Christine Thépot-Gayon

Benjamin est un jeune homme handicapé au physique difforme. Il mène une existence solitaire et morne. Il vit sous la coupe de parents toxiques, entre un père au caractère despotique qui gère la vie de son fils de façon totalitaire et une mère possessive, mais soumise à son mari.



Benjamin évolue dans un monde coupé des relations humaines. Quand il tombe amoureux, il est complément dépourvu et perdu.



Isola est libraire. Elle mène une existence solitaire. Elle compense son manque d'affection et un traumatisme ancré dans sa jeunesse en mangeant beaucoup de sucreries.



Une amitié tendre et profonde va réunir ces deux êtres différents. Ils vont s'entraider. Isola va pousser Benjamin à s'épanouir et à oser dire non à ses parents !



La plume de l’auteure est belle, sensible et toute en finesse. J'ai beaucoup aimé l'humanité des personnages de Benjamin et Isola.



Comme dans son roman précédent, l'auteure combine avec beaucoup de talent, le plus beau avec le plus détestable de l'âme humaine. J'ai beaucoup aimé la lecture de cette histoire sur la vie de gens différents dans lequel le sujet du handicap est traité avec beaucoup de justesse.

J’ai déjà eu à faire à la plume de Christine et j’ai été charmée par celle-ci, alors j’ai bondi sur l’occasion de lire cet ouvrage et j’en suis encore une fois ressortie complètement bouleversée !



L’autrice a le don de nous faire ressentir tellement d’émotions que ce soit à travers sa plume fluide ou ses personnages aux personnalités variées et touchantes.



Encore une fois, ce livre aborde des thèmes assez lourds : on y retrouve notamment notre protagoniste souffrant d’une malformation et complètement sous l’emprise de ses parents et de violences, son amie ayant des troubles du comportement alimentaire et violences conjugales, et une nouvelle arrivante qui au début était assez détestable à mes yeux et qui a fini par conquérir mon cœur.

Le suicide, la dépression et l’abandon sont aussi des thèmes abordés.



Je trouve génial que l’autrice sache aborder des thèmes aussi lourds et touchants, je trouve ça très inclusif et au final, on finit par se sentir représenté dans l’œuvre



Pour ma part, j’ai été, comme évoqué plus haut, complètement chamboulée par cette lecture. Des larmes d’émotion ont coulé, et parallèlement, j’ai tellement apprécié cette lecture que j’aurais aimé qu’elle ne se termine jamais !



Je n’aurai qu’une chose à dire : si vous souhaitez passer par plusieurs émotions et être charmés par une histoire, foncez le lire ainsi que son autre ouvrage « Compter les oiseaux, compter les chapeaux » qui sont de véritables merveilles !

C'est avec un immense plaisir que j'ai accepté la nouvelle proposition de lecture de @christine_thepot pour son nouveau roman, Et puis un jour, j'ai dit non

Si j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire que je trouvais un peu trop plan plan. (J'ai la sale manie de ne pas lire la quatrième de couverture et donc je sais que rarement de quoi va traiter le roman. Oui parce que j'ai une PAL ultra debordante et ne me souviens plus forcément de l'histoire lue en quatrième de couverture, lors de l'achat ou de la proposition de lecture...)

Car je pensais alors, une nouvelle fois, avoir à faire à un feel-good et pensais connaître la fin dès le départ. Vous savez le truc que l'on voit arriver de loin genre panneau publicitaire 5m×5m qui clignote "Ils vont tomber amoureux ! Ils vont tomber amoureux !"

J'ai été très agréablement surprise au fur et à mesure de la lecture de m'être trompée. Je me suis laissée berner toute seule 🤣. Et alors, à ce moment, j'ai été prise d'une envie irrésistible de lire et encore de lire pour connaître la suite, savoir de quoi il en retournait. De plus, l'auteur sème des passages, en cours de lecture, qui apparaissent comme un extraterreste, sans lien apparent avec l'histoire, ce qui permet d'attiser la curiosité du lecteur.

Bref, le truc bien addictif, comme il faut !

C'est donc intriguée que j'ai poursuivi ma lecture et alors là, je suis tombée sur les fesses (non en vrai j'étais assise. 🤣 ) à plusieurs reprises.

