Charlotte Moundlic

« le papa de Simon » est une nouvelle qui parle d'un garçon qui n'a pas de papa et qui se fait toujours frapper par ses camarades de classe un jour un homme vient à lui est Simon lui avait demandé de jouer le rôle de son papa. Va-t-il le faire ? Comment va se dérouler son plan ? « le papa de Simon » est un livre qui pourrait représenter tous les enfants sans papa.

Dans cette nouvelle il y a trois thèmes abordés l'enfant sans père, un enfant victime d'harcèlement et un enfant à la recherche d'un papa. le thème qui m'a plu est L'enfant sans père car je me voie en lui.

La nouvelle est écrite dans un ordre chronologique, pas de retour en arrière ; je trouve qu'elle est mieux comme cela car certaine personne ne comprenne pas trop les retours en arrière sa pourrait gâcher le déroulement de l'histoire.

Le point de vue est externe, cela me laisse indifférente mais j'apprécie quand même. La nouvelle est écrite avec un langage compréhensible cela est mieux et on peut bien accrocher.

Cette histoire se passe dans un village et une école.

Elle raconte l'histoire d'un petit garçon nommé Simon qui va à l'école.

Ses camarades de classe se moquent de lui car il ne connait pas son papa.

Simon allait se jeter dans la rivière, quand tout à coup, il rencontra Philippe. Ce monsieur raccompagna Simon à sa maison.

Simon lui posa une question.

Quelle est cette question?



J'ai aimé cette histoire car je trouve qu'elle est touchante et émouvante.

Elle donne une belle leçon de gentillesse.

Les illustrations sont très jolies, elles représentent bien le texte mais je trouve que ce livre est trop court .

Je le conseille à un enfant de sept à dix ans. Bonne lecture !!!!!



cloclo25

j'ai lu ce livre et je l'ai trouvé émouvant. je le recommande.

Michel a presque 8 ans. A cet âge ce n’est pas facile de porter un prénom pareil. Ce n’est pas facile non plus d’apprendre que l’on va déménager. D’ailleurs, pendant le déménagement, Michel va aller passer les vacances chez ses grands-parents. Mais cela ne l’enchante pas plus que cela. Papy lui fait un peu peur et les cousins, plus grands que lui, ont tendance à l’embêter. En plus, le cap des huit ans est important dans la famille. On doit montrer que l’on sait sauter du haut du grand plongeoir à la piscine. Michel a peur, mais hors de question de le montrer aux cousins qui risquent de se moquer de lui. Déjà qu’ils ricanent dans son dos parce qu’il a dû emprunter un maillot de bain qui est trois fois trop grand et qui glisse sans arrêt… Mais au fil des vacances et des divers après-midi passés à la piscine, Michel va prendre de l’assurance. Il se met peu à peu ses cousins dans la poche et fait ses preuves à la piscine. Finalement, ce ne sera peut-être pas les pires vacances de sa vie.



Pour découvrir la critique complète, ainsi que d'autres livres illustrés par Olivier Tallec, rendez-vous sur notre site !
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Ce court récit est dense et intense. Comme pour Matin Brun de Pavloff par une écriture concise mais ciselée l'auteur nous fait ressentir l'angoisse et la pression qui monte.

Le sujet de cet album est exposé d’emblée avec les premiers mots de l’histoire : « Maman est morte ce matin ». Le texte, raconté à la première personne, livre la vision d’un enfant face au décès de sa mère. Son monde est totalement chamboulé, il voudrait tellement que les adultes soient fort pour continuer ce quotidien si familier, si rassurant. Le texte est admirable et le sujet traité de façon magistrale ; la vie semble un combat autant pour l’enfant que pour l’adulte. Rien n’est édulcoré. Tout y est dit, il me semble, de façon naturelle, comme seul un enfant peut le comprendre.
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C’est un pays où la vie s’écoule paisiblement. Un pays où on aime recevoir. C’est pour cela que quand ils ont frappé à la porte ce matin-là, les étrangers ont été accueillis chaleureusement. Quand ils ont voulu rester pour dormir, on s’est serré pour leur faire de la place. Quand leur séjour s’est prolongé et qu’ils ont proposé d’enseigner leur langue pour faciliter la communication, personne n’a trouvé cela choquant. Quand ils ont amené leurs graines et ont demandé au villageois de s’occuper des champs, ils ont promis que les récoltes seraient exceptionnelles. Alors tout le monde s’est mis au travail, sauf eux. C’est quand les stocks de céréales ont disparu que la situation a dégénéré. Les villageois qui ont osé demander des explications ont été frappés. Alors, après celui de l’hospitalité, est venu le temps de la révolte…



Charlotte Moundlic offre une lumineuse parabole dénonçant les ravages de la colonisation. En mettant à nu le basculement progressif de l’attitude des « invités », elle souligne avec beaucoup de finesse la subtilité de l’intrusion qui, sous couvert de paix, d’amitié et d’échange, n’a d’autres buts que l’exploitation du peuple « accueillant ».



