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Critiques de Bob de Groot (394)
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Lucky Luke : Mythes et réalités du Far West

Ce bouquin collectif de 128 pages, dos toilé est à glisser absolument à côté des albums de Lucky Luke. Une galerie de portraits des héros divers (inspirés souvent par des acteurs ou célébrités) en belle conclusion.
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Léonard, tome 33 : Y a du génie dans l'air !

Y a du génie dans l’air !, et plus précisément dans l’atelier de Léonard, qui s’intéresse de près aux phénomènes naturels (entre autres études et inventions), au grand dam de son disciple et bouc-émissaire favori, Basile.



Un ami m’a recommandé cette BD sous prétexte que, je cite, je lui faisais vaguement penser à Léonard. Eh bien, après avoir découvert le personnage en question, je songe que s’il a eu l’audace d’émettre une comparaison aussi peu flatteuse, c’est parce que je ne l’ai encore jamais tromblonné. (Note pour plus tard : y remédier.)



Trêve de racontage de vie, venons-en à la chronique. Et… J’ai bien aimé, même si j’ai été quelque peu… déroutée par le parti pris anachronique de l’auteur, et surtout par le fait que Léonard utilise une machine à voyager dans le temps pour étudier la technologie / gastronomie / mode du futur qu’il revient ensuite inventer dans le passé. Ce ressort comique ne m’a vraiment pas convaincue.



Le reste, en revanche, m’a plutôt fait rire, quoique je comprenne que l’on puisse trouver la plupart des gags redondants (notamment ceux qui consistent à persécuter ce pauvre Basile). Bien qu’il n’ait pas un très grand rôle, j’ai beaucoup aimé le chat Raoul qui, par son espèce, ses commentaires cyniques et sa manie de briser le quatrième mur, n’est pas sans m’évoquer Garfield.



C’est avec plaisir que je me plongerai dans d’autres tomes de cette bande dessinée, et ça tombe bien, parce que j’en ai encore deux dans ma PAL qui ne demandent qu’à en sortir !
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Léonard, tome 1 : Léonard est un génie

Turk et De Groot ont créé une bande dessinée amusante et décalée avec "Léonard de Vinci et son disciple". Le portrait haut en couleurs de Léonard en génie fou apporte une touche d'humour noir à l'histoire. Le contraste entre le personnage de Léonard et son disciple trop paresseux crée une dynamique comique hilarante de mon point de vue. Cette bande dessinée est une lecture rigolote pour ceux qui aiment les histoires décalées et les personnages originaux.

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Clifton, tome 1 : Ce cher Wilkinson

Il se passe des choses bizarres chez Clifton , les objets se déplacent tout seul ...

Il n'y a que Wilkinson pour arriver à faire ça , mais quand des bandits se servent de lui pour voler des coffres - forts , Clifton va mener l'enquête aidé ou pas par des policiers incompétents ...





*************



Humour au rendez - vous dans ce premier tome de la série Clifton ; Un "télékinésiste" , une cuisinière hors pair , des policiers loufoques et inutiles , voilà tout ce petit monde pour une histoire drôle , rocambolesque , mais pas inoubliable , mais sympa quand même .
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

C'était mon premier lucky luke.

J'ai beaucoup vu le dessin animé étant petite, mais je n'avais pas lu la BD. Apparemment, je ne commence pas avec le plus représentatif car Morris venait de changer de scénariste (RIP Goscinny) pour celui de la BD 'Leonard'. Bref, tout cela ne me concerne pas vraiment, et j'ai apprécié ma lecture.

J'ai bien ri, notamment tout le début avec la famille Caille, et la partie où Jolly Jumper se moque de Lucky Luke après sa défaite aux dés. J'ai d'ailleurs été surprise de les voir discuter ensemble, je n'avais pas le souvenir qu'ils se comprenaient. En tout cas, les personnages sont bien écrits, et le plus intéressant reste les interactions qu'ils ont entre eux.

Pour le reste, Lucky Luke a pas peur de personne, et fait ses trucs habituels. On passe un bon moment et on termine avec el classico soleil couchant et notre cow-boy qui chante sa complainte solitaire.



OK Tier.





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Des villes et des femmes - Intégrale

Elle s'adresse majoritairement à un public de complétistes du dessinateur. Ils y trouveront leur bonheur.
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Robin Dubois, tome 10 : Négoce en Ecosse

Cet univers parallèle à celui du célébrissime "Léonard" mériterait d'être plus connu car très proche dans le style et la qualité des textes.

Un graphisme simple, mais bourré de détails, de jeux de mots ("Tourdebab Ale since 1145" est une marque de bière... tout comme "Morth Ale") et d'anachronismes judicieusement choisis (Ne pas hésiter à srcuter les décors...). Des textes à l'humour varié allant de la blague potache à un second degré nécessitant quelques notions d'histoire. Des couleurs chatoyantes qui mettent en valeur les détails.