J'ai été plusieurs fois surprise par la tournure que prenait les choses, attention si j'ai été surprise, c'est dans le bon sens. J'ai adoré. Moi qui aime les romans, les histoires percutantes, qui changent de l'ordinaire et surtout qui ne se terminent pas bien, j'ai été conquise tout simplement.

Alors si vous voulez être surpris, je vous invite à vite aller dévorer ce bouquin qui vaut le détour.

Quel plaisir de retrouver la plume de l’autrice dans ce court roman que j’ai dévoré en une soirée.



Nous allons suivre l’histoire de Benjamin cabossé par la vie et sous l’emprise de son père tyran. Mais c’est également l’histoire d’Isola, jeune libraire boulimique et seule amie de Benjamin. Est-ce qu’ils arriverons à se sauver de cette emprise?



Cette histoire est bouleversante, préparez la boite de mouchoirs. La plume est tellement belle, poétique, immersive.



Les chapitres sont un peu long mais on est tellement dans l’histoire qu’ils défilent à une allure folle.



Les personnages sont attachants ou détestables mais si les détestables devenaient attachant?



Cette histoire est une histoire d’amour, d’amitié, de résilience, de choix de vie, d’embûches à surmonter et de révélations à digérer.



On y retrouve des thématiques fortes, comme le mal-être, la boulimie, la peur, la violence, l’acceptation de soi en tant que personnes et ses handicaps, le sentiment de solitude, …



Comme pour son précédent roman, l’autrice m’a transportée dans son récit avec une multitudes d’émotions. Je sors de ce récit chamboulée mais en même temps pleine d’espoir pour un des personnages dont on espère le meilleur pour la vie future.



Vous l’aurez donc compris, lisez ce court roman poignant et bouleversant écrit avec une plume immersive et pleine de talent !

Un récit fort et délicat !



Benjamin est un jeune homme au physique disgracieux qui mène une vie morne et très solitaire. Entre un père tyrannique qui gère absolument tout de sa vie et une mère passive mais possessive, il évolue dans un fragile équilibre, loin des relations humaines. Alors, lorsqu'il rencontre l'amour, il se trouve complètement perdu.

Isola est libraire. Elle mène aussi une vie bien solitaire. Pour surmonter un choc émotionnel dans sa jeunesse qui l'empêche de vivre pleinement, elle se réfugie dans des excès de nourriture.



Entre ces deux âmes esseulées va naître une tendre et profonde amitié. Ensemble ils vont lutter contre l'adversité et Benjamin apprendre à s'émanciper et oser enfin, dire non !



J'ai tout aimé de ce roman !



J'aime les menus détails de la couverture qui en disent long...



J'adore l'écriture de l'auteure, pleine de sensibilité et de finesse.



J'ai été emportée par les personnages de Benjamin et Isola, atypiques et d'une grande humanité.



Une fois encore, je suis conquise par ce récit de vie de gens pas tout à fait ordinaires !

Le thème du handicap est central, et toujours traité avec autant de brio !



Une myriade d'émotions s'est invitée. Joie, tendresse, doute, incompréhension, peine, colère...L'auteure excelle dans leurs descriptions.



J'ai été emportée par ce merveilleux récit qui nous ramène à la réalité avec amour et bienveillance, même s'il faut parfois (souvent) en passer par la douleur.



Je vous encourage vivement à vous offrir cet excellent moment de lecture et félicite Christine Thepot Gayon pour l'intensité émotionnelle que dégage son dernier roman !

Merci à @christine_thepot pour l'envoi de son roman via @simplementpro

J'avais eu un coup de cœur pour le précédent "Compter les oiseaux..." et bien, c'en est un à nouveau !

La plume de Christine est vraiment belle et addictive, et bien que les sujets abordés soient difficiles, il y a de la poésie dans son écriture, de la tendresse.

On va suivre la vie de 2 cabossés Benjamin et Isola.

Lui a 35 ans, handicapé physiquement, il se croit bête. Il est sous l'emprise totale d'un père tyrannique et d'une mère étouffante. Il habite dans un appartement acheté par ses parents, il ne travaille pas et aime se rendre au Musée d'Orsay.

