Anaïs Vanel

Où comment une jeune bourge parisienne, éditrice chez Flammarion plaque son chouette boulot et si j’ai bien compris son mec, fourre quatre affaires dans son Berlingo et trace la route jusque dans les Landes pour refaire sa vie en pratiquant le surf et la contemplation.



Ce qui m’a plu :

- l’idée selon laquelle changer de vie est plus facile qu’il n’y paraît (surtout quand tu es friqué) ;

- le fait que ce sont de tout petits paragraphes ;

- son style de vie minimaliste genre simplicité volontaire bien que je me demande quels sont les tarifs des séances quotidienne de cours de surf...

- quelques phrases poétiques  du style « Les fonds de jardins sont emplis de rêves d’aventure oubliés ».ou plus loin «choisir de s’implanter sur un terreau fertile pour y laisser pousser nos rêves ».

- la manière dont elle se libère des contraintes psychiques et corporelles pour révéler sa vraie nature.



ce qui m’a moins plu :



- elle plante des carottes alors que comme chacun le sait les carottes se sèment, ne pas confondre ;

- le côté bobo puissance 10 du personnage ;

- j’attendais peut-être un peu plus de profondeur et d’analyse dans le propos, voire une réflexion sociologique sur notre époque, cela reste un témoignage assez superficiel dans la mouvance des ouvrages feel good.



Bon, allez, c’est son premier livre. J’ai appris que après avoir passé 3 ans dans les Landes, elle est partie vivre un an au Mexique.



L’hiver dans une station balnéaire m’a fait penser à ceci :



C'est le silence qui se remarque le plus

Les volets roulants tous descendus

De l'herbe ancienne dans les bacs à fleurs

Sur les balcons

On doit être hors-saison



Hors-saison – Francis Cabrel.



Challenge Multi-Défis 2024.

Challenge Riquiqui 2024.

Dès que j’ai lu la 4 ème de couverture le résumé a directement retenu mon attention. Le sud-ouest, l’océan, les Landes.

Dans ce roman autobiographique Anaïs nous confie comment elle a pris son courage a deux mains pour quitter la routine « métro boulot dodo » de Paris et vivre la vie qu’elle a toujours idéalisée.

Lorsqu’elle était enfant elle est partie en vacances dans les Landes. Un camping. Les vagues. L’océan. Les rencontres. Elle nous transporte à travers ses souvenirs de vacances et son enfance.

Désormais elle habite au bord de l’océan et vit de son passe temps favoris : le surf. Elle nous partage ses joies, ses humeurs, ses rencontres, ses bonheurs, même les plus simples.



Vous dire que je n’ai pas aimé cette lecture cela serait vous mentir. Cependant, je reste un peu sur la réserve.. Je m’attendais à un texte plus approfondi, pour moi, certains thématiques sont abordées de manières trop superficielle et trop idéalisé.

Il n’empêche que ce roman est inspirant et nous amène à réfléchir.



Je retiens de ce roman que parfois il faut oser tout quitter et sortir de sa zone de confort. Même si cela peut paraitre effrayant, notre bonheur n’est pas forcément là ou l’on imagine.

Il est important d’avoir de l’ambition et de la détermination lors d’un tel changement.

Un titre très accrocheur tout comme la quatrième de couverture. J ai donc foncé et acheté ce livre alors que ma PAL s écroule. Mais quelle déception ! Je ne m attendais pas du tout à ça et je n'ai absolument pas accroché à l histoire ni à l écriture.

Un livre qui est écrit comme quand on écrit un journal intime

L'héroïne décrit tout ses souvenirs,ses envies,son amour pour le surf et la sud.

Se lit très facilement,le lire comme un carnet qu'on découvre les pensées d'une personne qu'on ne connaît pas et qu'on apprend à connaître au fil des pages

Je voulais lire ce livre depuis très longtemps.

Tout quitter et vivre ses rêves.

Le début du roman nous replonge en été, dans le Sud. On sent le soleil sur notre visage, on entend les vagues se casser sur la plage, on sent l'odeur des lauriers fleurs, l'odeur du sud.

Mais une fois cette sensation passée, je n'ai pas réussi à plonger dans ses pages.

Ce roman est léger et plein de belles pensées néanmoins, je n'ai pas eu ce petit coup de cœur qui me pousse à dévorer un roman, d'une traite, jusqu'au bout.

"Tout quitter" c'est ce que nous avons tous rêvé de faire au moins une fois dans sa vie . Oser prendre le strict minimum, et partir là où notre instinct nous appelle et ré- apprendre à être soi, se chercher, se trouver , s'aimer pour pouvoir pardonner .

