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3,27

sur 1947 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'en suis à mon seizième roman de Bernard Werber, et je dois avouer que je ne sais pas ce qui me pousse à en lire encore. Plus d'effet de surprise, et à part une idée assez originale, celle du chat connecté, j'ai trouvé ce roman assez quelconque et sans relief, le savoir relatif et absolu étant dispensé cette fois par le chat Pythagore, ce qui donne l'impression que l'auteur a introduit des informations dans un roman, sans la petite halte à laquelle nous étions habitués. Par ailleurs, j'ai trouvé que ce roman était parsemé d'incohérences, (peut-être suis exigeante) : Bastet la chatte est sensée être totalement ignorante, et pourtant elle parvient à nommer pas mal d'éléments, notamment un escalier en colimaçon qu'elle découvre sur son chemin, pas mal pour un chat ignorant.

Bernard Werber s'est certainement servi de connaissances sur les chats et a su mettre en évidence l'instinct de chasse et les qualités propres au chat toutefois, il a trop humanisé la gent féline et là, cela m'a vraiment agacée : Bastet décide de faire l'amour, soit, on va imaginer qu'elle est en chaleur, mais non, elle recommence dès que possible certainement au delà de la limite de la durée de chaleur chez le chat et les ébats se convertissent en pratique très humaines, je doute que l'anatomie du chat le permette, et je ne parle pas de l'arrivée au septième ciel de la minette… où peut-être suis-je trop terre-à-terre !
L'aventure sur fond post-apocalyptique en elle-même fait passer un bon moment de lecture, sais ce roman ne me laissera pas un souvenir inoubliable.

Mettons-le dans nos pal pour le lire sur la plage !
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Je m'appelle Pythagore.
Je suis un chat siamois un peu particulier puisque, ancien animal de laboratoire, j'ai une prise USB implantée dans mon crâne ( comme un troisième oeil ) et reliée à des endroits stratégiques de mon cerveau. J'ai donc accès une fois connecté à l'ensemble des connaissances via ce que les hommes appellent "l'Internet".
Récemment, alors que je continuais à surfer sur la toile, cherchant toujours à accumuler davantage d'informations, je suis tombé sur un site littéraire qui référence différents avis sur le livre écrit par Patricia ( humaine dont les talents de chamane permettent de communiquer avec nous, les chats, par le rêve ) et relatant les aventures de mon amie Bastet et moi-même, ainsi que notre évolution avant et pendant la Grande Catastrophe. le livre s'appelle Demain les chats, et a été écrit sous l'identité de Bernard Werber, un écrivain quelque peu futuriste du siècle passé qui aurait très bien pu inventer cette histoire avant l'heure.
Ayant depuis les évènements enfin appris à tapoter sur un clavier adapté à mes coussinets et mes griffes rétractiles, je retranscris ici à mes lecteurs humains et félidés quelques extraits de critiques. J'ignore par contre si elles sont le fruit de différentes personnes ou d'un seul babeliote profondément schizophrène :

*Roman post-apocalyptique profondément ancré dans la réalité et se déroulant dans un futur qu'on devine proche, Demain les chats évoque tout d'abord le terrorisme, les émeutes, les ravages d'une guerre aveugle. Les êtres humains qui s'en sortent ( environ 1/4 de la population ) vivent en petits groupes et essaient de survivre. Certains font rôtir des chats à la broche, d'autres font alliance avec ces mêmes chats avec lesquels une forme de complémentarité s'installe face à leur ennemi commun : les rats et la peste d'un nouveau genre qu'ils véhiculent alors qu'ils prolifèrent. Roman inclassable mêlant horreur et anticipation, Demain les chat n'est d'ailleurs pas sans rappeler deux oeuvres majeures du regretté James Herbert : La trilogie des rats bien évidemment ("Un scientifique humain s'est aperçu que, du fait de la montée des températures, les rats deviennent de plus en plus grands et de plus en plus gros") ainsi que Fluke. En effet, dans son livre Werber nous fait entrer dans la tête des chats comme le Britannique nous faisait vivre les pensées d'un chien ( ou plus précisément d'un homme réincarné en canidé ).

*Moi j'aime bien les livres avec des animaux et il y en a beaucoup dans Demain les chats ! Il y a des chats bien sûr mais aussi un lion, des chauves souris, une araignée, des oiseaux, des chiens, un poisson rouge, une souris. Certains parlent mais pas tous. C'est un peu comme dans Walt Disney. D'ailleurs j'étais content quand l'écrivain a évoqué les Aristochats.

