Citations de Dobbs (68)
Lorsque la bataille fut terminée, personne ne sut réellement qui avait gagné. Mais nous seuls savions ce que nous avions perdu...
Frank à Jesse:
Je viens avec toi mais j'aurais à coeur d'entendre tes excuses quand tu auras digéré ton erreur.
(Page 34)
Frank à Jesse:
Il va falloir qu'on parle et surtout que tu écoutes
(Page 38)
Il y a des machines qui respirent la mort, camarade !
Si nous étions encore des commissaires politiques, j'aurais peur pour toi.
Guderian, le chef d’état-major de l’armée de terre de la Wehrmacht, est atterré lorsqu’il apprend le projet de contre-offensive à l’ouest. Dégarni, le front de l’Est sera incapable d’endiguer la nouvelle offensive attendue des Soviétiques. Les pertes, très lourdes dans les deux camps, ont raccourci la guerre. […]
La défaite allemande confère le bon rôle à Staline, qui avance la date de son offensive au 12 janvier pour venir en aide aux Alliés, à la demande expresse de Churchill.
Dans ces satanés Ardennes, on n’aura jamais assez d’essence pour suivre le rythme attendu par Hitler et Manteuffel afin d’atteindre la Meuse et les autres objectifs.
Sans compter la jeunesse de certains de nos soldats et de nos pilotes…
Un cow-boy nazi... Étrange rencontre.
Chez les Blackwood, on ne fait pas les choses comme les autres ! Nous on ferme jamais notre gueule et on va toujours jusqu'au bout !
Ici, tout n'est que deuil et famine. Ils ont gagné, nous avons tout perdu.
Les monstres ne meurent jamais tant qu'on continue d'en entendre parler...
Cherchez la source de tous les ennuis possibles... Cent dollars qu'il y aura toujours un Texan coupable de quelque chose.
Comment as-tu pu déceler ma présence ?
Bien qu’étrangement tu n'aies pas d'odeur, tu respires fort...
Je n'ai pas le choix, c'est ça ? Qui l'a en ce bas monde ?
-Parlez franchement, capitaine, sans langue de bois...
-Colonel...Quoi qu'on en dise, ici, c'est une cuvette. Et si l'ennemi arrive à se pointer avec de l'artillerie, on risque de prendre une branlée.
De Castries a dit: Dien Bien Phu, c’est un peu Verdun, mais sans profondeur et sans la Voie sacrée.
Si je ne peux pas pardonner, pourquoi la vengeance ne me réjouit-elle pas ?
- Bon, je ne vois que deux solutions... A Reno, il y avait un médecin qui rafistolait discrètement... mais c'est un sacré barge.
- Et la deuxième ?
- Un bon vétérinaire...
- Putain, pas de véto, Clyde !
Le vrai courage, c'est de voir le devoir avant l'effort.
Oui. Un « échec parfait » comme je l’ai entendu dire.
Sans compter les conséquences majeures de ce revers et les retombées internationales.
Si les États-Unis avaient accepté d’aider Cuba, Castro ne se serait pas tourné vers l’union soviétique.