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Critiques de Dodo (56)
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Les Grands Peintres - Auguste Renoir : Dans..

J'ai été déçu par cette lecture car l'histoire se limite, pratiquement, à la rivalité entre les deux modèles ayant servi à Renoir pour ses oeuvres "Danse à la ville" et "Danse à la campagne", dont, notamment Suzanne Valadon, mère de Maurice Utrillo, elle même, par la suite, peintre. Elle laisse supposer dans la BD que Renoir pourrait être, entre autres, le père de son enfant. La rencontre avec Erik Satie et la présence de Paul Durand-Ruel, Monet, Cézanne, etc. aurait pu conduire à des échanges plus riches plutôt que ces modèles, cousette et poivrote qui ne riment à rien.



Le dessin au style personnel indéniable est, cependant, trop caricatural à mon goût ou le crayonné trop prononcé. Les couleurs ont du mal à sortir du bistre et sont, bien souvent, ternes.



Je ne suis pas un grand admirateur de Renoir et ce n'est pas ce livre qui m'incitera à changer d'avis.



Une biographie à la fin de l'ouvrage intéressante.


Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Les Grands Peintres - Auguste Renoir : Dans..

Si j'ai adoré Monet, j'ai été bien moins charmée par Renoir. Tout l'album ne tourne qu'autour de la rivalité entre ses deux muses. Dommage.
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Bonjour les Indes

Vous voulez découvrir les indes, et l'austérité des guides de voyage vous freine, alors ne cherchez pas ailleurs. Cet album est pour vous.

C'est un mélange de bd, de guide touristique, d'étude sur les mœurs des touristes... Un gros mélange qui se savoure sans retenu.

Dans le prologue il est dit que cette bd est un foutoir hilare. On trouve tout, mode, cinéma, cuisine, transports, musique, religion... Alternance entre bd, long texte, images plein la page et peintures sur le vif. Le format à l'italienne donnant une certaine classe à l'ouvrage.

Cette bd est un long parcours initiatique d'une culture inconnue et troublante... à découvrir en urgence.
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Une histoire corse

En tournant les pages de cette bande dessinée, on découvre les secrets de la famille de Catherine. En Corse, il n'est pas toujours bon de déterrer le passé...



Attirée par le coup de crayon que je trouve magnifique, je me suis lancée dans cette histoire intrigante. Et bien celle-ci est à la hauteur de l'illustration!

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Une histoire corse

Années 80, Corse. Catherine rencontre par hasard un demi-frère dont elle ignorait l’existence. Il comble un manque inconscient, cette part corse que la parisienne, étudiante venant se ressourcer chez sa cousine ne connaît pas bien. Il révèle les mensonges de sa famille, de sa mère, obligée d’abandonner cet enfant d’un mariage turbulent. C’est l’histoire de la France, de la Corse, d’une famille qu’elle découvre en spectateur. Mais les secrets ne sont jamais terminés…



J’ai lu cet album car il figurait dans la sélection du prix des médiathèques du territoire où j’habite. Il s’agit d’une jolie découverte, dans un style graphique et une sensibilité générale proche du Paroles d’honneur de Leila Slimani et Laetitia Coryn. L’histoire corse en question est remarquablement construite, avec plusieurs étapes qui suivent une évolution surprenante et permettent de découvrir tout en souplesse des sujets assez différents: la mafia, les colonies et la France des années 50, les secrets de famille, la question corse et le terrorisme,… On pense lire une histoire de famille et le curseur s’ouvre rapidement sur quelque chose de plus vaste, sur le principe de la petite histoire qui intègre la grande Histoire. Le personnage principal est assez touchant, jeune fille simple découvrant la complexité des secrets de famille. Cette histoire aurait pu se passer ailleurs et aurait été tout aussi intéressante. Mais elle se passe en Corse et les spécificités de l’île (peut-être un peu caricaturale puisqu’elle ramène inévitablement la question mafieuse: la French Connection… ) rajoute un peu plus de drame. Pourtant le traitement se fait tout en douceur, sans pathos car c’est le point de vue de Catherine qui prévaut, aimant son demi-frère sans jugement malgré les ombres de sa vie. Les aller-retour temporels sont très bien balisés visuellement et se suivent sans difficulté, hormis peut-être l’évolution physique des personnages qui peut parfois être un peu compliquée.



