Alexandre Galien

Le commandant Philippe Valmy retourne à la Crim' comme chef de groupe après des années passées à travailler dans le monde de la nuit. Comme première enquête, il se trouve confronté au meurtre d'une de ses anciennes indics, Cynthia.



Dans ce roman policier, il y a l'enquête, menée par le commandant Valmy et son groupe et il y a la vie privée de Valmy avec ses tourments et ses difficultés. Il y a les membres du groupe auxquels on s'attache dès le début ou juste à la fin.

Cette fin justement, qui laisse sans voix, qui surprend.



J'ai été déstabilisée par l'emploi du jargon policier et les reports aux notes de bas de page pour comprendre les mots employés. Pour autant c'est ce qui m'a permis de lire ce bouquin comme on suit une série policière, où on ne lâche rien tant que l'intrigue n'est pas terminée.

Résumé : Philippe Valmy, suite à sa dernière enquête traumatisante, a décidé de sacrément lever le pied. Finie les crimes et les meurtres horribles ! Le voilà à la Brigade d'assistance aux personnes sans abris, afin de s'oublier en aidant les autres. Mais il est vite rappelé par son ancienne équipe afin de leur filer un coup de main sur une enquête complexe : un Japonais retrouvé éventré dans sa chambre d'hôtel. Cela semble, à première vue, être un suicide, mais si quelqu'un l'y avait poussé ? Et pour quelle raison ? L'équipe s'apprête à démêler un sacré sac de nœuds.



Mon avis : Ayant découvert l'auteur avec le précédent tome de cette série, « Le souffle de la nuit », j'étais ravie de pouvoir me plonger dans cette nouvelle enquête et d'y retrouver Valmy. Dans le précédent, je l'avais beaucoup aimé même si j'avais trouvé le personnage un peu cliché, et bien mon avis à son égard a positivement évolué ! Très empathique, bien que toujours torturé par les fantômes de son passé, je m'y suis pas mal attachée. Son équipe est toujours soudée, presque comme une famille, sans guerre d'ego ni coup bas. J'ai beaucoup aimé retrouver Alice Quinet, beauté froide et détestable dans la dernière enquête, qui s'ouvre peu à peu à ses subordonnés, se révélant humaine et plutôt agréable, ayant elle aussi des fêlures et souffrant de solitude.

Ziggy, autre personnage central de cette affaire et témoin-clé, nous livre sa triste vie au travers de différents chapitres nous expliquant son histoire, donnant un souffle et une dynamique très agréable. Les pages défilent, rapidement et avec facilité, dans une lecture très agréable et plutôt addictive. Vivement le prochain !

Comme toujours, l’auteur lance des lignes dans tous les sens et brouille les pistes sans vergogne.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..

J’ai refermé avec regrets le dernier volet de la trilogie Philippe Valmy « Soleil Levant » d’Alexandre Galien qui avait obtenu Le Prix du Quai des Orfèvres 2020 avec le premier opus des enquêtes de ce commissaire malmené et si attachant « Les cicatrices de la nuit ». Le second volume « Le souffle de la nuit » sorti en 2020 m’avait fait voyager du Nigéria à Paris avec des poupées vaudou en toile de fond, alors que pour cette nouvelle enquête c’est vers le Japon et ses codes que l’auteur m’a envoyé.

Quelle progression dans l’écriture d’Alexandre que j’ai rencontré, jeune auteur, sur le salon « Thrillers à Gujan » en 2018 pour son premier roman écrit à quatre mains avec son ex-compagne Marie. Premier roman « Comme des bleus » gagnant du prix des lecteurs de ce même salon.

Dans ce dernier polar, j’ai donc retrouvé avec un énorme plaisir Philippe Valmy qui, devenu commandant, a été muté à la BAPSA (Brigade d’assistance aux personnes sans-abri) bien loin du 36 et de la PJ. Il est toujours hanté par ses fantômes : sa femme Elodie, à côté de qui, tous les matins il a l’impression de se réveiller et Sanagari, décapité, qui a été le mort de trop pour Philippe.

Le suicide d’un Japonais dans un grand hôtel parisien va à nouveau le propulser dans une enquête aux côtés de son ancien groupe.

Les chapitres sont courts et donnent un rythme rapide au roman qui m’a complètement embarquée.

J’espère que, même si la trilogie Valmy se referme, Alexandre me fera recroiser la route du groupe dont Alice Quinet est maintenant la chef, une chef qui doit montrer à ses troupes qu’elle en a dans le pantalon ! Tous les marqueurs sont au rouge la concernant. Une des plus jeunes commissaires à prendre un poste à la Crim, petite blondinette arriviste, elle vient de débarquer de la DGSI.