Si vous ne connaissez pas cette série de Turk et De Groot, ce dixième opus est certainement l'album que vous devez choisir.
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Léonard, tome 1 : Léonard est un génie

Le 1er tome de notre plus grand génie .
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Robin Dubois, Tome 15 : L'Eldoradingue

J’adore les Robin Dubois ! Je dois être l’une des rares lectrices à avoir toute la collection ! Hahaha ! Cette BD traverse les époques, l’humour y est omniprésent, avec des personnages hauts en couleur (forcément).
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Léonard, tome 16 : Génie à revendre

Recueil de petits sketches.

Loin d'être hilarant, mais quelques bonnes idées et on se divertit assez bien.

Dessin simple accompagnant un scénario fluide (peu de personnages).
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Robin Dubois, Tome 17 : Tu viens, shérif?

cooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooollllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
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Léonard, tome 5 : Génie à toute heure

Une de cette série que je préfère
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

Lucky Luke vient en aide à deux frères bricoleurs de génie qui ont mis au point l'une des premières machines à sous. Occasion d'explorer les clichés de la conquête de l'ouest en lien avec le jeu: les bagarres de saloon, les tricheurs enduis de plumes et de goudron.... Toujours de l'humour, des jeux de mots malheureusement il manque un petit quelque chose en plus... La Goscinny touch sans doute.
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Le vin des crapauds

« Le vin des crapauds » de Saïd Mohamed, orné de linogravures de Bob De Groof et d’une préface de Cathy Garcia, Ed Les Carnets du Dessert de Lune, 2017. Collection Pièces Montées. 18 €.



En 1995, je publiais pour sa première édition « Le vin des crapauds » ( Polder n° 81). Petit format avec un dessin de couverture signé Fatmir Limani de Kitoko Jungle Magazine. Seconde édition en 2017 chez Jean-Louis Massot : grand format avec 14 linogravures de Bob de Groof du même Kitoko Jungle. Fidélité aux textes et aux illustrateurs.

Si l’on compare les deux versions, on voit que Saïd a complètement remanié ses poèmes. Changement dans les vers, redécoupage des strophes, bouleversement dans l’ordre des pages, le début devient la fin… Pour autant, l’impact global reste le même. Une révolte pure contre la société, une dénonciation vindicative et vengeresse du système, un cri primal contre l’injustice et la haine. Les poèmes ont été écrits pendant la première guerre d’Irak, c’est dire qu’ils restent d’actualité. « Ce n’est pas un poème mais une agression… »

Saïd Mohamed sait jumeler des éléments disparates a priori, où abstrait et concret s’aimantent : « …mélange d’excréments et de sentiments […] De foi et de vomi, de moignons et de décadence… » Il peut aussi allier des mots voisins comme fous et gueux, fourbes et niais ou fantassins et bâtards… La trivialité très fréquente fait partie de la violence du discours. Son style reste semi-lyrique avec des emportements fougueux, mais toujours phrasés. Il est capable d’aligner le nom des bourses mondiales au même titre que faire appel à des références médiévales, cette contradiction apparente montrant bien l’état du monde et ses écarts vertigineux au sein d’un même siècle. Les imprécations, avec son lot d’exclamations et d’apostrophes sont monnaie courante : « Dieu, je n’ai jamais prononcé ton nom / Je t’ai maudit, chien de ta mère pour en aveugle / M’avoir conduit dans un monde que je renie. » De même, il règle ses comptes avec sa mère : « Pourquoi comme un chat ne m’as-tu pas / Au fond d’un sac jeté, et aussitôt noyé ? / Aujourd’hui, je ne te maudirais pas… » Il ne se fait pas de cadeau non plus dans ce vers, où l’antithèse est perceptible et l’asyndète éloquente : « Je ne suis pas ignoble, j’ai honte de vivre ».

« Le vin des crapauds » garde indemne sa charge virulente contre tout ce qui représente aux yeux du poète l’enfer sur terre. Les linogravures hallucinées de de Groof sont au diapason des poèmes apocalyptiques de Saïd Mohamed. Chiens et crocodiles aux yeux exorbités et autres monstres emportés dans une tempête noire, mitraillettes et crânes, grimaces et squelettes débordent le cadre. Ainsi, comme il est dit à la dernière ligne du livre : textes noirs et dessins cauchemars sont leur façon de dire : « Non à l’horreur ! » hier comme aujourd’hui.

