Et voilà, c'est fini...
En fait, j'ai ce tome dans ma PAL depuis sa sortie, il y a donc 6 mois, je l'ai pris dès sa sortie, impatiente que j'étais de le lire... et pourtant, j'ai attendu parce que le lire, ça veut dire se résoudre à en finir avec Lucky et à Bo. J'appréhendais un peu la lecture de ce tome pour ça, pas par peur d'être déçue, parce que cette série ne m'a jamais déçue. Et pour un final,
Eden Winters nous a gâté en nous offrant finalement la conclusion du tome précédent, mais aussi un petit bonus en 3 tomes intitulé Domestication, qui offre enfin ce que j'attendais depuis le début... et pour finir, un dernier cadeau, un épilogue 27 ans plus tard pour donner quelques nouvelles rapides de tout le monde... et clore définitivement le sujet, eh oui, certains auteurs devraient en prendre de la graine, il est bon de savoir s'arrêter.
Je ne vais pas résumer l'histoire ni ce tome, après tout, sans compter les tomes intermédiaires, il s'agit d'un tome 9 donc, forcément, si on en arrive jusque là, c'est qu'on a lu les 8 premiers et qu'on est donc parfaitement au courant de tout ce qui tourne autour des deux hommes.
Merci donc à
Eden Winters de nous avoir offert cette histoire et adieu au petit coq arrogant, au T-Rex, à Lucky le Chat, au courageux Moose, à Andro et à Jenny (le fou rire quand au choix du prénom...), à Walter et sa femme, à Rett, à Char et ses fils, à Victor et Nestor les parrains-gâteaux, à Cruz et Vivienne, à Jimmy, à Keith, à Lisa et sa crème à la banane, à la chaise de la mort, à la fossette et à sa petite soeur, à Madame Griggs, aux balades en Harley, aux prénoms du NASCAR, ... et si Bo et Lucky ne figurent pas sur la page du souvenir du SNB, ils restent dans mon souvenir à moi.