothèque.
Mais une oeuvre de cette ampleur, on ne la lit qu'au moment où on se sent prêt à plonger dedans.
Par rapport au mythe que ce roman représente dans la littérature mondiale et par sa taille de presque 2000 pages.
Mes précédentes expériences avec Tolstoï avaient été diverses. J'ai adoré Anna Karenine mais ai eu plus de mal avec Résurrection, son dernier roman de 1899, représentatif si j'ai bien compris d'un moment de la vie de l'auteur où celui-ci reniait ses oeuvres romanesques.
Quant au livre de poche regroupant "la mort d'Ivan Illitch", "maître et serviteur" et "trois morts", j'avoue être passé un peu à côté. Je le relirai.
Voilà posé le "contexte" dans lequel j'ai entrepris cette lecture.

Guerre et Paix commence en juillet 1805, au sein de la noblesse petersbourgeoise et moscovite. Dans la première partie, on découvre, au travers de salons mondains et de dîners, les personnages que nous suivrons tout au long de l'oeuvre.
(Attention, je vous conseille de noter dans votre smartphone ou sur un papier quelques éléments sur les personnages : qui est le fils ou la fille de qui, le cousin ou la cousine de qui, etc. En effet on fait la connaissance d'énormément de personnages en même temps, et il peut parfois être difficile de s'y retrouver).

A cette époque, on discute de Bonaparte, de la menace qu'il fait peser sur l'Europe et la Russie et de la nécessité de partir en guerre. Ainsi, certains s'engageront tels le prince André Bolkonski ou le jeune comte Nicolas Rostov.

Place plus tard à la vie au sein des régiments alors que la guerre fait rage, ce qui nous amènera dans un premier temps à la fameuse bataille d'Austerlitz, défaite amère pour l'alliance austro-russe. Et source de désillusions pour beaucoup, pour ceux qui ne voyaient dans l'affrontement que l'aspect héroïque, superbe, propice à l'avancement et à la gloire.

Le roman va ainsi alterner entre périodes sur le front et périodes de vie "normale", que ce soit à travers les soldats en permission ou les personnages qui ne participent pas à cette croisade contre Napoléon, que les russes appellent "l'ennemi du genre humain".
Nous suivrons le prince André Bolkonski et sa soeur Maria, Natacha Rostov et sa famille dont le jeune Nicolas, et ce fameux Pierre Bezoukhov.

Tous liés les uns aux autres, et comme toujours chez Tolstoï, ces personnages, au gré de leurs expériences, de leurs rencontres, vont être amenés à évoluer. Dans leurs positions, dans leurs sentiments, notamment ceux qu'ils éprouvent les uns envers les autres.

Cette alternance mentionnée ci-dessus permet de donner de l'air au récit, récit dont la fluidité m'a d'ailleurs étonné, moi qui m'attendais à quelque chose de plus ardu.

Le 2ème tome est lui entièrement consacré à cette fameuse campagne de Russie en 1812, au coeur même de Moscou, là où certains parlaient de la guerre avec parfois un peu trop de légèreté.
Comment en effet ne pas parler de cet événement, célèbre dans les livres d'histoire et une des plus cuisantes défaites de l'empereur Napoléon.

De Borodino, à Kraskoie, en passant par Moscou évidemment, des dizaines de milliers d'hommes meurent, plus par les conditions de vie, le pillage, la retraite précipitée, que par les affrontements à proprement parler.

Tolstoi se sert aussi de son roman pour développer sa thèse sur L Histoire et les Grands Hommes. le génie militaire n'existe pas. C'est à posteriori qu'on qualifie untel ou untel de héros. Car la victoire ne dépend jamais des consignes données et souvent déjà dépassées quand elles arrivent aux soldats. La force est égal à une équation dans laquelle, outre la quantité d'hommes à disposition, rentre un multiplicateur : le moral.
Celui qui fait que 10 hommes en renverseront 15.
Et que c'est un ensemble de paramètres qui ne peuvent être prévus qui vont définir le succès, plus que le pouvoir de quelques-uns.

Se dresse lors de cette campagne russe une opposition entre Napoléon, que Tolstoï fait plus qu'égratigner, et (non pas l'empereur Alexandre relégué au second plan) Koutouzov le commandant de l'armée russe, que Tolstoï réhabilite. Il réhabilite l'homme et ses choix, parvenant à en faire un portrait non dénué de tendresse, un incompris.

Il serait passionnant d'échanger sur ce livre et sur cette guerre avec un historien. Afin de confronter le point de vue de l'auteur, dont on sent l'immense travail historique sur ces événements vieux d'une cinquantaine d'années, et les études postérieures.

Guerre et Paix est bel et bien un chef-d'oeuvre, dont la longueur ne doit pas décourager le lecteur. Elle est indispensable à la quantité de choses que Tolstoï veut nous raconter, à la masse d'informations qu'il veut mettre à notre disposition.

