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Critiques de Alain Mounier (205)
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L'ambulance 13, Tome 3 : Les braves gens

Le Lieutenant Bouteloup est envoyé avec l'Ambulance 13 sur le front de Verdun. Une grande bataille engendre les premiers morts dans l'équipe du Louis Charles...ils vivent tous un enfer.

A Paris, Emilie rencontre Marie Curie et se lance de la création d'un véhicule avec le système de la radiographie afin d'apporter une aide technologique aux hommes sur le front.

Enfin, la religieuse Isabelle de Fredon est accusée d'être une espionne et elle est enfermée dans un cachot le temps de son procès.

Un dessin très réussi
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Il faut lire cette BD par curiosité pour les œuvres de Bernard Werber mais il ne faut pas en attendre plus.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
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L'ambulance 13, tome 5 : Les plumes de fer

Il semblerait que l'auteur veuille traiter un maximum de sujets pour couvrir les spécificités de la grande guerre.

La qualité demeure. J'apprécie particulièrement la manière d'aborder les sujets avec la volonté de leur donner du relief tout en respectant l'Histoire.
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L'ambulance 13, tome 5 : Les plumes de fer

Séries de 5 belles BD sur la première guerre mondiale, je préfère poster une critique globale sur le dernier volume afin d’évite les redites au sujet des personnages.

L’horreur quand on est chirurgien sur le front, dans la gadoue des tranchées, dans le no man’s land après les combats. L’horreur des tirs des balles ou des obus, amis ou ennemis.

Première ‘’guerre moderne’’ à faire autant de dégâts, cette BD illustre la mise en œuvre du service de santé des armées, qui se met vraiment en place pendant cette période.

Dans ces livres, se mêlent la petite et la grande histoire, la vie des soldats au quotidien sur fond de discussions politique à l’arrière, autour d’un personnage central, l’aspirant Bouteloup. Fils de famille de la haute société, son père est député, entre autre, et avec des ennemis, il se retrouve pris entre sa volonté de faire sa guerre sur le terrain près des hommes en tant que chirurgien, et la volonté de son père de faire de lui un pion.

On côtoie l’amour, l’horreur, la trahison…et Marie Curie.

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L'ambulance 13, Tome 4 : Des morts sans nom

"Sainte mère de Dieu, où est passé votre fils ?", telle est la question tandis que la bataille de Verdun fait rage, que les morts s'accumulent dans les tranchées et qu'Isabelle de Ferlon attend le peloton d'exécution qui doit mettre fin à sa jeune vie : "C'est mieux de mourir un matin de pluie. On a moins de regrets.".

Isabelle a-t-elle peur à la pensée de mourir exécutée ? Sans doute, mais elle se dit aussi que ce n'est rien comparé à la mort qui attend les soldats dans les tranchées boueuses : "Il n'y a pas de vrai courage sans peur véritable.".

Des morts, il ne va presque y avoir que ça dans ce nouveau tome qui s'avère sombre, très sombre.



Après l'entrée en jeu de Marie Curie dans le tome précédent, cette fois-ci elle se rend sur le front avec sa machine et c'est l'occasion pour la jeune et dégourdie Emilie de revoir son sous-lieutenant Bouteloup.

Et c'est là que je me rends compte que je n'ai jamais abordé cette seconde figure féminine qui entoure le personnage principal, Emilie, la jeune fille pauvre qui se débrouille dans la vie, qui n'a pas sa langue dans sa poche et qui n'a aucune illusion quant à son amour non réciproque pour ce jeune homme de la haute société.

Emilie, c'est aussi la femme à la morale irréprochable qui sait si bien mettre leurs torts à la face des hommes, mais je le pressens, même si elle est droite dans ses bottes comme on dit, elle ne fera pas partie du clan des vainqueurs.

Disparition également de la première figure féminine entourant le sous-lieutenant Bouteloup, Isabelle de Ferlon disparaît, sacrifiée sur l'autel de la politique.

