Christian Jolibois

Les aventures de Belino, Carmen et Carmelito, continuent. Pour ma part, c'est mon premier album...

C'est drôle et truffé de jeux de mots, notamment sur les prénoms dont sont affublés ces joyeux volatiles, jeux de mots assez compliqués à expliquer à de jeunes enfants (le livre est recommandé "à lire à l'enfant dès 5 ans" et "à lire seul à partir de 7 ans". Je cite "Molédecoq, Bangcoq, Coquenpate"... etc... et j'en passe de nombreux.

Ce qui abîme un peu la lecture et sa fluidité. Soit vous expliquer tous ces jeux de mots... soit vous êtes dans le récit, avec des enfants de 6 ans (je fais la moyenne), ce n'est pas du tout évident.

Ensuite, l'histoire est assez longue, voire longue. Et au final un peu compliquée. Conséquence, je cache mon enthousiasme, car moi adulte, je me suis amusée, mais les enfants ont exprimé une lassitude....

Chaque album des p'tites poules est un vrai bonheur, j'aime tout ce que propose cette collection : les dessins, les valeurs véhiculées, les personnages, la narration truffée de références ; celui-ci ne fait pas exception, je me suis régalée une fois de plus.



Cette fois-ci c'est Belino le petit bélier qui est au centre de l'intrigue : pour échapper à la tonte il se réfugie, aidé par ses amis Carmen et Carmelito, dans la forêt des pierres levées. Hélas, entre l'arrivée de deux grands trolls griffus et un rayon de lune magique, il n'est pas au bout de ses frayeurs.

Une fois de plus c'est plein de références culturelles (la toison d'or, Louis XIV, les trolls...).

Une fois de plus l'amitié et la solidarité sont hyper valorisées.

Une fois de plus c'est Carmen qui se montre la plus courageuse et par qui le salut arrive.

Une fois de plus c'est vraiment très drôle.

Mention spéciale pour la chanson de la tonte.

Merci les p'tites poules ! Revenez vite !

" Les p'tites poules", une série que l'on ne présente, bien connue du jeune public et même adaptée au petit écran en animé.

Nous aurons pitié des retardataires et donc les " p'tites poules" en quelques mots, ce sont les joyeuses et amusantes aventures de personnages d'une ferme.

Les histoires se concentreront sur une famille de volailles, celle du frère et de la soeur, Carmélito et Carmen. À ne pas manquer surtout la rencontre des parents dans " La petite poule qui voulait voir la mer".

L'auteur canadien Christian Jolibois non seulement imaginera des situations catastrophes à chaque fois irrésistibles, jouera sur les mots en continu de façon drôle sur le texte mais ils doublera aussi le plaisir du récit en offrant une parodie d'oeuvres littéraires bien connues.

D'ailleurs, " La poule au bois dormant", cela ne vous dit rien?



Des aventuriers seront invités à bomber le torse et à pousser le chant du haut d'une tour afin de réveiller une mystérieuse princesse endormie dans le chateau voisin.

Cela va s'avérer un combat de coqs pleins de coups fourrés, puisqu'il s'agira tout de même d'un concours.

Et pour gagner, pour certains participants, toutes les chances seront à mettre de son côté.

Une chance en effet que nos petits héros soient en visite.

Mais attention, il y aura du méchant: l'odieux Coq Noir ( qui ne sera pas sans nous rappeler le Chevalier noir, bras droit et armé de la terrible sorcière Morgane des mythes de la Table Ronde.



Le point de départ nous amusera, les jeunes Carmélita et Carmen partiront rendre une visite à leur Papy accompagné de leur camarade d'une nature un peu peureuse en général, Bélino.

Ce qui ressemblera à un passage de la campagne à la grande ville sera figuré du poulailler vers une ville fortifiée.

Nous retrouverons dans ce dernier tout le décalage des deux modes de vie et les personnes seront partagés entre le sentiment d'exaltation et celui de s'y sentir un peu agressée ou sans repères.

