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Citations de Voltaire (2229)


 Voltaire
Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes, et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant?
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 Voltaire
Le seul moyen d'obliger les hommes à dire du bien de nous, c'est d'en faire.
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 Voltaire
Les hommes sont des machines que la coutume pousse, comme le vent fait tourner les ailes d'un moulin.

Correspondance, à Monsieur le marquis d'Argence de Dirac, 28 avril 1760
superbe citation avec Voltaire on n'est jamais déçu !!!!
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 Voltaire
La superstition est à la religion ce que l'astrologie est à l'astronomie, la fille très folle d'une mère très sage.
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S'il n'y avait en Angleterre qu'une religion, le despotisme serait à craindre ; s'il y en avait deux, elles se couperaient la gorge ; mais il y en a trente, et elles vivent en paix et heureuses.
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 Voltaire
Le véritable esprit sait se plier à tout:
On ne vit qu'à demi quand on n'a qu'un seul goût.

Épîtres, LVIII, A un Ministre d’État sur l'encouragement des arts (1740)
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 Voltaire
La lecture agrandit l'âme, et un ami éclairé la console.
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- Ô Pangloss ! s’écria Candide, tu n’avais pas deviné cette abomination ; c’en est fait, il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme.
- Qu’est-ce qu’optimisme ? disait Cacambo.
- Hélas ! dit Candide, c’est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal.

Chapitre XIX : CE QUI ARRIVA À SURINAM, ET COMMENT CANDIDE FIT CONNAISSANCE AVEC MARTIN.
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 Voltaire
A la cour, mon fils, l'art le plus nécessaire
N'est pas de bien parler, mais de savoir se taire.
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La plupart des monuments, quand ils sont érigés longtemps après l’action, ne prouvent que des erreurs consacrées.
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 Voltaire
Un lecteur en use avec les livres comme un citoyen avec les hommes : on ne vit pas avec tous ses contemporains ; on choisit quelques amis
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 Voltaire
Les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié.
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 Voltaire
L'écriture est la peinture de la voix....
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 Voltaire
Le paradis terrestre est là où je suis.
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LUCIEN. : — Voilà d’étranges hommes que les barbares avec qui vous
viviez ! De mon temps, les Gètes et les Massagètes étaient plus doux et plus raisonnables. Et quelle était donc votre profession dans l’horrible pays que vous habitiez ?
ÉRASME. : — J’étais moine hollandais.
LUCIEN. : — Moine ! Quelle est cette profession-là ?
ÉRASME. : — C’est celle de n’en avoir aucune, de s’engager par un serment inviolable à être inutile au genre humain, à être absurde et esclave, et à vivre aux dépens d’autrui.
LUCIEN. : — Voilà un bien vilain métier ! Comment avec tant d’esprit aviez-vous pu embrasser un état qui déshonore la nature humaine ? Passe encore pour vivre aux dépens d’autrui : mais faire vœu de n’avoir pas le sens commun et de perdre sa liberté !
ÉRASME. : — C’est qu’étant fort jeune, et n’ayant ni parents ni amis, je
me laissai séduire par des gueux qui cherchaient à augmenter le nombre de leurs semblables.
LUCIEN. : — Quoi ! Il y avait beaucoup d’hommes de cette espèce ?
ÉRASME. : — Ils étaient en Europe environ six à sept cent mille.
LUCIEN. : — Juste ciel ! Le monde est donc devenu bien sot et bien barbare depuis que je l’ai quitté ! Horace l’avait bien dit, que tout irait en empirant :
Prigeniem vitiosiorem
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Je voulus cent fois me tuer, mais j’aimais encore la vie. Cette faiblesse ridicule est peut-être un de nos penchants les plus funestes : car y a-t-il rien de plus sot que de vouloir porter continuellement un fardeau qu’on veut toujours jeter par terre ; d’avoir son être en horreur, et de tenir à son être ; enfin de caresser le serpent qui nous dévore, jusqu’à ce qu’il nous ait mangé le cœur ?

Chapitre XII : SUITE DES MALHEURS DE LA VIEILLE.
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 Voltaire
"L'art de la médecine consiste à distraire le malade pendant que la nature le guérit."
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J’allai en Hollande, où j’espérais trouver plus de tranquillité chez des peuples plus flegmatiques. On coupait la tête à un vieillard vénérable lorsque j’arrivai à La Haye. C’était la tête chauve du premier ministre Barneveldt, l’homme qui avait le mieux mérité de la république. Touché de pitié, je demandai quel était son crime, et s’il avait trahi l’État. « Il a fait bien pis, me répondit un prédicant à manteau noir ; c’est un homme qui croit que l’on peut se sauver par les bonnes œuvres aussi bien que par la foi. Vous sentez bien que, si de telles opinions s’établissaient, une république ne pourrait subsister, et qu’il faut des lois sévères pour réprimer de si scandaleuses horreurs. » Un profond politique du pays me dit en soupirant : « Hélas ! monsieur, le bon temps ne durera pas toujours ; ce n’est que par hasard que ce peuple est si zélé ; le fond de son caractère est porté au dogme abominable de la tolérance, un jour il y viendra : cela fait frémir. »
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 Voltaire
L'art de la médecine consiste à distraire le malade pendant que la nature le guérit.
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Les chagrins secrets sont encore plus cruels que les misères publiques.
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