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Critiques de Carlos Fuentes (144)
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L'instinct d'Inez

Quatrième de couverture :

Londres, 1940. Le célèbre chef d'orchestre français Gabriel Atlan Ferrara monte "la damnation de Faust" d'Hector Berlioz. Il rencontre une jeune cantatrice mexicaine, Inés, qui deviendra Inez Prada. Passion impossible qui ne connaîtra que deux autres rencontres, lors de deux représentations de 'Faust' où Inez, devenue diva, chantera Marguerite. Mais Inez est habitée par un autre personnage, une femme ayant vécu à l'aube de l'humanité, peu avant les grandes glaciations, et dont le destin sera tragique. C'est cette femme qui découvre le chant comme nécessité pour exprimer ses sentiments. Deux intrigues se nouent ainsi autour d'une conception du temps : le passé est un futur et le futur un éternel retour dans la spirale infinie de la Création permanente à partir du chaos de l'origine, symbolisé par le finale de 'La Damnation de Faust'. Dans 'L' instinct d'Inez', Carlos Fuentes revient à l'une de ses meilleures veines : celle du mystère des êtres dont l'essence profonde excède leur propre histoire, pour entrer dans la chaîne multiple de l'histoire de l'humanité.



Non, je n'ai pas lu ce livre, au vrai sens du terme. Après deux chapitres qui m'ont agacée, j'ai parcouru le reste en diagonale pour voir si vraiment je pouvais accrocher, mais non, vraiment non. Je suis restée complètement à côté de l'histoire, du style, ne ressentant aucune envie d'en savoir plus sur ces cristaux et autres photos où les personnages disparaissent ou réapparaissent. Quant à Gabriel et Inez, je les ai abandonnés à leur sort...
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L'instinct d'Inez

Je n'ai pas du tout aimé ce livre, je trouve l'écriture beaucoup trop lourde, d'ailleurs j'avais de la peine à tout comprendre, ce qui fait que j'ai fini par arrêter de le lire, je n'aime pas lire quelque chose que je ne comprends pas
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L'instinct d'Inez

Ce roman est mon deuxième essai, ou plutôt mon troisième avec Carlos Fuentes, si l'on compte que j'ai commencé deux fois, à quinze années d'intervalle Constancia et autres nouvelles pour vierges, sans réussir à dépasser le cap fatidique des cinquante premières pages. Je n'étais donc pas certaine de réussir à entrer dans ce roman, et le début me laissait incertaine, jusqu'à la fin du premier chapitre où j'ai commencé à être intriguée. Ensuite, le deuxième chapitre convie le lecteur à une répétition d'orchestre à Covent Garden, au moment du Blitz, et présente en même temps deux personnages principaux, lui jeune chef d'orchestre et elle soprano lyrique, dans un début de relation amoureuse contrarié par quelque chose qu'eux-mêmes ne peuvent définir ni comprendre. A partir de ce moment, j'ai eu le stylo à portée de main et l'envie de noter phrases puis paragraphes entiers ! Les réflexions sur la musique et le chant de Gabriel Atlan-Ferrara, le ténébreux chef qui dirige La damnation de Faust, sont passionnantes et méritent d'être relues.

L'écriture est exigeante, très belle, et j'admets que la brièveté du livre est tout de même un de ses atouts car il n'est pas très facile. A chaque chapitre, des interrogations, des interprétations nouvelles viennent titiller le lecteur et l'obligent à continuer pour chasser cette perplexité… Quel objet est donc ce sceau de cristal et quel rôle a sa transmission ? Qui est le jeune homme entrevu parfois sur une photo et qui ensuite en a disparu ? Quelle est cette femme primitive, vivant à l'aube des temps, à moins qu'elle ne vive dans le futur qui est le temps employé par l'auteur pour tous les chapitres où elle apparaît ?

Ce livre apporte une réflexion sur les rapports entre l'amour, la musique et le temps qui passe, un temps qui n'est pas celui de l'homme, mais celui de l'humanité, que j'ai trouvée passionnante. Et vous, quel est votre sentiment ?


