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Citations de Amélie C. Astier (689)


J’arrive devant la porte et j’entends la grand-mère de ma chasseuse parler à ma fille. Je souris, toutes les deux s’entendent à merveille et je suis heureux que ma fille connaisse ce lien qu’ont les grands-parents avec leurs petits enfants. Ils sont la permission, la douceur et la sagesse qu’on n’a pas. Liv a une famille, une vraie, soudée et aimante et quoi qu’il arrive je sais qu’elle ne sera jamais seule. 
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CONSTAT : L’éternité n’épargne pas la mort. 
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Une langue chaude et humide glisse le long de mon buste, je me cambre pour mieux recevoir cette caresse délicieuse. Dans le noir le plus complet je ne vois rien, je ressens juste. Des mains de partout, sur tout le corps, il est partout. J'aimerais que cette langue aille plus bas, entre mes cuisses, que je puisse sentir cette douceur là où le feu brûle en moi.

— Ta peau est si douce.
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C’est à cet instant précis que je percute, que malgré la distance qui nous a séparés, malgré les années et la souffrance, notre nous perdure, il est plus fort.
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Je vois la vie comme un puzzle. Chaque pièce a son importance pour réaliser le tout. Mon puzzle est troué, il lui manque plein de parties, plein de petites pièces qui avaient leur importance. Il les a remplacé par d’autres, qui n’ont rien à voir avec le dessin de base. Elles sont noires, elles font tache dans le décor. Mais surtout, elles sont douloureuses.
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À l'époque, je n'arrivais pas à mettre des mots sur l'amour. Quels signes nous indiquent qu'on aime quelqu'un ? Je n'avais pas de comparaison. Avec elle, j'ai compris qu'aimer ne pouvait pas être vraiment défini. On aime tout simplement, on le sent, et on le sait au fond de soi-même. Quand on aime, une part de nous-mêmes se mêle à l'autre, voilà pourquoi on a l'impression qu'il nous manque un bout de soi quand tout s'arrête.

Reagan
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Même si la route est longue… je préfère te courir après que te perdre définitivement.
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« PS : je ne sais pas pourquoi je le fais aussi, mais je le fais. J’ignore si ma réponse te parviendra, peut-être que oui, ou peut-être pas. »
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On peut achever quelqu'un en quelques mots, en y mettant la conviction qu'ils sont vrais, on peut le faire. On peut détruire une vie en répétant à une personne, chaque jour que dieu fait durant quatre ans, qu'elle mérite ce qui lui arrive. Les mots peuvent être la pire des armes.
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Derrière cette froideur qui lui sert de barrière, il est là le garçon que j'ai aimé, il est caché derrière l"homme que j'aime encore.
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Livre très touchant et perturbant a la fois . Il faut avoir le coeur bien accroché ! Les scenes les émotions y sont decrites a la perfection, j'ai eu la sensation d'y être et de vivre tout leurs malheur de l'intérieur .
Coup de coeur
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《-Et si on discutait ? Je propose l'air de rien pour éviter quelle me pose d'autres questions sur ce sujet.

- De quoi ?

- De tout, et de rien. Surtout de tout, et beaucoup de rien.》


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Égoïstement, j’aurais voulu qu’il reste avec moi, mais raisonnablement, je sais qu’il a fait le bon choix. Moralement, je m’en contrefous.  
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Je sais que tu en as envie, je le sens, je le vois. Je vois à quel point tu es exceptionnel Reagan Kane. Tu es trop bon. Trop galant. Trop protecteur. Soit trop amoureux et trop désireux de m’avoir cette nuit. Choisis ces deux « trop », car ils n’ont rien d’excessifs. 
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Avec Parker, nous nous connaissons depuis toujours. Nous avons grandi ensemble. Il est l’ami le plus fidèle au poste. Celui qui sait, mais qui fait comme si de rien n’était. Et j’apprécie cette qualité qui fait cruellement défaut à certains : savoir et faire comme si on avait oublié ce qu’on sait. 
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Porter l’uniforme était un honneur, non un sacrifice, et si cela le devenait, nous avions la certitude de partir en héros.
Porter l’uniforme était un rêve et nous en avons fait notre réalité. 
Une réalité bien loin de ce que nous avions imaginé en étant gosse, en vivant de l’intérieur et en tant qu’Américain, les traumatismes que notre pays a subi durant les attentats, les guerres ou par les anecdotes racontées par les vétérans..
La réalité est beaucoup plus sombre qu’on ne pourrait le penser.
J’aurais aimé qu’on me dise que les films au cinéma et les récits de nos pères n’étaient que des fictions enjolivées de la réalité, où le secret défense venait protéger les horreurs de ces opérations à l’étranger.
J’aurais voulu qu’ils soient francs avec nous lorsque je leur ai dit qu’on s’engageait, j’aurais souhaité qu’ils nous fassent asseoir autour de la grande table de la salle à manger, et qu’ils vident leurs sacs pour nous empêcher de franchir le pas. Mais ils ne l’ont pas fait, et je ne sais pas si je dois les remercier ou les haïr pour leurs silences qui nous ont tant coûtés.
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– Merci T. Tu prends ma petite fille, de la rendre heureuse, et c'est ce qui m'importe le plus… Par contre (je sens le sourire dans sa voix), je devrais sortir mon fusil et te faire courir dans le jardin en te menaçant de mort pour avoir mis ma petite fille enceinte !
Le sourire « spécial fan » de T apparaît sur son visage.
– Je...
Ma lui caresse la joue, elle se lève.
– C'est une bonne raison pour boire un verre, une naissance. T ? Whisky ? (T hoche la tête et moi aussi) Non toi Sonny ce sera un jus de fruit. Ivrogne !
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- Super ?
- Non diesel. Pourquoi ?
Je me retourne pour faire face au pharmacien qui me mate toujours par-dessus ses lunettes et qui plisse le front. Il est plus que dégarni et ça lui fait des rides jusqu’au crâne.
- Moyen ou super ?
Je me penche vers lui baisse, mes lunettes et le regarde par-dessus. Je ne comprends rien de ce qu’il me dit.
- J’ai l’air de comprendre de quoi on parle là ?
Le mec lève les yeux au ciel.
- Les tampons : moyens ou supers ?
- J’ai une tête à mettre des tampons ?...Mettez les deux, j’en sais foutre rien, moi ! 
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On se retrouve donc, après le baiser, tous en cercle et Harold commence ses conneries :
- Apollon, sois avec nous ce soir. C’est un soir spécial, qui marque la fin de la tournée. Nous sommes à la maison et une personne spéciale est dans la salle. Apollon, je t’en prie, fais que T s’étale au milieu de la scène et que la batterie de Kim soit mal montée ! Oh, Apollon, mon maître, fais que Pete et moi déchirions tout et que les filles se jettent sur nous ! Merci Apollon de ton soutien sans faille durant ce mois. Ave toi, Apollon !
- AVE TOI, APOLLON !!
Ouais, Harold prie bizarrement mais bon, jusqu’ici ça nous a porté chance, donc on laisse faire. Et oui, il parle romain à un dieu Grec mais bon, vaut mieux ne pas le contredire. 
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Je me demande quel crétin s’amuse avec nos vies. J’opte pour un dieu ou autre truc surnaturel qui, un lendemain de beuverie et la tête à l’envers s’est dit : « tiens, aujourd’hui, je m’ennuie ! Je vais destiner un vampire avec une chasseuse de vampires pour voir comment ils se démerdent. Ça pourrait être drôle !!! » Pauvre con tiens… Une chasseuse, merde !! 
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