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Critiques de André Brugiroux (16)
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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

Il y est parvenu, il est allé dans tous les pays du monde ! à 76 ans, sa "soif du monde demeure intacte"... Son "plaisir du voyage est toujours aussi intense. Pas blasé, le mec."

C'est une amie lectrice qui m'a conseillé cet ouvrage, et je ne le regrette pas. André Brugiroux, qui a déjà publié "La terre n'est qu'un seul pays" semble le premier, et le seul a voir réalisé cet exploit, sans dépenser plus d'un dollar par jour en règle générale. Il nous parle de ses aventures, bonnes ou mauvaises, pas forcément de façon chronologique, mais avec un certain recul. En le lisant, je viens de faire une sorte de tour du monde, et de notre époque. Tout n'a pas été facile, mais il a toujours cru en sa bonne étoile et fait confiance à ceux qu'il a croisés sur son chemin. Il est devenu un adepte de Baha'u'llàh (1817-1892, ignorante que j'étais, je viens de le découvrir)

J'oubliais, "il me reste un blanc sur ma carte, dans l'océan indien, et ça me chiffonne" dit-il en terminant son livre : l'Archipel des Chagos. Il lance un dernier cri : "ö lecteur. Y aurait-il un skipper ou un skippeuse dans le port pour m'y conduire ?"

Avis aux amateurs, de récits, et de voyages !
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La Terre n'est qu'un seul pays

J'avais acheté ce livre à l'issue d'une conférence proposée par l'auteur dans le 19eme il y a déjà quelques années.



J'avais apprécié l'homme avec qui j'avais pu échanger sur le voyage.

Ce livre et cette conversation m'avaient fait jalouser le monde des années 60/70 que décrivait Brugiroux considérant ce que j'avais découvert lors de mes pérégrinations des années 80/90.



Quand je songe à mes dernières évasions juste avant l'ère Covid, les causes de cette jalousie me paraissent bien bégnines au regard de l'évolution radicale de nombreuses régions du monde ces 30 dernières années.



Uniformisation des villes et des modes de vie, destruction de la nature, explosion de l'urbanisation, acculturation des populations.



Et ces smartphones, dans toutes les mains, sous tous les yeux avec ces pouces qui courent sur les écrans et ces oreilles gavées d'écouteurs.
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La Terre n'est qu'un seul pays

Faire le tour du monde en stop, seul, avec un dollar par jour en poche, et ce, pendant des années, il fallait oser ! Eh bien André Brugiroux l'a fait ! Ce livre retrace son tour du monde en stop dans les années 60-70, depuis le moment où il économise assez d'argent pour réaliser son rêve jusqu'à son retour en banlieue parisienne. Il s'agit là du récit passionnant d'un homme très aventurier qui a choisi de vivre ses voyages de façon atypique. On le suit dans ses rencontres aux quatre coins du monde - un grand voyage avec son lot de surprises (bonnes et mauvaises) et de déboires, l'auteur a notamment attrapé la dysenterie (ou le choléra, on ne sait pas trop) en Inde, il a failli mourir de soif en plein cœur du désert australien, et l'on ne compte pas le nombre de problèmes auxquels il a été confronté aux douanes… Mais son amour pour le voyage, le monde et l'humain est plus fort que tout pour "Andy" comme on le surnomme, et il a poursuivi son périple parfois contre vents et marées… Un très beau récit de voyage qu'André Brugiroux résume en une phrase : "la Terre n'est qu'un seul pays".
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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

« L’homme qui voulait voir tous les pays du monde » a son titre tout trouvé : c’est l’histoire vraie d’un homme banal qui avait un rêve. Visiter tous les pays du monde ! Un souhait, un besoin plus qu’un pari.



André Brugiroux, l’auteur nomade, nous racontera sa vie, au détour de ses rencontres et ses voyages, au travers des pages de ce modeste livre. D’ailleurs, difficile de déterminer ce que c’est, un guide, une encyclopédie ?



Son périple débutera à l’aube des années 1955 et durera près de 60 ans… Il part à 17 ans avec 10 francs en poche. Il a commencé à une époque où les moyens n’étaient pas les mêmes, où tout n’était pas aussi cher, les gens peut être moins suspicieux, certains tous aussi généreux. Mais nous pourrons aussi constater le progrès ou les régressions de l’être humain. Peut être le moment – accompagné de cette pause actuelle – pour faire le point sur notre vie, nos rêves, nos réels besoins.