Un jour, il tombera sous le charme de Marianna, une caissière du musée. Il sera émotionnellement chamboulé ! Et si c'était cela l'amour ??? Arrivera-t-il à lui parler ? L'aborder ? Mais surtout aller contre l'avis de ses parents ? Il va se confier à Isola, la libraire devenue sa meilleure amie. Isola est boulimique, personne ne la regarde à cause de son physique, mais elle y croit au grand amour !

Que cache-t-elle derrière cette "maladie" ? Qui est cet admirateur secret qui lui écrit ?

Ce roman est magnifique ! 180 pages qui se dévorent.

Isola et Benjamin sont tellement attachants. Je ne peux rien écrire sans spoiler, ce qui serait vraiment dommage, mais sachez que j'ai été scotchée par ce scénario et ces secrets dévoilés ! Je ne m'attendais absolument pas à cela !

Quand tout se révèle, quelle claque !

Vous passerez par tellement d'émotions, que vous ne lâcherez pas ce livre.

Christine aborde des thèmes forts : le handicap, l'emprise, les non-dits, les secrets de famille mais également la confiance mutuelle, l'amitié et l'amour.

C'est un roman dramatique que je vous recommande, et une auteure à suivre de près !
Lien : https://www.instagram.com/on..

[POUR PUBLIC AVERTI]



J’ai noté pour public averti car certains sujets traités sont très difficiles. Je ne peux vous dire lesquels sans prendre le risque de vous dévoiler une partie de l’intrigue.



Le problème quand on écrit un excellent roman c’est de réussir à faire aussi bien avec les suivants. Même si « Et puis un jour, j’ai dit non » est un ouvrage particulièrement intéressant, je n’ai pas été transportée comme avec « Compter les Oiseaux Compter les chapeaux ».



Il faut dire qu’après avoir lu le résumé, je m’attendais à une toute autre histoire. Je trouve que la mise en situation est beaucoup trop courte. J’ai donc mis du temps à cerner correctement le personnage de Benjamin. Mais vous verrez, vous vous attacherez rapidement à certains personnages et vous en détesterez d’autres avec autant d’empressement.



Car il faut reconnaître à Christine Thépot Gayon ce talent de savoir saisir le vivant pour le fixer avec réalisme sur le papier. De sa plume maîtrisée et accessible, tout en utilisant un registre de langue relativement soutenu, l’auteure réussit le pari d’aborder des sujets dramatiques sans sombrer dans le pathos. Vous ne pourrez échapper aux émotions transmises par les mots. Ces derniers s’imbriquent de façon à faire défiler sous nos yeux le récit de manière très imagée.



Sans spoiler, j’avoue ne pas avoir aimé la fin. Je la trouve discutable et je pense qu’elle alimentera le débat entre lecteurs. Paradoxalement, ça me donne envie de vous inviter à lire cet ouvrage déroutant, parfois dérangeant, qui raconte la terrible réalité parfois vécue par des gens comme vous et moi.



Et puis un jour, j’ai dit non, mais pas à cet ouvrage qui vaut le détour.
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Comme lors de son premier livre l’auteure nous fait partager le quotidien de personnes « à part » les cabossés de la vie, ceux que la société a oublié en cours de route.

Ici, on découvre Benjamin un homme de 35 ans handicapé physique et mal traité par ses parents, un père tyrannique et une mère possessive qui le garde au stade de l’enfance.

Et Isola jeune libraire au grand cœur, mais qui compense le traumatisme de sa jeunesse par une consommation de sucre plus qu’excessive.

C’est aidé d’Isola que Benjamin va apprendre à s’émanciper de la relation toxique qu’il entretient avec ses parents et découvrir l’amour, le plus beau comme le pire.



Comme lors de son précédent livre Christine Thépot mêle avec beaucoup de talent le plus pur avec le plus abject, le meilleur et le plus bas de l’âme humaine.

Une fois encore elle m’a fait espérer et pleurer, l’éveil de Benjamin à la vie et quelque chose de très attendrissant, j’aurais voulu pouvoir le protéger, mais seule la souffrance et la déception rendent adulte, même si l’addition est lourde parfois.



J’ai beaucoup aimé aussi le personnage d’Isola au grand cœur tourmenté. Et qui pose une question qui fait réfléchir peut on continuer d’aimer quelqu’un quoi qu’il ait fait ?



