AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Anne Wiazemsky (347)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Jeune fille

Dès les premières "pages", l'intérêt de Robert Bresson paraît suspect. Je serais alarmée qu'un homme âgé parle ainsi à mon adolescente. Et, effectivement, si le livre paraissait aujourd'hui, il serait une contribution à #metoo car on assiste à la mise en place de la souricière dans laquelle elle refuse heureusement d'entrer. A ce qu'il semble aux extraits sélectionnés par la radio, il semble qu'il ait eu raison d'insister puisqu'à un moment de détresse où elle s'est sentie abandonnée, elle semble se prêter à ses avances à cause d'une ellipse, mais ayant ensuite lu le livre entier, ce n'est pas le cas. Dirai-je assez combien je trouve farfelu qu'un homme de 65 ans se mêle de faire des avances à une adolescence de 18, à moins que lui-même ait été attiré par une mamie du même âge quand il sortait à peine du Lycée, et pire, qu'il continue à tenter de l'embrasser régulièrement après avoir été repoussé plusieurs fois ? Non, ça n'était pas mieux avant.



L'aventure humaine intéressait la future écrivaine autant que l'artistique : les liens avec le réalisateur, puis avec un acteur au cours du tournage sont dans sa focale, autant que les détails du jeu, de la mise en place du travail nouveau d'actrice. Il semble qu'à mesure qu'elle trouve sa place dans le donjon où tente de l'enfermer, quoi qu'elle en dise, Robert Bresson, et dans l'équipe de tournage, elle s'intéresse davantage à ce travail qui va changer, comme elle le ressent, sa vie pour toujours. L'aventure la fait aussi sortir d'un deuil paternel très difficile, la mort du comte Wiazemsky ayant eu lieu deux ans auparavant.



L'écriture n'est pas très littéraire mais le texte vaut pour son témoignage, autant d'une méthode de réalisation, d'une époque, que d'un phénomène d'emprise d'un créateur, entre tendresse et violence.
Lien : http://aufildesimages.canalb..
Commenter  J’apprécie          50
Une poignée de gens

Grace à plusieurs challenges je viens de découvrir une auteur qui m a beaucoup plu

Je suis ravie de mon voyage en Russie au temps jadis

Un roman sur fond historique comme je les aime des personnages attachants de jolis paysages ont fait que je ne me suis pas ennuyée et que je vais vite m empresser de découvrir cet autrice

Commenter  J’apprécie          50
Mon beau navire

Ce roman qui décrit bien les tourments et les découvertes d'une adolescente.
Commenter  J’apprécie          50
Mon beau navire

Roseliane, 13 ans est la narratrice. Fille d'un haut fonctionnaire en poste à Caracas elle effectue chaque été la traversée sur un transatlantique, avec sa mère, la belle Pauline, et son frère, Dimitri, pour rejoindre sa famille restée en France.



A travers ses yeux nous découvrons la vie sur un paquebot, en 1ère classe, dans les années 60 : officiers plein de charme, femmes seules amoureuses se retrouvent dans les coursives et les fêtes données.



C'est un livre léger, avec des personnages assez superficiels, mais la fillette est attachante.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
Commenter  J’apprécie          50
Un saint homme

Dans cette biographie l'auteur nous parle du père Deau qui a été son professeur de français à Caracas (Vénézuela) et son mentor, l'encourageant à écrire. Il ne cessera jamais de la soutenir et l'encourager, toujours disponible pour celle qu'il considère à la fois comme sa fille et sa soeur.

C'est un beau portrait d'homme.

J'ai aimé le style de l'auteur, ses évocations de Bordeaux, et de Malagar, la propriété familiale des Mauriac.

C'est court et le portrait brossé reste assez superficiel.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
Commenter  J’apprécie          50
Un saint homme

Je me suis souvent posé cette question sans passer à l’acte « Et si je racontais ma vie ». Pour qui le ferait-on ? Pour ses enfants, pour la famille. C’est ce que fait, en autres, Anne Wiazemsky, en lui ajoutant la publication chez Gallimard. C’est là qu’intervient deux différences de taille entre elle et moi. En premier lieu, sa vie est riche de deux métiers publics : actrice puis auteur ; ensuite, elle n’est autre que la petite fille de François Mauriac.