Alors que reste-t-il dans cette guerre ?

L'entente entre les hommes de l'Ambulance 13, qui va pourtant être mise à mal par la dureté des combats, et celle plus générale des soldats sur le front.

Première fois que les soldats des colonies intégrés aux bataillons français apparaissent dans l'histoire, et un constat : le racisme vis-à-vis d'eux des dirigeants des bataillons, mais la mort elle ne fait pas de distinction : "C'est sûr, la mort elle s'en fout. Arabe, juif, nègre, socialiste, elle met tout le monde d'accord.".

Un autre constat est fait également en fin de volume, les soldats gênent des civils restés à l'arrière qui aimeraient bien que l'on arrête de parler d'eux, de les glorifier, sans doute parce que cela leur renvoie à leur condition d'hommes plus en âge ou pas en capacité de partir combattre : "Faites donc attention, jeune homme. Ce n'est pas parce que vous portez un uniforme que vous pouvez prendre toute la place ! Vous, les poilus, vous devenez encombrants, vous savez ?".

Je ressors de cette lecture bouleversée et triste, avec un monde qui ne sait plus qui le dirige ni où il va, simplement que les morts s'accumulent et que bientôt toute la terre ne sera qu'un vaste champ de ruines.

Un sentiment sans doute partagé par le personnage principal qui a vu en peu de temps disparaître des personnes auxquelles il s'était attaché, des personnes de valeur connues par le passé qui étaient brillantes et promises à un bel avenir et dont le destin s'est brutalement arrêté dans une tranchée de Verdun ou fusillé par un peloton d'exécution.

Une nouvelle fois, le scénario est de grande qualité, tout comme les dialogues; et les dessins sont irréprochables et mettent en valeur de façon saisissante la dureté et l'horreur des combats.

Il y a des têtes qui volent, des membres arrachés, du sang, un ciel gris qui crache une pluie discontinue qui transforme en bourbier la moindre parcelle de terre.

Parce que c'était ça les tranchées, parce que c'était ça la Première Guerre Mondiale.



"Des morts sans nom" est un quatrième tome au titre tristement évocateur de l'envers de celle sale guerre qui clôt avec brio le deuxième cycle de "L'Ambulance 13", une série littéraire de qualité qui s'attache à retracer le quotidien des soldats de la Première Guerre Mondiale, une lecture de circonstance en cette période de commémoration.
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L'ambulance 13, Tome 1 : Croix de sang

Nous sommes en janvier 1916, cela fait plus d'un an et demi que la guerre a commencé et nul ne sait quand elle finira.

Ce que tout le monde ou presque sait en tout cas, c'est qu'elle est meurtrière et qu'elle laisse des deux côtés des milliers de morts, de mutilés, de blessés.

C'est ce que va découvrir Louis-Charles Bouteloup, jeune diplômé de la faculté de médecine et sous-lieutenant.

Ce qu'il va trouver sur le front, il ne pouvait pas l'imaginer, par contre il se doutait bien que la position haut placée de son père lui attirerait des ennemis, un père avec qui il ne se s'entend pas et qui tient vis-à-vis des soldats des propos de haut gradé n'ayant jamais mis les pieds dans l'enfer des tranchées : "Il y a un député qui dit là-d'dans que les balles ne causent pas de réel délabrement des chairs et que les blessés peuvent se rendre à pied à l'hosto après s'être fait moucher.".



Cette bande dessinée s'attache à retracer le parcours d'un chirurgien dans les tranchées pendant la Première Guerre Mondiale, un homme qui va se battre, désobéir, pour essayer d'apporter le plus d'humanité et de secours dans ces tranchées où les plaies physiques côtoient celles morales.

Louis aurait pu faire jouer les relations de son père et être un planqué, mais il décide d'aller au combat, de n'être qu'un soldat parmi les autres, à la différence près qu'il est un soldat aux doigts d'or et dont le savoir va lui permettre de sauver des vies humaines, de réparer des chairs brisées, éclatées, pulvérisées par la violence des armes utilisées.