C’est encore une fois un très beau livre hors du temps, il pourrait se passer n’importe où n’importe quand il est infiniment poétique.

L’auteure a le don d’écrire des romans qui sortent des sentiers battus, je vous recommande vivement cette lecture.
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Tiens-toi prêt, parce que là, tu vas vivre une myriade de sentiments, et pas n'importe lesquelles en effet. Il va y avoir de l'amour, de la jalousie, de la peur, mais surtout de la passion. Christine avait déjà réussi à me convaincre de sa plume lors de son premier ouvrage et bien elle m'a convaincu encore une fois. L'autrice m'a prévenu que c'était un drame, et qu'il faillait que je me prépare. Et bah prépare les mouchoirs parce que tu en auras besoin.



Allez, on passe à l'histoire maintenant que tu sais qu'il te faut les mouchoirs, enfin plutôt aux personnages Benjamin a été un coup de cœur, il est doté d'une force de caractère qui m'a envoûté.

Marianne est quant à elle, comment dire, détestable, mais on adore détester les gens, alors elle est parfaitement horrible. Cette histoire n'est pas vraiment joyeuse, mais les personnages vont grandir au fur et à mesure des pages, et nous donner bien des leçons de vie.



Ps: ne sois pas comme Marianne elle est vraiment horrible 🤣

Benjamin, jeune trentenaire, cabossé par la vie, mais aussi surtout par un père tyrannique. Il vit seul à Paris, ne travaille pas, et un passionné d'art, au point de visiter beaucoup de musées.

Un jour, il aperçoit, une jeune femme au comptoir d'accueil, pour lui, c'est un coup de foudre, en est-il de même pour cette femme ??

Benjamin s'enquiert de l'annoncer à son ami Isola, libraire, avec qui, il s'est lié d'amitié et ils sont là l'un pour l'autre dans cette relation...

De péripéties en péripéties, de la découverte de beaucoup de non-dits dans cette famille, de la perte soudaine, du chagrin,... Arrive enfin le jour où Benjamin dit NON.



Un magnifique roman bouleversant, des personnages attachants, et d'autres détestables. Il y a divers thèmes abordés ici comme le handicap, l'amour, l'amitié, les non-dits, l'emprise, le mensonge et j'en passe... Les personnages de Benjamin et Isola, sont très attachants.

Un roman qui mérite d'être découvert, une autrice qui écrit avec une fluidité qui aide à la lecture rapide de ce livre.



Je remercie encore une fois @christine_thepot pour l'envoi de son livre, dédicacé qui plus est... Merci infiniment de votre confiance 🙏🏻
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📖 Paris. Benjamin vit seul dans un appartement. Malformé, sous l’emprise d’un père violent et d’une mère surprotectrice, ses seules échappées sont l’art et sa meilleure amie, Isola, tout aussi cabossée que lui. Mais tout change le jour où il rencontre la belle Marianna…

***

✒️ 𝑪𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒃𝒐𝒏𝒉𝒆𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒔𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒖𝒏𝒆 𝒆𝒎𝒑𝒓𝒆𝒊𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒕 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒎𝒆𝒎𝒐𝒊𝒓𝒆, 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔 𝒅𝒆 𝒅𝒆𝒕𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒆 𝒎𝒆𝒎𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒗𝒐𝒊𝒓, 𝒔𝒂𝒖𝒇 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒕𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆 𝒏𝒆 𝒔'𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔.

🖼️ Le différence. Les moqueries, les regards en coin, la pitié, l’indifférence. L’envie d’être considéré, aimé. L’envie de liberté, l’envie de ressentir ses premiers émois et sortir de ce carcan que la famille nous a imposé. L’envie juste d’aimer et d’être aimé en retour, tel que l’on est.

📜 Christine Thépot-Gayon nous offre un drame sensible et émouvant. Une plume presque libératrice, des personnages attachants et différents, où l’originalité prend toute sa place.

Préparez-vous à ressentir toutes les émotions qui traversent Isola, Ben et Marianna.

Souffrez, riez et embarquez pour un roman touchant.