Le charme des illustrations de Christian Heinrich continuera de fonctionner, notamment sur les grandes planches. Le style est joliment proche d'un Frédéric Pillot tout aussi apprécié.

Nous ne serons pas très loin de la bande-dessinée avec les expressions et attitudes des personnages, il ne manquerait que les phylactères.

La fin surprendra et les auteurs ne se priveront pas d'une lecture d'humour un peu adulte pour réjouir les petits écouteurs comme les raconteurs d'histoires.

Un album du même Jolibois que d'habitude.

Ah, les P'tites Poules ! Qu'en dire qui n'a pas déjà été dit ? Plus on les lit, plus on les aime.

Les enfants aiment retrouver ce petit monde, si sympathique, mais aussi les "méchants", plus bêtes que méchants. Les plus grands et les adultes adorent les clins d'oeil, les allusions. Et chacun y apprend quelque chose.

C'est toujours précieux un livre qu'on ne s'ennuie pas du tout en lisant aux enfants, même s'ils le réclament souvent.



Ici, on fait cette fois la connaissance de Gargantua, avec beaucoup d'humour.

Et il y a aussi un côté très écologique, avec cette rivière qui cocotte, et la découverte d'un monde "industriel" qui se moque des conséquences.

On retrouve bien sûr tous nos amis, ainsi que Coquenpâte, Bangcoq et Molédecoq, qu'on va finir par plaindre !!



Les illustrations sont comme toujours un régal, on les regarde une première fois dans leur ensemble en lisant l'histoire, puis on y revient pour découvrir les multiples détails.



La bagarre dans la gadoue risque d'attirer beaucoup d'enfants !!
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J'adore véritablement les p'tites poules, et ce nouvel opus également.

C'est un très beau livre, imprimé sur du papier de qualité et aux splendides dessins. Nous sommes gâtés car les p'tites poules voyagent et nous donnent à découvrir de magnifiques paysages : Paris, la Mongolie, l'Himalaya... Certaines images ressemblent à de véritables tableaux.

J'aime aussi la qualité des dialogues, simples mais riches en vocabulaire et en tournures de phrase, ainsi que les touches culturelles (ici sur la Chine) qui permettent de joindre l'utile à l'agréable.

Car bien-sûr cet album reste avant tout agréable, et l'on suit avec euphorie Carmen et ses amis qui ont fait du cerf-volant "un peu" trop loin. Carmélito prend les choses en main, Coquillette se plaint, Coquenpâte est à mourir de rire, bref un très grand cru empreint de bons sentiments.

Mention spéciale au petit nouveau, Nidouillet, qui apprend à parler et a quelques loupés...

Irrésistible !

Voilà tout ce qu'on aime chez les p'tites poules.

Une histoire simple, délicate et poétique.

Quelques légères références historiques.

Quelques jeux de mots délicatement distillés....

Les garçons bagareurs

Les filles débrouillardes.



Mais pourquoi ne suis-je plus un enfant pour grandir bercés par ces jolies histoires.... ?

Lorsque le soleil se couche et que la constellation du renard va apparaître, il est l’heure pour les poussins d’aller se coucher. Mais un soir, Carmélito n’en fait qu’à sa tête en restant dehors pour pouvoir admirer le ciel étoilé.

Une étoile filante traverse la nuit et Carmélito qui a toujours voulu en attraper une, se précipite en suivant la trajectoire pour aller la ramasser. Sur le sable d’un rivage, il découvre l’étoile échouée. Belle, mais malodorante car elle sent le poisson, il va présenter son trophée à Pédro le Cormoran qui le tourne en ridicule devant une assemblée de moutons en disant que son astre cosmique n’est en fait qu’une vulgaire étoile de mer.

Dépité et très malheureux, Carmélito se fait aussitôt consoler par son ami Bélino le petit bélier. Il y a un vieil homme, signore Galilée, qui est comme lui admiratif des étoiles et il passe toutes ses nuits à les regarder avec… un tuyau !