Mais est-ce bien là la seule raison d’écrire et de publier ses souvenirs ? Non, même si être la petite fille de celui qui a été un grand écrivain et ministre de De Gaule, ça aide. Mais là, dépassons tout cela et focalisons-nous sur cette tranche de vie qui croise celle du Père Dau à Caracas d’abord, puis à Bordeaux. Au Venezuela il était le professeur de français d’Anne.



« Allô allô Anne ? » Et les souvenirs rappliquent à la surface. Elle nous donne à découvrir la bonté de cet homme qui met sa vie entière au service des autres. Anne n’est plus croyante depuis longtemps mais il ne lui demande pas de le redevenir. Respect.



Je ne suis pas fan des bios. Quelques fois, je me laisse faire et c’est encore le cas cette fois-ci. Pourquoi ? Ne me le demandez pas, je ne saurais vous répondre. J’ai aimé ce livre. Passionnément ? Non. Avec grand plaisir, oui.



Je connais mieux aujourd’hui Anne Wiazemsky et son frère, Wiaz. Ça sert aussi à ça les biographies.

Commenter  J’apprécie          50
Un an après

Témoignage sur la vie de coupe entre Godard et Anne Wiazemsky qui démarre au début de la révolution de mai 68. Les étudiants, les lycéens puis les ouvriers organisent leur révolte sous les coups de matraques des forces de l'ordre. Dans se témoignage, on découvre l'intimité du couple et leur personnalité. Jean-luc est une révolté, maoïste et prend pard activement à la révolte. C'est un personnage au caractère difficile, un génie au franc parlé pas toujours cohérent et qui doute de lui dans sa relation intime car fragile. Anne est une bourgeoise, plus légère qui suit le mouvement par amour mais sans grande conviction. Elle se réfugie dans le cinéma et dans l'amitié qu'elle entretient avec Rosierbambam. Leur différence et les événements auront raison de leur couple...

Un livre intéressant qui permet de découvrir les événements de mai 68, vu de l'intérieur et les répercussions sur le pays mais aussi de connaître la personnalité de Jean-luc. Leur histoire évolue au milieu de la révolte étudiante et du monde cinématographique et c'est un point de vue très constructif. Cependant, il y a quelques longueurs et des répétitions qui essoufflent un peu le rythme de lecture.
Commenter  J’apprécie          50
Mon beau navire

Dans le cadre d'une croisière transatlantique, la relation tendue entre une mère fière et indépendante, son mari froid et distant et leurs deux adolescents. Un très beau roman
Commenter  J’apprécie          50
Une poignée de gens

Comme dans Les perles de la Moïka, Marie, l’héroïne est une française qui ignore tout de l’histoire de sa famille : des russes exilés et morts dans la misère à Paris depuis plusieurs années déjà. Elle reçoit un jour une lettre de Vassili Vassiliev qui lui apprend la mort de sa grand-tante Nathalie dont elle n’a jamais entendu parler. Vassiliev est bientôt de passage à Paris et souhaite lui remettre le Livre de destins d’Adichka, le mari de Nathalie.



Ce manuscrit qui a près de 80 ans relate un an dans la vie de Nathalie et d’Adichka, de leur mariage en 1916 à l’assassinat du prince un an plus tard. Au jour le jour, celui-ci relate la vie heureuse de cette famille aristocratique russe dans son domaine agricole, le plus important de tout le pays.



Cette famille fortunée et très chic vit pourtant assez simplement au cœur de la campagne russe, au gré de la vie agricole, des moissons, des provisions faites pour l’hiver. Un couple proche de la nature, très épris l’un de l’autre et dont le bonheur va être de courte durée. Le couple est pourtant mal assorti, Nathalie, tout juste âgée de 18 ans, très francophile, ne jure que par la musique et les romans français. Elle essaie de s’affranchir de ses devoirs de princesse, ne pense qu’à s’amuser, une attitude, sujet de remords qui la hantera toute sa vie, tandis que son mari âgé de 30 ans, profondément russe et traditionnel, dirige son exploitation et n’a de cesse d’essayer de la convertir à la musique et à la littérature russe.



