Claude Aziza

Biographie très inintéressante qui s'applique à apporter des informations et des précisions sur un personnage historique que l'on connait uniquement par le biais de ses opposants.

Dépassant le biais de la caricature qui frappe la personne de Néron, l'auteur nous apporte les éclaircissements nécessaires à une meilleur compréhension du personnage, du moins une contextualisation qui nous permet de comprendre ce que l'on dit de cet empereur mal aimé.

Ce guide maniable, fourmillant de références littéraires et cinématographiques à jour, dans lequel on peut plonger par différentes entrées avec un égal plaisir, rendra d’éminents services à tous les – nombreux – amoureux de l’Ouest imaginaire.
Lien : https://www.lhistoire.fr/liv..

Pour se repérer dans l'immensité du continent western



Claude Aziza et Olivier Thomas ont troussé un guide à l'ampleur aussi large que les horizons de l’Ouest américain.



De « Broncho Billy » Anderson jusqu’à Cormac McCarthy, en ­passant par Fenimore Cooper, Chateaubriand, John Ford, Clint Eastwood, Davy Crockett, Pocahontas et Lucky Luke, ce guide raconte comment le western a construit une mythologie autour de la conquête du Far West.



Le guide étend son exploration du western en reprenant le genre période par période, en croisant les réalisateurs et les acteurs et détaille l’imaginaire de l’Ouest au cinéma, mais aussi par la bande dessinée et d’autres formes d’art comme la littérature, la photo, la musique ou la peinture.

La portée mythologique et sacrée du western



Une longue et riche histoire, qui montre que les grands réalisateurs de western –John Ford, Raoul Walsh, William Wellman, Anthony Mann et bien d’autres– ont filmé avant tout , c’est une mythologie, marquée par un revirement progressif des mentalités.



Les Américains ont également imaginé qu’ils avaient une mission à remplir sur terre en tant que peuple élu. Et beaucoup de westerns mettent en scène la marche vers la Terre promise de ces émigrants venus de tous les pays.



A partir des années 1950, notamment à partir du film de Delmer Daves La Flèche brisée (1950), les stéréotypes racistes qui dominaient le genre sont peu à peu remis en question.



Il faudra néanmoins bien plus de temps pour reconnaître la réalité à l’origine de tant de chefs-d’œuvre : une colonisation doublée d’un génocide.



Complet et détaillé, le guide montre aussi que le genre n’en finit pas de se réinventer, comme le prouve la mode actuel des romans de « nature writing ».


Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Un hommage vibrant aux professeurs qui ont changé leur vie à jamais, le plus bel hommage qui puisse être rendu par ces écrivains reconnus. Ils sont nombreux à être passionnés et pas suffisamment remerciés et reconnus. Lire ce livre m’a donné envie d’écrire à mes 3 professeurs qui m’ont le plus marquée.

Je m'aperçois que quand je prends un livre à la médiathèque c'est souvent sur le cinéma.

Alors pourquoi un livre sur les péplums, ce genre m'a toujours fait une effet particuliers pas toujours positif d'ailleurs, certains comme le Ben Hur de 59 m'ont littéralement traumatisé étant gamin, mais en grandissant je vois le péplum différemment, je me revendique comme un cinéphile, et je ne peux donc pas passer à côté du péplum qui fait partie de la naissance du cinéma.

Bon, j'ai moyennement accroché à la lecture, mais ce n'est en aucun cas à cause de la qualité de l'œuvre, je ne suis pas vraiment dans une période de lecture, mais justement l'auteur ramène souvent de l'humour dans le récit et le travail de recensement des films est impressionnant.

Une bonne lecture.

Une vingtaine d'écrivains , en quelques pages, parlent de profs qui ont marqué leur enfance, leur jeunesse.

Anecdotes, émotions, portraits, éloges... Ces témoignages louent le beau métier qu'est celui d'enseignant.

Le film " le cercle des poètes disparus" est souvent cité dans ces lignes, de même qu'apparaît l'image de Samuel Patty, lâchement assassiné !