Louis va découvrir un monde d'horreur : "Louis est maintenant debout devant les barbelés, en pleine vue des allemands. Il découvre ce qu'un combattant de première ligne n'envisage que rarement de toute sa hauteur. Le champ de bataille ! C'est la vision privilégiée du maître dominant sa classe, celle de l'orateur à l'assemblée nationale. Mais Louis n'a plus vraiment peur. Il est au-delà de ce sentiment ... il s'attend tellement à mourir, là, maintenant, que chaque seconde gagnée est une vie entière !", et va aussi se découvrir.

Il va aussi croiser la troublante sœur Isabelle, une jeune femme qui ne le laissera pas indifférent, la réciproque étant vraie, mais elle vient de prononcer ses vœux, et elle est ici en tant qu'infirmière pour l'assister dans sa tâche quotidienne de blesser, soigner, amputer parfois.

En choisissant le personnage de Louis Bouteloup, les auteurs immergent à la fois leur personnage et le lecteur dans le quotidien des tranchées, au milieu des soldats.

Il y a ainsi une proximité qui se crée, et c'est l'un des atouts de cette bande dessinée, qui met également en avant les relations qui se nouent entre les personnages, les relations de confiance et d'autorité, les caractères qui se dessinent dans l'affrontement : les courageux, les lâches, ceux que l'on admire et ceux que l'on déteste.

L'horreur des combats n'est pas retranscrite qu'à l'image, elle l'est aussi dans la narration : "Dans leur dos, tandis qu'ils tanguent et roulent de trous en fossés et de ravines en talus, la bataille s'intensifie. L'artillerie s'est mise de la partie, et des obus de tous calibres retournent la terre, exhument des morts et ensevelissent des vivants. Le ciel est en feu. Il fait jour comme en enfer.".

Et c'est là que réside l'autre atout incontestable de cette série : le scénario déploie une narration importante et beaucoup de dialogues qui sont tous de grande qualité, car ils sont écrits à l'image de chaque personnage, et si le châtié de la noblesse s'y retrouve, le langage propre aux soldats dans les tranchées également.

Voilà un savant mélange qui permet d'apprécier cette période de l'histoire dont les commémorations du centenaire ont débuté il y a quelques mois.



Alain Mounier et Patrick Cothias signent à quatre mains l'excellente série "L'Ambulance 13" qui avec ce premier tome présente la Première Guerre Mondiale sous un regard original : celui des soldats et non des combats, une bien belle et intéressante bande dessinée dont je vais m'empresser de découvrir la suite.
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Empire USA, Tome 2 :

Je n ai pas trop aimé que les quatre premières planches résument l histoire du tome 1. Surtout quand on vient de le finir.

Ce tome développe un peu plus la vie des personnages secondaires et laisse planer le mystère sur le véritable passé de la mère de Jared grâce à la vieille pièce tant convoitée.

Jared apparait un peu trop attaché à Scarlett, un peu faible par rapport à l homme du tome 1.

On apprécié néanmoins toujours la qualité des dessins.
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L'ambulance 13, Tome 3 : Les braves gens

Une suite à la hauteur des deux autres tomes. Les références à des moments marquants du conflit (comme le début de l'attaque de Verdun auprès de Driant) et l'introduction de personnages historiques sont bien amenés et permettent de bien suivre l'ampleur de l'impact de la guerre. Les personnages continuent leur avancée dans leur destin et on aime à les y suivre.
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L'ambulance 13, Tome 2 : Au nom des hommes

La série magnifiquement commencée continue dans le même bel esprit. Les personnages prennent de l'ampleur et les sujets abordés donnent une bonne idée de la complexité de ce conflit.
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Mourir au paradis

L'histoire : aux États-Unis, dans une sorte de lotissement de riches (enfin, lotissement parce qu'il y a des lots, mais nous sommes loin des parcelles de 200 m², chacun ayant une villa vaste avec piscine, grand terrain, etc.) complètement clos, au sens propre, entouré d'une grande clôture sécurisée et entourée de grillages et de caméras... Le paradis... Un groupe de jeunes s'ennuie. Bart, leur chef nazillon, décide d'organiser une fête costumée avec les derniers joujoux qu'il vient d'acheter sur internet, un fusil d'assaut et un uniforme de colonel nazi. La fête ne peut que tourner au cauchemar.