Dans ces années là – et même encore aujourd’hui pour certains pays, tout est question d’organisation, et d’autorisations administratives. Vous vous doutez bien qu’il y a 50 ans, toutes les frontières n’étaient pas ouvertes et les conditions d’accès étaient parfois très compliquées. Il faut pouvoir entrer dans tel ou tel pays par connaissance, par invitation ou hasard. Il lui faudra parfois plusieurs aller/retour ou attendre quelques années pour parvenir à rentrer dans certains pays, de l’Europe, à l’Asie, l’Amérique en repassant par l’Europe car un ami lui ouvre les portes, pour ensuite revenir vers l’Afrique. Et comme ça toute sa vie.



En 70 le stop, l’auto stop, le nomadisme, c’était très peu pratiqué, peu envisageable, incroyable, fou ! Qui ose partir à l’aventure ? Et bizarrement aujourd’hui, on trouve hallucinant de voyager ainsi alors que bien des moyens de locomotion sont à disposition et parfois peu chers.



On compare un voyageur-nomade à une personne sans attaches, sans avenir, comme un raté de la société qui ne possède rien qu’un sac à dos et des souvenirs. A l‘heure où aujourd’hui il faut acquérir maison, compte en banque et grosse voiture pour « réussir », il est peut être temps de se poser les bonnes questions.



Le nomadisme est un état d’esprit. On ne le fait pas pour la gloire ou parce qu’on n’a pas de sous pour voyager. On devient nomade par ce qu’on en a besoin. On veut rester libre. On veut réussir notre vie. C’est un énorme voyage intérieur, une ouverture d’esprit qu’on n’apprend pas avec le métro/boulot/dodo. Partie seulement 1 an et demi en mer, j’ai appris sur moi et le monde, bien plus que dans mes 40 ans de « vie d’avant ».



Pour revenir au livre, André Brugiroux nous contera évidement comment il a réussi à entrer dans les pays, mais bien sûr, nous donnera beaucoup d’anecdotes internationales mêlées à l’histoire de notre monde, des frontières. Vous vous en doutez, en 40 ans, il s’en est passé des choses !



• Fin 71, il est un des premiers voyageurs à pouvoir découvrir le Yemen, qui n’accueillait alors aucun touriste. C’est grâce à l’entraide et à des rencontres fortuites durant son périple, qu’il a pu entrer dans ce pays comme un membre d’une famille. Pourtant, pays protégé et non touché par les Trentes Glorieuses, il découvre encore des coutumes moyenâgeuses, où notamment, les femmes ne doivent pas croiser les hommes de la maison. C’est par un malheureux hasard que l’auteur y croise la femme de son hôte : la pauvre n’a d’autre moyen que de relever sa jupe pour se ouvrir le visage.. Charmant dit-il !



• Opposition dans les cultures : au Japon, fragment de la planète Mars échoué sur cette terre, c’est un déshonneur inenvisageable de faire du stop. Par contre, prendre un auto stoppeur est un grand honneur et certains Japonais feront même 700 km pour emmener en voiture André Brugiroux à l’étape suivante de son tour du monde !



• Les excisions des fillettes à Djibouti au moment de son voyage mais encore en pratique de nos jours chez certaines ethnies du Mali, du Sénégal et en Mauritanie..



Bien évidement, parti jeune de chez lui sur les routes de sa vie, son manque de connaissance de certaines coutumes lui valent quelques déconvenues administratives et judiciaires parfois, des passages en garde à vue, des nuitées au niouf. Son pire souvenir, en Afghanistan, où les soldats incultes ont l’arme particulièrement facile, les habitants peu enclins à l’hospitalité.. Assurément un pays superbe mais habité par le peuple le plus rustre qu’il lui ait été donné de rencontrer.



A l’opposé avec les Philippins, le peuple le plus gentil du monde..



Vous l’aurez compris, mon retour de lecture n’est une infime partie de ce livre-témoignage : « L’homme qui voulait voir tous les pays du monde » est un recueil d’anecdotes, d’histoires vécues au plus proche de l’humain et l’évolution de notre monde. Le tout dans une plume qui se veut très facile, imaginez vous un soir autour d’un bon feu et quelques amis qui vous racontent leur voyage..



Bizarrement, moi qui ai le sang de baroudeuse, je n’ai pas été envieuse. Certainement « le trop » de pays. Bien que ce soit sur plusieurs années, le livre lui ne défile que sur 200 pages rendant la lecture assez dense. Les informations fusent au rythme des pays visités. Les anecdotes médicales, les bons moments chez les locaux, les galères rencontrées aux douanes, tantôt comique comme en Ethiopie, tantôt tragique comme en Afghanistan.