Signore Galilée leur fait bon accueil et leur montre les étoiles avec sa lunette astronomique, des étoiles qui semblent si proches ! Mais lorsque les deux camarades demandent s’ils pourraient un jour les toucher, Signore Galilée leur répond : « Quand les poules auront des dents !!! »…



C’est à ce moment qu’il faut faire un clin d’œil complice à l’enfant qui écoute l’histoire, parce que chers amis… il existe quelque part dans l’espace des petites poules vertes qui en ont. Elles sont dans leur vaisseau spatial en orbite de la Terre et vont bientôt atterrir dans la campagne de Carmélito et Bélino.



La vie est belle ! On peut traverser des galaxies d’étoiles à bord d’un vaisseau, des poules ont vraiment des dents et Carmélito et Bélino vont se faire une nouvelle amie, Céleste. Un peu bizarre, mais super sympa la poulette !



Il faut croire en ses rêves, il faut toujours garder espoir et il ne faut jamais se laisser décourager. Voilà ce qu’il faudra retenir de ce petit album dont la série est composée à ce jour de seize aventures, pleines de tendresse, de poésie et de drôlerie.

J’aime beaucoup et je vous les recommande !

Toujours une sympathique récréation de se plonger dans un volume des P'tites Poules.

Ici, on plonge vraiment, puisque les voilà en classe de mer.

Et ça commence mal pour Carmelito, qui se retrouve avec un poulpe très attachant sur le visage !

Ce qui finalement le sauvera, et lui permettra de sauver les autres.

Car cette île de Toutégratos est merveilleuse, mais dangereuse.



Un zeste de Robinson Crusoe, Carmelito en Vénus de Botticelli, un brin de Petit Poucet, (Cherchez les autres clins d'oeil) ... il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux de lecture !
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Contrairement aux autres ‘P’tites Poules’ qui m’ont souvent fait rire, je qualifierai celui-ci d’humour noir, à cause d'une situation trop actuelle. Pourtant la première phrase démarrait bien : Longtemps, les P'tites Poules se sont couchées de bonne heure... Leur sommeil va être perturbé par des squatteurs qui ont fuit le château parce qu’ils étaient maltraités. La cohabitation avec les hiboux, malgré les hostilités du départ, amènera la solidarité et la tolérance.

Encore un régal avec cet album tout en sucre que les poulettes découvrent. Références à d'autres contes, au tableau de Millet. Avec ce mélange drôle, joliment illustré, Jolibois n'est pas prêt de 'traîner une casserole'.

Carmen et Carmelito sont fiers de leur père Pitikok qui tous les matins demande au soleil de se lever. Au chant "Cocoricooo !", l'astre apparaît. Mais un jour... malgré les encouragements de ses enfants, Pitilok n'arrive pas à le faire poindre.

L'heure est grave. Une dissidence pointe son nez dans le poulailler et fomente un coup d'état. Les petits coqs se voient déjà au pouvoir !



Il est temps pour Carmen et Carmelito de sauver leur père et de partir en quête du soleil. Pour cela, ils seront aidés de Bélino, le bélier, et de Colbert, le canard. Dirigés par les "cherches-soleil", leur route les mènera dans l'atelier des frères Montgolfier où est entreposé l'un des plus beaux soleils...



"Les P'tites Poules" est une série qui compte une douzaine d'histoires racontant la vie d'un poulailler. Pour cet épisode, Carmen et Carmelito viennent en aide à leur père. La situation est attendrissante car Pitikok, malgré toute sa bonne volonté, ne peut assurer son travail. Il en est tout dépité et blessé. C'est un plaisir suprême de voir la fierté de ses enfants, d'être leur héros.

Des illustrations expressives, gaies, des personnages candides, une histoire belle, émouvante, amusante, je ne manquerai pas de m'intéresser aux autres livrets et essaierai de les lire dans leur chronologie ; le premier titre étant "La petite poule qui voulait voir la mer"... poétique !

La série "Les petites poules" est une série très appréciée à la maison. Nous l'empruntons souvent à la bibliothèque (La petite poule qui voulait voir la mer et Les petites poules, la bête et le chevalier). C'est donc avec joie que nous avons reçu grâce à Masse Critique de Babelio ce nouvel Opus.



