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Citations de Boucar Diouf (151)


Lorsque les conséquences de nos mots sont plus fâcheuses que le plaisir qu'on a à les décliner, il est préférable de se la fermer.
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La main qui donne est toujours au-dessus de celle qui reçoit.
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Le soleil n’a jamais arrêté de briller au-dessus d’un village parce qu’il est petit. C’est ce qu’il faut dire à tous les coopérants qui donnent de leur temps ou de leur argent pour soulager les plus vulnérables. Tous ces gens qui, comme des rayons de soleil, illuminent du mieux qu’ils peuvent le quotidien de ceux qui se sentent constamment dans la pénombre.
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Toujours courir n’empêche pas de mourir, tout comme aller au ralenti n’empêche pas de vivre.
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Celui qui a déjà été mordu par un serpent se méfie parfois de ses lacets. J
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Si les lions avaient leurs historiens, les récits de chasseurs ne seraient plus pareils. C’est ce qu’on dit aussi au grand-père qui a tendance à magnifier ses exploits de jeunesse devant ses petits-enfants. Quand il raconte la fois où il a tué un ours à mains nues ou celle où il s’est réfugié sur un arbre pour échapper aux loups, sans succès, car les canidés sont allés chercher leurs amis les castors pour les aider à couper l’arbre, ce proverbe est de mise.
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Boucar Diouf
Si la barbe était signe de sagesse, le bouc serait le roi de la planète.
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 L’immigration est une renaissance douloureuse, surtout pour ceux qui ne travaillent pas à empêcher l’araignée de la nostalgie et de la mélancolie de tisser sa toile dans leur nouveau berceau. Il y a des immigrants qui aboutissent inévitablement dans le mur de la déception parce qu’ils ont les yeux constamment rivés sur le rétroviseur
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« L’épine dans la chair d’autrui est toujours plus facile à enlever. »
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Quand on commence à apprendre à l’enfance, l’apprentissage est brillant et éclatant comme le soleil du matin. Mais quand on commence à apprendre dans ses vieux jours, l’apprentissage est comparable aux flammes d’une bougie. En effet, leur lumière illumine bien plus faiblement que celle du soleil, mais n’est-ce pas mieux que l’obscurité totale ? Et savez-vous quoi ? Mon voisin a tellement compris le message qu’on est devenu les meilleurs amis du monde.
Peu importe la couleur, la race, la religion, le sexe ou le compte en banque, disait mon grand-père, le cœur de l’homme est un pays étranger. Il suffit parfois d’en parcourir un morceau pour découvrir des coins de splendeur.
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Lorsque les conséquences de nos mots sont plus fâcheuses que le plaisir qu’on a à les décliner, il est préférable de se la fermer.
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Le rire, disait mon grand-père, a cette grande capacité de rapprocher les gens en faisant tomber leur barrière de protection.
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Dans le village que tu ne connais pas, si tu vois que les gens marchent à quatre pattes, essaie de les imiter. C’était le conseil de mon aïeul pour éviter à l’étranger les maladresses inhérentes au choc des cultures.
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La première composante de la personnalité humaine soluble dans l’alcool était inévitablement la dignité.
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La seule chose que l’ivresse révèle chez l’être humain, c’est sa grande proximité avec le singe.
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C’est avec le bois qu’on ramasse pendant sa jeunesse qu’on se chauffe dans ses vieux jours !
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Si on ne peut l’obtenir en criant, mieux vaut essayer en léchant.
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Si le temps, c’est de l’argent, il faut peut-être commencer à taxer l’autre qui nous demande si on a une minute pour lui. Aujourd’hui, le travail est une valeur et la paresse est un vice qu’il faut combattre. Rester à ne rien faire quand il y a des choses qui doivent être accomplies, ce n’est pas bien.
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Les violences physiques et verbales sont comme de lourds bagages qui s’empilent dans la valise de vie de l’enfant qui les subit. Et plus elles s’accumulent, plus traîner cette valise est pénible. Devenu adulte, celui qui est flanqué d’un tel poids aura besoin de beaucoup de courage et d’aide pour s’en départir. Pour cause, ces mauvais compagnons se mettent parfois à nous supplier et à nous rappeler qu’ils sont nécessaires, voire indispensables à notre vie ou à notre bonheur. Et, comme la peur de s’attaquer à ces indésirables est réelle, certains choisissent l’aveuglement.
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Même le bonheur, disait le sage, il faut le partager si on veut vraiment le multiplier.
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