La vie nous habitue à la mort par le sommeil. La vie nous avertit qu’il existe une autre vie par le rêve.
Peut-être que si Jésus-Christ revenait sur terre, lui aussi serait obligé de populariser son message, « Aimez-vous les uns les autres », sur des tee-shirts mauves. Et « Heureux les simples d’esprit, le royaume des cieux leur appartient », sur des sweats blancs 70 % coton 30 % acrylique à laver à l’eau tiède.
Sache encore :
En dehors de tes hallucinations
Il n’existe ni Seigneur juge des morts
Ni démons
Ni vainqueurs de la mort, Majusri.
Comprends-le et sois libéré.
Quatre comportements intérieurs définissent l’ignorance et les souffrances des hommes :
— Le sentiment d’individualité. Face au succès : « Je suis intelligent »… Face à l’échec : « Je n’y arriverai jamais. »
— L’attachement au plaisir : la recherche du perpétuel contentement comme seul objectif.
— La complaisance dans la dépression : la hantise de souvenirs malheureux qui incite à se venger et à s’opposer à son entourage.
— La peur de la mort : le besoin maladif de se cramponner à son existence, preuve de son individualité. Plutôt que d’accepter de vivre jusqu’à la mort en profitant de la vie ici-bas pour mieux développer son être.
Elle se représentait son corps comme une immense poubelle qu’elle ne parvenait jamais à remplir à ras bord.
Dans nombre de pays du tiers monde, les gros sont enviés pour leur richesse qui leur permet de se nourrir en abondance et considérés comme des demi-dieux.
Les moines bénédictins déclarèrent avoir découvert l’origine de l’auréole des saints. Selon eux, c’était une représentation de l’ectoplasme entamant sa sortie par le haut du crâne. Les peintres de l’époque auraient ainsi voulu signaler la faculté des Élus à se décorporer.
Sans l'amour, la vie, c'est vraiment une vallée de larmes.
La vie nous habitue à la mort par le sommeil
La vie nous avertit qu'il existe une autre vie par le rêve.
Eliphas Lévi.
« décris sur dix longues pages tes malheurs avec un furoncle et tu auras de bonnes chances de remporter le Goncourt. »