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Terra nostra

début de lecture prometeur... une femme de 80 ans passsé qui accouche... des flagellants en plein Paris dans un décors de fin du monde...

l'écriture me plait...

Tout de même un pavé de 830 pages... avec des caractères... petits ...


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Les fils du conquistador / Los hijos del co..

Le récit alterne les points de vue des fils du conquistador (H. Cortés), deux tons différents pour illustrer deux faces d'un personnages mythique. Bien trouvé. Le livre est assez court, il est vite dévoré.
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Diane ou la chasseresse solitaire

Pioché dans une boîte à livres (encore), il m’a fallu du temps pour rentrer dans ce récit. J’ai failli abandonner après le premier quart, trouvant le propos intellectualiste et pédant, l’histoire convenue et sans intérêt particulier. J’ai cependant fini par être happée par celle-ci.



Carlos Fuentes relate ici son aventure avec une certaine Diane Soren qui, après une brève recherche, n’est autre que l’actrice Jean Seberg. On peut d’ailleurs se demander pourquoi l’auteur, racontant leur relation par le menu et étant fort précis dans la biographie de cette femme, voile son récit sous un pseudonyme. Élégance d’un ancien amant ?



Quoi qu’il en soit, ce n’est pas tant la brève passion des deux amants qui est intéressante (les aventures amoureuses se ressemblent quand même souvent) que son ancrage dans l’Histoire : les révolutions étudiantes de la fin des années 60, les combats pour les droits civiques, l’entrée dans le monde de la consommation… Il s’agit de la photographie d’une époque à travers la vie d’une femme, du portrait d’une nation (les Etats-Unis) par un intellectuel mexicain.
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Christophe et son oeuf

On le définit comme un roman-monde, une coulée vive et suintante, totale et régénérante, semence de vie qui irrigue Mexico, Oaxaca et Acapulco, triangle de chair qui verra naître cet oeuf couvé par les matamores, les politiques et la plèbe analphabète.



Une satire grandiose, unique dans son siècle, comme l'ont été Bouvard et Pécuchet avant lui, ou les Voyages de Gulliver, le maître-oeuvre
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Le bonheur des familles

roman au titre prometteur pour l'optimiste que je suis … au contenu si inverse … série d'histoires familiales mexicaines plus douloureuses et dures les unes que les autres, et comme elles se succèdent sans lien entre elles, la narration décousue en rend la lecture difficile. Ce roman m'a ennuyée, trop décousu et trop culturellement trop dur et trop réaliste probablement !
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La Mort d'Artemio Cruz

LA MORT D’ ARTEMIO CRUZ de CARLOS FUENTES

Artemio Cruz est un puissant homme d’affaires et un patron de presse important. Il est soudain atteint d’une grave maladie et sur son lit d’hôpital il va faire un bilan de sa vie. Bilan truffé d’anecdotes qui suivent le cours de la vie politique mexicaine dans laquelle il fût étroitement impliqué. Jeune il était un révolutionnaire aux idées progressistes, prônant la redistribution des terres, un idéaliste prêt à tout pour arriver à ses fins. En même temps, consumé par une farouche volonté de réussite, l’idéal devint plus difficile à concilier avec cette envie de richesse. Le basculement sera, peut-être, la mort de son premier amour, Regina, massacrée.

Fuentes retrace l’histoire tumultueuse du Mexique, on croise Villa et Madero, Diaz,Huerta, Zappata et Carrenza.

Mais lire Fuentes, c’est s’immerger dans une prose bien particulière qui tient sûrement plus du nouveau roman que du réalisme magique cher aux Sud américains. Il va utiliser le Je quand il est sur son lit d’hôpital entouré de sa famille et des infirmières, puis le Tu quand il évoque ses souvenirs et enfin le Il, quand il parle de lui même l’´ARTEMIO dans son passé.

C’est une narration un peu difficile à suivre, il n’y a pas de chronologie et le nombre de personnages évoqués est assez important.