Il en ressort un joli album dont la couverture reflète particulièrement bien cette narration douce et ombrageuse à la fois. Une belle BD que je n’attendais pas et qui, si elle nous surprend peu, est très cohérente et maîtrisée.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Le voile noir

Voilà bien un sujet casse-gueule par excellence, le Djihad. Souvent traité de façon dramatique, y instiller de l'humour et de la légèreté s'avère coton. C'est pourtant le parti pris par Dodo, et Cha, artiste outrancière qui se permet tout ou presque.



Je le confesse, à chaque album de Cha, j'ai peur, je tremble, j'y vais avec des pincettes. Et pourtant, à chaque fois, j'y trouve de réelles qualités, une bonhomie de l'horreur, une profusion de thèmes et un ton "excessif mais pas trop", qui fait passer les choses et dégonfler un peu les chapes de plomb que l'on nous sert partout.



L'histoire se tient, tout file à grande vitesse, j'ai débuté l'ensemble dans ma baignoire, or, chose rare, avant même que l'eau ne soit tiède, je me penchais déjà sur cette critique.



Ici, sans en faire un chef d'oeuvre, je trouve la proposition couillue et réussie. Nous sommes dans une comédie, un divertissement, avec, toujours en trame, un petit quelque chose en plus, un fond qui pointe ci ou là, des réflexions, des points de vue, des caricatures aussi, des facilités, des vannes malhabiles, des blagues qui font mouche, tout cela distillé avec parcimonie. C'est inégal, certes, on peut faire plus travaillé, plus habile, plus pensé, mais la pratique est fraîche, c'est un premier pas dans ce sens et je loue le côté précurseur de cette BD.



Pas déçu. Pas non plus conquis à l’extrême. Mais une réelle envie de défendre ce livre pas évident, touchant à l'actualité. On a besoin de clowns sur tous les sujets. Besoin de désacraliser l'horreur. "Le voile noir" opère ce processus. Il y a là-dedans une conviction qui me plaît.
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Les Collines rouges

Un bande dessinée très sombre, lugubre et glauque.

J'avais adoré "Suivez le bébé" il y a de nombreuses années, là je n'ai pas aimé.
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Max & Nina, tome 7 : Home, sweet home

Ce joyeux méli-mélo tournant autour de la thématique de la séparation et du "je t'aime moi non plus" propose comme une version contemporaine du théâtre de boulevard tout à fait réjouissante.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Une histoire corse

Ce roman graphique était prometteur car tous les bons ingrédients sont là.

Mais l’histoire est convenue et les personnages prévisibles. Sans surprise, le récit se déroule étayé par les bon gros clichés sur les Corses.

L’intérêt s’essouffle rapidement, et l’oubli de cet album sera tout aussi rapide.
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Une histoire corse

Une histoire de famille et de retrouvailles qui se mélange avec une histoire Corse, celle du côté sombre de l'île, de la mafia et de l'omerta, des assassinats et des attentats. Cela ressemble à du réel, celui raconté par les journaux mais aussi par les familles, mais dans le même temps on a un peu du mal à y croire, peut être du fait de la trop grande naïveté de l'héroïne associée à la trop grande bienveillance du reste des personnages. Pas grand chose à dire donc si ce n'est que les dessins sont sympas.
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Max & Nina, tome 1 : Y a de l'amour

Alors que les Humanoïdes Associés ont oublié sur leur « vieux » fonds, les enfants de collection « H » se portent bien. Après Jano, qui nous a offert une visite de son Paname, c’est au tour de Dodo et de Ben Radis de nous présenter Max et Nina. Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un album d’anciens combattants sur le retour. Les deux lascars sont au meilleur de leur forme. On retrouve avec plaisir les planches touffues de cases et de bulles nous racontant les tendres mais chaotiques débuts de la liaison entre nos deux protagonistes jusqu’au jour béni – par leurs parents – de leur mariage. A cette occasion, Nina portera une robe rappelant celle de Mireille Darc dans Le Grand blond avec une chaussure noire. Ici, pourtant, la mariée est bien en blanc !



