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Citations de Clifford D. Simak (332)


Les jeunes et les vieux se sentent seuls. Les premiers parce que la communication avec autrui n’est pas encore complètement établie, les vieux parce qu’elle a été rompue…
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Les idées, les institutions et les croyances survivent fréquemment aux circonstances qui les avaient justifiées.
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Thomas Decker était à une demi-heure de sa cabane quand Chuchoteur se manisfesta. Il s'arrêta net.
"Cette fois, je t'aurais, Decker, disait la voix qui parlait dans sa tête. Je vais t'avoir, ce coup-là."
Decker, qui avançaissur le sentyier, fusil loin du corps mais prêt à épauler au premier signe de danger, fit volte-face.
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George, le coiffeur, tailla l'air avec ses ciseaux, en faisant cliqueter furieusement les lames.
- Ma foi, Frank, je ne sais ce que vous avez , dit-il à l'homme assis dans le fauteuil. j'ai lu votre article sur ce que les types de la pêche et de la défense de la nature ont fait là-haut dans la réserve. ca n'avait pas l'air de trop vous frapper.
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New York

Le câble atteignit son destinataire à Singapour. "Il me faut un type capable de passer au travers." Il était signé Jay Corcoran. Boone sauta dans le premier avion.
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C'était un vendredi après-midi. Le dernier cours était terminé, les derniers étudiants quittaient la salle. Debout derrière son bureau, Edward Lansing rassembla ses notes et les fourra dans sa serviette. Il avait son week-end libre - rien, aucune obligation civique ou extraprofessionnelle qui eût risqué de l'amputer - et c'était bon d'avoir un week-end libre, même s'il n'avait pas encore décidé comment l'occuper.
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1er aout 2185 : nus commençons donc. En fait, il y a cinquante ans que nous avons commencé, mais noous ne le savions pas. Pendant un certain temps, nous avons espéré qu'il y avait davantage d'être humains et que nous pourrions reprendre au point où nous en étions restés. Nous pesnsions pouvoir nous accrocher à ce que nous avions, d'une manière ou d'une autre, et pouvoir réfléchir plus clairement et prévoir plus intelligemment une fois l'effet de choc passé. Vers la fin de la première année, nous aurions du savoir que c'était impossible, et nous aurions dû être prêts à le reconnaître au bout de cinq ans - mais nous ne l'étions pas.
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Nous étions vendredi soir. J'avais trop bu. Ce qui me sauva, c'est que le couloir était sombre. Si je ne m'étais pas arrêté sous la faible lumière, juste en face de ma porte, pour sortir mes clés, je serais tombé dans le piège. Aussi sûr que deux et deux font quatre.
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Webster était immobile et crispé, il écoutait le pouls de l'Histoire battre entre ces murs. Une histoire qui s'était terminée en impasse, un grand fleuve qui n'était plus qu'une mare stagnante et inutile.
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- Tu es préoccupé, dit Nathanael.
Grant fronça les sourcils.
- C'est bien possible. La race humaine est toujours préoccupée. Tu devrais le savoir maintenant, Nathanael.
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Voici donc ces contes ; que chaque lecteur y trouve ce que bon lui semble : un simple divertissement, le reflet d'événements historiques, ou quelque allusion au sens caché. Pour notre part, et en guise de conclusion, nous nous contenterons de dire au lecteur : "Ne prenez pas ces récits trop à coeur car le désarroi, sinon la folie, guette ici le chercheur trop anxieux de savoir."
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Après avoir lu ce conte, on est amené à croire, avec Rover, que l’Homme est dépeint dans la légende comme une antithèse délibérée de tout ce qu’incarne le Chien, comme une sorte de pantin mythique, une fable sociologique.
Il n’en faut pour preuve que la vanité des efforts de l’Homme, sa perpétuelle agitation, sa façon de chercher sans cesse à parvenir à un mode d’existence qui le fuit, peut-être parce qu’il ne sais pas exactement ce qu’il veut.
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Il ne va jamais nulle part.
C’était ce que Jenkins avait dit au pasteur.
Et c’était vrai. Car à quoi bon aller quelque part ? Tout était ici. En tournant simplement un bouton, on pouvait aller, en esprit sinon physiquement, où l’on voulait. On pouvait voir une pièce de théâtre, ou entendre un concert, ou bouquiner dans une librairie située à l’autre bout du globe. On pouvait régler toutes les affaires que l’on voulait sans bouger de son fauteuil.
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Un fusil était la plus modeste des armes terriennes, le plus modeste des signes de l’inhumanité de l’Homme.
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Si les gouvernements daignaient se mettre à l’école de nos petites communautés pour apprendre comment se comporter entre voisins, probable que ça irait autrement mieux dans le monde.
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Il y avait ceux qui prétendaient que, dans un passé lointain, deux routes s'étaient offertes à l'humanité. L'une portait un écriteau sur lequel on lisait "Magie" et l'autre un second écriteau sur lequel on lisait "Science". L'Homme avait pris le chemin de la science et dédaigné celui de la magie. Beaucoup prétendirent que l'Homme avait commis une grande erreur dans le choix entre ces routes. Voyez, disaient-ils, à quel point il serait parvenu, s'il avait choisi la voie de la magie dès le début. (p.247 - CLA OPTA)
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Mais l'homme avait changé. Il avait perdu le savoir et la pratique qu'il avait jadis. Son esprit s'était ramolli comme un ballon dégonflé. Il vivait au jour le jour, sans but. Mais il avait gardé ses vieux défauts, il en avait fait des vertus. Il croyait toujours que sa race était la seule qui comptât, son existence, la seule qui importât, il avait toujours l'égoïsme complaisant qui l'avait aidé à se proclamer le roi de la création. (p. 148 - CLA OPTA)
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Des anachronismes, voilà ce que nous sommes vous et moi. Il n'y a pas beaucoup de gens qui aient encore des feux chez eux aujourd'hui. On n'en a plus besoin. Mais cela a quelque chose de réconfortant. (p.133 - CLA OPTA)
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Et puis je l'ai vue. Un véritable spectre. Elle était tout pour quelqu'un et on l'avait délaissée, abandonnée. Ce jour-là, avec Pépé, j'ai compris que je devais préserver pour la postérité un aspect de la vie de nos aïeux.
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Je vis dans le passé et ce n’est pas une façon de vivre.
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