On voit au fil des jours le drame arriver par la montée en puissance de la révolution russe. Les agitateurs bolchevicks hantent les campagnes pour convertir les paysans à leur cause jusqu’à ce que la révolte des paysans éclate. Quelle sera la réaction de l’aristocratie face aux revendications de leurs employés ? Que pourra faire Adichka pour préserver son domaine et ses traditions séculaires ?



Lire la suite...
Lien : http://deslivresdeslivres.wo..
Commenter  J’apprécie          50
Une année studieuse

'auteure nous raconte sa rencontre avec Jean-Luc Godard, 17 ans les séparent, elle a 19 ans, elle est mineur, nous sommes en 1966... Anne Wiazemsky est la petite fille d'un prince russe et de François Mauriac et Jean-Luc Godard un cinéaste célèbre, elle est alors encore étudiante, elle est un peu comédienne aussi. L'amour va les unir...



On est alors plongée dans le quotidien parisien de Jean-Luc et de Anne, pas facile de vivre une histoire d'amour lorsqu'on est mineure dans les années 60 et surtout lorsqu'on vit une histoire d'amour avec un cinéaste connu et reconnu par les étudiants, relation non acceptée par sa famille...



Elle nous raconte ses rencontre et amitiés avec Antoine Gallimard et son grand ami révolutionnaire sénégalais Omar Diop, le chef opérateur si ours Raoul Coutard, Robert Bresson, Jean-Pierre Léaud, François Truffaut, Bernardo Bertolucci et le critique Michel Cournot. On est alors avec eux sur le tournage de "La chinoise" (Pékinoise ?), le festival d'Avigon... ou encore chez Jeanne Moreau.



Toute une époque, tout un symbole.



Quelle agréable lecture, cela se lit très bien, une plongée dans le monde du cinéma des années 60, très intéressant !



L'auteure pose ses souvenirs là, tout simplement. C'est frais, c'est joli, attendrissant, j'ai beaucoup aimé.
Lien : https://influensmans.com/une..
Commenter  J’apprécie          50
Une année studieuse

L'improbable histoire d'amour entre la petite-fille de François Mauriac et le génie du cinéma français. J'avais beau connaitre les deux, avant de lire ce livre, j'ignorais tout de ce qui les avait liés.

Anne Wiazemsky nous raconte cette rencontre, cette fusion entre deux esprits cultivés, intéressés de tout, passionnés. Elle nous parle d'un temps où tous les intellectuels se connaissaient et se côtoyaient, où l'école de la vie apportait plus de culture que l'école scolaire. Elle nous parle de ses périples français, au détour desquels elle croisait Jean-Luc, un personnage à part entière, plus qu'un simple nom sur un générique. Elle nous parle des films de l'époque, de l'inspiration, de l'écriture, de la réalisation, des studios de l'époque.

Elle m'a fait rêver. J'aurais voulu connaitre ces années de profusion intellectuelle où chacun se passionnait pour des idées, pour un art ou même des arts. De ce temps des grands hommes, de toutes ces personnalités fascinantes qu'elle a connues, bien loin de nos célébrités actuelles qui ne sont rien de plus que leur propre image.

J'ai vraiment aimé qu'Anne Wiazemsky me raconte son histoire, cette histoire si spéciale et si riche.
Commenter  J’apprécie          50
Hymnes à l'amour

Mais, ce roman est aussi un hymne à la vie aussi. En ce moment Anne Wiazemsky est d'actualité avec s Edith Piaf : le film La Môme.

Il se trouve que cette chanson de Piaf la jeune Anne l'écoutait en boucle et se fut la chanson préférée de sa mère et de son amant, et de son père et de sa maîtresse. Drôle de coïncidence ou pas, la vie est tellement étrange parfois. Dans ce livre j'ai beaucoup aimé quand François Mauriac (le grand-père d'Anne et de Wiaz (le dessinateur du Nouvel Obs), il s'est occupé de l'éducation de ses petits-enfants à la mort de leur père) revient de Suède on lui a remis le Prix Nobel.