Pour en arriver là, nos deux tourtereaux devront surpasser leurs craintes (qui n’en a pas au moment de déclarer sa flamme ?), se débarrasser d’un ex encombrant et bruyant (no comment), et surtout trouver un nid (marre de vivre dans les meubles de mémé !). Ainsi, cette histoire se déroule sur une durée qui nous permet d’apprécier amplement à la fois les personnages et la vraisemblance de leurs comportements. On sort heureux de cette lecture, heureux d’avoir assisté à cette rencontre, et heureux du bon moment passé en leur compagnie, tout en espérant les revoir bientôt.



Car Max et Nina sont nos contemporains. Au même titre que Luc Leroi ou encore Monsieur Jean, on peut se demander si ce couple n’est pas quelque peu le double de ses créateurs. Il ne s’agirait pas alors d’une chronique au jour le jour, à la mode de l’Association, mais d’une autobiographie plus distanciée ; un peu comme la pratiquent Dupuy et Berberian. L’univers est artistique – le cinéma y est bien représenté. En effet, on y croise des silhouettes connues : Denis Sire, dessinateur et membre du groupe de Dennis Twist aux côtés de Margerin, Jean-Claude Denis et, bien sûr, Dodo. Que du beau monde donc dans cet album, puisqu’on y retrouve également les Closh. Comment ? Vous ne vous souvenez pas ? Alors lisez et vous comprendrez.
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Le voile noir

C'est drôle comme une (tellement rare) bonne comédie française, de l'action, de l'humour dans un contexte qui ne prête pas forcément à sourire. Le dessin est dynamique, clair et percutant.
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Une histoire corse

De par mes origines familiales j’entretiens un rapport d’amour teinté d’agacement avec la Corse. Mais en découvrant dans ma librairie de seconde main favorite cette bande dessinée qui m’intriguait déjà depuis un petit moment, et après en avoir rapidement lu les premières pages, je me suis décidée à l’acheter. Et j’ai été très surprise par cette bande dessinée.







C’est l’histoire de Catherine, venue passer l’été comme tous les ans dans la maison familiale Corse. C’est l’histoire de sa rencontre avec Antoine une soir d’orage. C’est l’histoire d’un secret de famille gardé pendant vingt ans, un secret qui pourrait bien être l’arbre qui cache la forêt. C’est l’histoire de la Corse dans les années 70, de ses vendettas, de son nationalisme et de son omertà qui détruit tout sur son passage et déchire les familles.







Là où je m’attendais à une histoire de famille et une bande dessinée peut être un peu humoristique sur la Corse et sa douceur de vivre estivale, je me suis en réalité retrouvée avec entre les mains un petit morceau d’histoire de cette île que je connais pourtant bien. Un morceau d’histoire que l’on ne raconte pas pour ne pas réveiller les fantômes du passé et les mauvais souvenirs.







J’ai vraiment aimé la manière dont Dodo qui insole certains de ses souvenirs d’enfance, et retransmet dans son scénario à la fois les petites et les grandes histoires de l’île de beauté. Certains détails de cette histoire ont trouvé en moi un écho particulièrement personnel car ils font partie de mes propre souvenirs d’enfance. Mais j’ai également apprécié la manière détachée avec laquelle l’auteur nous raconte le côté sombre de la Corse sans jamais clouer qui que ce soit au pilori ou offrir une vision manichéenne de la situation.







Il y a une certaine pudeur dans cette histoire, inspirée de faits réels. Une pudeur par respect pour les familles qui ont vécu cette violence. Une pudeur dans le choix des scènes qui sont montrées ou non, mais également dans le dessin de Glen Chapron, crayonné et doux, qui illustre sans jamais verser ni dans le pathos, ni dans le trash ou le voyeurisme.







