AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Amélie C. Astier (689)


●《 Nous restons un instant à nous toiser, comme si nous étions deux inconnus, alors que tellement de choses nous lient pour le restant de nos vies. C'est plus fort que n'importe quoi, plus fort qu'un serment, plus fort qu'une promesse. On est gravés l'un dans l'autre, et pourtant, à cet instant, j'ai l'impression qu'un gouffre nous sépare. 》
Read more at http://moreandnewreading.e-monsite.com/pages/chroniques/chronique-13.html#vK7S5ltKLZOp17qQ.99
Commenter  J’apprécie          20
L’amour est le même entre chaque enfant, j’aime ma fille comme si elle était la prunelle de mes yeux, je ne compare pas, les relations sont différentes entre Lochan et elle.
Commenter  J’apprécie          20
Le danger le plus fou n'était pas de te laisser entrer dans ma vie. C'était de te permettre d'y rester. Et comme pour la terre entière, sans le vouloir, on tombe amoureux de l'autre comme ça. Sans que cette personne ne fasse plus qu'être elle-même. On ne peut rien faire contre, on ne peut pas lutter, on peut simplement prier pour que cette dernière n'use pas du pouvoir qu'elle a acquis sans le savoir pour nous briser. Il est là, le véritable danger dans l'amour. C'est de confier à quelqu'un une part de soi.
Commenter  J’apprécie          20
- J’ai aimé, Dereck, je poursuis. Chaque instant, parce que c’était avec toi et pas avec un autre.
[…]
- Et moi, j’aime, chaque fois, parce que c’est avec toi.
Commenter  J’apprécie          20
- Pourquoi les anglais prennent une hache pour aller au cinéma ? je le relance pour l'emmerder.
- Seigneur…
Il tente d'échapper à ma prise, mais je le retiens.
- C'est pour se fendre la gueule au moins une fois ! je réponds à sa place.
Je laisse échapper un petit rire, Klax se retient, comme d'habitude.
- Je sais que tu as envie de rire.
Il secoue la tête.
- Je sais, tu en meurs d'envie. Rigole, putain ! Je le taquine.
Commenter  J’apprécie          20
Notre amour est anormal, mais c'est le nôtre, il a traversé les années et je l'ai compris à la seconde où mes lèvres se sont posées de nouveau sur les siennes. La douleur fulgurante qui m'a coupé le souffle lorsque j'ai ressenti cette pulsion en moi, ces papillons dans le ventre. Ceux qui nous font comprendre "merde, je suis amoureux". Je les ai connus avec elle une première fois, et ils sont toujours là.
Commenter  J’apprécie          20
Est-ce que je t'ai aimé trop vite, trop fort, trop jeune, avec trop de trop ? Est-ce que nous nous sommes aimés en silence, trop vite, trop fort, trop jeunes, trop tôt ?
Commenter  J’apprécie          20
Et je ne pensais plus du tout. J'étais ce qu'appelait ma mère : une putain. Et je m'en fichais. Je me fichais de tout, de leur bonne morale, de l'acceptablement correct pour une jeune fille. Être une gamine sage n'aidait pas à vaincre la chienne de vie.
Commenter  J’apprécie          20
Aime-moi encore,comme avant ,avec la même force,car j'en ai tellement besoin pour affronter demain .
Commenter  J’apprécie          20
Bats-toi contre moi, bats-toi avec moi, mais ne fais rien sans moi, murmure-t-il dans mon cou. 
Commenter  J’apprécie          20
Amélie C. Astier
Tempérance Silver est une petite conne sexy, intelligente, mais à baffer.
Commenter  J’apprécie          20
Je confirme, un homme pense avec ses couilles et le regrette la minute après les avoir vidées.
Commenter  J’apprécie          20
On s’aime, ici et maintenant, et même si ce sentiment est autant effrayant que salvateur je ne peux pas l’ignorer. Je ne peux pas le regarder et me dire que je ne ressens rien qu’un petit attachement et de l’empathie pour lui. Mon corps crie qu’il a besoin de sa présence, mon âme hurle son envie de s’accoupler avec la sienne, de devenir son âme sœur, ces deux doigts d’une main impossible à séparer. J’ai déjà cru être amoureuse, mais à côté de ce que je ressens pour le jeune homme qui dort sur mes jambes ce n’était rien. 
