Citations de Cécile Chartre (91)
Ce livre est un roman fantastique. C 'est l'histoire d’une petite fille avec son frère qui partent chez sa grand-mère pendant les vacances car leurs parents ne pouvaient pas les garder. Ils vont chez leur grand-mère, leur papy ne vient pas les chercher donc ils vont tout seuls chez leur mamie. Ils arrivent chez leur grand-mère ils voient plein de statues, ils vont se coucher. En fait, quand ils partent de chez eux et arrivent dans la Grèce ANTIQUE.
Les personnages sont : Mémé Dusa, Héctor, Thalia, Héléne, Georgio , Cerbère, Charon, Hercule et les marins, Polyphème, Tyrésias.
Mon avis sur le livre: J’ai aimé ce livre car j'aime la Grèce Antique, j'aime aussi la mythologie Grecque, je vous le conseille si vous aimez la mythologie. Les illustrations sont très bien faites et bien détaillées.
[...] chemise à fleurs qui tue, pantalon à pattes d'éph tu t'en relèves pas, tongs et doigts de pied poilus, et, le fin du fin, The compil spécial chanteurs morts dans l'autoradio. Du 100% inécoutable.
Alors Louise, elle s'accroche à moi, qui m'accroche à maman, qui s'accroche à papa, qui s'accroche aux branches parce que, de toutes façons il n'y a rien d'autre à portée de main. Et c'est en rang serré, que tous les quatre, on entre dans la petite salle à manger
Et ça fait douze ans qu'elle dure, cette histoire. Douze 4-juin que maman se lève en traînant ses savates. Douze 4-juin qu'elle se lève et qu'elle grogne : "Je suis vieille, je suis trop vieille, c'est fou ce que je peux être vieille". Douze 4-juin qu'elle se recouche, juste après avoir grogné, le drap sur la tête et la tête dans les choux.
Je vous dis que ça fait douze ans, parce qu'avant, j'étais pas née
D’ailleurs, je commençais à me demander si au lieu de parler aux animaux, je ne devrais pas apprendre à parler humain. A causer copain, aussi. Et à me faire comprendre de Lisa, surtout.
Maman avait sonné à ta porte avec son petit baluchon sous un bras et son gros chat sous un autre. Elle avait posé tout ça timidement dans un coin à côté de l'entrée, pour ne rien déranger. Mais toi, papa, ce que tu voulais, c'était qu'elle dérange tout.
Finalement, c'est ce qu'elle a fait. Le chat avait vécu ses derniers mois couché sur tes genoux. Et tu as fini tes jours dans les bras de maman.
Maman ne l'ouvre pas très souvent cet album-là. [l'album photos familial] Seulement quand je pose trop de questions. Seulement quand je crève tellement de ton absence qu'elle n'a plus le choix. Il faut qu'elle me parle. De moi, d'elle, et de toi, surtout de toi. Alors elle déballe notre vie d'avant. Et je m'attarde sur les photos, les tiennes, les siennes. Les vôtres. Et c'est l'occasion pour elle de me raconter comment c'était, avec toi. Et moi, je n'ai plus qu'elle, pour savoir. Elle est devenue notre mémoire, maman. Notre mémoire à nous trois.
- T'as pas trouvé plus pourri, comme pyjama?
Ça les a tous fait rigoler, sauf maman. Et moi.
Faut pas leur en vouloir, papa, ils ne savaient pas. Ils ne savaient pas que ce pyjama était le tien.
Maman aurait pu dire: "ne pas nous laisser seuls". Mais elle a pensé à moi avant tout. Ça fait tellement longtemps qu'elle n'a que moi à qui penser.
Ils sont tous là, papa. Tous, pas un qui manque. Ils sont tous là, et qu'est-ce que je me sens seul!