Les enfants n'ont rien à faire du Prix Nobel, il y a qu'une seule chose qui les intéresse c'est la magie du Nord : les traîneaux, les cerfs la féerie. Le contraste entre un grand homme et le monde de l'enfance. Très beau livre

et Anne Wiasemsky est au sommet de son talent quand elle parle d'elle même dans ses livres. Et je me souviendrai toujours du sourire et du plaisir du libraire de la Hune quand j'ai acheté ce livre à sa sortie. Je n'ai pas lu encore une Jeune fille mais je le lirai sûrement car j'aime beaucoup surtout quand elle parle d'elle. En tant que cinéphile j'ai vu Au Hasard Balthazar de Bresson à la cinémathèque.

J'ai lu presque tous ses romans le premier le beau navire, canine, j'avais beaucoup aimé aussi Marimè (clin d'œil à Malagar). Concernant une poignée de gens j'avais bien aimé mais j'en garde aucun souvenir. Puis j'ai arrêté de la lire mais je la relirai avec un immense plaisir.
Lien : http://livresdemalice.blogsp..
Commenter  J’apprécie          50
Canines

Un roman d'initiation au théâtre, à la vie amoureuse et aux relations féroces entre comédiens. La troupe que nous suivons depuis la première lecture du Penthésilée de Kleist jusqu'à sa représentations au festival d'Avignon est dirigée par Lucerne, metteur en scène aussi inspiré que déséquilibré par l'alcool, il ne cesse de harceler Alexandra, une des comédiennes.

Les incessantes manipulations subies par les acteurs, leurs antagonismes professionnels et sentimentaux, la vie de bohême dans Paris et Avignon, mais surtout la description précise de leur travail m'ont intéressée malgré le côté "bobo" de ce roman.
Commenter  J’apprécie          50
Canines

J'ai beaucoup aimé ce titre car l'histoire nous plonge dans l'univers du théâtre et retranscrit bien les relations metteur en scène-acteurs, le rôle du dramaturge, plus tard de la "technique", le métier d'acteur. Le personnage d'Alexandra est à la fois dans une sorte de fragilité mais qui arrive à s'affirmer peu à peu.



Le style m'a aussi plu. J'ai trouvé que la langue n'était justement pas trop technique et que les phrases s'enchainaient avec beaucoup de fluidité. Il y a une véritable ambiance tragique qui se crée autour de la pièce et qui m'a donné envie de la lire.
Commenter  J’apprécie          50
Mon enfant de Berlin

Lecture Jeune, n°132 - décembre 2009 - En 1944, Claire a 27 ans et sillonne la France occupée comme ambulancière de la Croix-Rouge. À Béziers, elle risque sa vie pour sauver les blessés sous les tirs des nazis. Jolie, intrépide, Claire est courtisée. À la Libération, elle ne veut plus épouser Patrice, son fiancé qui était prisonnier en Allemagne. Fille de François Mauriac, elle ose affirmer avec franchise à sa famille sa volonté d'indépendance. Elle choisit de poursuivre sa mission auprès de la Croix-Rouge en partant pour Berlin, chargée avec son unité du rapatriement des prisonniers. C'est dans la ville en ruines que la jeune femme rencontre Wia, l'amour de sa vie. Officier russe, il s'occupe de retrouver les personnes déplacées par les troupes nazies. Dans une très belle lettre adressée à ses parents, elle déclare que rien ne la fera changer d'avis : « Nous n'avons aucun point commun, mais je pense que c'est peut-être avec lui que j'ai une toute petite chance d'être heureuse ».

Cet amour follement romanesque ne laissera pas les adolescentes indifférentes. Claire forge sa personnalité et revendique ses choix : elle ne veut plus se contenter d'être « fille de... ». Son bonheur réside dans l'acceptation de son histoire familiale et dans la volonté de prendre sa vie en main. Pionnière de l'action humanitaire où la solidarité règne en valeur absolue, elle travaille inlassablement, se bat pour la vie. Ce récit linéaire, d'une écriture vive, se lit comme un roman d'aventures. Le lecteur découvrira seulement à la fin qu'il s'agit de la biographie qu'Anne Wiazemsky, « l'enfant de Berlin », a dédiée à ses parents. Cécile Robin-Lapeyre
Commenter  J’apprécie          50
Mon enfant de Berlin

Un livre qui rend un vibrant hommage à toutes ces jeunes femmes qui ont travaillé pour la Croix-Rouge pendant et après la guerre. Elles ont effectué un travail dangereux et courageux parfois au péril de leur vie.



