Citations de Marie H-J. (278)
(...) je ne sais plus quelle attitude adopter. S'il n'avait pas été mon boss, je saurais. S'il n'avait été que mon boss, je saurais aussi. Mais il est les deux, ou peut-être aucun des deux, peut-être un savant mélange... dans tous les cas, je ne sais plus.
En tout cas, une chose est certaine, il croit qu'il ne connaît pas les principes du flirt, moi je crois l'inverse. En tout cas, sur moi, sa non-technique fonctionne très bien.
En tout cas, une chose est certaine, il croit qu'il ne connaît pas les principes du flirt, moi je crois l'inverse. En tout cas, sur moi, sa non-technique fonctionne très bien.
Il est mon nouvel univers. Celui qui m’attendait. Et j’espère simplement constituer le centre du sien. Celui qu’il cherchait peut-être en arrivant jusqu’à moi.
Lorsque tout se brise, le plus compliqué, je crois, est de ne pas s'écorcher les pieds en marchant sur les débris.
Nous nous retrouvons dans un baiser...
Je dépose définitivement mes armes à ses pieds.
- CLARA, ne mange pas le sable, bon sang ! Elle ?
Je crois que ses parents ne se sont pas foulés dans les finitions le jour de sa création. Cette môme est pathétiquement sous-équipé niveau cérébral.
- Sawyer m’a fait du mal, aussi. Alors je comprends. Lorsque tout se brise, le plus compliqué, je crois, est de ne pas s’écorcher les pieds en marchant sur les débris.
J'ai l'impression qu'on m'arrache mon âme à coups de griffes si acérées que mon esprit se vide de son sang dans une complainte déchirante.
Il parait que chacun porte sa croix dans la vie. Pour ma part, je dirais que l'expression ne s'est sans doute jamais révélée aussi vraie. Moi, depuis mes quatorze ans, je porte La Croix. Et on ne peut pas dire que cela soit une partie de plaisir. Loin de là.
Peut-être que certaines personnes n'abandonnent pas les cœurs qu'ils ont conquis, après tout.
Peut-être que de toutes les secondes qui viennent de se dérouler, c’est exactement celle-ci que je préfère. Celle qui me renverse. M’anéantit. Lorsqu’il pose une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes, avec pudeur et timidité. Avec son cœur, je crois.
Sa main dans la mienne. En fait, est-ce qu’à un moment de nos vies, depuis notre rencontre, l’un de nous deux à vraiment lâché celle de l’autre ?
Un jour, l'étau de ce regard trop acéré m'a pris au piège et je crois que je n'ai jamais réussi à m'en défaire, réellement.
On se moque pas mal de tes échecs. Le tout c'est la manière dont tu vas t'en servir pour avancer.
Même si tu n'es pas le bout-en-train auquel je m'attendais, tu es... tu es Andrew Robin. Et Andrew Robin est plus fort que ça.
Me perdre avec lui, n'importe où, n'importe comment, c'est exactement ce que j'esperais.
La royale caresse de l’obscurité comme seule confidente, unique remède à mon âme défaillante.
- Et dans leur quotidien, ils sont juste... des hommes.
- Ah ? Même lui, là- bas, avec le pentagramme tatoué sur le front ? Ou celui- ci, avec sa crête rouge et la chaîne pendant de sa lèvre ?
Mécaniquement, je lève les yeux vers la scène pour y apercevoir un type, blond, moulé dans un pantalon de cuir, son torse nu éclairé par quelques projecteurs. Axel White. Il approche du bord et attrape le micro devant lui dans une attitude féline, langoureuse et on ne peut plus sexy.