Pourtant, nous ne sommes jamais noyés. Tout le monde trouvera quelques longueurs, c'est évident, surtout dans cette dernière partie d'une cinquantaine de pages qui n'est qu'une analyse du pouvoir, de l'histoire et des notions de liberté et nécessité (le "vrai" roman s'arrêtant à la fin de la première partie de l'épilogue).

A bientôt et bonne lecture !
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La Guerre ou la paix ou Guerre et paix ? J'ai les deux, sous les deux titres, avec deux traducteurs différents. eh bien, croyez-le ou laissez-le, à l'intérieur c'est la même chose, à d'infimes nuances près !
J'ai longtemps hésité avant de m'attaquer à ce pavé. Pour quelles raisons ? je l'ignore. A cause du volume ? J'en ai lu de plus gros et de plus indigestes (tiens, un alexandrin !) de la profusion des personnages ? Balzac et Zola n'étaient pas en reste. du cadre historique guère favorable à la France ? Hum, l'Histoire de France est-elle si glorieuse ? de la crainte d'être déçu par un roman tellement encensé depuis un siècle et demi ? On a porté aux nues tellement de navets et dans le même temps tué tant de chefs-d'oeuvre ! (tiens, deux alexandrins !)
C'est par les images que je suis venu à La Guerre et la paix. D'abord un souvenir d'enfance : un soir à la télé, diffusion du film de Serge Bondartchouk (1965-1967) (la meilleure adaptation à ce jour). J'étais tout jeune, je ne me souviens que d'une scène, mais elle m'a marqué : Pierre Bézoukhov (incarné par le réalisateur), complètement saoul, en équilibre sur le bord d'une fenêtre, à la suite d'un pari. Puis une série télé de 2007, réalisée par Robert Dornhelm, avec Clémence Poésy dans le rôle de Natacha Rostov : adaptation soignée, interprétation de classe, une belle réussite, à défaut d'être un chef-d'oeuvre incontournable. Entre-temps, j'avais vu le film de King Vidor (1956) version hollywoodienne sauvée par les interprétations de Henry Fonda en Pierre Bézoukhov, et la sublime Audrey Hepburn en Natacha Rostov (Audrey Hepburn est TOUJOURS sublime).
On ne peut pas résumer La Guerre et la paix. Trop de personnages, trop de péripéties, trop de digressions, trop de descriptions documentaires, trop de ci, trop de ça... le résumé à lui seul ferait la moitié du roman !. Disons que c'est l'histoire de plusieurs familles (trois en particulier, les Rostov, les Bolkonski et les Bézoukhov) dont les personnages s'aiment, se déchirent, se séparent, se retrouvent, se re-aiment, se re-séparent, non sans avoir entretemps changé de partenaires (c'est un peu comme dans Plus belle la vie - toutes proportions gardées, bien entendu) le tout dans un contexte de guerre contre l'envahisseur Napoléon (1er, je précise pour les plus ignares d'entre vous)
De la multitude des personnages qui peuplent (c'est le mot) le récit, trois sortent du lot : Pierre Bézoukhov, qui est un peu la voix de l'auteur, un homme un peu balourd, mais d'une grande sensibilité, à la fois acteur et témoin. André Bolkonski, torturé, déchiré sentimentalement, et devenu très amer sur le sens de l'engagement militaire, et enfin la lumineuse Natacha Rostov, femme-enfant puis femme à part entière, qui, à elle seule, incarne non seulement son propre personnage, mais devient le symbole d'une Russie de toujours, passionnée et raisonnable en même temps.
Les "défauts" ou "particularités" que j'évoquais plus haut, sous la plume de l'auteur deviennent des atouts. Ils n'entravent aucunement l'action, au contraire, ils la soutiennent, lui donnent corps, et lui confèrent une authenticité indéniable. Parallèlement au récit purement romanesque, on notera l'exceptionnelle vision historique de Tolstoï. L'épopée russe, qui fait le pendant à l'épopée napoléonienne, n'a jamais été aussi bien décrite, ni avec tant de précision, ni avec tant de chaleur.
Un des plus grands romans jamais écrits. N'ayez pas peur du nombre de pages, du nombre de personnages, de leurs noms à rallonge et du reste imprononçables, des situations qui évoluent de chapitre en chapitre, des comptes rendus militaires... N'ayez pas peur, dès les premières lignes, vos craintes s'envoleront.
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"Guerre et paix" est une vaste fresque familiale et sociale sur fond historique des guerres napoléoniennes.
Les personnages du livre appartiennent à quelques familles aristocratiques et privilégiées de la Russie du 19ème siècle. Elles partagent leur vie entre Moscou et St Petersburg où elles possèdent des hôtels particuliers, et la campagne où elles dirigent des domaines. le vaste cercle des personnages que le lecteur découvre au début du roman se rétrécit peu à peu pour ne concerner au final que les attachants d'entre eux, deux couples, la princesse Marie et son mari d'une part, et Natacha Rostow et son mari d'autre part. J'ai trouvé cette réduction progressive de l'intrigue familiale sur quelques personnages significatifs remarquablement menée sous la plume de Tolstoï.
Le livre est construit autour de deux épisodes majeurs des guerres napoléoniennes; le 1er tome évoque les victoires françaises avec son apogée que constitue Austerlitz , le 2ème tome retrace la déroute avec ses points forts, la bataille de Borodino, l'occupation inutile de Moscou, la retraite des troupes françaises et le passage de la Berezina qui en restée l'étape symbolique.
"Guerre et paix" est une large fresque dans sa dimension historique, mais ce serait réducteur de la limiter aux guerres menées par la France, car on sent très bien dans cette oeuvre un souffle, un courant montant, interne à la Russie, qui est la marche lente mais inéluctable d'une classe sociale très privilégiée vers des lendemains plus incertains.
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J'ai enfin lu cet ouvrage que je ne pensais jamais lire tant le pavé d'environ 1700 pages me faisait presque peur et finalement je me suis lancé… L'action de ce livre s'étale de 1805 à 1820 et raconte les différentes guerres qu'il y eût en Europe durant cette période entre Napoléon et entre autres choses l'empire russe… Durant près de 1700 pages, Tolstoï nous parle d'amour, de mort, de haine, de trahison, de joie, de mélancolie, de l'homme, de l'histoire, de guerre et de paix à travers d'innombrables personnages principaux auxquels je me suis attaché et que je regrette de devoir quitter. Cette oeuvre n'est pas seulement un roman, mais aussi une réflexion sur la société, l'homme et le rôle des historiens. J'ai dévoré ce livre que j'ai aimé du début à la fin même si j'ai trouvé le dernier chapitre entièrement consacré à une réflexion sur le rôle des historiens un peu long.
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Guerre et paix, ça me ramène dans mes premières années de vie d'adulte, à une époque où je lisais des classiques, où j'avais tous mes neurones connectés, où j'étais encore en bonne santé.