J’ai beaucoup aimé le ton de ce roman policier, les personnages sont vrais complexes et attachants. Un vrai polar comme je les aime.

Merci à Alexandre pour sa gentille dédicace et aux éditions Michel Lafon pour l’envoi du roman.

J'avais envie d'un bon polar français. Alors, au regard de tous les avis positifs que j'ai lus sur ce livre, je me suis lancée dans la lecture de "Les cicatrices de la nuit" que je viens de terminer.

C'est effectivement un bon policier français avec lequel j'ai passé un bon moment.

On ressent tout de suite que l'auteur fait partie de "la maison" et ce fut une lecture très immersive. Il nous plonge dans le monde de la police criminelle, de la nuit, du sadomasochisme et au sein d'une équipe de flics soudés. Le jargon du métier qu'il utilise (dont je suis familière car je regarde beaucoup de reportages sur la police), nous permet une immersion totale. Les novices en la matière rassurez-vous, il a bien évidemment noté les traductions/explications en bas de page tout au long du roman.

L'intrigue est bien menée et la lecture addictive.

Il s'agit donc d'une belle découverte et je prendrai plaisir à lire son deuxième livre figurant dans ma PAL à savoir "Le souffle de la nuit".

Il s'agit d'un polar proposé par Alexandre Galien. Ce livre a obtenu le prix du Quai des Orfèvres 2020.



Dans ce roman nous suivons une enquête menée par l'équipe de Philippe Valmy, une gueule cassée de la police. Le thème principal est le monde de la nuit. Une jeune escort girl est retrouvée sauvagement assassinée. Les services de police craignent qu'il ne s'agisse d'un nouveau tueur en série oeuvrant dans le milieu de la prostitution.



En ce qui me concerne, je pense être passée totalement à côté de cette lecture.

De prime abord, le thème m'a beaucoup plu et la lecture des premières pages était plus que prometteuse. Cependant, j'ai vite déchanté à cause du rythme de la narration que j'ai trouvé plutôt décousue et vieillotte.

Concernant l'avancée de l'enquête, je n'ai pas été convaincue non plus. Les éléments nouveaux arrivaient comme un cheveu sur la soupe et le personnage de Philippe Valmy n'a en rien aidé à la résolution du crime.

Au final, j'ai trouvé ce polar plutôt moyen par rapport à tous ceux que j'ai lu jusqu'à maintenant.

Paris by night...ou plutôt le Paris vu par un ancien flic de la Direction de la police judiciaire

Alexandre Galien réussi, avec ce roman, à nous plonger dans le quotidien d'une enquête criminelle parisienne

Les détails de l'enquête légèrement morose, nous empêchent néanmoins a faire monter l'adrénaline au fil des chapitres

L'inspecteur Valmy reste attachant et la fin très prenante

Prix du Quai des Orfevres en 2020, ce roman est à lire en un week-end

Pour les amateurs d'enquête en version Commissaire Moulin

Alexandre Galien est (ou était ?) policier. Il sait de quoi il parle. Il a remporté le célèbre prix du Quai des orfèvres 2020. Son personnage vient du monde de la nuit : la brigade des cabarets (que je ne connaissais pas). Il passe à la criminelle. Puis les drames le poussent vers l’éloignement. Dans ce deuxième épisode il revient aux affaires pour trouver un tueur de flics. Ces deux romans sont deux bons polars, bien ficelés, les situations sont crédibles, les personnages secondaires sont marquants…. Parfois plus que Valmy lui-même. C’est ce que j’attends du prochain, j’ai besoin de m’attacher davantage à lui…. Voilà en tout cas un jeune auteur à suivre dans l’univers de plus en plus riche du polar français.

Partez à la découverte de la

nouvelle enquête d’Alexandre

Galien !

Alexandre Galien, lauréat du Prix du Quai des Orfèvres 2020pour son roman « Les cicatrices de la nuit », revient avec undeuxième opus : « Le souffle de la nuit », dans lequel on retrouveson héros, Philippe Valmy. Cet homme est brisé suite au drame vécu un an plus tôt (pour les curieux, un conseil, lisez le premier

roman !). Il travaille pour l’ambassade de France au Nigeria maisva devoir rentrer suite au meurtre de son ami et collègue, Louis.Fait étrange puisqu’une poupée est retrouvée dans son corps.

Ce sera le seul indice pour se lancer à la poursuite de l’assassin.