Mon avis : cette histoire donne froid dans le dos, surtout que ce genre de lieux existe vraiment. Je trouve que le fonctionnement d'un groupe est très bien vu, le chef de bande, ceux qui suivent, ceux qui hésitent (la jeune française en vacances), ceux qui sont les souffre-douleur... Une BD à découvrir, si vous avez le moral !
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3 ouvrages sympathiques à lire, avec une idée de base de scénario très intéressante, et l'intrigue bien ficelée. La fin est intéressante et, finalement, inattendue, ce qui confère le sentiment d'avoir lu une BD bien agréable. Il aurait sans doute fallu développer le tout sur quatre ouvrages pour développer l'intrigue de façon plus profonde, une certaine superficialité des personnages agace quelquefois. Sinon : un bon moment, donc allez-y !
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La Diplomatie du ping-pong: 1971. Un hippie..

Peu de gens s’en souviennent, mais il fut un temps durant notre Histoire moderne, les États-Unis et la Chine furent alliés.

Cette époque désormais révolue date d’avant l’arrivée de Mao.

En effet, en 1949, après la victoire des Communistes contre les Nationalistes durant la Guerre Civile, Mao a interrompu les relations diplomatiques avec les Américains.



Les USA, soutenant les Nationalistes exilés sur l’Île de Taïwan, ne reconnurent jamais la République Populaire de Chine.

Relations qui se compliquèrent encore en 1950 durant la Guerre de Corée durant laquelle la Chine a été l’alliée de la Corée du Nord et de l’U.R.S.S.



En 1971, le président des USA, Richard NIXON et ses conseillers émettent pourtant l’idée d’accueillir la Chine au sein de l’O.N.U.

Chine qui pourrait s’avérer être un bon intermédiaire pour mettre fin au conflit totalement enlisé au Vietnam.

Mais comment faire?



Et bien, c’est sans compter sur le destin qui peut être surprenant et régler, pourquoi pas, de grands problèmes politiques à coup de raquette de ping-pong...



Le scénariste ALCANTE nous invite, grâce au talent de graphiste et de coloriste d’ALAIN MOUNIER, à comprendre ce morceau d’histoire que l’on peut qualifier d’hors norme et de surréaliste.



Cette BD nous relate l’aventure extraordinaire vécue par l’équipe américaine de pongistes durant les championnats du monde de tennis de table organisés au Japon en 1971.



Cette équipe est composée de joueurs et joueuses hétéroclites.

Mais l’un sort du lot: le dénommé GLENN COWAN.

Ce jeune Hippie va, avec son caractère baba-cool et peace&love, surprendre tout le monde lors de ce tournoi en sympathisant avec l’équipe chinoise.



Le multiple champion du monde chinois ZUHANG ZEDONG, malgré le protocole strict qu’on leur impose, va se laisser amadouer par les facéties et les attentions de GLENN. Une amitié extraordinaire est née.



Les péripéties de ces deux équipes vont retomber dans les oreilles des plus grandes autorités de leurs pays respectifs et chacun y verra une opportunité de se faire valoir.



ALCANTE réussit, en glissant quelques tours de passe-passe scénaristiques, à nous expliquer ce pan caché de l’Histoire, avec simplicité, bienveillance et en même temps une réflexion sur chacun de nos actes même les plus simples.

Il exprime aussi les difficultés de l’époque tant aux USA (racisme, guerre, place de la femme...) qu’en Chine (répression, oppression, torture, famine,...).