C'est bien agréable à lire mais je me pose la question suivante: dans vingt ans, qu'en sera-t-il de cette profession tellement décriée et si peu reconnue de nos jours?

J'ai été très émue par tous les témoignages… Certains nous révèlent des liens privilégiés ou lumineux qu’ils ont pu avoir avec un professeur en particulier mais dans des contextes aujourd’hui quasi disparue… Pourtant, tous parlent d’admiration et d’envie de rendre hommage aussi bien aux professeures qu’à la matière qu’ils portaient avec passion. Souvent ce sont les lettres, l’histoire qui ont conquis les cœurs apprentis…

J'imaginais aussi la fierté des professeurs ainsi cités… qui ne pouvaient que constater les belles personnes, carrières que sont devenues tous leurs anciens élèves qui leur rendent aujourd'hui hommage…

Finalement nous ne sommes qu'une suite d'élèves et pour certains à vie… Toujours en train d'apprendre et de transmettre...

Merci à tous les héros qui ont su enrichir nos vies dans nos salles de cours.

Pompéi brûlé, Pompéi oublié, Pompéi ressuscité.

La ville antique de mort et de cendre s’anime et se transforme sous la plume deClaude Aziza.

Au cours de neuf promenades insolites, solitaires ou coquines, la cité se dévoile, le mystère s'éclaircit.

Nous parcourons des rues enfouies, visitons des demeures silencieuses ou découvrons de jeunes corps momifiés en compagnie de la famille Pline, d'écrivains célèbres ou de têtes couronnées.

De vieux péplums ou des romans pseudo historiques embellissent l’histoire, accentuent le tragique.

Grâce à l'érudition et à la sensibilité de l'auteur, Pompéi, immortelle et mythique, me paraît plus humaine, plus fragile tel l'enfant de boue blotti contre sa mère.

Voilà un listing fort subjectif de classiques à visionner avant de partir pour un autre monde. 1001 longs métrages qui ont marqué un siècle de cinéma, allant du noir et blanc à la couleu, de l’ancien au nouveau continent. Un ouvrage qui permet de survoler une centaine d’années de création et de synthétiser la pensée. Aussi une madeleine de Proust dans la mesure où on resonge à des pépites vues il y a longtemps et, parfois, oubliées. Des films qu’on ne voit plus ou trop peu. Peut-être une idée pour les télédiffuseurs en manque d’originalité ?

Dix promenades en compagnie du latiniste Claude Aziza emmènent le lecteur à la redécouverte de Pompéi, « la belle endormie ».
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..

Choix forcément subjectif, cet ouvrage recense mille et un long métrages à découvrir pour se targuer de maîtrise sa matière. Des classiques, mais également des films un peu moins connus. Bien sûr, il est impensable de passer à côté de chefs-oeuvre tels que CITIZEN KANE ou AUTANT EN EMPORTE LE VENT. Cette nomenclature a toutefois le mérite de rappeler des titres qui ne passe plus à la télévision et qui sont rares sur Internet, voire impossibles à trouver. La liste n'est pas exhaustive, beaucoup penseront qu'ils manquent un certains nombre de films. Mais la finesse des critiques de chaque films rendent le contenu réellement passionnant.