Un chef-d'oeuvre qui a mérité sa renommée mondiale, tant est bien ficelée ce récit qui alterne fiction et réflexions autour des décisions politiques des puissants empereurs en jeu dans ladite guerre. Or, réfléchir à ce qui mène les peuples à la guerre et ce qui permettrait de revenir à la paix, on est preneurs, même en 2023, surtout en 2023, d'ailleurs.
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Cela fait partie des grandes fresques romanesques pas forcément facile à lire, car elles mobilisent beaucoup de temps, mais qui sont délicieusement géniales. Guerre et Paix est un roman fabuleux, intelligent, exigeant, qui est véritablement une performance littéraire, poétique et en même temps scientifique. J'ai été extrêmement intéressé par ses réflexions sur l'histoire et l'intérêt de l'histoire. Il est regrettable que l'on n'étudie pas davantage ces textes. En tant qu'historien (futur docteur si Dieu veut!) je regrette d'avoir découvert ces réflexions si tard. En parlant d'histoire, les batailles, les éléments de stratégie militaire, les descriptions de Napoléon et de Moscou en flammes sont justes jouissivent. (Plus sur Instagram)
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Enfin lu ! c'était dans ma pile à lire depuis pas mal de temps.
Faisait partie des livres à lire, d'après plusieurs listes (Cercle Norvégien, etc..).
Prodigieux, historique, intéressant, remarquable, tellement de qualificatifs pour ce grand roman, historique aussi.
Napoléon un héros ? C'est ce que j'ai lu dans un article il y a peu.
Je ne peux pas dire qu'amener des milliers d'hommes à la mort, à l'abattoir, qui plus est s'enfuit, fais d'un homme un héros.
Borodino (Moskova) est une bataille que je ne connaissais pas, Léon Tolstoï la détaille particulièrement.
Tolstoï explique qu'il y a une force supérieur, qu'il y a une sorte d'équilibre qui mouve le peuple, en particulier les armées, il n'y a pas que Napoléon..
Historiquement, c'est très intéressant, les rencontres entre Napoléon et Alexandre, mais surtout avec le prince André un de meilleur passage...
C'est une histoire que j'ai trouvé assez triste, mais si humaine.
Il y est question de franc-maçonnerie aussi, j'ai aimé le parcours de Pierre, les changements de voie. Nicolas, André, Natacha, Sonia, de l'amour, de la haine, de la joie, de la paix..
Un roman que je conseille, très long à lire, mais qui en vaut le détour.
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