J’ai aimé la manière dont l’histoire est montée, entre réalité et flashbacks, le tout souligné par un jeu de couleur dans le dessin, couleur pour le présent, sépia pour le passé. Aimé aussi la manière dont à travers divers souvenirs la lumière se fait petit à petit sur les faits, ce qui s’est réellement passé et comment le passé est parfois modifié pour donner le beau rôle à quelqu’un, ou au contraire pour le diaboliser.







J’ai été bouleversée, plus que prévu et plus que je ne l’avais imaginé, par cette histoire qui fait écho, sans vraiment en faire partie, à mon histoire, à celle de l’île de mon enfance, de mes vacances, de mes racines. Touchée par cette tragédie ordinaire, vite oubliée par le grand public mais à jamais gravée dans la mémoire de ceux qu’elle touche de près.







Une histoire Corse est une bande dessinée pour les initiés des us et coutumes de l’île, pour les familiers de la petite et la grande histoire de ces cinquante dernières années, et pour tous ceux qui aiment les fresques familiales, ou comprendre comment l’escalade de la violence mène au pire et comment les secrets peuvent détruire les familles à jamais, dans tous les sens du terme. Une moment de lecture doux-amer mais qui m’a énormément appris.
Lien : http://mabibliothequerose.bl..
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Bonjour les Indes

Un carnet de voyage illustré et scénarisé à trois mains qui restitue parfaitement les impressions, les goûts, les odeurs et les couleurs de l'Inde. De quoi voyager depuis son canapé en découvrant par exemple les modes de transport que l'on trouve dans ce pays, ses plus beaux monuments, les rites et coutumes des habitants...Avec de très belles illustrations et un ton décalé.
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Une histoire corse

En tout premier lieu, et c'est ce qui me saute le plus directement aux yeux, c'est le dessin de la BD. Une merveille graphique, à mes yeux, totalement dans mon style. Je reconnais des petits airs de Pedrosa de ci, de là, mais le graphisme à une patte unique et personnelle. Le rendu crayonné, le trait charbonneux, les couleurs magnifiquement rendue ... Non, réellement j'ai trouvé ce dessin impeccable. Une vraie réussite qui vaut déjà le coup d’œil.



Après, cela n'est pas suffisant à en faire une bonne œuvre, et je dois dire que le scénario m'a bien plu aussi. L'histoire tourne autour des secrets de familles, ces fameux secrets bien gardés par les gens pendant des années. Et bien que ce genre d'histoire ne m'attire pas plus que cela, j'ai bien aimé la façon dont cela permet de faire un certain portrait de la Corse. Pas le plus fidèle ou le plus exact, mais un portrait soulignant quelques côtés derrière la façade de "L'île de beauté". Avec un petit rappel de ces fameuses routes maritimes qui ne transportent pas que des humains.



L'histoire a quelques rebondissements, et un basculement progressif d'un début mélodramatique et émotionnel vers une fin plus sombre. Mais j'ai beaucoup aimé découvrir ces personnages, et je les ai trouvé touchants dans leurs relations et leurs histoires. Certes, j'ai senti venir quelques unes des révélations finales, mais ce n'est pas la chute qui compte. C'est cette progression dans les secrets de famille et les non-dits qui plait beaucoup.

Une histoire que je recommande, servie par un dessin qui me tape décidément dans l’œil ! Vraiment, je suis conquis.
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Le voile noir

"Pauline a disparu depuis son départ en Syrakie pour rejoindre ces crétins du Grand Khalifat" de suite, j'ai compris que cette bande dessinée traiterait des problématiques touchant des milliers de jeunes en Europe, celles et ceux qui rejoignent l'état islamique.



Le dessin est coloré, très appréciable et permet a l'histoire dure et pourtant très actuelle, de rire de la situation avec une belle forme de caricature.



C'est le premier roman graphique que je lis de Cha et j'ai pu découvrir le style de Dodo par la même occasion, et j'ai aimé ça !