Claire, l'héroïne de ce livre, est l'une d'entre elles, elle est enfin reconnue sans que soit pris en compte son lien de parenté avec son célèbre père, François Mauriac. Cet engagement va la faire passer du monde de la jeunesse au monde des adultes, elle va beaucoup évoluer.



Une certaine décision l'amène à partir pour Berlin, sa vie va en être totalement changée pour toujours. J'ai surtout aimé toute cette partie à Berlin, Claire est une jeune femme sensée, sensible et attachante.



Ce livre rend un deuxième hommage que je ne veux pas évoquer pour ne pas trop vous en dire. Je n'en dis peut être pas assez mais d'autres en disent trop et j'étais bien contente de découvrir ce livre sans rien en connaître. A vous de voir .... si vous voulez en savoir plus c'est très facile, il suffit de demander à Monsieur Google !




Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
Commenter  J’apprécie          50
Je m'appelle Elisabeth

C'est l'histoire de Betty, douze ans, la cinquième fille du directeur d'un hôpital psychiatrique dans les années 60. Elle habite une maison juste à côté et a toujours évolué au milieu des malades que son père refuse de soigner par les électrochocs ou la camisole de force. Certains sont jardiniers et connaissent bien « la fille du docteur », il y a aussi Rose qui aide à la maison pour la cuisine ou le ménage. Alors que ses sœurs plus grandes sont en pension, Betty s'ennuie un peu malgré la relation privilégiée qu'elle entretient avec son père lorsqu'il rentre le soir après le travail.

Est-ce la raison pour laquelle elle décide de cacher « le fou » qui vient de fuguer et auquel elle offre l'abri de sa cabane de jardin, lui apportant à manger ?

J'ai beaucoup aimé ce roman pour la description des relations entre Betty et « son fou » mais aussi pour la tendresse du portrait fait du père.

Une très belle histoire d'amitié et un beau regard extérieur sur les malades internés.
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..
Commenter  J’apprécie          50
Jeune fille

Un récit auto-biographique qui raconte comment une jeune fille de 18 ans (et petite-fille de Mauriac) devient en un été à la fois une femme et une actrice au milieu des années 60, sur le tournage de « Au hasard Balthazar » de Robert Bresson. Très joli récit tout en délicatesse qui fait beaucoup penser aux films de la Nouvelle Vague, « Masculin/Féminin » de Godard en tête. Un livre pour les cinéphiles mais et aussi les lecteurs intéressés par les parcours de femmes et les romans initiatiques sur le passage à l’âge adulte.



Commenter  J’apprécie          50
Mon enfant de Berlin

J'ai particulièrement apprécié cette vision de Berlin à l'issue de la seconde guerre mondiale. Cette thématique de la détresse des Berlinois à cette époque est peu souvent abordée.
Lien : http://surlaroutedejostein.o..
Commenter  J’apprécie          50
Mon enfant de Berlin

Claire Mauriac, la fille de François Mauriac, se trouve à Béziers durant un bout de la Seconde Guerre Mondiale où elle travaille pour la Croix Rouge française comme ambulancière. Une fois qu'on n'a plus besoin d'elle à Béziers elle rentre chez ses parents à Paris mais ne souhaite qu'une chose c'est repartir pour travailler avec la Croix rouge...
Lien : http://mustango.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          50




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anne Wiazemsky (1983)Voir plus

Quiz Voir plus

Anne Wiazemsky

"Fille de", non, mais petite-fille de :

André Malraux
André Maurois
François Mauriac
Georges Duhamel

10 questions
75 lecteurs ont répondu
Thème : Anne WiazemskyCréer un quiz sur cet auteur

{* *}