Les dessins et couleurs d’ALAIN MOUNIER ajoutent de l’authenticité à ce récit grâce à ce graphisme totalement 70's et ces tons à la fois clairs et lumineux, mais aussi plus rougeâtres ou sombres (scènes de guerre ou de répression)



Le personnage de GLENN est remarquable et porte à lui-seul la BD.

Il est drôle, maladroit et tellement ouvert sur le monde qu’on ne peur que l’apprécier, même s’il tire un peu trop l’affiche sur lui.

Je n’oublie pas le personnage plus sombre et torturé de ZHUANG qui malgré son caractère forgé par les souffrances de son passé, offre un visage très humain des Chinois.



Cet album est pour moi une belle surprise et une réussite dans la narration que dans la retranscription des faits.

Je vous conseille de lire les dernières pages où l’on explique la “vrai” vie de GLEE et ZUHANG. Destins tantôt solaires, mais fins plus dérisoires.



PS: Ce n’est donc pas FORREST GUMP qui a joué contre les Chinois. Retenez-le maintenant
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Le Décalogue, tome 6 : L'Echange

20 ans après ma première lecture du Décalogue , je découvre aujourd’hui à ma deuxième lecture du Décalogue qu’il y avait une nette différence scénaristique à partir du tome 6 ….

C’est pour moi un des meilleurs de la série… : au delà de la qualité de

l’intrigue, le contexte et les références historiques sont

excellents; sans compter un graphisme soigné.. en vrai c’est du tout bon… A lire donc sans hésiter
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L'ambulance 13, Tome 1 : Croix de sang

Critique de Matheo :



De jeunes chirurgiens diplômés en médecine, au service de de santé opèrent au front.



Cette BD m'a plu car elle parle de la Première Guerre mondiale.



En janvier 1916, le lieutenant Louis, peu aimé des soldats, doit faire ses preuves. Très vite il est confronté à la dure réalité des combats. Louis va tout donner pour sauver ses soldats quitte à y laisser sa peau. Fidèle à ses engagements de médecin va faire preuve d'humanisme. Louis tentera de faire face...



Dans "Ambulance 13", l'histoire nous raconte aussi et nous fait comprendre ce qu'enduraient les soldats au cours de la Première Guerre mondiale.



J'ai adoré cette BD, c'est pourquoi je lui ai mis 4 étoiles. Une BD simple et facile à lire, mais plus compliquée à comprendre. Les images nous aident à mieux comprendre. de plus, je l'ai aimé car elle parle de la Première Guerre mondiale, un sujet que j'adore et qui me fascine. Avec les images ont voit toutes les atrocités de la guerre : "Des corps partout, agenouillés, étendus, roulés en boule, démembrés, effondré en tas au fond des trous d'obus...".



Seul bémol, le thème du livre n'est pas simple à comprendre : j'aurais aimé des explications plus poussées .Mais d'autres tomes sont disponibles avec sûrement d'autres explications. J'ai quand même adoré ce livre.





Critique de Théo :



L'ambulance 13 est une bande dessinée parut en novembre 2010 aux Bamboo Édition et imaginée par Patrick Cothias, Patrice Ordas et Alain Mounier.



Cette bande dessinée m'a plu pour l'histoire de la Première Guerre mondiale et les rôles des médecins dans cette guerre, l'apparence de la BD est séduisante pour le charme des dessins et de la page de couverture. C'est une bande dessinée plutôt simple à lire pour adolescent de 15 ans mais pour moi cette bande dessinée ne conviendrait pas aux enfants de moins de 12 ans. Une chose compliquée dans cette BD est le sens de lecture, c'est ce petit défaut qui parfois bouleverse la lecture.