Et je crois que c’est ce trop plein qui m’a étouffé. Malgré tout, je sais que lorsqu’on voyage, on aimerait raconter aux autres, tout ce que l’on a vécu. Trop ou trop peu, difficile de faire le choix et de résumer toute une vie dans seulement 200/300 pages.



Alors je parlerais tout de même de ce lire témoignage en positif : il est bon de le lire, de s’imprégner de toutes ces richesses que nous offre le monde, le partage et les rencontres avec l’humain. Surtout en ce moment..



Je vous spoile carrément mais oui, André Brugiroux a bien visiter Tous les pays du monde et son périple s’est achevé en 2016. Certes, il n’y était pas en club 5 étoiles à chaque fois, mais il a tout de même traversé les états administratifs de tous les pays de notre globe.. quoique.. Lorsque j’ai lu le livre, il y a quelques mois, l’auteur approchait des 83 ans et il ne lui restait que l‘Archipel des Chagos dans l’Océan Indien. Absolument impossible d’y aborder car les Américains y ont établis la plus grosse base militaire au monde, elle reste néanmoins accessible par la mer par des navigateurs qui arrivent à y faire escale. Si par hasard des voileux passent sur ce blog… !
Lien : https://felicielitaussi.word..
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La Terre n'est qu'un seul pays

J'ai eu la chance de rencontrer André Brugiroux lors d'une foire du livre à Bruxelles, il y a deux ans. Attiré par le stand "voyages", je me suis approché. A peine son livre en main, il entreprend de me raconter quelques unes de ses aventures. Sceptique je l'avoue, je me laisse malgré tout convaincre et achète son livre. Si j'avais connu le bougre à l'époque, je pense que j'aurai pris le temps de m'assoir. Comme quoi il faut parfois prendre le temps d'écouter ce que les gens ont à dire. Mes respects M. Brugiroux.
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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

Non, je n'avais jamais entendu d'André Brugiroux, alors qu'il a réalisé quelque chose d'exceptionnel. Il a réussi le tour de force de visiter (vraiment) tous les pays du monde, y compris des petites îles perdues dans l'océan. Il a écrit un livre "La terre n'est qu'un seul pays" (1975) et donné d'innombrables conférences partout dans le monde; mais je l'ignorais.

Au départ, ce garçon issu d'une famille modeste de la banlieue parisienne a fait des séjours en Europe pour devenir polyglotte. Puis il part au Canada et y gagne pas mal d'argent. C'est en 1968 que son immense périple commence. le voyageur ne cherche pas à gagner des sous, il utilise uniquement le stop, refuse systématiquement de dormir dans des hôtels, obtient souvent (sans la demander) l'hospitalité de personnes qu'il rencontre et se débrouille avec seulement 1 dollar par jour; il s'abstient même d'avoir une gourde d'eau, même dans les déserts les plus chauds ! C'est ainsi qu'il traverse d'abord toute l'Amérique, de la Terre de Feu à l'Alaska. Puis l'Océanie, l'Extrême-Orient, le Transsibérien, tout le Moyen-Orient et l'Inde. Ensuite l'Afrique. Pour finir, arrivée en Europe via Israël, en 1973. Et son père l'accueille alors ainsi: « Ah ! te voilà. Tu te crois malin de faire le tour du monde ». Pourtant, il n'a pas atteint encore son objectif. Même si la partie la plus aventureuse de sa vie est déjà derrière lui, au fil des années André Brugiroux parviendra à réaliser son rêve. Il se mariera avec une femme, rencontrée au Surinam, plutôt casanière !

Dans ce livre, l'auteur ne détaille pas toutes ses pérégrinations, et c'est bien ainsi: dans le cas contraire, la lecture aurait été longue et fastidieuse. Ce qui est remarquable, c'est la simplicité de son aventure. Ici, pas de support logistique, ni de soutien à distance, ni de plan défini à l'avance. Certes, avec un tel défi, on pouvait craindre le syndrome de la "recordite", l'envie de faire du chiffre. En fait, le voyageur veut surtout prouver – à lui-même et aux autres – qu'il ne faut jamais avoir peur d'autrui et qu'il y a toujours une bonne étoile qui nous sortira des situations les plus compliquées. Bien sûr, il a frôlé la mort plusieurs fois; il a attrapé en Inde une gravissime dysenterie, dont il subira les séquelles toute sa vie. Mais rien n'entame son optimisme foncier. En chemin, il trouve un idéal dans la religion baha'ie, qui a la particularité de n'exclure aucune religion et qui professe que la terre n'est qu'un seul pays, et tous les hommes en sont les citoyens. André Brugiroux a voué sa vie à un seul projet, et il a réussi.