*Comme dans chaque roman de Werber, celui-ci permet d'apprendre en s'amusant, ou du moins de nombreuses informations et anecdotes scientifiques et historiques jalonnent les pages de Demain les chats, s'intégrant parfaitement à l'histoire sans avoir besoin cette fois de multiplier les extraits de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu d'Edmund Wells. Ainsi, sans avoir l'impression de lire un ouvrage indigeste, vous connaîtrez presque tout sur le chat : son adulation chez les Egyptiens, son importation progressive dans différents pays du globe, pourquoi il a été assimilé à la sorcellerie pendant le moyen âge puis réhabilité à la Renaissance. Vous apprendrez l'existence de la ronronthérapie ; vous saurez que Félicette fut la première chatte dans l'espace ou que Stubbs, autre félin, a été élu maire de la commune de Talkeeta ( Alaska ). Surprenantes, amusantes ou graves, connues ou pas, ces histoires dans l'histoire enrichissent le roman d'une agréable touche culturelle.

*La lecture du roman a beau être plaisante, par moments c'est vraiment n'importe quoi. Je sais bien qu'avec Werber il faut accepter de laisser s'envoler son imagination, de croire volontiers à l'existence d'un septième sommeil, de micro-humains créés scientifiquement, d'un Olympe peuplé de dieux mythologiques, de chats connectés à Internet pourquoi pas ... mais quand ces mêmes matous se régalent avec du caviar, ont de profondes pensées métaphysiques ou font l'amour à la façon des êtres humains ("Je lui présente ma croupe, mais au lieu de me prendre en montant sur moi, il me propose de faire l'amour de face. Il n'arrête pas de m'embrasser et de me caresser à la manière des humains" ), qui plus est dans le lit à baldaquin du président de la république française, de l'onirique au ridicule, le pas est franchi.

*Si on m'avait dit que pour la rentrée littéraire 2016 les éditions Albin Michel publieraient un livre où les héros se prénomment Hannibal, Bastet, Pythagore ou Wolfgang, j'aurais plutôt parié sur Amélie Nothomb.

*Bernard Werber se renouvelle en mettant cette fois le lecteur dans la peau de la chatte Bastet, lui faisant partager ses envies, ses idées, ses besoins, ses révoltes et ses réflexions. C'est elle qui narre son histoire sans bien comprendre tout d'abord les bipèdes qui l'entourent. Elle relate tout de son attitude envers sa maîtresse ( qui en l'occurence serait davantage sa servante humaine ), se présente sans réserve comme amante ou mère, attentionnée ou pas.
Pourtant, les thèmes abordés sont toujours ceux qui sont chers à l'auteur : la réincarnation, la planète en tant qu'entité vivante indépendante, l'écologie, l'homme qui s'achemine vers sa propre destruction, et même brièvement les fourmis ("chez les fourmis on inculque aux petits des valeurs d'entraide").
La communication est quant à elle au coeur du livre, avec un parallèle évident entre les difficultés de Bastet à se faire comprendre des autres créatures vivantes ( humaines et animales ) et le refus de l'homme d'accepter que plusieurs religions puissent coexister ou que sciences et croyances puissent être compatibles.

Je dois bien avouer que certaines allusions m'ont échappé, mais j'ai l'impression que notre histoire a divisé les lecteurs humains. Certains semblent sceptiques voire déçus tandis que d'autres semblent enchantés d'avoir eu accès à notre Histoire. Je crois aussi que certains n'ont pas vraiment compris le message que nous souhaitions faire passer ou ont été perturbés par notre similitude avec eux par bien des aspects. En tout cas je vous ai retranscrit fidèlement les différents commentaires afin que chacun puisse tenter de se faire sa propre opinion sur l'intérêt ou non d'une telle lecture.

Avec mes miaulements distingués,
Pythagore
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Après la Chatte de Colette, celle de Bernard Werber.
Elle s'appelle Bastet, elle ne connaît du monde humain que ce qu'elle observe et interprète tant bien que mal au contact de sa maîtresse, qu'elle appelle « sa servante ».
Un chat du voisinage, qui connaît « la signification du comportement des hommes », l'instruit.

Voilà quinze ans que je n'ai pas lu de roman de cet auteur. J'avais aimé la trilogie des 'Fourmis', et plus encore, 'Le père de nos pères'. J'espérais que Bernard Werber, intéressant, mais manifestement beaucoup plus scientifique que littéraire, aurait affiné sa plume. Heum...

Mêmes ingrédients et même structure ici que dans ses premiers romans : aventures d'animaux relevées de vulgarisation historique, scientifique, sociologique.
Les dialogues entre animaux sont très naïfs, voire niais, leurs péripéties pataudes, lentes et ennuyeuses. J'aime beaucoup en revanche les réflexions de l'auteur sur l'Histoire de l'humanité - en l'occurrence sur la guerre, le terrorisme, les religions - mais elles sont trop rares, hélas, diluées dans une épopée de félins mi-hommes (par leurs comportements) mi-bêtes (par leur apparence).
Et comme le jeu de deviner quel objet/action décrit le chat s'émousse, on décroche vite, a fortiori si on n'aime pas les aventures post-apocalyptiques...
J'ai survolé les 68* dernières pages pour ne garder que ce qui m'intéresse...

♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=mcUza_wWCfA

* coucou, S. ! 😉
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J'aime bien les chats, mais je suis malheureusement allergique aux protéines qu'ils dégagent…

J'aime bien l'Histoire, mais je souffre d'une intolérance au ton « pédagogique magistral » qu'on utilise dans ce roman pour présenter l'Histoire des chats et des humains.

J'aime bien les fables, mais les sermons trop appuyés me donnent parfois de l'urticaire.

J'aime bien la science-fiction, mais les relents d'horreur qui évoquent un « Willard » du vingt-et-unième siècle ne m'ont pas convaincue.

J'aime bien Bernard Weber, mais j'aurais dû me tenir loin de ses chats, car malgré leurs qualités félines, ils m'ont davantage irritée que ravie.

Peut-être aurais-je besoin d'un peu de ronronthérapie?…
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Pas de quoi fouetter un chat avec cette histoire d'animaux. Peut-être un peu naïve. Pourtant l'auteur de "Les fourmis" en imaginant un monde qui sombre dans la violence ne fait pas le chattemite.

Seulement, les attitudes de ces félins sont calqués sur un modèle trop humain pour être crédible. Deux chats qui passent une nuit d'amour dans un lit à baldaquin...
La folie des hommes, la sagesse des chats et la méchanceté des rats sont les repères que Bernard Werber nous imposent sur 300 pages. le message est clair: ne pas jouer au chat et la souris avec le lecteur.
Quelques aspects historiques parsèment ici et là le récit et l'enrichissent. Mais une chatte n'y retrouverait pas ses petits:
De sa vénération du temps des Pharaons jusqu'à sa détestation au Moyen Âge puis sa réhabilitation du fait de son utilité contre la présence de rongeurs sur les bateaux.
Mais il ne faut pas jeter l'eau du bain et le chat en même temps. Je me suis rappelé, la veille, que le final tenait ses promesses. Pourtant, dès potron-minet, je l'avais déjà oublié.
Les amateurs de chats ou de ronronthérapie trouveront que l'auteur a bien bossé son sujet.
Mais l'anthropomorphisme: chat passe pas!
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Puisque j'ai déjà lu le 3e volume de cette trilogie, je savais à quoi m'attendre en lisant le 1er, mais vu que le 3e m'avait bizarrement séduite, j'ai quand même souhaité lire le 1er.
(et aussi parce que l'héroïne de cette histoire rocambolesque ressemble à mon Albertine).
La narratrice de ce roman d'anticipation signé Bernard Werber est Bastet, une chatte noire et blanche, qui mène sa paisible vie de chat auprès de sa servante/maîtresse, dans une maison de Montmartre. Mais sa tranquillité est dérangée par la guerre qui éclate et oblige à se défendre pour survivre et à repenser les rapports humains et animaliers pour reconstruire. Car Bastet a des pouvoirs de communication, tandis que son ami Pythagore (un sage siamois), peut accéder à la connaissance via un port USB implanté dans son front. Et les voici prêts à sauver l'Humanité !
Nous sommes donc dans la fantaisie la plus pure, dans une dimension où les chats discutent entre eux de philosophie et religion tout en dégustant du caviar. Toutefois, la tonalité du roman est très sombre, car à travers ces regards félins, c'est notre société incohérente et violente qui apparaît de façon hideuse. Cela m'a vraiment mise mal à l'aise, car Werber vise juste : il n'y a pas de quoi être fier d'être humain au XXIe siècle.
Ce fut donc, étrangement, une lecture éprouvante pour moi -même si l'intrigue est foldingue. Et j'espère que mes chats ne me jugent pas aussi durement que Bastet ne juge sa maîtresse (allez, double ration de croquettes, ce soir !).
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Bernard Werber m'a introduit dans le monde du fantastique et de la science-fiction, dans lequel je m'épanouis depuis des années. Aussi, même si les défauts de ses livres me sautent un peu plus aux yeux après avoir lu de nombreux autres auteurs, il conserve ma reconnaissance éternelle. Et de temps à autre, j'ai envie de revenir à mes premières amours.

