Agnès Laroche

- Un nom de marquise pour un cochon, drôle d'idée.
- Hein ? Quelle marquise ? Mais non, Pompadour, c'est un rappeur !

C'est un micro-cochon, un mâle. Les gens en adoptent de plus en plus, il paraît, sans bien savoir à quoi ils s'engagent.

Il faudra les choyer, mais veiller à ne pas trop s’y attacher.

Arno, un peu gêner soudain se baisse pour renouer son lacet d’une basket... Trop brusque ,il se cogne au lampadaire qui faucille et heurte un gros pot a crayons posé sur le bureau . Le pot bascule et tombe sur le clavier . Aussitôt sur l’écran ,une nouvelle page s’affiche votre choix vient d’être communiqué au système intégré de votre e-freind . Profitez bien de l’option Oméga .

« Je désapprouve leurs méthodes, mais je suis d’accord avec leurs revendications. Les e-friends, ces robots humanoïdes dont il est si facile de prendre le contrôle, sont nuisibles. Nous, jeunes ou adultes, n’avons pas besoin de faux amis, rien ne remplacera jamais de vraies personnes. Ces robots presque humains prendront un jour trop de place dans nos vies. Pire encore, ils pourront être exploités par des personnes malfaisantes qui les manipuleront pour nous dominer.
Elle jette un coup d’œil rapide à 22, puis :
C’est ce que Better World a malheureusement démontré, aux dépens de ma famille. Mais comme eux, je réclame l’arrête immédiat de leur production, et de leur commercialisation ».
p. 187

Citation choisie par Eren

Je suis trop jeune pour m'en souvenir, mais il paraît qu'avant les gens dépensaient l'eau sans compter, comme l'air qu'on respire. Je n'arrive même pas à l'imaginer.

Je suis trop jeune pour m'en souvenir, mais il paraît qu'avant les gens dépensaient l'eau sans compter, comme l'air qu'on respire. Je n'arrive même pas à l'imaginer.

-Tu sais, quand on tombe de vélo, il faut se remettre en selle, elle insiste.

Les vivants avec les vivants, les morts avec les morts.

Il semblait partagé entre l'envie de fuir et celle de goûter au festin que je lui proposais.

"Un torrent de chagrin emporte tout, qui malmène mon cœur et mon corps, me fait hoqueter, tousser, m'étrangler, gémir, comme si je me noyais."

Plus tard, je serai détective.
L'envie m'est venue à force de lire des romans policiers dont les héros résolvent des mystères, attrapent des voleurs, réparent des injustices et sauvent des vies.

"Oh, du bric-à-brac, rien d'intéressant"

Citation 1 :
Une fois devant la porte verte, le souffle suspendu, j'ai posé la main sur la poignée et je l'ai tournée doucement. Pfff, elle était fermée, archi-fermée. J'ai froncé les sourcils. Pourquoi les Pénibles avaient-ils besoin de garder sous clé du "bric à brac", rien d'intéressant ? Bizarre, non ? Hyper louche même !

Citation 2 :
Je me suis décidée juste après le dîner : tout à l'heure, quand monsieur, et madame Pénible dormiraient, j'irais ouvrir la porte mystérieuse, la porte verte.

"Tendue, j’ai fait demi-tour en marchant comme une somnambule lorsque, soudain, j’ai poussé un hurlement. Mme Pénible venait de surgir comme un hibou assoiffé se sang prêt à se jeter sur sa proie." (p.14) [C.B.]

Citation 1
Une fois devant la porte verte, le souffle suspendu, j'ai posé la main sur la poignée et je l'ai tournée doucement. Pfff, elle était fermée, archi-fermée. J'ai froncé les sourcils. Pourquoi les Pénibles avaient-ils besoin de garder sous clé du "bric à brac", rien d'intéressant ? Bizarre, non ? Hyper louche même !

Citation 2
Je me suis décidée juste après le dîner : tout à l'heure, quand monsieur et madame Pénible dormiraient, j'irais ouvrir la porte mystérieuse, la porte verte.

Elle préparait le pire repas du monde des légumes.

Alors pour la première fois depuis mon arrivée, je leur ai souri, mais pas longtemps, parce que monsieur Pénible a aussitôt ajouté:

-Un peu de salade, ça serait bien, avec le gratin de pâtes, non?

J'ai les larmes aux yeux, je ne veux pas qu'il voie ça. Je me trouve con d'avoir mal à ce point alors qu'on va peut-être mourir dans d'atroces souffrances, pulvérisés par le virus que nous inoculeront les Xandériens.

Jeanne nous avait raconté que, pour les Argentins, le tango représente une métaphore de la vie, une tragi-comédie qui dure le temps d'un morceau, trois minutes.
Toute une vie en trois minutes, je trouvais ça court.
J'espérais que notre histoire, à Mehdi et moi, durerait plus longtemps qu'un tango.