Quarante-cinq pages pour un gros quart d’heure de lecture. La concision du propos n’a d’égale que sa limpidité. Un texte à lire et à faire lire qui ne peut que susciter débat et réflexion. Indispensable !




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Les parents de Polo partent en vacances sur une île grecque pendant cinq jours et Ariane, la petite cousine du père du héros doit venir de Lille pour les garder, lui, Polo, en CE2, sa sœur Lucie, en sixième, et son frère Lucas en fin de collège mais Ariane a un accident et doit reporter son arrivée : les trois enfants doivent se débrouiller seuls..



Charlotte Moundlic est une autrice d'ouvrages pour la jeunesse née en 1970. Elle est également directrice artistique et éditrice de bandes dessinées. Entrée en 1990 en tant que stagiaire au magazine Pomme d'api, elle devient ensuite maquettiste à Images Doc puis à Okapi, puis en 1995 à Bayard Éditions jeunesse. Commence ensuite une carrière de directrice artistique, d'abord du magazine Je Bouquine. Puis, en 2003, du secteur jeunesse & Père Castor chez Flammarion. Elle entre en 2013 dans le groupe École des loisirs pour le lancement des Éditions Rue de Sèvres en tant que directrice artistique de l'ensemble du catalogue et éditrice de la partie jeunesse. En parallèle, elle exerce depuis 2005 une activité d'auteure jeunesse et a publié une trentaine de titres albums illustrés et romans chez différents éditeurs (Flammarion, Albin Michel, Thierry Magnier et Lito) - source : Wikipédia -.



Une première lecture avancée amusante d’un jeune garçon qui doit se débrouiller seul durant cinq jours sans parents ! Il vit avec son grand frère adolescent qui passe sa vie dehors et sa grande sœur qui est attentive. Nous pouvions nous attendre à un roman de bêtises amusant mais il s’agit davantage d’un roman sur l’apprentissage de la vie et notamment de la désobéissance : afin de cacher à l’école et au voisinage que la fratrie est seule, le héros doit mentir et tricher, ce qui lui pose des questions existentielles. Le dénouement apporte une résolution juste après cinq jours de compromissions morales. Une extraordinaire aventure à hauteur d’un jeune garçon.



Coup de coeur.

On découvre un jeune narrateur qui se prend d’une soudaine envie de faire des bêtises. Pas par méchanceté, mais parce qu’il en a envie tout simplement ! Il ne ressent aucune culpabilité malgré les éventuelles conséquences pour les autres. Cela commence par une tache d’encre sur le pull d’une camarade qui n’avait rien demandé puis un méfait qui, cette fois, ne restera pas impuni… Trop, c’est trop, notre petit fauteur de troubles est convoqué chez la directrice puis conduit, par son père, chez une personne habilitée à faire le point sur ce soudain changement de comportement.



L’autrice, à travers un court mais percutant roman, aborde une épreuve que beaucoup d’enfants ont dû ou devront traverser. Il n’est point question ici de condamner ni d’excuser, mais de comprendre ce qui se cache derrière des actes qui résonnent très fort comme un appel à l’aide. Un appel à l’aide maladroit, mais qu’il est nécessaire d’écouter et d’accompagner notamment par un professionnel quand la situation, comme ici, l’exige. La parole est libératrice et une fois les mots posés sur les maux, la vie peut reprendre son cours…
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Dès l’instant où j’ai posé mes yeux sur cet ouvrage à la couverture envoûtante, j’ai été attirée par le rouge ô combien séduisant de la pomme qui se détache avec élégance sur le fond noir. Voila qui donne très envie de croquer dedans ! ...



La chronique complète sur Songe ;)
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L'avis de Ronan, 6 ans 3/4 :

Si ma maman meurt, qui va donner à manger à mon petit frère ? Moi, je serai très triste...

