Après avoir participé à la bataille de Stalingrad, le commissaire politique Besko Dobrov a soigné ses blessures avant de rejoindre le service de presse et de propagande soviétique comme photographe.
Hitler tente le tout pour le tout, et a envoyé le plus gros de ses divisions blindées dans les plaines de l'Ukraine, et la grande bataille annoncée est sur le point de se tenir à Koursk.
Besko y est envoyé pour faire des photographies à la gloire de l'armée soviétique, et doit en extraire le courage et la bravoure des troupes engagées.
Le combat est à la hauteur des attentes, et ce sont des tonnes d'acier qui se rendent coup pour coup.
Mais quand Besko retrouve Ivanna, la cheffe du char maudit, "Le Dévoreur", blessée, il se doit de lui rendre la pareille. Elle l'avait en effet tiré d'un bien mauvais pas à Stalingrad.
Mais suivant son instinct, il décide contre toute attente de laisser son appareil-photo, et de prendre place avec Ivanna, surnommée Baba Yaga par beaucoup de soldats, dans son char, et de se lancer dans la mêlée à son tour.
Une aventure au coeur de l'action donc pour tous les fans de combats de chars, qui nous fait vivre, au plus près, l'enfer vécu par ces valeureux équipages.
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Un ancien commissaire politique,Besko, blessé à Stalingrad, est envoyé à Koursk pour photographier les combattants au profit de la propagande soviétique.
A travers ses aventures, on suit pas à pas ce gigantesque affrontement qui fait que cette BD est un excellent résumé de la situation.
Au fil de son reportage Besko va prendre conscience de la terrible réalité de la guerre et ses photos quittent le domaine de la propagande pour devenir plus réaliste. Témoignage des horreurs de la guerre, ces photos vont-elles le conduire au poteau d'exécution pour trahison?
Un scénario solide, bien mené avec des protagonistes crédibles. Un seul bémol pour une série dédiée aux chars de combats.
Ils sont souvent très mal dessinés.
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"Koursk, Hitler ne passera pas !" est un album dont la lecture comblera les amateurs de la seconde guerre mondiale et de blindés.
Lire la critique sur le site : BDGest
Il y a des machines qui respirent la mort, camarade !
Si nous étions encore des commissaires politiques, j'aurais peur pour toi.