Citations de Marie H-J. (278)
-Attends, attends … laisse-moi encore quelques minutes pour savourer mon sixième sens : je suis certain que vous avez baisé. Certain qu’il a grogné en mode ours et que tu as trouvé ça tellement mignon…
Je n’ai pas envie de ne représenter qu’une parenthèse de sa vie, d’être oublié si facilement, de m’évaporer de son univers comme ça.
Par je ne sais quel miracle, ou malchance, il s’est implanté en moi et j’en suis devenu accro. Je sais que lorsque nous nous séparerons, de gré ou de force, alors ce sera compliqué.
Je déteste tomber amoureux de lui et ça me flingue.
Je n’ai pas envie de ne représenter qu’une parenthèse de sa vie, d’être oublié si facilement, de m’évaporer de son univers comme ça.
Par je ne sais quel miracle, ou malchance, il s’est implanté en moi et j’en suis devenu accro. Je sais que lorsque nous nous séparerons, de gré ou de force, alors ce sera compliqué.
Je déteste tomber amoureux de lui et ça me flingue.
C’est une force plus puissante que ma volonté qui me pousse vers lui. Même s’il n’a pas de rang intéressant, ici ou ailleurs. Même s’il n’obéit à aucune règle. Même s’il me paraît fou la moitié du temps. Il porte en lui ce vent de liberté qui me manque. Il m’étonne sans cesse par son discernement. Il me fait rire. Je ne sais pas quoi dire de plus, ce n’est même pas explicable. C’est lui, c’est tout. J’ai besoin de savoir, de voir, de tenter. J’éprouve ce sentiment que, si je ne vais pas vérifier par moi-même ce que je pressens, je le regretterai toute ma vie.
Rhys ressemble à un nuage annonçant l'orage. Menaçant, attirant mais insaisissable.
J'ai besoin d'air, de hurler. De respirer la noirceur pour la gerber sur une toile.
Et enfin... je m'évapore. Je disparais si loin que peut-être, je ne reviendrais jamais .
Je t'ai aimé dans notre chaos, j'ai maintenant envie de t'adorer dans la paix.
-Rhys-
Je crois que je pourrais accepter n'importe quoi venant de lui.
Mon roc.
Mon point faible.
Mon pire ami.
Mon meilleur ennemi.
Mon merveilleux enfer.
Mon douloureux paradis.
-Jordan-
À cet instant, je ne cherche ni une femme ni un homme, mais la personne qui me connaît si bien. Qui m'attire tant parce qu'elle me galvanise, me réveille, me calme et surtout sait me tenir en vie depuis toujours.
-Rhys-
Et parce qu'il ne prononce aucun mot, qu'il accepte ma douleur au point de la recevoir sur sa peau, je comprends qu'il est le seul. Le seul à me connaître. Le seul à pouvoir accepter. Le seul à qui j'ai envie de confier le peu de moi qui reste vivant et qui espère encore.
-Rhys-
Alors mec, femme, je m'en tape, finalement. Il peut bien être ce que qu'il veut, moi, j'ai besoin de lui pour transcender ce qui anime la moindre parcelle de mon être.
J'ai besoin de lui pour me ranimer, me ressusciter.
J'ai besoin de lui, parce que c'est lui.
-Rhys-
Je ne peux pas supporter ça. Je ne peux pas le laisser me rejoindre car si lui ne brille plus, alors je sombrerai définitivement. J'ai besoin qu'il me déteste et ne me comprenne pas. Besoin qu'il me juge et me gonfle sans arrêt. Besoin qu'il me secoue et m'insupporte sans cesse. Il est le seul qui puisse allumer en moi ce désir morbide de le haïr pour survivre.
-Rhys-
J'arrive à lire en elle tout ce que je ne comprenais pas à une époque. Cette révolte silencieuse qui n'arrive pas à s'affranchir d'une cage de bonnes manières et d'impuissance. Ce hurlement intérieur qui jamais n'atteint les lèvres et s'étouffe quelque part en calcinant tout sur son passage. L'envie de tout déconstruire pour recommencer à zéro.
Et l'envie, surtout de disparaître. D'arrêter de supporter la douleur...
-Jordan-
J'arrive à lire en elle tout ce que je ne comprenais pas à une époque. Cette révolte silencieuse qui n'arrive pas à s'affranchir d'une cage de bonnes manières et d'impuissance. Ce hurlement intérieur qui jamais n'atteint les lèvres et s'étouffe quelque part en calcinant tout sur son passage. L'envie de tout déconstruire pour recommencer à zéro.
Et l'envie, surtout de disparaître. D'arrêter de supporter la douleur...
-Jordan-
Au milieu du vacarme émanant de la route qui nous encercle, je le sens. Sa vie qui bat à une cadence soutenue. Son souffle contre mes cheveux. Ce corps d'où s'échappe une aura de protection étourdissante.
-Jordan-
J'ai besoin de lui. J'ai besoin de le haïr lorsque la pression m'étouffe. Besoin de ses paroles acides pour m'y raccrocher lorsqu'il n'existe personne à blâmer. Besoin de le maudire lui au lieu du destin. (...)
Je crois que j'ai besoin de sa solidité et se toute cette rage qu'il porte en lui. Rhys à toujours été un roc au milieu de mes frayeurs. Même si je me plais à détester ce foutu roc.
-Jordan-
Je crois qu’entre nous, la haine est devenue alchimique. Plus besoin de véritables raisons, le simple fait qu’il soit lui, et moi, moi, suffit à expliquer tout le reste. C’en est presque devenu confortable. Addictif. Positivement malsain.
Mais, tu sais, Cam, parfois, la vie ne nous offre pas exactement ce que l’on attend d’elle. Le bonheur, ce n’est pas gratuit, je l’ai toujours pensé. Et plus le prix est élevé, plus la satisfaction est grande.
Après avoir vécu le pire, que te reste-t-il à craindre ?