Une excellente lecture 🖤

"Et puis un jour, j'ai dit non" est le deuxième roman de Christine Thepot Gayon. En renouvelant sa confiance envers moi, elle m'a permis de découvrir ce dernier que j'ai vraiment bien aimé.



Le roman parle d'un adulte enfermé dans un quotidien d'un enfant encore sous l'autorité parentale. Il s'agit de Benjamin, 35 ans. Il vit une relation difficile et toxique avec ses parents, mais plus précisément son père. Grâce à une amie, il va pas à pas ouvrir les yeux sur ce que le monde, la société et les relations humaines ont à lui offrir ou à lui faire subir. Le comportement de Benjamin va changer et va être capable de prendre ses propres décisions que ça plaise ou non à son entourage. Il est temps qu'il prenne confiance en lui tout en faisant face à sa peur de l'inconnu avec des habitudes qui le rassurent un minimum telles que ses visites régulières au musée et à son amie Isola, libraire. Mince alors ! Il est libre de dire non aussi ! Au fil des jours de son nouveau quotidien, Benjamin va faire face aux relations sociales, surtout amoureuses, qui ne sont pas toujours roses et dignes de confiance. Il est maître de son destin et il en aura de plus en plus conscience.

Il peut remercier Isola pour son encouragement. Elle est un amie en or dans laquelle Benjamin place une confiance aveugle. Mine de rien, son prénom signifie beaucoup pour l'intrigue. Tous les deux sont des personnes isolées de la société, du moins Benjamin pour être exacte.



Une rencontre et tout se bouscule. Benjamin n'est pas prêt pour ce qui va arriver et il va en souffrir énormément. Il saura également en qui il peut avoir confiance ou non. Ce sera le moment pour lui de faire le tri dans son petit entourage. Durant son périple Benjamin va perdre des êtres chers qu'il aimait énormément et être déçu par d'autres. À quel point ?



La vie et les relations ne tiennent qu'à un fil dans la vie mouvementée de Benjamin. Isola aussi…



Concrètement, la lecture de "Et puis un jour, j'ai dit non" fut une lecture sans encombre et captivante au point que j'ai lu le roman en une seule journée. On ressent que l'auteure a mis tout son cœur dans l'écriture de ce récit, car on ressent nous aussi ce que le personnage principal et son entourage ont vécu : sentiments difficiles à avouer, la timidité, l'amour, la colère, les mensonges, l'impression d'être en cage, etc. Bref, TOUT !



Je n'ai donc pas vu le temps passer tout comme Benjamin qui a vu défiler tout un tas d'événements positifs et tragiques durant une période de sa vie où tout s'est accéléré. C'est un coup de cœur que je recommande chaudement.

📕MON RESSENTI

Il y a Benjamin qui ose enfin dire non, qui ose se dévoiler, qui ose vivre.

Ce personnage est bouleversant de douleur.

Il y a Isola son amie qui est tout aussi blessée par la vie, par les gens et à laquelle on s'attache.

Il y a Marianna, une femme sublime dont il va tomber amoureux et cela va changer sa vie.

Mais le drame est bien là.

Des secrets dévoilés (des secrets inimaginables qui m'ont scotché)

Des thèmes forts sont décrit superbement par l'autrice.

Tout en finesse et justesse Christine a su me rendre accro à ses personnages qu'on a envie de prendre dans ses bras. Bon, pas tous, j'en conviens.

Je vous laisse découvrir ce roman que je qualifierai de magnifique drame.

Je me suis lancée dans ce livre avec curiosité, sans réellement palper ce que j'allais y découvrir. Bien sûr, le résumé nous met en garde contre des évènements sombres mais je ne voyais pas très bien où ça allait nous mener et, concrètement, mon intuition n'allait pas du tout vers ce type de rebondissements.



J'ai, de suite, bien accroché à l'histoire et à ses personnages. J'ai toujours eu une affection particulière pour les gens différents qui ont beaucoup à nous apprendre sur le monde qui nous entoure mais, avant tout, sur nous-même. J'ai trouvé assez réconfortantes les routines qu'on leur découvre et leurs peurs. J'ai aimé leur manière de vivre comme des adultes alors que Louis et Svetlana ne sont encore que des enfants. Et, plus que tout, l'évidence de leur rencontre et leur amour "pur". J'ai aimé la simplicité des premiers chapitres qui reflète parfaitement la douceur du bonheur.