Samuel Paty est cet enseignant décapité en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, dans le cadre d’un attentat islamiste perpétré contre sa personne. L’occasion de revenir sur le rôle des professeurs et de se rendre compte de la difficulté d’exercer leur profession. Un engagement qui réclame de la compréhension, de la douceur, de l’exigence mais également de la fermeté. Chacun garde en lui le souvenir d’un homme ou d’une femme qui lui a servi de phare, qui l’a encouragé à poursuivre dans une voie ou qui l’a poussé à ne pas baisser les bras. Mieux, qui a suscité une passion, un zèle ou une vocation. Vingt auteurs racontent ici celle ou celui qui leur a servi de mentor ou de passerelle et qui a contribué à faire ce qu’ils sont devenus. Les années d’école restent souvent des moments d’intensité peu comparables à tout ce qu’on vit par la suite. Des textes courts, mais généralement forts, jamais empreints de nostalgie, qui rendent hommage à une profession de moins en moins respectée, en proie à des critiques venues de partout, et qui souffre globalement d’un manque de reconnaissance. Non, les profs ne sont pas ces empêcheurs de tourner en rond ni ceux qui profitent de vacances à rallonge ! Il faut voir en eux des personnes qui se veulent tour à tour des passeurs de savoir, mais également des acteurs de la démocratie. Une vingtaine d’auteurs ont trempé leur plume dans leur histoire pour effectuer un saut dans le passé et se dévoiler sans fard. Les bénéfices de ce recueil seront intégralement versés à la Fondation Egalité des Chances qui, depuis 2012, œuvre à réaliser le potentiel des élèves issus des zones urbaines et rurales les plus défavorisées.

Pour être honnête, j'ai tardé à ouvrir ce livre, reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique. Le sujet me passionne pourtant, et Les Belles Lettres ne peuvent que proposer un ouvrage de qualité. Oui mais voilà, j'ai été refroidie par la couverture et la mise en page très classiques (pour ne pas dire austères).



Mais quelle grossière erreur !



Dès les premières pages, je suis emballée par le ton de l'auteur, Claude Aziza (que je découvre). Après quelques recherches, je comprends qu'il s'agit d'un ponte de "l'Antiquité fantasmatique" (il a notamment écrit des ouvrages sur les péplums, sur l'Antiquité dans la BD, etc. ). Mais comment ai-je pu passer à côté de cette personne auparavant ?! Tant pis pour mon porte-monnaie, je viens de passer commandes de plusieurs de publications.



Bref, à l'heure où j'écris je n'ai pas encore terminé ma lecture, mais je suis conquise. L'auteur nous entraîne grâce à un parfait mélange d'érudition et de légèreté. Il donne un visage (ou plutôt, des visages) à Pompéi et ce à différentes époques (celle de l'éruption de 79, celles des premières fouilles, celle du cinéma muet etc.)



Ne vous attendez pas à des propositions de parcours façon "office du tourisme" : ces "balades insolites" sont avant tout des balades littéraires, artistiques. Quel régal ! D'autres lecteurs regrettent l'effet catalogue de la multitude d'œuvres citées, mais c'est justement une des raisons qui me font apprécier ce livre ! D'ailleurs, ouf ! la liste complète des auteurs et œuvres cités est consultable à la fin de l'ouvrage... une vraie mine !

Très bonne pioche, je suis ravie !

Samuel Paty est cet enseignant décapité en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, dans le cadre d’un attentat islamiste perpétré contre sa personne. L’occasion de revenir sur le rôle des professeurs et de se rendre compte de la difficulté d’exercer leur profession. Un engagement qui réclame de la compréhension, de la douceur, de l’exigence mais également de la fermeté. Chacun garde en lui le souvenir d’un homme ou d’une femme qui lui a servi de phare, qui l’a encouragé à poursuivre dans une voie ou qui l’a poussé à ne pas baisser les bras. Mieux, qui a suscité une passion, un zèle ou une vocation. Vingt auteurs racontent ici celle ou celui qui leur a servi de mentor ou de passerelle et qui a contribué à faire ce qu’ils sont devenus. Les années d’école restent souvent des moments d’intensité peu comparables à tout ce qu’on vit par la suite. Des textes courts, mais généralement forts, jamais empreints de nostalgie, qui rendent hommage à une profession de moins en moins respectée, en proie à des critiques venues de partout, et qui souffre globalement d’un manque de reconnaissance. Non, les profs ne sont pas ces empêcheurs de tourner en rond ni ceux qui profitent de vacances à rallonge ! Il faut voir en eux des personnes qui se veulent tour à tour des passeurs de savoir, mais également des acteurs de la démocratie. Mohammed Aïssaoui, Claude Aziza, Françoise Bourdon, Laure Buisson, Michel Bussi, Kamel Daoud, Marie-Laure Delorme, Franz-Olivier Giesbert, Christian Labo-rie, Philippe Labro, Sébastien Lapaque, Susie Morgenstern, Martine-Marie Muller, Anthony Palou, Josyane Savigneau, Jean-Guy Sou-my, Yves Viollier, Michel Winock et Sylvie Yvert ont trempé leur plume dans leur histoire pour effectuer un bon dans le passé et se dévoiler sans fard. Les bénéfices de ce recueil seront intégralement versés à la Fondation Egalité des Chances qui, depuis 2012, œuvre à réaliser le potentiel des élèves issus des zones urbaines et rurales les plus défavorisées.