*Réponse que mon fils m'a donnée lorsque je lui ai demandé ce qu'il ressentirait à la place du petit garçon du livre.*



~ * ~ * ~



Mon avis :

Mon fils a ramené ce livre de la bibliothèque de l'école. L'album n'est pas super épais, mais j'avais tout de même décidé de lui lire en deux fois. Je l'ai ouvert, j'ai lu la première phrase et là, le choc ! Je n'avais pas lu le résumé et au lieu de me retrouver avec une histoire parlant juste d'un petit garçon qui s'était blessé, je tombe sur un petit garçon qui vient de perdre sa maman ! C'est violent comme découverte !

Du coup, j'ai hésité à le lire à mon fils. Pas très approprié comme histoire avant d'aller dormir... J'ai néanmoins décidé de sauter le pas, plutôt curieuse de voir sa réaction face à une histoire parlant de la mort. Aussi parce qu'il me parle assez souvent de mon cheval, décédé le 2 juin 2015.

Du coup, le sujet étant sérieux, je lui ai lu cet album d'un coup.



Niveau graphismes, je ne suis pas très fan, même s'ils sont simples et ont l'air d'avoir été fait au crayon, donc ont un côté très authentique. Quant à la couleur, elle saute aux yeux : rouge. Tout est rouge (texte et dessins) et blanc. Même si j'ai été surprise au départ, je pense que cette couleur est adaptée. Le rouge est la couleur de l'amour, certes, mais c'est aussi la couleur de la douleur, de la colère, du sang... Le blanc est celui de la pureté, de l'innocence...



Le petit garçon vient de perdre sa maman. Dans un premier temps, il est furieux d'avoir été abandonné et lui en veut beaucoup. Il s'inquiète aussi de petites choses du quotidien (on sait bien que les papas ne savent pas faire les choses comme les mamans), pour son père et sa tristesse. Après, vient la peur de l'oublier alors il chérit ses souvenirs autant qu'il peut et de la manière dont un enfant de son âge le peut. Le tout est légèrement saupoudré d'humour et de légèreté dû à ses réflexions d'enfant.



Cet album, sur le site de l'éditeur, est classé dans la catégorie des 3/6 ans. Personnellement, je pense que c'est un peu tôt pour vraiment comprendre l'intégralité du texte et ses petites subtilités. A moins d'être concernés par le deuil, je pense que les moins de 6 ans sont un peu jeunes pour ce livre.

Sachant aussi qu'il est "romancé", je ne pense pas qu'il soit tout à fait adapté pour "expliquer" le deuil et son processus. Il conviendra plus à un enfant qui est dans la même situation et qui pourra s'identifier au petit garçon qu'à un enfant curieux à propos de ce sujet.

Enfin ce n'est que mon avis personnel.



En résumé, cet album est vraiment émouvant, parce que sobre et réel dans son approche du deuil du point de vue d'un enfant. Cette lecture, bien que très sérieuse, revêt une infime touche de légèreté qui aide à assimiler les informations et la détresse des vivants.

A lire si vous ou des enfants de votre entourage êtes concernés par le deuil d'un proche.
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Ce livre écrit sous la forme narrative raconte le mal être d'une petite fille qui n'a pas 10 ans. A travers ses mots elle nous transmet ses maux d'enfants : le manque d'amour de ses parents qui préfèrent sortir, voyager en amoureux plutôt que s'occuper du FRUIT DE LEUR AMOUR. Sa tante Nathalie, dite Matalieest présente pour s'occuper d'elle et lui apporter tout l'amour nécessaire à chaque enfant. Mais en secret, cette petite fille attend, elle espéré pouvoir passer su temps avec son papa et sa maman. Elle fait de son mieux pour qu'ils soient fiers d'elle.

Cette petite histoire est très triste. Elle nous touche, nous ramène à notre enfance, nous fait réfléchir : sommes nous assez présent pour nos enfants ?



Ma fille de 10 ans a été bouleversée. Elle a été très touchée par la détresse de cette enfant.

Ce livre permet d'ouvrir une porte de communication avec le fruit de notre amour.

Un récit percutant. Une lecture à double sens. En quelques pages, l'auteure illustre magistralement la crainte que porte chaque enfant en lui, soit ne pas être aimé par ses parents.