J'ai trouvé le tournant sombre assez brutal. Si l'on sent que quelque chose se prépare, je ne m'attendais pas forcément à ce que cela aille aussi loin. J'ai aimé la complexité de cette seconde intrigue qui boucle avec intelligence les liens entre les différents personnages. Plus que tout, j'ai apprécié que certaines thématiques taboues soient abordées : je ne pense pas avoir déjà lu un livre qui abordait ce sujet sous cet angle (celui de Nadia) et j'ai trouvé cela bien. Il n'y a pas de culpabilité ou de jugement dans la narration et j'espère que cela pourra aider les personnes vivant quelque chose de similaire.

J'ai été profondément attristée par la fin. Même si tous les éléments étaient là depuis de nombreuses pages, je ne voulais pas imaginer que cela puisse se finir ainsi. Même si c'est plutôt "juste", j'ai encore un peu de mal à croire que cela n'aurait pas pu être différent.



Louis et Svetlana m'ont beaucoup plu. J'ai aimé leur tendresse enfantine et la manière dont tous leurs sentiments sont décuplés. Toutes les petites choses anodines de notre quotidien prennent vraiment une saveur particulière, beaucoup plus chargée de sens avec eux. Tous les deux ressemblent à des petits moineaux tombés de leur nid et on a inévitablement envie de les protéger : j'ai trouvé leur fragilité assez envoûtante.

De même, Louise et Sacha m'ont également beaucoup touchée par les sacrifices qu'ils font pour leur proche. On sent réellement que toute leur vie leur est dédiée et qu'ils vivent dans l'inquiétude de ce qu'ils pourraient ne pas réussir à prévoir ou à maîtriser. J'ai aimé le bonheur sincère de Louise pour son frère et me suis reconnue dans la retenue de Sacha envers l'ami de sa fille. 

Par contre, j'ai été gênée par le nombre de personnages dans l'histoire et notamment leur introduction que je n'ai pas toujours trouvée claire. Si l'on côtoie peu de personnages, j'ai eu du mal à comprendre qui était qui et quel était son rôle dans l'histoire. Cela a particulièrement été le cas avec Nadia et sa famille dont je n'ai pas tout de suite perçu le lien avec Svetlana et Louis.



C'était la première fois que je lisais un roman de Christine THEPOT-GAYON et j'ai vraiment passé un bon moment. Même si la narration est assez neutre, même sur les passages délicats, j'ai trouvé que son écriture était pleine de bienveillance. J'ai aimé l'absence de jugement, permettant aux lecteurs de se faire leur propre avis mais aussi de ne pas stigmatiser les handicaps décrits dans Compter les Oiseaux, Compter les Chapeaux. Si habituellement, j'aime bien quand les auteurs appuient l'anormalité de certaines situations, j'ai ici beaucoup apprécié la pudeur respectée de Nadia pour la reconstruction de sa famille. Pour le coup, ça tombe sous le sens que "c'est mal" et je pense que cela permet aussi de ne pas ajouter une certaine culpabilité aux victimes en les laissant faire comme il leur est nécessaire.

Un livre qui fait grandir.
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Dans cette histoire, nous suivons Benjamin, vivant seul à Paris sous l’emprise et le contrôle de son père tyrannique. Enfermé, dévalorisé et en manque de liberté, Benjamin a beaucoup de difficultés à trouver le bonheur dans cette situation. Heureusement, plusieurs rencontres vont bouleverser sa vie et changer durablement son destin, ce qui ne sera pas sans conséquences.



Tout d’abord, ce que j’ai le plus aimé ce sont les thématiques abordées autour de l’émancipation de la quête de la liberté et de l’emprise paternelle. C’est quelque chose que je n’avais encore jamais lu dans un roman et j’ai trouvé tout cela très intéressant. Par ailleurs, se greffe à cela grâce d’autres personnages et d’autres sujets très touchants comme la boulimie et la santé mentale qui sont très bien amenés.



Ensuite, j’ai beaucoup aimé le fil conducteur du roman. Chaque événement est très bien amené, les rebondissements et les retournements de situation nous donnent envie d’aller toujours plus loin dans l’histoire. La plume de l’auteur est très agréable à lire, l’écriture est bien travaillée avec une pointe de poésie, on s’immerge facilement dans l’histoire.