L'histoire se lit facilement, l'histoire est simple a suivre et tout file à grande vitesse. Et c'est franchement reussie.



Parler de la place de la femme dans le djihad, les missions de destruction inutiles des soldats endoctriné, les blagues sur la bêtise des hommes qui se battent font un melange parfait dans cet unique ouvrage.



Seul bémol pour moi, la fin. On s'attend à cette fin comme pas possible : Les protagonistes sauvées par l'armée des femmes libres, car, comme par hasard, Tata Alice s'est battu pour le droits des femmes. C'était evident.



Mais a part ça, tout est nickel. J'ai trouvé cette bande dessinée en occasion, et franchement j'aurais pu l'acheter en librairie car elle se lit rapidement.

Néanmoins, je ne suis ni déçu, ni conquis par ce cocktail dessinée, mais elle peut être appréciée par les lecteurs avertis et ceux qui debutent.



A vous de vous faire un avis sur cette bande dessinée pleines d'actualité encore en 2022.
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Une histoire corse

Le réveil de Dodo



Une jeune femme passe ses vacances en Corse, dans sa famille maternelle. Un jour d'orage, pour échapper à la pluie, elle accepte l'offre d'un inconnu, de la ramener chez elle. Au hasard de la conversation, le ciel lui tombe sur la tête.



Qu'elle est loin la Dodo des Closh ou de Max et Nina (fortement conseillés) !



Ici, elle raconte une sombre histoire de famille qui rejoint l'histoire trouble de la délinquance corse, des trafics indochinois à la French connection.

Ce récit émouvant est très bien mis en valeur par le dessin délicat et expressif de Glen Chapron.

L'histoire rappellera forcément quelque chose à un degré ou un autre, à tous les Corses, tant l'ambiance est retranscrite avec justesse, expressions "locales" à l'appui.



Seules réserves : il ne faut pas manquer la date qui apparait discrètement (trop) sur la première case, au risque d'être un peu déboussolé (ça m'est arrivé) et je ne suis pas persuadé de la bonne place de l'accent tonique sur les nombreux "capitu" (moi je l'aurais plutôt mis sur le i).

A noter par ailleurs au début, un échange assez surréaliste.

ATTENTION SPOILER--------

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Paris skouille t'il ?

Le premier de la série et pas le meilleur. Les balbutiements des clash avec des blagues assez lourdes et des personnages de Tintin disséminés un peu partout. Heureusement les suivants s'améliorent rapidement.
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Le voile noir

Gina travaille dans une ONG. Lorsqu'elle apprend que la filleule de sa tante, Pauline, s'est converti et radicalisée et qu'elle est parti en Syrakie, elle se doit d'aller la sauver. Pour ce faire, elle se fait passer pour une jeune femme fraichement converti et est contactée par des terroristes.



Quoi penser de cette BD ?

Le sujet est d'actualité et j'imagine que plus on parlera de celui-ci, et moins de jeunes femmes se feront manipuler...

Maintenant, est-ce que cette BD tiens la route et fait le poids face à ce sujet relativement sensible ?

Mon sentiment est plutôt mitigé. Le dessin est très expressif, lisible, simple et humoristique.

Pour le traitement du sujet, c'est là où je ne sais pas quoi penser. Le sujet est renseigné, certes, mais tout se passe vite, trop vite. L'intrigue m'est parût survolée. Toutes les étapes de l'embrigadement sont présentés mais rien ne se passe en dehors de cela. Pas de rebondissement, pas de surprise et beaucoup de caricatures avec un humour assez gros, presque forcé.

Cela dit, la BD mérite au moins d'exister mais sans véritable accroche pour moi, cette dernière accrochera-t-elle quelqu'un d'autre ? Je reste un peu septique.
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Bonjour les Indes

Tout d'abord, ce livre illustré a un format original. La qualité des dessins nous entraine vite dans une belle observation de l'Inde par Tramber et Dodo Ben Radis. Pleins d'humour et de finesse, on prend une bonne baffe et aussi une tranche de rigolade. Sorti en 1991, il n'est plus facile à trouver.
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