Fuentes est un des grands écrivains mexicains, né en 1928, mort en 2012, proche d’ Octavio Paz, il a reçu le prix Cervantes en 1987.
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La frontière de verre

LA FRONTIÈRE DE VERRE de CARLOS FUENTES

C’est la frontière entre le Mexique et les États Unis, frontière de cristal dans la version espagnole. 9 nouvelles en forme de roman qui prend corps au fur et à mesure des récits.

C’est d’abord la très belle Michelina qui visite son parrain Don Leonardo à Campazas, il veut la marier à son fils Mariano…et la garder pour maîtresse.

Un père raconte sa honte de ne pas avoir profité du boom pétrolier des années 60/70 et doit se résoudre à demander une bourse d’étude à Don Leonardo pour son fils Juan qui va vivre chez les riches Wingate.

Dioniso est expert gastronomique, aimant les grosses, les seules qui l’excitent, il les contemple à la sortie des KFC, Mc Do et autres. Un soir au dîner il ouvre un flacon qui contient un génie faisant apparaître une femme à chaque plat commandé!

Qui suis je dans ce fauteuil roulant? Où es-tu Camilia? Et toi Leonardo mon frère, pourquoi m’as tu abandonné moi Emiliano dont je n’ose plus prononcer le nom?

Marina, Dinorah et Rosa travaillent dans les ateliers de Ciudad Juarez près de la frontière, elles entretiennent leurs hommes qui ne font rien. 130000 fabriques dans la région, mais l’argent à gagner est dans l’immobilier, la valeur des terrains, alors Don Leonardo s’active avec ses associés texans.

Don Leonardo et Michelina vont à New York pour le week-end en 1 ère classe,, l’avion est rempli d’une centaine d’ouvriers mexicains qui vont nettoyer les vitres de buildings et revenir le lundi!!

Par ces nouvelles qui peuvent sembler disparates se dessine l’histoire des relations entre ces deux pays, Mexique et USA. Ce sont les «dos mouillés« qui traversent tous les jours la frontière pour aller travailler dans un pays qui fut autrefois le leur. Une grande fresque sur l’absurdité du monde, la folie des hommes.

Dans un style très simple, dépourvu de tout réalisme magique, il découpe des tranches de vies pour finir par un assemblage restaurant une vision cohérente de l’histoire.

Excellent.
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Adam en Éden

Les aventures d'Adam Gorozpe ne m'ont pas passionnée. Avec ces mots de l'éditeur : " cartels de la drogue ... duel sans foi ni loi ... soumission ou la mort..." je m'attendais à naviguer dans le même monde passionnant de "Narcos" ou de "El Chapo", ces deux excellentes séries qui nous plongent au cœur même des violences, des corruptions, les réalités du Mexique avec ses narcotrafiquants et ses politiciens pourris. Ici, j'y ai surtout vu la lutte qui oppose les deux Adam, notre héros et Adam Gongora le Chef corrompu de la Sécurité Publique, celui qui traite avec les riches et puissants trafiquants, qui n'arrête que de petits dealers, voire d'innocentes victimes.

J'ai été intriguée par cet énigmatique "L", cet inconnu dont il ne nous révèle jamais ni le prénom ni le sexe...(j'ai bien examiné tous les adjectifs, toutes les terminaisons des participes passés... aucun indice ne filtre!) . Adam Gorozpe voudrait-il dissimuler une homosexualité ? Petit mystère...

Fallait-il voir de l'humour dans son étonnement devant l'assemblée de ses collaborateurs qui cachent tous leurs yeux derrière des lunettes noires? devant l'aventure amoureuse du Chef de la Sécurité avec Priscilla, la capricieuse épouse pétomane d'Adam Gorozpe ?

Comme un refrain dans nos chansons populaires, la Comète passe et repasse... mais mon intérêt pour ce roman ne s'est pas manifesté. J'en déduis que le texte de Carlos Fuentés est trop hermétique pour moi. Je n'ai pas réussi à y entrer. J'ai lu mais je ne me suis pas approprié ses mots.

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Federico à son balcon

Il se peut pourrait que les lecteurs se sentent déconcertés à la lecture de ce roman posthume de Carlos Fuentes en raison de son extrême expérimentalisme et, pour tout dire, à cause d'une certaine complexité qui obscurcit l'allégorie qu'il développe.