Anaïs l'a fait, et c'est avec plaisir que je l'ai accompagnée au fil des pages dans sa transition. J'étais tiraillée entre engloutir chacune des pages et prendre le temps de m'imprégner de certaines pensées philosophiques.

Tout quitter.. c’est ce dont on a tous peur et envie à la fois car c’est revenir à l’essentiel, se retrouver, se redonner une chance. C’est apprendre à surfer sur le quotidien houleux d’une vie à 100 à l’heure… c’est renaître tout simplement!



La Mer.. c’est ne faire qu’un avec l’eau, c’est vivre, c’est se surpasser, c’est méditer. C’est avoir l'intuition du bon moment et savoir qu’on est juste au bon endroit 🙏



C’est un chemin initiatique entre mer et feu.. une lecture poétique, méditative qui fait du bien. J’espère qu’elle arrivera au bon moment comme pour moi !

Vous aimez les récits de voyages, la poésie et le style des illustrations de Margaux Motin ? Ce livre est fait pour vous ! Petit OVNI traînant depuis trop longtemps dans ma bibliothèque, je m’y suis finalement plongée, à la recherche d’un peu de douceur. Et je ne l’ai pas regretté !



L’autrice a choisi un format peu commun pour relater son voyage d’un an - peut-on appeler encore cela un « voyage » quand il dure si longtemps ? - au Mexique : la poésie. Entre scènes du quotidien, cours d’espagnol, randonnées, rencontres (amoureuses mais pas que) et arrivée du covid, nous voyageons avec elle sans bouger de notre canapé, malgré la brièveté des pages.

Je lis peu de poésie, mais le format m’a tout de suite plu : Anais Vanel montre qu’il est possible de décrire son émerveillement, ses réflexions personnelles ou politiques, ses échanges avec des natifs•ves croisés•es au hasard des chemins comme la naissance de relations plus intimes, avec peu de mots. Divisé en plusieurs chapitres, le livre est de plus régulièrement agrémenté de magnifiques dessins de Margaux Motin. Il en devient donc un « beau-livre », de ceux qu’on a envie de conserver pour toujours avoir la possibilité d’y revenir. Finalement, j’ai trouvé dans ce livre singulier ce que je recherchais sans le savoir : la sobriété.
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Habituée à aux livres axés sur développement personnel, je n'ai pas été transportée par ce recueil autobiographique. J'ai trouvé l'ensemble trop léger, décousu dans sa construction (une tranche de vie par chapitre, des brèves parfois très courtes)... La forme m'a, en quelques sortes bloquée, pour être totalement embarquée dans ce voyage intérieur et pour capter le parfum des embruns. Dommage

J’ai vraiment apprécié ce livre. C’est la première fois que je lisais un livre raconté de cette manière et cela m’a beaucoup plu. J’ai été touché par la poésie et les émotions retranscrites par ce petit livre. Il permet de philosopher et de penser à sa propre vie et ses

ses expériences. C’est un livre doux et on se laisse bercer au fil des pages.

Ce roman m'a vraiment touché car je me suis beaucoup reconnue dans les pensées d'Anaïs, j'aime ce qu'elle aime, et cette vie pour laquelle elle a tout plaqué, c'est vraiment ma vie de rêve. Du surf, du skate, voir l'océan tous les jours, vivre à ses côtés et sentir les embruns tout au long de l'année. Et c'est d'ailleurs la couverture de ce roman, qui représente une surfeuse devant l'océan qui m'a séduite sans même lire le résumé. 🌊



Ce que j'ai beaucoup aimé dans ce roman, c'est le format, et pourtant j'ai trouvé ça assez spécial au départ. Effectivement c'est spécial, c'est comme si tous les jours Anaïs avait écrit quelques lignes. Ce sont des souvenirs, des sentiments, des pensées... Les pages ne sont pas pleines, l'écriture représente tout au plus la moitié d'une page. 🌊



En lisant ce roman, je suis complètement sortie de ma zone de confort car je n'ai pas l'habitude de lire des romans un peu "philosophiques" mais avec celui-ci j'ai beaucoup aimé. 🌊

L'histoire d'un nouveau départ.

Une jeune femme quitte du jour au lendemain sa vie à la capitale pour s’installer au bord de la mer dans le Sud profiter des vagues et de la plage.



Anaïs Vanel propose dans ce court roman initiatique de raconter des nombreux instants de vie et de ressenties sur son renouveau et le réapprentissage de nombreux plaisirs simples.