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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

Sa vie pourrait-être un roman d'aventure, il a visité plus de 200 pays..

Et quels périples !

Il apprend plusieurs langues, rencontre de nouvelles connaissance qui pour certains deviendrons des amis.

Il sera tenté, par la richesse, l'amour, etc. Mais il réussira à continuer malgré tout son rêve d'enfant, visiter tous les pays du monde, et sa question : "Les hommes, seront-ils un jour capables d'établir la paix sur terre ?". Savoir si la paix est possible..

Un grand témoignage sur des voyages ceux d'un homme qui n'a pas abandonné son rêve d'enfant..



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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

S’il est un homme qui peut se targuer d’avoir réalisé, adulte, tous ses rêves d'enfant, c’est bien André Brugiroux. Surnommé « le pape des routards », il a d’abord bouclé en dix-huit ans d’auto-stop, bateau-stop et autres subterfuges peu onéreux, un incroyable tour du monde. Puis au fil des ans, des occasions et des conférences, il a réussi à poser son sac dans presque tous les pays du monde. Seule, l’Arabie Saoudite s’est longtemps refusée à lui, mais, il a réussi récemment, grâce à un concours de circonstances quasi miraculeux, à accrocher ce dernier trophée à son tableau de chasse de globe-trotteur ! Et tout ça, à raison d’un seul dollar par jour, sans jamais devoir payer pour coucher à l’hôtel (sauf quand c’était absolument obligatoire comme en URSS ou en Corée du Nord), sans se munir du moindre canif (en signe de non-violence assumée), ni d’une simple gourde même en plein désert (pour toujours devoir s’en remettre au bon vouloir de l’Autre).

« L’homme qui voulait voir tous les pays du monde » est un témoignage passionnant et époustouflant de toute une vie passée sur les chemins dans une quête assez unique de cette totalité de voyages qui vise le Livre des Records et frise un tantinet la monomanie. En effet, il reste à Brugiroux un lieu non visité, les îles Chagos, base militaire US vidée de ses habitants. Lire ces aventures permet d’apprendre pas mal de choses sur la réalité de pays dont le lecteur n’a souvent qu’une idée faussée par la présentation tendancieuse qu’en font nos médias. Que de péripéties, que de dangers, que de rebondissements, que de souffrances pour arriver à pareil résultat. L’auteur en tire la leçon suivante : « La terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens », précepte proclamé par Bahà'u'llàh, fondateur d’une religion universelle dérivée de l’Islam et prônant un idéal de paix par la gouvernance mondiale. Ouvrage que l’on conseillera aux amateurs d’aventures loin des sentiers battus touristiques, aux rêveurs de grands espaces, tout en se permettant deux petits reproches. Bien des lieux mériteraient de plus amples développements. L’auteur aurait pu en profiter pour réduire la durée de ses prêchi-prêcha baha'istes un brin lassants. L’enfer « mondialiste » est pavé de si bonnes intentions…
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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La Terre n'est qu'un seul pays

Un beau témoignage sur la rencontre des autres, sur les émotions liées à la découverte de l'ailleurs. Bien plus qu'un tour du monde, c'est un choix de vie qui nous est relaté.
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Le monde est mon pays

Perpétuel voyageur, André Brugiroux, surnommé le pape des stoppeurs ou des routards, a passé la totalité de son existence à voyager en auto, bateau ou avion-stop dans le monde entier. Il peut se targuer d’avoir visité l’ensemble des pays du monde et même des territoires aussi improbables que l’archipel des Chagos ou aussi impénétrables que l’Arabie Saoudite, le dernier trophée qu’il accrocha à son palmarès. Né en 1937, il démarra son périple en 1955 en refusant de payer pour quelque hébergement que ce soit et en se limitant à un budget d’un seul dollar par jour. Et il y parvint. Au terme de 18 années d’aventures autour de la planète, il cumula 400 000 km parcourus et pas moins de 135 pays traversés. Fort de ce premier exploit, il monta un film, donna de nombreuses conférences qui lui permirent de continuer sur sa lancée et, au fil des années, des opportunités, des hasards et des rencontres, d’ajouter de nouvelles destinations jusqu’à atteindre récemment son but ultime…