La jeune narratrice n'aime pas l'école, elle en a peur, elle en souffre chaque matin à l'idée de s'y rendre. Elle a intégré le fait qu'elle était "nulle" et n'a plus confiance en elle. Mais une rencontre inattendue et un projet de classe va changer les choses.

Le récit est raconté à la première personne, il en devient plus fort, intimiste et sensible.

Un petit texte émouvant pour comprendre la souffrance à l'école

La fin de semaine arrive, et la vie de Raphaëlle va changer. C’est à la boulangerie où elle se rend tous les matins qu’elle reçoit son premier choc. La boulangère n’est pas là et sa tenue de garçon manqué – elle pille chaque matin le placard de son père – induit « la remplaçante » en erreur… Nue devant son père qui entre dans sa chambre sans frapper, elle reçoit son deuxième choc : celui d’un commentaire paternel empli de fierté : « Tu commences à devenir une petite femme ». Un Alien, pense-t-elle, « la seule de son espèce [...] à neuf ans et trois mois »… Mais, de choc en choc, à la fin de la journée, Raphaëlle a enfin apprivoisé ce nouveau corps qui change, certes, mais pas si vite, finalement.



Petit ouvrage, de lecture aisée et rapide qui illustre le moment où la petite fille devient une jeune fille. Ce livre sera certainement d’un grand secours à ces petites femmes en devenir. Complicité entre mère et fille, regard paternel, terrain de sport, questions d’ado, ce livre aborde avec humour la plupart des interrogations qui traversent l’esprit des petites filles grandies trop vite. Et puis aussi, il existe des solutions… Un peu comme si la complexité de l’adolescence pouvait être résumée à une journée où tout le monde est là pour aider au passage.




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Croquez dans la belle pomme rouge de Blanche-Neige! Vous ne serez pas déçu du voyage.



J'adore les grands formats de d'Albin Michel Jeunesse. Depuis Anya et Tigre blanc, je suis fan! L'album mélange de magnifiques pages complètes d'illustrations et des pages de textes mais toujours présentés d'une belle façon graphique.



Les illustrations sont sublimes. Blanche-neige est magnifique et on tourne les pages juste pour le plaisir des yeux. Un bel ouvrage à garder précieusement.
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L'adaptation de Charlotte Moundlic respecte la langue d'origine, simple et précise, tandis que les illustrations classiquement à droite inventent un Simon tout fragile, des adultes beaux et bien campés, des paysages de nature accueillante et des jeux de lumière. Si le récit est donc relativement explicite – toutefois sans jugement -, les dialogues sont rares et beaucoup passe dans les regards, les expressions, rendant encore une fois mots et dessins complémentaires.
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Un nouvel album de la paire Olivier Tallec, Charlotte Moundlic.

Je me suis donc empressée de le découvrir car j'avais adoré les 2 autres, notamment le slip de bain ;-).



On retrouve Michel et sa famille. Michel cherche une idée pour ne pas partir à la pêche avec son père pour son anniversaire. Il propose alors d'organiser une boum.



Un très chouette album!

Des rires et des jeux sont aux rendez-vous dans ce livre malicieux aux illustrations pleines de fraîcheur et de délicatesse...
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Un petit garçon est confronté au deuil : sa maman est morte.

Son papa est triste et il ne veut pas l'accabler avec sa peine.

Mais il a tellement peur d'oublier l'odeur, la voix de sa maman...

Après une chute, il l'entend, cette voix qui le réconforte ; alors, il grattera régulièrement la croûte qui se forme sur sa blessure afin d'entendre encore la voix de sa maman :



"J'attends que la petite croûte se forme et je la gratte

avec le bout de mon ongle pour que l'écorchure s'ouvre à nouveau

et que le sang revienne.

J'ai un peu mal et j'essaye de ne pas pleurer.

Je me dis que tant que le sang coulera, je garderai sa voix."



Heureusement, une autre grande personne, sa grand-mère, va lui permettre de découvrir que sa maman se trouve au plus profond de lui pour toujours...



Un album tout en finesse sur le deuil, la douleur de la perte et les difficultés, les souffrances à endurer pour continuer à vivre. Le texte dégage beaucoup d'empathie et de douces illustrations dans les tons de rouge, toutes simples, adoucissent ce texte.



Un album coup de cœur, triste mais plein d'espoir, dur mais tendre aussi...
Lien : http://somanybooks.eklablog...