« Tout quitter » est, à mes yeux, une expérience.

Sa lecture ne ressemble à rien de ce que j’ai pu lire jusque là et m’a finalement procuré un étrange sentiment de calme. D’apaisement.



Pourtant, ce n’était pas gagné. J’ai débuté ma lecture comme on débute une histoire. Sans surprise, j’ai eu du mal : je ne comprenais pas ce que je lisais, qui étaient les personnages, quels étaient les axes…



Erreur sur toute la ligne !

« Tout quitter » est une expérience tant par la forme (une pensée, une page), que par le style (court, poétique, glissant), ou encore par l’histoire ( on suit finalement le cheminement des pensées et l’état d’esprit d’Anaïs Vanel durant 4 saisons).

Il m’a fallu repartir de zéro, et être au calme, pour découvrir ce texte. Au final, le récit d’Anaïs m’a embarqué.

Une jolie expérience !

Je n'ai pas vraiment adhéré au concept de ce livre, en effet l'autrice nous "balance" quelques moments de sa vie ainsi que ses réflexions du moment mais j'ai pas du tout accroché à ce qu'elle me racontait...Quelques belles réflexions tout de même mais ça n'a pas suffit à me captiver.

Anaïs plaque sa vie parisienne pour la cuisine te surfeuse de l'Atlantique française. Elle se ressource, se redécouvre.

Pas besoin d'aller à l'autre bout du monde pour changer de vie , tout quitter, parfois c'est juste à côté.

Une année d'introspection, de communication avec la terre, les autres et surtout soi même.

Un livre qui se lit bien, fluide. Chaque page est un moment de vie, une émotion, un temps partagé.

Anaïs ne us montre comment ce recentrer sur ce qui est le plus important pour SOI.

Il est demandé d’écrire un commentaire constructif…

Ne sachant pas , par manque de vocabulaire littéraire probablement, ce que cela veut dire, je ne ferais que donner mon avis….



Tout quitter   est un petit livret comportant environ 170 pages imprimées sur 1/3 de leur surface.

Je ne ferais pas de commentaire quantitatif à ce sujet.

L’autrice y relate l’abandon de son ancienne vie pour une vie meilleure faite de surf et de béatitude.

Et d’un peu d’écriture bien sûr , cela va sans dire.

Bref…un tout petit bouquin bien à la mode feel good très tendance depuis quelques temps…

Plutôt malin , sachant remuer nos souvenirs enfantins, nos ressentiments de « c’était mieux avant ( surtout le avant du temps où nous étions jeunes et vifs. ) », nos désirs enfouis de liberté …etc , etc , etc…un brin opportuniste et jouant sur la fibre écolo / bobo…quand je vous dis qu’il est malin ce petit bouquin..



Mais bon , pas de quoi péter 3 pattes à un canard comme on dit chez moi dans le sud-ouest.

Tout du moins dans le domaine littéraire.

Gentillet sans plus.



Mais ce n’est que mon humble avis et comme on dit : ce n’est pas parce que tu n’aimes pas qu’il faut en dégoûter les autres !!!

Comme dirait mon camarade Bazart :

Vite lu ( et pour cause . . . ) vite oublié.

Mais peut-être ne suis-je pas un grand sensible.

Et un piètre rédacteur vu le temps qu’il m’a fallu pour pondre ce petit commentaire.

De plus il s’agit de mon premier commentaire tout comme il s’agit de son premier livre . Nous essaierons donc d’être indulgents



À vous de voir.

Tout quitter. Le rêve de tout un chacun non ? D'où la présence de ce livre en haut de ma PAL. Et c'est avec la ferme intention de m'identifier à une héroïne qui a "osé" que j'ai ouvert le livre...Espérant trouver LA recette du bonheur sous l'oeil inquiet de mon compagnon !



Déception.



L'héroïne quitte son tumultueux métro-boulot-dodo pour se mettre au "bleu", en bord de mer, et s'adonner au surf qui va devenir une véritable obsession, afin de se libérer des chaînes d'un quotidien déprimant, d'une enfance à l'identité difficile et d'un travail oppressant.

Elle quitte tout et atterrit dans un appartement en bord de mer avec vue sur l'océan - la Sud. Tout cela commence mal pour moi car je n'ai pas ce type de bien. Bref.

Les jours passent, les saisons aussi, tout comme les pages du livre contenant une vingtaine de lignes chacune, pendant lesquelles nous suivons Anaïs à ses cours de surf, sous la douche, au petit-déj, ou dans un souvenir d'enfance...