Commenter  J’apprécie          20
Ne fais pas de tes frères d'armes de simples amis, fais-en tes meilleurs amis parce que lorsque vous vous retrouvez au cœur de l'enfer, ces liens fraternels vous sortiront de ce merdier en vie et c'est tout ce qui compte.
Commenter  J’apprécie          20
Dieu merci, tout le monde sait que je reçois des alertes de blagues pourries sur mon Smartphone.
- Ouais, tu sais comment on appelle un sorcier qui fait de la magie noire avec un yaourt ?
- Je sens la réponse intelligente, murmure Sean.
Ah ça… toutes mes blagues respirent l’intelligence.
- Un faux mage blanc, je réponds.
- Bordel ce que t’es con !
Commenter  J’apprécie          20
Chaque nuit depuis un an, je me réveille seule dans mon lit, et j’ai froid. Tes bras me manquent, ta chaleur me manque, notre intimité me manque. J’ai perdu mon meilleur ami en plus de l’homme de ma vie ce jour-là. Et les deux me manquent. Personne ne peut te remplacer. Même pas Decease. Je ne ris plus de la même façon, je ne pleure plus de la même façon, je ne réfléchis plus et je ne vis plus de la même façon depuis que tu n’es plus là. Tu as redonné un sens à ma vie Dead Creaving, et je suis perdue sans toi. 
Commenter  J’apprécie          20
Pourquoi tu ne t’es pas éloignée de lui avant ? Parce que je l’aimais tout simplement. Il n’y avait rien de rationnel dans mon comportement parce qu’on n’explique pas l’amour. On ne peut pas le décrire avec des mots, on ne peut pas rendre compte de ce que l’autre représente sans le vivre. L’amour avait une nouvelle définition pour moi, il n’était plus l’univers concret, celui qui nous entoure et qu’on connaît, il était ce vide intersidéral qui peut nous absorber, dont on ne sait rien et qu’on découvre avec émerveillement un peu plus chaque jour. J’étais dépendante à mon tour, de lui, de ce qu’il représentait pour moi et de ce que j’espérais. 
Commenter  J’apprécie          20
— Poupée… on est chez ton père, je lance d’une voix rauque.
— Et ?
(…)
— Je ne veux pas commencer quelque chose que je ne pourrai pas finir tout de suite, je renchéris en essayant d’éviter sa main.
— On n’est pas obligé de ne pas finir ce soir, chuchote Memphis à mon oreille.
(…)
— Je n’ai pas de capotes, je lance.
— J’en ai.
— Tes murs sont fins.
— Qu’est-ce que tu en sais ?
(…)
— Il y a tes parents en face.
— Ils dorment.
— J’ai mal à la tête.
— Alors raison de plus.
— Et si je te dis que j’ai mes règles ? je lance en retenant un gémissement.
— Je dirais que tu mens, me chuchote-t-elle, Seth, j’ai envie de toi.
Commenter  J’apprécie          20
Je suis à peu près certaine qu’ils ont changé l’emplacement de la bibliothèque dans la nuit, sinon je n’aurais pas devant moi la cafétéria. Ils jouent avec mes nerfs sur ce campus, sûrement une sorte de bizutage. Je souffle et regarde autour de moi, à la recherche de la moindre indication et je tombe sur un plan du campus qui indique la bibliothèque à l’autre bout. J’avance dans cette direction en maudissant les petits lutins qui œuvrent pendant la nuit pour faire de ma vie un marathon. 
Commenter  J’apprécie          20
— Bon, je suppose que le samedi soir, ça ne vous pose pas de problèmes ?

Je n’aime pas le ton qu’il emploie. Comme si on n’avait rien à faire un samedi soir à cause de notre manque de popularité.

— Non, dis-je, on a poney le samedi soir et ensuite cueillette d’ingrédients pour les potions du dimanche.
(...)
— Poney alors… bizarre, je vous voyais plus sur des licornes.
(...)
— Non, les licornes c’est seulement pour les jours de fête. 
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Amélie C. Astier Voir plus

Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4876 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur cet auteur

{* *}