Enfin, j’ai adoré le personnage principal, très attachant et touchant en raison sa personnalité et de son handicap. Il nous transmet également plein d’espoir et d’insouciance. Il évolue beaucoup tout au long du roman, il grandit, se bonifie et nous inspire.



C’était une belle lecture. Je recommande sans hésitation. Merci beaucoup à l’auteur pour l’envoi et sa confiance.






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... Benjamin se sent seul. À 35 ans, atteint d'une malformation, il ne travaille pas, mais passionné par les arts, il souhaiterait exercer une activité dans ce domaine. Heureusement, il trouve du réconfort auprès de la libraire du quartier, Isola, une jeune femme aussi malmenée par la vie que lui.

Le destin va lui faire un signe. Une rencontre inattendue pourrait bien bouleverser son quotidien...



Dans ce nouveau roman tout en fluidité, Christine Thepot Gayot nous embarque au coeur de son univers dès les premières lignes. Les personnages travaillés en profondeur jusqu'au tréfonds de leur âme nous livrent un à un leurs secrets au fil de la lecture. 



Benjamin, le personnage principal, doit passer par bien des épreuves pour grandir et s'ouvrir comme le papillon qui rompt sa chrysalide et prend son envol. Son amie au grand coeur, Isola, empêtrée dans son passé et pétrie de complexes, lui apportera tout son soutien. 



L'auteure aborde plusieurs thèmes importants, le handicap, l'emprise, l'amour et surtout l'amitié, les non-dits, le mensonge, la confiance en soi et en l'autre... Après avoir malaxé tous ces ingrédients et saupoudré le tout d'une pincée de poésie, elle en fait un récit touchant et réaliste.



Une plume sensible, une narration maîtrisée et une fin inattendue caractérisent ce roman très émouvant.



Je remercie Christine Thepot Gayot et Simplement Pro pour cet ouvrage.

« 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑝𝑝𝑒𝑛𝑡 ? 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑎𝑙 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑡𝑖𝑟 𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑟 ? »



Dans ce roman, nous suivons la vie de Benjamin, un homme de 35 ans, qui est handicapé physiquement. Un bras qui ne lui sert plus à rien, une main malformée, une bouche tordue, en bref, un handicap qui lui pèse moralement et c’est sans compter sur son père qui contrôle sa vie.



Heureusement, il a son amie Isola pour l’aider et lui remonter le moral lorsque ça ne va pas fort. Ils se soutiennent et s’entraident. Et puis, il y a Marianna, une jeune femme belle à souhait dont il va tomber amoureux, pour le meilleur et pour le pire. Mais où cela va-t-il mener Benjamin ?



Dans cette histoire, on trouve des thèmes forts, comme le handicap, l’amitié, les secrets de famille qui donne du piment à cette histoire, mais aussi le fait que le handicap laisse en retrait les personnes concernées ou encore l’emprise d’un père sur son fils. L’autrice ne nous ménage pas et c’est très bien. On retrouve des thèmes que chaque personne peut connaître une fois dans sa vie.



Je dois avouer que je lis rarement ce genre de roman, la plupart du temps, je trouve cela pesant, mais aussi bien trop triste. Mais celui-ci, bien que les émotions soient présentes, on ne ressent pas la pesanteur du handicap tout au long de l’ouvrage, on ne se sent pas gêné, on est tout simplement dedans, avec notre compassion et notre envie de connaître un peu plus ses personnages que nous apprécions.



C’est écrit avec beaucoup de finesse, l’histoire se tient bien et certains passages sont vraiment difficiles à lâcher du fait de certains secrets que nous souhaiterions connaître au plus vite. On ressent énormément de compassion pour les personnages et l’on s’attache facilement à eux ainsi qu’à leur histoire.



Une belle histoire qui donne à réfléchir et que j’ai beaucoup aimée. Je la recommande fortement.

Merci Christine Thépot Gayon pour m'avoir fait découvrir votre livre. J'ai été happé par l'histoire.

Au début, je me suis dit tiens une histoire d'amour avec des personnes handicapées mais au final les sujets sont très actuels malheureusement.