Mais concrètement, rien ne se passe.



Je n'ai pas vibré un seul instant dans ce roman autobiographique.

Il paraît que "les routes les plus difficiles mènent aux plus belles destinations", mais là, à travers les pages, je n'ai ressenti aucune difficulté pour l'héroïne. Elle a tout quitté, et tout va bien. Tout est beau, tout est bleu, il n'y a aucun problème à l'horizon. Et c'est bien là le problème.



J'avais envie de voir un personnage évoluer, de le voir gérer de multiples situations à la "Into the Wild", j'avais envie de rencontres, d'évasions, de questionnements, de prises de conscience.

J'aurais aimé avoir la réponse à la question : comment tout quitter ? Mais ce ne fut pas le cas.



Ce roman qui a été vite lu, sera très certainement très vite oublié...

Tout quitter, c'est les mots, les réflexions, les pensées, la beauté des phrases poétiques d'Anais Vanel, l'autrice, qui nous livre ici son envie subite de laisser tout ce qui la retenait à Paris pour s'en aller voir l'océan. Je pense que ce livre peut parler à tout le monde. Tant à ceux dont l'idée de tout quitter germe dans l'esprit, tant à ceux qui sont bien dans leur quotidien, tant à ceux qui aiment les jolies phrases et les mots qui font rêver. Lire ce livre c'est partir avec elle, changer de quotidien le temps d'un bouquin, rêver et - peut-être - planter la graine d'un autre futur, plein de possibilités et de libertés.

J'ai adoré cette lecture et je la conseille comme une superbe voie d'espoir dans notre réalité parfois embrumée.

« Un jour, j’ai acheté un Berlingo. J’ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J’ai pris la route comme ça. Après ma journée de boulot, comme on part en week-end. J’ai avalé les kilomètres, en écoutant King of the road, de Roger Miller. Et enfin. Les pins. Les dunes. Les embruns. L’appartement. j’ai éventré les cartons. Trouvé mon maillot de bain. Et je suis allé me jeter dans les vagues.” C’est l’histoire d’une fille qui change de vie. Au rythme des saisons et des vagues de la Sud, la grande plage près de laquelle elle vient de s'installer, Anaïs retrouve les souvenirs qui habitent en elle. Devant l'étonnante simplicité des choses, au bout, il y a la réconciliation avec soi.

Tout quitter, est-ce le retour au paradis fantasmé de l'enfance ? »

Dans ce livre autobiographique, l’auteure nous raconte son histoire. Comment elle a quitté Paris pour venir vivre au Pays Basque où elle se découvre une passion pour le surf et reprend goût à la vie.



La plume est poétique et les textes sont très courts, mais je trouve que le livre manque de finition. Premièrement, le livre n’est pas romancé, ce ne sont que des suites des plusieurs réflexions personnelles sur sa vie, découpées en 4 parties, représentant les 4 saisons. Les textes n’ont pour moi aucun lien.



L’auteure n’a pas su me transporter avec elle, néanmoins j’ai trouvé les passages sur son enfance intéressants. Beaucoup de thèmes sont abordés tels que le bonheur, l’estime de soi et l’aventure.



Ce roman a été pour une déception, je suis malheureusement passée à côté. Cela fait un petit moment qu’il était dans ma PAL que je pense que j’en avais espéré un peu trop. Mais si vous aimez les lectures rapides, légères, sur le développement personnel ou sujet similaire, ce livre est pour vous.



Voir poqt insta : https://www.instagram.com/p/ChsLRi8q26s/?utm_source=ig_web_copy_link

Dans ce livre autobiographique, l’auteure nous raconte son histoire. Comment elle a quitté Paris pour venir vivre au Pays Basque où elle se découvre une passion pour le surf et reprend goût à la vie.



La plume est poétique et les textes sont très courts, mais je trouve que le livre manque de finition. Premièrement, le livre n’est pas romancé, ce ne sont que des suites des plusieurs réflexions personnelles sur sa vie, découpées en 4 parties, représentant les 4 saisons. Les textes n’ont pour moi aucun lien.



L’auteure n’a pas su me transporter avec elle, néanmoins j’ai trouvé les passages sur son enfance intéressants. Beaucoup de thèmes sont abordés tels que le bonheur, l’estime de soi et l’aventure.



Ce roman a été pour une déception, je suis malheureusement passée à côté. Cela fait un petit moment qu’il était dans ma PAL que je pense que j’en avais espéré un peu trop. Mais si vous aimez les lectures rapides, légères, sur le développement personnel ou sujet similaire, ce livre est pour vous.
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