Il monte de ces pages une puissante odeur d'océan, les lames sont hautes, les galéjades tonitruantes, les mouvements d'humeur aussi incertains que ceux de l'eau. Nous sommes avec des marins pêcheurs soviétiques, mais ils pourraient aussi bien être de Marseille ou de Valparaiso, sinon qu'ils pêchent en février, en plein blizzard, et cela seuls savent le faire les marins du Nord, Écossais, Bretons, Scandinaves, Russes... Avec eux, l'odeur de la sueur se fait plus âpre... >Voir plus