On se prend très vite d'amitié pour les personnages mais aussi de la colère et de la haine par moments pour certains.

Comment peut-on profiter de la faiblesse des malades, handicapés,.... (Une chose que je n'arriverai jamais à comprendre)

En lisant ce livre, j'ai ressenti de la peine, de la colère, du dégoût, de la frustration mais aussi un tel amour inconditionnel qui nous fait du bien.

Ce livre m'a tenu en haleine jusqu'à la fin.

Je le conseille vivement.

Comme dans "Compter les oiseaux compter les chapeaux", @christine_thepot choisit de nous raconter l'histoire d'un personnage atypique. Pas de jeune premier beau comme un dieu, riche comme Crésus, musclé sans faire de sport, Bad boy en surface, cœur guimauve en dedans, avec un travail cool et branché. Non pas de ce genre d'héros dans ce roman touchant et émouvant.



@christine_thepot préfère donner la voix à Benjamin qui souffre d'un handicap physique, qui pense être un idiot, qui vit reclus dans son monde d'habitude, loin des relations humaines et surtout qui est sous l'emprise d'un père tyrannique.

Et puis un jour, Benjamin dit non. Non à la solitude. Non aux ordres de son père. Non à sa mère intrusive et pourtant passive lorsque son mari s'en prend à son fils.

Benjamin se lie d'amitié avec une libraire. Il tombe amoureux d'une des caissières du musée. Il découvre en dehors du carcan familial la vie tout simplement.



Les personnages féminins sont loin d'être en reste. Elles sont aussi cabossées par la vie que l'est Benjamin. Leur rencontre avec notre héros particulier est un électrochoc pour lui, pour elles comme pour les lecteurices. Il est impossible de rester de marbre face à ces trajectoires de vie difficiles, face à ce roman bouleversant, face à ces voix qui s'élèvent pour exister.



Merci infiniment @christine_thepot de donner une place à ces personnages différents. Les personnes en situation de handicaps, que ce soit physique ou mental, visible ou invisible, sont peu et très mal représentées dans les romans. Merci pour eux. Merci de nous ouvrir à la diversité, quelle qu'elle soit !



Convaincu.e.s de découvrir la plume de l'autrice ?

Connaissez-vous d'autres romans où les personnages principaux ont un handicap ?



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Benjamin a 35 ans, il dépend encore de ses parents. Pas par choix car lui aimerait travailler et vivre normalement. Son père est un tyran, depuis tout petit il fait peur à son fils pour obtenir ce qu'il veut de lui. Le jeune homme ne sait pas comment sortir de cette situation. Il profite de toutes ses heures libres pour visiter les musées qu'il adore et rendre visite à Isola sa libraire préférée. Malgré tout il n'est pas heureux, la peur de son père est beaucoup trop présente même quand il n'est pas là pour vivre sans crainte. Un jour lorsqu'il visite pour la énième fois le musé d'Orsay, il aperçoit une jeune femme. Ne côtoyant personne, il ne comprend pas le sentiment qui naît en lui en la voyant. Le jeune homme va tout faire pour la revoir et essayer de lui adresser la parole mais ça ce n'est pas le plus simple pour lui.

Va-t-il la revoir ? Si oui, osera-t-il lui parler ?



La couverture représente un moment important de l'histoire. Un roman qui nous entraîne au coeur des émotions et des sentiments des personnages. Ces derniers ont tous un passé compliqué. Isola et Benjamin sont vraiment très attachants. Tout les deux sont prisonniers mentalement et n'arrivent pas à s'en sortir ce qui les empêche d'avancer. Un roman où l'on ne sort pas indemne après avoir fermé le livre. Les sujets traités sont durs, les personnages vivent l'enfer sans jamais sortir la tête de l'eau. Je n'avais qu'une envie : les sortir de ce tourbillon de malheur dans lequel ils étaient piégés. J'avais l'impression de ressentir leur désarroi, leur peur mais également l'amour qu'ils pouvaient offrir. Grâce à leurs différences les deux personnages se sont liés d'une amitié sans limite, où ils n'hésitent pas à se mettre en danger l'un pour l'autre. J'ai apprécié la plume de l'auteure qui est très agréable.