Son caractère testamentaire a été évoqué, mais il a été écrit avec la lucidité habituelle de cet écrivain qui a ouvert le soi-disant boom du roman latino-américain, le plus récompensé de tous, sauf le Nobel.



Né en 1928, c'est lui qui pour la première fois a obtenu le prestige mérité.

Sa mort subite, en cette même année 2012, ne prévoyait pas que ce roman était le point final d'une longue carrière.

L'auteur, lui qui avait divisé l'ensemble de sa production en 15 sections, l'a inclus dans une solitaire 16ème section.

Le roman est divisé en quatre parties qui s’identifiées, avec un assortiment d'humour, avec les paroles de l'hymne mexicain, (hymne officiel depuis 1943), dont les vers sont dus à Francisco González Bocanegra.

Et, bien sûr, de son rythme lent, tout au long de ses larges dissertations, apparaît un sens comique dissimulé mais très cultivé; de la même manière qu'il développe quelques scènes avec une tension surréaliste mais une réflexion lucide. Le Federico du titre n'est autre que le philosophe Friedrich Nietzsche, transformé en Don Niche ou Niche par la «jeune Elisa »,

portrait sévère de fille maltraitée, enfermée, violée, contrainte de manger du savon, qui découvre dans la violence sa liberté.

Fuentes analyse ici le dédoublement de ses personnages. Il y a un dialogue d’un balcon à un autre, entre deux Nietzsche et deux Fuentes au point qu'ils finissent par modifier leurs noms.

Cependant, sous les balcons, les spectateurs observent le développement d'un processus révolutionnaire, synthèse de toutes les révolutions modernes, de la française jusqu’à la cubaine. L'Assemblée culmine avec le temps de la Terreur, mais Saúl Mendés-Renania ressemble à un portrait de Che Guevara: «L'idéologue pur qui ne voulait pas le pouvoir. Leo, il voulait la révolution permanente. Il savait que ce n'était pas possible. Il a préféré mourir» Bien qu'il ait été tué par son épouse et ancienne religieuse María-Águila. Il pourrait également s'agir d'une allusion à Léon Trotsky.

Mais la révolution est une autre forme de guerre.

Aaron Azar est capable de tuer au nom de l'éthique. Il appartient à ce groupe révolutionnaire qui finira par épouser la dictature militaire du général Del Sargo, livrée à une aristocratie éculée. En marge de l'élite des révolutionnaires, le cordonnier Basilicato est le personnage qui subit la plus évidente évolution, car il symbolise la force de l'ignorance et de la corruption. Il survit aux assauts de la violence.

L'histoire de Lilli Bianchi, la mère de Gala, est racontée par l’intermédiaire de Dante et d'autres personnages connus qui le racontent à leur tour à Leonardo, et qui finira par collaborer avec la réaction.

Fuentes joue avec les identités. Même leurs noms reflètent la conception ironique des personnages. Les points de vues transforment l'intrigue en un véritable labyrinthe. Simultanément, s’égrènent les idées de Nietzsche sur l’éternel retour ou l’apologie de la violence. L'idée d’un temps linéaire est chrétienne: "Je suis venu d'hier, c'est toi aujourd'hui qui demain sera hier et se dirige vers le futur, dans lequel toi et moi sommes déjà, par rapport à l’instant précédent."

C'est aussi une période narrative confuse: "Lorsque tu lis un livre intitulé, par exemple, Federico sur son balcon, vous devez avoir foi en la fiction qu'ils te raconte et tenir pour acquis qu'il y a eu et qu'il y aura des lecteurs différents " (p. 186). Le temps est cyclique, comme l'a soutenu le philosophe. Et même dans des processus révolutionnaires se produisent des événements parallèles. De là, les opportunes confusions. Aaron et Dante symbolisent deux attitudes.

Dante convainc la foule avec son talent oratoire. Aaron vit le processus dans la solitude. Mais les personnages se dévoilent et les révolutions viennent à bout des révolutionnaires. Même l'érotisme est perturbé. L'amante d'Andrea del Sargo est l'aristocrate française Charlotte. Elle accuse les 60 ans, il en a 37.