48 pages de rigolades et d'aventures avec Carmen, Carmelito et leur ami mouton "Bélino".

Dans cet album de belle taille, nos héros rendent visite au grand-père des petites poules, Coq-Papi. Mon fils de huit ans a bien ri de cette"poule au bois dormant" qui est à l'opposé de la "Belle au bois dormant" qu'il connait.

Tous les cent ans, les coqs du château essaient de réveiller la princesse qui dort. Coq-papi,crieur public de métier, voudrait tenter sa chance.



La princesse se réveillera et la fin sera surprenante à l'opposé d'un conte classique où tout finit par un mariage.



Les images sont gaies et dynamiques avec plein de détails (Les enseignes des auberges font frémir Bélino ("cochon pendu" ou "Mouton grillé") ou le font rire (Affiche la Brebis qui rit")



Pour ma part, j'ai bien ri à la "poule qui dort sur ces deux oreilles", au moment du défilé des volatiles prétentieux comme le "paon d'or" et sa boîte, et la libération du "Papi" . Je cite "Papi kidnappé, Papi martyrisé mais Papi libéré..."



En conclusion : un album réussi sur la même lancée que les autres ;-)

Cette série est très bien construite et les illustrations sont superbes. Encore une réussite pour Carmélito et ses amis.

Le lundi, c'est le jour des histoires chez les P'tites poules... Excitées, elles piaffent d'impatience en attendant le Rat conteur.

Quand il est là, c'est l'enchantement : il sait faire voyager nos amis, mieux que personne.

Avec quelques mots et beaucoup de savoir-faire, il les fait trembler pour Ulysse, rire et pleurer pour la poule aux oeufs d'or... et tant d'autres.

Mais, Rat conteur n'est pas éternel, il sait qu'il devra bientôt passer la main.

Seulement, son successeur doit être impérativement celui ou celle désigné par une énigme, que notre malheureux " colporteur d'histoires" n'a toujours pas résolue...

Heureusement, l'ingénieuse Carmen et les courageux carmélito et Bélino sont toujours prêts à rendre service... pour une nouvelle aventure !



Venez sur lison-raconte écouter un extrait !!
Lien : http://www.lison-raconte.fr/..

L'album commence fort avec une petite poule féministe qui se révolte: "Pondre, pondre, toujours pondre! Il y a des choses plus intéressantes à faire, dans la vie!". Le rêve de Carméla, c'est de voir la mer. Ni une, ni deux, la voilà qui s'enfuit du poulailler pour entreprendre un long voyage... qui ne manque pas d'humour! La poulette va en effet croiser la caravelle de Christophe Colomb et découvrir l'Amérique (ainsi que le maïs)! J'ai trouvé l'anachronisme très drôle, tout comme le peuple de petits coqs rouges et le fait que ce qui sauve Carméla, c'est... de pondre! Comme quoi mieux vaut ne pas renier qui on est! Au final la boucle est bouclée avec Carmélito, le fils de Carméla qui veut... aller dans les étoiles!



J'ai trouvé le dessin coloré très expressif et la petite poule toute mignonne. C'est une aventure pour les enfants de primaire mais qui peut plaire aussi aux petits lecteurs de 6e ou servir de support à une lecture à haute voix.
Lien : https://www.takalirsa.fr/les..

Carmélito est amoureux de Roxane, petite poule rousse comédienne de la troupe du grand Coquelin. Mais comment lui révêler son amour ?

Je ne découvre pas "Les p'tites poules" avec cet album. Je crois que celui-ci est particulièrement réussi. Situation, humour, jeux de mots, références littéraires, rien ne manque. Il me donne envie de redécouvrir les autres.

J'avoue, j'avoue, que les jeux de mots inlassables des P'tites Poules me lassent ! Mais le Ptitviking (4 ans et demi) adore ces livres (il ne doit pas saisir toutes ces blagues loufoques), alors on les lit et relit. Ici, ce que j'ai aimé c'est : apprendre la vie des hiboux (des Grands-Ducs, pardon), les voir s'envoler dans une petite lanterne magique trop belle, et que les poules, poulets, poussins et coqs aident EVIDEMMENT ces malpoulis, sans idée de vengeance.