Mais voilà, des années plus tard, j'ai eu l'impression de relire « Les fourmis », version féline et nettement plus fade. le suspense est pratiquement inexistant, la partie « ésotérique » n'offre strictement rien de nouveau, les personnages (chamans, chats psychopompes, …) non plus. Je suis quand même surpris de l'absence totale de nouveauté à proposer au lecteur, d'autant que le début apocalyptique et la référence évidente à « Demain les chiens » me semblait de très bon augure pour la suite…

Ce n'est pas un mauvais livre en soi, il nous arrache des sourires régulièrement, ça se lit facilement… Mais un peu trop facilement, justement, pour laisser son empreinte sur moi.
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Le chien pense : « Les hommes me nourrissent, me protègent, m'aiment, ils doivent être des dieux. »
Le chat pense : « Les hommes me nourrissent, me protègent, m'aiment, je dois être leur dieu. »
Anonyme

Une idée originale que celle de choisir comme narrateur ... une minette.
Dans Demain les chats, Bernard Werber mélange les genres, science-fiction, philosophie, histoire, aventure comme à son habitude, et c'est une nouvelle fois un plaisir de retrouver sa plume avec cependant quelques petits bémols pour cet opus; je m'attendais à une lecture beaucoup plus incisive, plus complexe, une analyse plus approfondie, des dialogues plus aboutis, moins faciles ... et la fin aurait mérité d'être moins survolée.
À la lecture des premières pages, je me suis même demandé si ce roman n'avait pas vocation à être adressé à un jeune public aussi bien qu'à des adultes.
L'histoire est finalement assez simple, très peu de rebondissements, de subtilités.
J'en ai apprécié cependant les cours d'histoires distillés de ci delà, les petits apartés philosophiques et scientifiques. On révise, on apprend toujours avec Bernard Werber; ici, il nous conte l'histoire fascinante des chats de leur origine à nos jours, revient sur la vie extraordinaire de Pythagore. On peut également voir dans Demain les chats, un manifeste contre la violence humaine, une critique du comportement humain; on y retrouve les thèmes de prédilection de Bernard Werber comme l'écologie, la religion.
Une lecture agréable, un Werber assurément, mais certainement pas le meilleur pour moi !
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Bastet est une jeune chatte qui ne rêve que de communiquer avec les êtres qui l'entourent. Mais le destin de l'Humanité est en danger et Bastet est loin de se douter de se qui l'attend...
Comme souvent avec Bernard Werber, on retrouve dans ce roman des thèmes qui lui tiennent à coeur : la survie et l'entraide entre espèces, L Histoire, l'aspect scientifique.
Je trouve la couverture très réussie avec ce regard de chat hypnotique et puissant mais le récit en lui-même m'a moins convaincue. Ce n'est pas déplaisant à lire mais c'est loin d'être un coup de coeur !
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Cela faisait une éternité que je n'avais plus lu un roman de Werber.
J'avais dévoré ses plus anciennes sagas, les Fourmis, les Thanatonautes et les Dieux qui m'avaient vraiment transportée. Néanmoins, ses romans suivants, toujours un peu sur le même format, avaient progressivement fini par me lasser et je ne m'étais donc pas précipitée sur sa trilogie portant sur le chats.

C'est donc avec le plaisir qu'on a à retrouver un vieil ami que je me suis lancée dans cette lecture.
Werber nous raconte son histoire du point de vue de Bastet, une jeune chatte, qui, curieuse et assoiffée de connaissance, tente par tous les moyens de communiquer avec les autres espèces. Pendant ce temps, les humains, toujours prompts à céder à la violence, vont finir par se déclarer (une nouvelle fois) la guerre et la société va sombrer dans le chaos. Les chats, pourtant réputés individualistes et indépendants, ne vont avoir d'autres choix que de s'unir pour tenter de sauver leur monde et leur espèce.

Werber, une fois de plus, ne fait pas dans l'originalité. J'aurais pu lire ce livre sans en connaître l'auteur et j'aurais tout de même reconnu sans hésitation son style, sa patte assez particulière.
Cette lecture était plaisante. Pas plus. Pas moins.
On ne retrouve pas la force et la puissance de ses premiers ouvrages tellement enchanteurs et passionnants. le côté "érudit" que Werber inclut toujours dans ses romans est moins présent et développé et l'intrigue se languit un peu: on a connu Weber plus imaginatif et pétillant !

Pour autant, je n'arrive pas à me résoudre à être complètement négative dans ce billet. J'ai une tendresse pour cet auteur, ses Thanatonautes m'ont tellement fait rêver ! Et clairement, ses livres restent toujours un moment de détente chers à mon coeur.
Je lirai probablement la suite. Pas tout de suite pour éviter l'indigestion, mais plus tard certainement, quand j'aurai à nouveau du plaisir à le retrouver.
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demain les chats .

Avec quel autre animal Bastet essaye-t-elle de communiquer en premier au tout debut du livre sans succès ?

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