L'histoire nous conduit à la demeure française d'Almeras: un retour dans le passé. Que devient la révolution? Reduite en «fumée, poussière, brouillard, marteaux, chaînes, sifflets, roues ». Des individus noyés retirés de la rivière et jetés dans la fosse commune. Les cadavres sont utilisés comme cible de tir, attachés contre les murs. Des cadavres cloués aux pieds et aux mains, comme des Christs sans nom ni sainteté ».

Un pessimisme radical submerge le roman-essai. Fuentes a renoncé au temps linéaire et revient à l’action ou aux décisions en de multiples orientations. Peut-être une quantité excessive d'idées bouillent en lui et d’un propos délibéré s’échapper quelques velléités réalistes. C'est un livre de réflexion. les vingt dernières pages sont une authentique anthologie.

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Apollon et les putains

Ce court roman m'a permis d'aborder Carlos Fuentes que je ne connaissais pas encore. Après une première partie qui me laissait septique, j'ai été happé par son écriture et la magie a opérée ! Il me reste à poursuivre avec d'autres titres.
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Apollon et les putains

Ma sœur m'a mis ce livre dans les mains en me disant : tu vas adorer, il y a tout : une intrigue, de l'amour, de l'humour, du sexe...

J'étais un peu sceptique car la note sur Babélio était médiocre mais que voulez-vous par loyauté fraternelle, j'ai tenté.

J'ai eu tort et j'aurais du écouter les babeliotes.

J'ai abandonné à la moitié.

C'est tordu ; parfois le tordu peut être drôle et intéressant mais je m'ennuyais trop pour continuer.

Je ne me suis pas attachée au personnage et tout cela était un peu trop snob pour moi.

Du coup, je me pose une question : ma sœur serait-elle snob ?

Non je l'écouterais encore à l'avenir mais les goûts pour la littérature ne se partagent pas toujours et cela ne s'explique pas.

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Diane ou la chasseresse solitaire

J’ai lu ce livre il y a longtemps mais j’en garde un excellent souvenir comme une plongée dans un monde très particulier et loin de moi. A découvrir
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Diane ou la chasseresse solitaire

J'ai choisi ce livre à la médiathèque parce qu'il s'agit d'un auteur mexicain et que nous avons choisi la littérature mexicaine à mon groupe de lecture. La 4ème de couverture m'avait plutôt séduite même si je dois reconnaître que j'aurais vraiment préféré lire un policier d'un auteur mexicain. Si vous en connaissez, je suis preneuse. En ce moment je suis attirée par ce genre littéraire.

Au bout de la 96ème page, je ne parviens toujours pas à m'intéresser ni aux personnages ni à leur histoire ; alors j'abandonne avec la conscience que je ne fais pas d'effort pour me concentrer. Peut-être que je serai plus attirée par les choix des autres lectrices du groupe, ou pas.
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Adam en Éden

Livre abandonné à la page 108 car dénué d'intérêt à mon goût, il semble partir dans tous les sens sans qu'on puisse y trouver une trame logique incitant à l'ahever.
Lien : http://www.espaces-latinos.o..
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Brillante

Ce récit est d’une grande richesse sur le plan symbolique et, plus l’on progresse dans cette étonnante atmosphère, plus l’on est à même de faire des rapprochements entre des faits négligemment énoncés au début. Intriguant.
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Une certaine parenté

Le livre est dédié à Luis Bunuel et telle, une musique de film, Fuentes fait courir une chanson enfantine tout au long du roman (A la claire fontaine). Une écriture riche et une belle capacité à innover.
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En bonne compagnie - La chatte de ma mère

Deux nouvelles de l'écrivain mexicain Carlos Fuentes, où le fantastique s'invite dans la vie quotidienne. J'ai particulièrement apprécié la deuxième nouvelle, "La chatte de ma mère", pour son basculement inattendu dans le monde du fantastique. J'ai bien aimé dans cette nouvelle la façon dont l'auteur joue avec différents registres de langage.
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