ÇA, c'est la belle vie qu'on veut.

Christian JOLIBOIS et Christian HEINRICH. Sauve qui poule !



Alors que les p’tites poules jouent à cache-cache, et se chamaillent, les renards en profitent pour enlever un des leurs, Coqueluche. Lorsqu’ils s’en aperçoivent, c’est la débandade. Il faut partir à la recherche du disparu ; tout le poulailler est en émoi et en alerte. Même les touts petits s’en mêlent, suivi par Bélino, mort de peur, il est fort courageux, notre petit bélier. C’est Carmen qui va diriger les opérations. Au gré de leurs avancées, elle va rencontrer la petite renarde Zorra et son cheval de bois, Galopin. Les deux ennemies vont sympathiser et grâce à leurs tractations tout rentrera dans l’ordre, qui au poulailler, qui, dans la tanière des renards. Et hop tout le monde en partance pour une nouvelle péripétie.



Ah quelle réussite que ces deux auteurs et leurs P’tites poules. Les albums se suivent et ne se ressemblent pas. Ces poulettes et ces jeunes coqs sont facétieux. Ils nous ravissent chaque fois avec leurs histoires à dormir debout. Nous les aimons et attendons avec impatience de nouveaux épisodes. Merci beaucoup aux deux " Christian" et à bientôt. (22/04/2021).
Lien : https://lucette.dutour@orang..

Christian Jolibois et Christian HEINRICH. Les P'tites poules et la rivière qui cocotte.



Revoilà nos P'tites poules pour une dix-huitième aventure. Mais oui, vous les connaissez et les adorez! Que nous réservent donc les auteurs, aujourd'hui?



Après la pluie, un rayon de soleil perce dans le ciel, vite nos p'tites poules sortent et vont faire une bataille de gadoue, comme avec la neige mais en couleur, oui surtout du noir et du gris. Quelle rigolade! Heureusement que Pédro, le cormoran les surveille, en dormant.... Mais à la fin, voyez leur état : une poule ne reconnaîtrait pas ses poussins. Vite, à la rivière, avant le retour des parents, quelle serait leur réaction face à ce désastre?



Coquenpâte, Bangcoq et Molletdecoq, se jettent à l'eau les premiers. Nos trois courageux petits poulets ressortent couleur arc-en-ciel et de plus, ils cocottent fort. Qu'y-a-t-il dans l'eau de la rivière? Que leur arrive-t-il? Ils sont malades et placés en quarantaine? Non ce n'est pas le Covid .... C'est la faute aux putois, maîtres teinturiers qui polluent l'eau. Comment les déloger? Comment la source pourra-t-elle être limpide et claire?



C'est Gargantua va plonger et sauver nos p'tites poules. Plus de pollution, plus d'odeurs nauséabondes. Merci au petit téméraire, la rivière va retrouver la santé



Merci à nos deux Christian. Les textes sont toujours aussi croustillants et les illustrations aussi artistiques, et très parlantes. Les Expressions sont flagrantes: les regards pétillent de joie.... Merci à vous deux et rendez-vous en 2021 pour une nouvelle histoire. Mon petit-fils Hugo, six ans bientôt est un fervent admirateur des P'tites poules. Il a tous les précédents albums et recevra celui-ci à Noël. Merci aussi au Père-Noël !


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Retour aux sources.

Après avoir lu un des derniers tomes, cela m'a donné envie de replonger dans l'histoire et les premiers opus.

Il n'y a pas à dire. Ce premier tome avait tout pour lui. Une fraîcheur, un dessin, de la poésie, de la culture historique...

Un bon moment que tous les enfants devraient avoir la chance de connaître.

Merci aux auteurs pour cette belle idée.

Et vu la taille de la file d'attente au salon du livre, il est heureux que le succès continue pour eux...