© Jacques Morin, in Décharge



Au fond du désespoir

A l’orée du printemps, Les carnets du dessert de lune gâte ses lecteurs après le très beau poème, l’ « Exode », de Daniel de Bruycker magnifiquement illustré par des photos de Maximilien Dauber, il leur propose ce recueil, grand format cette fois, de Saïd Mohamed tout aussi magnifiquement illustré par des linogravures de Bob De Groof. Des illustrations en blanc sur noir qui montrent des personnages fantasmagoriques effrayants, tout en rondeur, avec des grands yeux ronds hébétés, inhumains, des personnages agressifs et des personnages qui subissent l’agressivité des précédents. Un monde fantastique et violent qui symbolise notre société où les puissants terrorisent les faibles.

Ces dessins de monstres effrayants illustrent à merveille la douleur et le désespoir que Saïd Mohamed éprouve après toutes les guerres et tous les attentats qui ensanglantent notre monde.

« Je n’ai pas souvenir d’un instant de paix,

Chaque jour déverse son lot guerrier

Et nous maintient la tête sous l’eau.

Nous devons cesser de croire possibles la beauté et

L’amour. »

Et, il accuse ceux qui tirent les ficelles et profitent de toutes les horreurs perpétrées pour asseoir leur pouvoir et leur fortune.

« Nous buvons le fiel du vin des maîtres,

La corde sur le cou, attendons à leurs pieds »

Le désespoir l’emporte aux confins de l’humanité, là où même le pardon n’est plus possible, là où pardonner n’a même plus de sens.

« Je crains ne jamais pouvoir donner le pardon

A l’œuvre de l’enfer. »

Non content de s’en prendre aux faiseurs de guerre, à ceux qui tirent les ficelles, il s’en prend à sa mère à qui il reproche, atteignant le fond de l’abîme du désespoir, de l’avoir mis au monde.

Mère, pourquoi n’as-tu pas pris tes précautions

"Quand à mon père tu t’es jointe ?

Pourquoi comme un chat ne m’as-tu pas

Au fond d’un sac jeté, et aussitôt noyé ? »

Et si la mère n’a rien fait pourquoi Dieu ne l’a-t-il pas fait ?

« Dieu, je n’ai jamais prononcé ton nom.

Je t’ai maudit, chien de ta mère pour en aveugle

M’avoir conduit dans un monde que je renie. »

Tout le venin a été craché, « Pas dit qu’on boirait de ce vin-là » comme l’écrit Cathy Garcia dans sa préface mais on a envie de savoir jusqu’où le poète plongera dans son désespoir. Jusqu’au nihilisme le plus suicidaire peut-être.

« Mange ton fils, amère humanité

Et pose-lui le couteau sur la gorge. »

Dans sa postface, Saïd Mohamed précise que « Le vin des crapauds a été écrit en grande partie pendant la première guerre d’Irak, de 1990-91 » et qu’il lui « est apparu essentiel de republier l’ensemble de ces textes » « devant les événements récents et ceux à venir.. » Il ne veut pas seulement parler des horreurs des attentats mais aussi de la façon d’attribuer ce qui n’est qu’un plan pour détruire les vieilles civilisations en les assujettissants mieux aux lois du marché, à un Nouvel Ordre Mondial, l’Axe du Mal.

© Denis Billamboz in http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/50361



On ne guérit pas, dit-on, de son enfance. Certains l'ignorent, d'autres pas. Saïd Mohamed est de ceux-là.

Il y a cette enfance qui nous façonne et qui nous marque, parfois au fer rouge. Ce temps que l'on vit parfois - ce fut le cas - dans un arrachement qui met à vif, une brutalité qui donne envie de briser les cadres. Il y a la conscience que l'on en a et qui permet aussi, plus tard, de relire cette enfance comme la chance de ce qui vient et où l'on a sa part à construire. L'enfance est aussi une fenêtre ouverte dans le mur. Dans les murs. Tous. Il y a aussi cette conviction que la parole peut être prise et qu'elle est un puissant outil pour dénoncer et inviter autant qu'un vrai chemin vers soi et vers les autres. Dès lors, l'adulte qui est au monde chargé de son passé, de son histoire, regarde ce qui l'entoure, ici et là-bas. Et tout ce qui en lui fait cicacrice redevient aussi plaie vive. La guerre, les destructions, l'exploitation, les pouvoirs de mort et d'argent (qui, de tous temps, vont si bien ensemble), les injustices, mais aussi l'indifférence, la veulerie, l'égoïsme, tout cela remonte dans un immense haut-le-cœur. L'écriture se fait vomissure qui libère, en les nommant, des sanies d'un monde auquel le poète appartient, en toute conscience, et où il trouve sa place en prenant la parole pour dire. Ce "vin des crapauds" est un vin aigre. Il a la couleur d'une souffrance coagulée. Mais on aurait tort de n'y voir qu'indignation et désespoir. Derrière le désarroi dont il témoigne, le poème érige son phare, appelant à l'éveil et à la vigilance, affirmant aussi une présence qui, dans le partage de la parole, est finalement salutaire et fraternelle.