« Le monde est mon pays » n’est pas à proprement parler un récit de voyage mais plutôt une réflexion sur un retour d’expérience. Brugiroux n’ayant pas tout raconté ni dans son premier opus « La terre n’est qu’un seul pays », ni dans son précédent « L’homme qui voulait voir tous les pays du monde », ajoute diverses anecdotes en les classant par thèmes : le rêve impossible, la peur de l’inconnu, les règles de l’art, le stop, la solitude, la Providence et bien sûr, la quête spirituelle. Brugiroux s’envisage avant tout comme un missionnaire, c’est-à-dire un homme chargé d’une mission, celle de propager les idées du baha'isme, religion qui prône la paix universelle par une sorte de syncrétisme général et grâce à un gouvernement mondial éclairé. Le livre est fort intéressant et très bien écrit (le globe-trotter a bénéficié de l’aide d’un journaliste, Jérôme Bourgine). Dommage qu’il y ait tant de redites. Un grand nombre d’histoires ont déjà été racontées dans les précédents ouvrages d’où une impression de radotage un peu lassante.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

J'aurais vraiment aimé avoir entendu parler d'André Brugiroux il y a très longtemps. Son livre est très inspirant. Cet homme a accompli des périples absolument extraordinaires, dans des conditions incroyables. Quand on est soi même voyageur, ce livre donne confiance. Bravo pour tous ces exploits !
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Victor Hugo et l'ère nouvelle

Très beau livre qui a sans doute demandé un travail de recherche titanesque. C'est intéressant de voir le parallèle entre les écrits de 2 grands penseurs qui ont vécus à la même époque sans se connaître. André Brugiroux a un style.bien à lui, precis, documenté et drôle. On passe un bon moment et on s'instruire. Que demander de plus?

Tahar
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La Terre n'est qu'un seul pays

Livre prenant, qui en apprend beaucoup sur le monde, le voyage et les différentes cultures. Difficile de résumer 16 ans de voyage en un livre, certains passages sont parfois écourtés mais un film serait intéressant. Je le conseille pour les amoureux de voyage et ceux qui souhaiteraient faire un tour du monde.
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L'homme qui voulait voir tous les pays du m..

Une formidable aventure humaine sur plusieurs dizaines d' années. Un formidable périple autour du monde que tout voyageur rêverait de faire. J'ai parcouru avec vous Mr BRUGIROUX, à travers votre récit un tour du Monde inestimable, avec une formidable philosophie. Merci et j'espere que vous pourrez encore compléter longtemps les petits morceaux manquants.
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Victor Hugo et l'ère nouvelle

Le commentaire de Martine :

Je dois dire que cette lecture est surprenante de voir l’analyse en parallèle de la vision personnelle et littéraire de Victor Hugo et le message de Bahá’u’lláh, le fondateur de la foi bahá'ie.

André Brugiroux souligne les concordances qui sont présentes entre les textes de Victor Hugo, homme de littérature, poète et les écrits de Bahá’u’lláh, homme d’une grande spiritualité, et mystique. Ces deux hommes ont vécu à la même époque, mais ils ne sont jamais vus ou parlés, un vivait à Paris et l’autre à Téhéran, deux hommes qui ont été vécus en exil.

C’est un essai très intéressant, qui m’a permis d’apprendre de nouvelles choses, de me donner le goût d’approfondir certaines concordances soulignées, c’est une analyse assez étoffée. André Brugiroux, écrit dans un langage clair, il met l'accent sur les idées humanistes de Victor Hugo, et nous relate les révélations qui sont importantes pour lui puisqu’il pratique la foi Baha'ie, pour laquelle il veut porter le message partout dans le monde. C’est une lecture que j’ai tellement appréciée que j'aille le relire afin de bien comprendre et de saisir tous les messages qu’André Brugiroux veut partager et comparer de Victor Hugo et Bahá’u’lláh, deux témoins importants de l’histoire et de la spiritualité dans le monde.

Je recommande ce livre à tous les curieux, les lecteurs qui aiment Victor Hugo, ceux qui aiment des fondateurs de mouvements religieux, etc. Osez !


Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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La Terre n'est qu'un seul pays

Ce livre était mon livre de chevet dans les années 1978/1980 et c'est un peu à cause de lui que je suis devenu à l'époque "globe trotter".
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