« le jour se changea en nuit, et la lumière en obscurité : en quantité inexprimable poussières et cendres jaillirent, inondant la terre, la mer, et l'air même, ensevelissant deux cités entières, Herculanum et Pompéi, pendant que ses habitants étaient au théâtre, assis ».



Livre reçu et lu dans le cadre de Masse Critique de Babelio



Edward Bulwer-Lytton



Pompéi et ses derniers jours… Comment Claude Aziza aurait-il pu ne pas consacrer un long détour par, peut-être la fiction la plus célèbre sur le drame du Vésuve survenu en l'an 79 ? Sans oublier les nombreux longs métrages et séries télévisuelles qui ont été tournés d'après l'oeuvre du romancier. Une ville disparue à jamais mais qui demeure pourtant éternelle, peut-être plus vivante que des cités peuplées. Pompéi, source de tous les fantasmes, chantée par les aèdes de tous les temps, mise en lumière par les peintres et les cinéastes ; à croire que le berceau de Vénus se devait d'exister pour toujours malgré les cendres s'abattant régulièrement dans cette baie de Naples, la foudre des bombes s'ajoutant lors de la Seconde guerre mondiale. Pompéi tellement visitée que parfois un sentiment d'impudeur et de voyeurisme morbide peut surgir et l'auteur a la sagesse de le souligner à la fin de son ouvrage.



Mais revenons au coeur du livre qui n'en n'est pas tout à fait un, plutôt une conversation destinée exclusivement au lecteur qui ouvrira grand son regard pour écouter ce sémillant – et érudit - guide qui, non seulement décrit Pompéi comme si on y était mais, retrace toute l'histoire de l'art fécondée par les plus illustres plumes et pinceaux.



Dix promenades thématiques mais non chronologiques autour de personnages emblématiques à commencer par Pline l'Ancien qui fut l'une des victimes des flammes du pandémonium volcanique dont le trépas fut raconté par son neveu Pline le Jeune, notamment à travers une correspondance envoyée à son ami Tacite et qui a été l'une des bases pour chercher à comprendre le drame, même si une mémoire d'adolescent retranscrite des années plus tard peut entraîner quelques errements…



Autre figure incontournable, celle d'Alexandre Dumas qui savait comme pas un décrire des lieux ou des évènements auxquels il n'avait jamais mis un pied ni assisté ! Verve et truculence, les deux mamelles d'un écrivain qui ne cessa de voyager en Italie, et qui en séducteur effréné, tomba amoureux de cette dame jusqu'à être nommé – certes seulement quelques mois – en 1860, directeur des fouilles par le général Garibaldi.



Dumas n'est pas unique à avoir succombé aux ondulations du Vésuve : Sade, Chateaubriand, Twain, De Staël, Gautier, De Nerval, James, Malaparte, Roblès… pour ne citer qu'eux et qui ont laissé des pages historiques inoubliables.