Un petit extrait qui m'a beaucoup plu est celui du ramassage des blessés. Louis-Charles Bouteloup est jeune médecin diplômé parti au front avec ses collègues pour récupérer les victimes. Arrivés au front, ils dressèrent un drapeau blanc et demandèrent au loin s'ils pouvaient pendant quelques heures d'arrêter l'assaut pour récupérer les victimes. Le chef des allemands et les médecins français, au milieu du champs de bataille, accordèrent ce temps pour sauver les victimes. Ce moment m'a plu, car on voit une fraternité entre les deux camps.



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L'ambulance 13, tome 5 : Les plumes de fer

Critique de Lénaïc :



Ce tome-ci se passe en l'an 1917, pendant la Premières Guerre mondiale. Le jeune médecin de première ligne Louis-Charles Bouteloup est un officier particulier car il refuse de se taire face aux "aberrations" de ses chefs.

Il est donc affecté en Alsace, où il a pour mission de former les futurs chirurgiens américains qui s'apprêtent à entrer en guerre et à faire face à l'horreur et aux désastres de la guerre.

Il va leur donner des "exercices" comme en situations réelle pour les confronter le plus tôt aux circonstances de la guerre.

Je n'ai personnellement pas aimé cette BD car le style d'écriture et difficile à lire pour les personnes dyslexiques, je n'arrivais donc pas à retenir le texte, le dessin est particulier, ce qui n'aide donc pas plus. Un exemple plus concret : je n'aime pas le domaine de la guerre, cela dit, ça m'a permit de découvrir de nouvelle œuvres et d'autres types de lectures.
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L'ambulance 13, tome 5 : Les plumes de fer

Ce tome est intéressant par le sujet très rarement rapporté ou mis en avant par les américains. En effet, avec l' entrée en guerre des états unis de nombreux soldats ont déferlé sur le front français. Ce n'est pas que des blancs ou des afros américains qui se battent mais aussi des indiens qui ont été enrôlés et qui jusqu'à présent étaient combattus pour leurs terres. On trouve par endroit des signes de leur passage notamment dans l'Aisne à la carrière de froidmont.

Le sujet est toujours très bien documenté mais reste cette faiblesse récurrente sur les ressemblances entre les personnages.
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L'ambulance 13, tome 9 : Pourquoi ?

Avec ce tome on arrive à la fin de la série et à l'armistice. Le 11 novembre après le cessez-le-feu jules sauve une nouvelle fois ses amis de l'ambulance 13, d'une fin funeste. Mais comme souvent une chasse aux sorcières s'installe et tous les moyens sont bons pour se venger.

Ce tome est pour moi l'un des meilleurs par sa conclusion et son regard assez intéressant sur la grande guerre. Les problèmes graphiques déjà énumérés n'entachent pas cette belle série si on s'accroche un peu . Un dossier reportage est présent depuis quelques temps et apporte toujours un peu plus et appuie sur cette fiction qui n'en paraît que plus crédible.
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L'Ambulance 13, tome 8 : D'un enfer à l'autre

Louis revient de Thessalonique avec son équipe et des poilus décédés dans les cales d'un navire hôpital. Le trajet est long jusqu'à Marseille et le navire est une cible pour les sous marins allemands.

Toujours dans la même veine et bien documenté. Le seul réel soucis est la ressemblance des personnages.
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L'ambulance 13, tome 6 : Gueules de guerre

Dans ce tome Louis Bouteloup est grièvement blessé et il attend son tour dans un hôpital de campagne. C'est un blessé de la face et devient une gueule cassée. Il a beaucoup de mal à accepter sa nouvelle identité car la guerre lui a retiré une partie de lui-même. Émilie toujours éprise de son jeune médecin veut lui porter son aide qu'il accepte que très difficilement.

Le service de santé pendant la grande guerre est très bien traité. Graphiquement ce tome est conforme aux précédents avec certains points faibles comme un encrage des fois trop prononcé et des ressemblances entre les personnages.

On trouve aussi à la fin de ce tome un très bon reportage sur l'évacuation des blessés du front à l'arrière.
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Le Décalogue, tome 6 : L'Echange

Moins conquis par ce tome.
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