© Alain Boudet in La Toile de l’un

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Rantanplan - H.S. 3 : Haut les pattes !

Des petites saynètes autour de la vie de Rantanplan.

On retrouve donc l'ambiance western, mais celà manque beaucoup d'imagination. En effet tout ne tourne qu'autour de Rantanplan qui mange et Rantanplan qui dort.

Pas très drôle malheureusement.
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Archimède - Intégrale

Une émouvante pièce de collection pour ceux qui ont connu ces heureux temps, une belle découverte pour les autres.
Lien : http://bdzoom.com/109493/act..
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Clifton, tome 8 : Week-end à tuer

Ambiance British à souhait. L'album est bien rythmé du début à la fin. Des jeux de mots qui font ''mouche''. Et un excellent personnage en contrepoint du colonel Clifton, la célèbre Agatha (...Christie?).



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Léonard, tome 43 : Super-génie

Les gags de cet album sont tous réussis. De Groot renouvèle son petit univers et Turk nous fait rire grâce à son talent de dessinateur.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Léonard - Intégrale 2 : Je pense donc génie !

Quel plaisir de relire quelques histoires de Léonard et son fidèle disciple ! La dernière fois, c'était il y a plus de trente ans dans le magazine Pif Gadget. Difficile de choisir parmi la quarantaine d'albums publiés depuis 1977. Celui-ci est un bon compromis. En effet, il s'agit d'une compilation composée de trente-quatre histoires extraites des albums n°1 à 39 (dont une inédite) présentées par ordre alphabétique des noms des inventions (de A comme Appeau à W comme Wagon-restaurant).



Chaque histoire est constituée d'une (D comme Douche) à dix pages (J comme Jeux vidéo). Leur construction est souvent identique.



Premièrement : Léonard réveille brutalement Basile son disciple, véritable faire-valoir. Les histoires pourraient parfois s'arrêter là. Car Léonard utilise mille et une façons différentes pour lever son disciple.



Deuxièmement : l'expérimentation de la dernière invention du génie. Ses inventions sont souvent visionnaires (M comme Machine à laver, V comme Voiture turbo…), parfois culinaires (N comme Nougat…). Certaines sont totalement farfelues. Comme l'invention qui permet de pénétrer dans un livre ! (C comme Ceinture métaphysicosinusoïdale). Une autre (I comme Internet) dans laquelle on voit nos deux compères circuler sur les autoroutes de l'information est complètement surréaliste. Mais les inventions les plus simples sont souvent les meilleures (B comme Bouée de sauvetage, P comme Poker…).



Troisièmement : les conséquences catastrophiques sur le disciple. le pauvre est régulièrement écrasé, coupé, haché menu, brûlé, carbonisé, explosé, etc. Cela fait penser aux gags de Tex Avery. Même une invention à priori inoffensive (H comme Hamac) n'est pas de tout repos pour Basile. Il faut dire que le maître fait souvent preuve de méchanceté gratuite. Cela en devient même gênant à la longue.



Les seconds rôles sont également tordants. Principalement le chat tigré qui apporte à l'action une touche de philosophie personnelle avec ses bons mots. D'autres observateurs (une souris et un crâne) font aussi des commentaires hilarants en arrière-plan. Les auteurs utilisent souvent des astuces visuelles, notamment dans les bulles, pour générer le rire chez le lecteur (le ZZZ du dormeur se transformant en XXX suite à une remarque de Léonard, les bulles dactylographiées lors de l'invention de la machine à écrire, etc.). A noter que Léonard se sert souvent des noms de membres de la famille de son disciple pour désigner ses inventions. Ainsi, le grand-père s'appelait Ettore Trampoline (T comme Trampoline), la maman AZERTY car d'ascendance tchèque (M comme Machine à écrire).



Je n'ai pas trouvé les histoires trop répétitives. Les inventions sont variées et amusantes. Mes préférées sont l'invention du chèque, des frites (idée abandonnée par Léonard car trop dangereuse mais un belge passant par là…) et de la bande dessinée. Mais je pourrais presque toutes les citer !



Enfin, les dessins humoristiques sont sympathiques. Les décors et les vêtements italiens du XVème siècle s'inspirent de l'époque du vrai Léonard de Vinci.



Je relirais probablement ce best of à l'avenir. Cependant, j'arrête là avec cette série pour le moment afin d'éviter l'overdose.
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Léonard, tome 34 : Docteur Génie et Mister Aïe

Léonard et son disciple!!! toujours aussi amusants!
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