En arpentant rues et avenues de Pompéi, Claude Aziza reconstitue la vie de l'illustre cité grâce aux fouilles – petite incompréhension lorsqu'il écrit qu'en 1901 Ettore Pais est le premier directeur des fouilles à ne pas être Napolitain alors que Dumas l'a été, certes que quelques mois en 1860 – une vie tournée vers le commerce, les arts et pas seulement vers le sexe malgré les différents lupanars ayant existé et la quantité d'oeuvres représentant toutes les performances sexuelles possibles. Il est vrai que la femme était très représentée sous l'empire romain et Claude Aziza n'oublie pas de la mettre en valeur à travers déesses, muses et citoyennes comme la mystérieuse Julia.



Un document riche en illustrations et en conseils de lecture, captivant, narré avec truculence, 1001 fantaisies et un humour certain, mettant le lecteur en attente d'autres découvertes – voir en abusant du « nous le verrons un peu plus loin » - retraçant les célèbres passages jusqu'en haut du volcan – qui rapetisse à vue d'oeil – dans une déclaration d'amour à la ville antique et à ses habitants victimes de la colère de Vulcain envers l'ensorcelante et vagabonde Vénus.
Lien : https://squirelito.blogspot...

Merci à Babelio et aux éditions des Belles Lettres pour l’envoi de ce livre.

Claude Aziza propose au lecteur un voyage à Pompéi par le biais de 10 balades. Chaque balade aborde Pompéi sous un angle différent : une sera axée cinéma, une autre sur le Vésuve, certaines avec des écrivains… Ce livre permet de faire la connaissance de quelques hommes et femmes qui ont vécu à Pompéi à l’époque de l’éruption volcanique, de mieux comprendre les graffitis visibles sur les murs de la ville…

Ce livre est assez court (277p), bien illustré et intéressant par la richesse de contenu. Vous aurez ainsi des idées de films à voir ou d’œuvres littéraires de certains auteurs (Dumas, Goethe, Sade…) qui ont visité la ville et le racontent. Ces différentes références permettent au lecteur de découvrir que Pompéi a intéressé de nombreuses personnes (politiques, historiens, écrivains etc.) à différentes époques et de voir comment ce sont déroulées les fouilles archéologiques.

Bien que cette lecture soit enrichissante et originale, je n'ai pas complètement été séduite. Je m'attendais à en apprendre plus sur la vie des habitants de Pompéi à l'époque de l'éruption alors que nous sommes ici plutôt axés sur l'histoire de Pompéi après l'éruption. C'est dommage il y a tant à dire... Au lieu de cela, j'ai eu parfois l'impression de lire un catalogue de références de livres et de films que je ne connaissais pas et par conséquent je suis passée un peu à côté je pense. Par ailleurs, l'auteur fait référence lors de chaque balade à Edward Bulwer-Lytton… Je ne vois pas l'intérêt d'en parler tout le temps alors que ce qu'a écrit cet auteur est un roman...

Avant d'ouvrir ce livre demandez-vous: que venez-vous chercher à Pompéi?

Pour cette critique, j'avais envie de la placer sous le signe du chiffre 9 (qui selon les significations marque de l'accomplissement final, de l'universel, il permet d'ouvrir les horizons et d'élever les consciences) :



Et dans le cas de cet ouvrage c'est l'ouverture de nouveaux horizons sur un lieu connu de tous.



Claude Aziza nous invite à 9 Promenades insolites (ou plutôt 10 mais la dixième est celle que le lecteur fera en approfondissant les sources de connaissances) dans ce lieu que l'on pense tous connaître ;

Avec lui, nous partons à la rencontre de ceux et celles qui ont construit Pompéi, non pas la ville, mais son mythe ;



Ces Promenades on peut les placer sans risque sous les auspices des 9 muses qui sont, sans cesse, présentes tout au long de nos errances ;



L'auteur nous apporte un regard neuf (jeu mot un peu facile, je le concède) sur cette ville qui fascine depuis l'Antiquité ;



Je me suis permis 9 citations au regard de ces 9 Promenades



Plus loin que la contemplation des vestiges du temps passé, c'est la destruction, puis la résurrection de Pompéi qui ont frappé l'imagination, nourri le contemplation, excité l'inspiration, mais dans ce livre c'est en compagnie de voyageurs, d'écrivains, de savants que nous voyageons.



