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Citations de Astrid Lindgren (87)


_ Qu'est-ce qui vous lie ?
_ C'est ma soeur ! Elle m'a sauvé la vie !
_ Et Birk a sauvé la mienne.
_ Ta soeur ?! Mon fils s'unit à la fille de mon ennemi dans mon dos !
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Tatie Kajsa a dit :
- Voyons, mon petit Totte, tu n'as pourtant jamais peur du noir quand tu es à la maison.
Lotta a répondu :
- Mais enfin, tatie Kajsa, tu comprends bien que le noir de chez soi, on le connait. Le noir de mamie, par contre, il n'est pas habitué.
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C'est une nuit pour les renards et les lutins.
Les gens dorment dans leurs fermes.
Et l'étoile du matin pointe déjà au-dessus de la forêt.
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Oh, comme cette nuit est claire ! La neige est si blanche et les étoiles si chatoyantes.
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Et puis, il y a les enfants, heureusement. Pelle joue avec Tjorven et Stina, surtout avec Tjorven. Je crois qu'il y a une petite lutte entre elles à son sujet, du genre « je l'ai vu le premier », mais Tjorven a l'avantage. Comment pourrait-il en être autrement ? C'est une enfant étonnante, la préférée de tout le monde, sans que l'on sache vraiment pourquoi. L'atmosphère est tout de suite plus détendue dès que l'on voit sa bouille sympathique. Papa dit qu'elle a quelque chose de l'enfant éternel en elle, un quelque chose de solaire et de chaleureux que tous les enfants devraient avoir, mais en réalité, ce n'est pas vraiment toujours le cas. Elle est la Tjorven de tout Saltkråkan, qui se promène par tous les chemins de
l'île, qui entre librement dans toutes les maisons et que l’on accueille partout par des : « Ah, mais voilà notre Tjorven ! ». Exactement comme s'il ne pouvait rien arriver de mieux à cet instant précis. Quand elle se fâche - ça arrive, car ce n'est pas un ange -, c'est comme si une force de la nature était libérée. Et croyez-moi, ça pète de partout ! Oh là là ! Mais ça passe vite.
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On vit dangereusement quand on a sept ans. Dans le pays de l'enfance, dans ce pays secret et sauvage, on peut frôler les pires périls et considérer que ce n'est rien de spécial.
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Il fallait profiter du moment tel qu'il se présentait. Par un matin ensoleillé comme celui-ci, la vie n'était que pur bonheur. Pouvoir sortir en pyjama directement dans le jardin, sentir l'herbe sous les pieds, piquer une tête au ponton puis s'asseoir à la table du jardin qu'il avait peinte de ses propres mains, lire un livre ou le journal en buvant un café pendant que les enfants bourdonnaient alentour, il ne demandait rien de plus à l'existence.
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Quand elle parle de "journée de trop vert", elle veut dire une "journée de travers", où tout va mal. Selon moi, avec Lotta, les journées de trop vert, c'est plus ou moins quotidien. (p.65)
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D'après papa, avant qu'il ait des enfants, c'était calme à la maison, mais ensuite, c'est devenu un vrai charivari. Mon frère est né avant moi. Papa dit que chez nous, le vacarme a commencé le jour où Jonas a été assez grand pour frapper contre le rebord de son lit avec son hochet quand lui voulait dormir le dimanche matin. Et depuis, le ramdam de Jonas n'a fait qu'empirer. Voilà pourquoi papa l'appelle "Grand Boucan". Moi, il m'appelle "Petit Boucan". Au moins, je ne fais pas autant de tintamarre que Jonas. Parfois, ça m'arrive de ne pas faire de bruit du tout pendant très, très longtemps. Après, un troisième enfant est arrivé : Lotta. Elle, papa l'appelle "Tohu-Bohu", mais je ne sais pas pourquoi. (p.5)
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une, deux, trois, dix-neuf, ouvrez les yeux.
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Fifi s'assit calmement sur les marches de la pharmacie et mit ses flacons en rang.
- Vraiment, qu'est-ce que les grandes personnes manquent d'esprit pratique parfois ! Regardez, j'ai un, deux... huit flacons alors que tout pourrait tenir dans une seule bouteille. Encore heureux que j'aie un peu de bon sens, moi.
Sur ce, elle ôta les bouchons, versa le contenu des huit flacons dans un seul et le secoua énergiquement. Puis elle porta le goulot à ses lèvres et but de grandes gorgées. Annika, qui se rappelait que certains médicaments étaient à usage externe, s'inquiéta un peu.
- Fifi, comment sais-tu que ce médicament n'est pas dangereux ?
- Je m'en rendrai compte, répondit joyeusement Fifi. Je le saurai demain, au plus tard. Si je suis encore vivante, c'est qu'il n'est pas dangereux et même un tout petit bébé pourra en prendre.
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- Mais alors, qui te dit d'aller te coucher quand c'est l'heure? reprit Annika.
- Moi. D'abord je me le dis gentiment et, si je n'obéis pas, je le répète sévèrement. Si je n'obéis toujours pas, je me promets une fessée! Vous me suivez?
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Voilà de quoi elle (Fifi) avait l'air:
Ses cheveux roux comme des carottes étaient tressés en deux nattes qui se dressaient de chaque côté de la tête. Son nez, parsemé de taches de rousseur, avait la forme d'une petite pomme de terre nouvelle. Sous ce nez, on voyait une grande bouche aux dents saines et blanches. Sa robe était fort curieuse. Fifi l'avait faite elle-même. elle aurait dû être bleue mais, à court de tissu bleu, Fifi avait décidé d'y coudre des petits morceaux rouges çà et là. elle portait des bas - un marron, un noir - sur ses grandes jambes maigres. Et puis, elle était chaussée de souliers noirs deux fois trop grands pour elle. Son papa les lui avait achetés en Amérique du Sud pour que les pieds de Fifi aient la place de grandir un peu. Fifi n'en avait jamais voulu une autre paire.
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Si tu fais abstraction de ta peur, tu ne te sentiras plus en danger.
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- J'aime les trolls des ténèbres et les pataudgrins. Mais pas les nains gris ni ces horribles sylves sauvages !
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Si, Goupil, il y a quelqu'un qui te voit, même si tu ne le sais pas. C'est le lutin, lui qui veille sur la ferme pendant la nuit.
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- Tu ne peux pas envoyer tes enfants dans le Pacifique avec Fifi Brindacier !
- Et pourquoi pas ? Fifi ne se conduit peut-être pas toujours comme il faut, mais elle a un cœur d'or.
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Tous les fantômes habitent dans mon grenier. Et inutile de leur demander de partir. Mais ils ne sont pas méchants. Ils te pincent juste de temps en temps au bras, ça te fait un gros bleu, c'est tout. Et puis, ils hurlent et jouent aux quilles avec leur tête.
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Les gens ont le droit de vivre où ils veulent !
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— J'ai pas l'impression que tu connaisses les bonnes manières avec les dames, dit-Fifi.
Sur ce, elle empoigna Bengt de ses bras costauds, le souleva et l'accrocha à une branche d'un bouleau qui se trouvait juste à côté.
Elle se saisit du deuxième garçon et le suspendit à une autre branche ;
elle attrapa le troisième et le jucha sur le pilier de la grille d'une villa ;
elle balança le quatrième par-dessus une clôture de jardin et il atterrit sur un parterre de fleurs.
Quand au cinquième garnement, elle l'installa dans une petite carriole au milieu de la rue. Fifi, Tommy, Annika et Willie contemplèrent un moment les garçons qui n'en revenaient pas.
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