L’équipe de Valmy, instinctivement se reforme pour sillonner toutes les pistes afin de trouver la vérité. Difficile de rester de marbre face aux descriptions et autres informations puisque l’auteur maîtrise parfaitement bien son sujet, il travaille à la

direction régionale de la police judiciaire de Paris. Ce polar est à la hauteur de ce qu’on peut attendre de ce genre littéraire : suspens, équipe soudée et prête à tout, enquête palpitante entre magie noire et croyances populaires. Pas une minute de répit grâce aux chapitres courts et au dynamisme des enquêteurs qui

ne laissent rien passer. Une enquête qui se joue des codes habituels, puisqu’ici les certitudes ne servent à rien, elles sont systématiquement mises à mal. On comprend au fur et à mesure des pages les subtilités et les messages glissés par l’auteur, un véritable atout pour ne pas ressortir de cette lecture indifférent.

Alors là, mesdames, messieurs, attention, on est sur du très très très bon. Ça fait longtemps que je n’avais pas prit autant de plaisir avec un thriller.



Je ne vais pas y aller par quatre chemins, j’ai adoré. L’ambiance nuits parisiennes, glauques à souhait, un personnage torturé (forcément vous me direz…). J’ai été happé par l’histoire et ne l’ai pas lâchée jusqu’à la fin, elle aussi excellente.



Prix du quai des orfèvres 2020, on pourrait dire que ce roman a été adoubé par l’institution et on sent bien que l’auteur est de la « maison » (et c’est effectivement le cas). Les quelques thèmes d’argot policier sont plutôt sympas je trouver.



Vous aurez compris, je vous conseille ce roman avec enthousiasme

Bienvenue à Paris by night !

Entre manipulation, prostitution, magie noire, rites vaudou, guerre des polices, rejoignez l’équipe de la brigade criminelle afin de résoudre des meurtres qui s’enchaînent. L’ambiance est noire, glauque, c’est bien ficelé et rythmé. On sent qu’Alexandre maitrise parfaitement le sujet. Fan des films d’Olivier Marchal, ce roman est fait pour vous !
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J'ai découvert l'auteur et sa plume qui est si nette et précise dans ses retranscriptions que l'on se croirait vraiment dans cette enquête, l'ambiance est palpable. Le récit est vraiment bien fluide, un vrai travail de documentation à été fait ça se ressent, les tournures de phrases sont percutantes et ciselées pour nous mettre dans le bain sans aucun mal. Le fait qu'Alexandre Galien a été dans la police aide beaucoup au déroulement de cette intrigue avec le vocabulaire adéquat aux scènes. J'ai trouvé ce roman terriblement bien ficelé, c'est un bon polar que je conseille à tous les fans du genre. Dès le début du récit, nous sommes dans plusieurs intrigues en parallèles. Cela donne une vraie soif de connaître tous les tenants et aboutissants de cette histoire. Tension et suspense sont là.

J'ai beaucoup aimé comment l'auteur a construit son roman et son histoire à la fois complexe et haletante. Les bons ingrédients sont présents, suspense, rythme, intrigue, audace, tension, violence, sexe, caractère et complexité des personnages. J'ai aimé tous ces côtés que j'aime retrouver dans un polar.

J'ai réussi également à m'attacher à l'équipe d'Antoine dont on perçoit toutes les personnalités différentes de ses coéquipiers.

En finalité, j'ai pris grand plaisir à suivre l'enquête avec passion et questionnement du début à la fin. 
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Quelques mois après son prix du Quai des Orfèvres, l'auteur livre un nouveau polar choc.
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J'ai adoré !

Dans son roman «le Souffle de la nuit», Alexandre Galien oppose la PJ à des racketteurs nigérians.


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l'intrigue est bien ficelée. C'est un page-turner.

Très bon moment de lecture

Un polar sympathique pour ceux qui aiment les polars qui ne vous empêchent pas de dormir. Dans le style habituel du prix du quai des Orfèvres. On passe un bon moment.

Je suis très rarement déçu par ce prix... à vous de juger...

Plongé dans les nuits parisiennes Philippe Valmy passe de la mondaine à la brigade criminelle pour sauver son couple. Sa première enquête concerne un de ses anciens indics.

Prix du quai des Orfèvres 2020, ce polar est une belle découverte

Très bon polar

Livre qui se lit très rapidement et donc la fin ne nous tient jamais en haleine. C est trop convenu et on voit trop l effort de l écrivain qui veut nous montrer qu il connaît parfaitement la maison poulaga. Une déception en fin de compte !! À lire dans un train pour tuer le temps