Alors en attendant de pouvoir de nouveau fouler les pavés de Pompéi, pour la première, la neuvième ou la centième fois, ce livre nous permet de voyager en toute quiétude et en imagination au travers de la cité.



Et félicitations à l'éditeur les Belles Lettres, pour la qualité éditoriale et esthétique de leurs ouvrages

Suite à l'assassinat de Samuel Paty, vingt auteurs, historiens, universitaires, critiques littéraires se sont réunis pour parler de ceux qui ont contribué à faire d'eux ce qu'ils sont aujourd'hui.



Vingt témoignages de personnalités reconnaissantes envers leurs professeurs qui donnent à réfléchir sur le métier d'enseignant, pas toujours considéré à sa juste valeur.



J'ai eu, comme tout le monde sans doute, de très bons professeurs, certains m'ont laissé de bons souvenirs de mon passage dans leur classe, mais j'ai bien mal commencé mes études avec, dès la première primaire, quelqu'un qui m'a marqué à vie et sans doute pas dans le bon sens du terme.



Les auteurs réunis ici rendent donc hommage à un(e) de leurs enseignant(e)s sans qui ils ne seraient sans doute pas ce qu'ils sont. Un vibrant hommage à la profession.
Lien : http://phildes.canalblog.com..

Un essai sur la science-fiction, mais le voyage se termine en 1986 (Date de publication du livre). Le livre se compose de plusieurs parties :



1) Présentation de la science-fiction

2) Présentation d'auteurs importants et de quelques oeuvres (1 à 3 oeuvre, selon l'auteur)

- Chronologie de l'auteur

- Par oeuvre (x)

- Présentation

- Structure et critique

- Lectures complémentaires

3) Repères thématiques

4) Repères chronologiques

5) À voir et à lire

- 100 films

- 50 Bandes dessinées

- 50 romans pour les jeunes

6) Bibliographie pratique



Intéressant, sauf que dans mon cas, je m'intéresse plus au fond qu'à la forme alors que les auteurs du livre ont une certaine attirance pour la nouvelle vague; donc, je suis quelquefois en désaccord pour l'importance de certains auteurs choisis. Pour le choix des auteurs (et des livres), les fondateurs et les auteurs de l'âge d'or sont là, mais c'est sûr que l'on ne fait qu'effleurer la profondeur de la science-fiction américaine et anglaise. Je suis un peu mitigé pour les auteurs français présents; dans certains cas, on dirait un retour d'ascenseur. Bien sûr, il manque quasiment 40 ans à la science-fiction, donc pas de David Brin, Greg Bear et autres.

Mais j'ai beaucoup aimé les propositions de lectures complémentaires, les films à voir, les BD à voir et la bibliographie pratique. Je vais sûrement y retourner pour des suggestions.



Finalement, J'ai beaucoup aimé, car c'est un ouvrage de référence utile même si j'ai lu une majorité des auteurs.

Une vingtaine d'auteurs nous offre des souvenirs d'école et rend hommage au métier d'enseignant, bien souvent au travers d'un maître ou professeur. Ces récits montrent à quel point le rôle de l'enseignant se révèle important, il ne s'agit pas seulement de transmettre un savoir mais aussi de guider, accompagner, éclairer, éveiller, encourager... la liste pourrait être longue. Cependant, les temps ont bien changé depuis la jeunesse de ces auteurs et ces récits, tour à tour savoureux et touchants, sont déconnectés de la réalité du métier d'aujourd'hui où l'enseignant passe davantage de temps à éduquer, encadrer, supporter... Mais j'ose espérer qu'il restera toujours des élèves "avides de connaissances" tels qu'ils sont décrits dans un texte et que l'enseignant saura toujours marquer les esprits du plus grand nombre possible de ses élèves de quelque manière que ce soit.