Clive Lamming

Voilà un ouvrage précieux pour le passionné de géographie ferroviaire française!

Cette réédition des cartes de l'Annuaire Pouey de 1933, revue et augmentée des textes explicatifs de Clive Lamming est passionnante!

On se replonge dans cette époque révolue où le train passait quasiment partout!... Époque à laquelle hommes et marchandises voyageaient essentiellement par le rail, des rapides aux omnibus tortillards et des trains de marchandises aux fourgons à guérites.

En cette entre-deux guerres mondiales, la France métropolitaine comptait quatre-vingt neuf départements, finement irrigués de ces lignes d'intérêt général ou local. Heureuse époque, avant l'envahissement automobile généralisé.

Merci donc à vous, Clive Lamming, qui faites ressurgir ces rails du passé ferroviaire de notre pays dans cet ouvrage captivant.

C'est un ouvrage neuf et réactualisé sur le Métro parisien qu'offre Clive Lamming en ce début d'année 2017.

Car, que serait Paris sans son réseau de transport urbain affranchi des encombrements des voies de surface?

Le Métro... Populaire, pratique et efficace, seul apte à déplacer les masses laborieuse de Paris et de sa proche banlieue.

Le Métro, et le hululement caractéristique des rames Sprague de l'entre-deux guerres (et après) en train de franchir des rampes à pleine puissance... Ou le chuintement des pneus des rames de la ligne 1, dans la courbe ultra-serrée (et en pente) de la station Bastille.

Le Métro, seul à accomplir sa tâche de transport urbain lors de l'occupation allemande de la capitale.

Le Métro, et son odeur caractéristique de poussière souterraine... la faïence blanche des briquettes biseautées des stations anciennes....

Le métro qui évolue, pousse plus loin ses voies dans la première couronne parisienne, dépassant les portes de Paris.

Je n'en finirai pas de chanter le Métro.

Ce GéoHistoire est une mine abondamment illustrée de documents et croquis d'époques, de photos actuelles richement commentées.

Le bouquin valait largement ses 19,99 roroos!

Après les trains de nuit, je poursuis mes investigations au fil de la littérature ferroviaire.

L'auteur retrace chronologiquement l'évolution des chemins de fer avec la construction des gares à partir de 1820 en Angleterre et tout d'abord près des gares fluviales.

Comme toujours, le public paie les déficits du privé...

Quelques passages techniques m'ont ennuyée, mais ils sont peu nombreux heureusement.

Cet ouvrage abondamment illustré captera l'attention de tous, pas seulement des architectes (comme celui qui a écrit le dernier chapitre concernant la modernisation des gares).

J'ai retrouvé le souvenir de plusieurs lieux de passage et fais le projet de visiter ceux qu'ils me reste à connaître, en ville ou parfois à bord d'un tortillard (on dit tramway là aussi) jusqu'à une petite station perdue dans la campagne.

Ce livre, qui fait partie d'une collection éditée par Atlas, trouvé par hasard et pour un prix dérisoire dans une recyclerie, s'avère un document de qualité.



Les services funéraires, et plus généralement de qui touche à la mort, reste un thème largement méconnu, ignoré voire tabou.



Cet ouvrage retrace l'histoire du transport des défunts vers leur dernière demeure.



Dès le moyen âge on organise des cortèges pour les obsèques, mais cela reste longtemps réservé aux riches, voire aux personnalités de haut rang.



Suite aux grandes épidémies et aux morts nombreuses, les mentalités changent doucement, mais il faut attendre le dix-huitième siècle pour que tout le monde ai droit à un transport funéraire.



les différents chapitres présentent donc l'historique de ces transports,longtemps hippomobiles puis motorisés, une petite révolution car au début de l'ère automobile beaucoup de gens trouvaient indécent de véhiculer un défunt dans une voiture à moteur..!*



Bien documenté et illustré ce livre est l'un des rares ouvrages sur le sujet.



*Ce qui me rappelle la chanson de Brassens "Les funérailles d'antan" !

Utilisateur(trice) occasionnel ou régulier des chemins de fer, amoureux (se) des voyages en train, vous êtes-vous déjà interrogés sur toute l'armée humaine existante derrière les trains ?



C'est précisément à cette armée d'hommes qui, au XIX siècle, se lève, au nom d'un idéal industriel, le train à vapeur, qu'est consacré La grande histoire des cheminots.

L'histoire de ces hommes (qui sont 30 000 en 1851, 140 000 à la fin du Second Empire, 300 000 à la Belle Epoque et 500 000 aux débuts des années 1920), commencent par la construction d'une voie ferrée. Ce sont des terrassiers, des bûcherons, des tailleurs de pierre, des charpentiers.

Ils constituent un monde à part, un monde parfaitement organisé et codifié.

La fabuleuse épopée de ces hommes et de ces femmes qui ont posé les rails, construit les engins, entretenu le réseau, est racontée, dans ce livre, par la plume précise et documentée de Clive Lamming. Cet auteur est un historien des chemins de fer français connu dans le monde ferroviaire pour une cinquantaine d'ouvrages dont certains sont des références (par exemple Trains de légende).



Ces hommes ce sont d'abord les ingénieurs, peu connus dans ce qu'a retenu l'histoire, mais au coeurs des techniques et donc des chemins de fer. Ce sont aussi

-les mécaniciens (saviez vous que la hiérarchie au sein des mécaniciens est liée au diamètre des roues des locomotives ?)

-les chauffeurs (on a tous en tête, Jean Gabin dans La bête humaine de Jean Renoir)

-le chef de train, peu connu du grand public mais qui a pourtant autorité sur l'ensemble du personnel du train y compris sur l'équipe de conduite de la locomotive

-les ambulants qui trient le courrier dans les voitures postales.

Saviez vous que le contrôleur avait jadis une pince avec laquelle il réveillait les voyageurs en tapant contre les vitres du compartiment coté couloir ?



La grande histoire des cheminots remet en lumière des métiers qui ont disparu (ou quasi disparu) :

- le conducteur de voitures lits,

-le personnel de la voiture restaurant (ancêtre de la voiture bar qui était divisée en deux mondes, la cuisine et la salle),

-le porteur en sachant qu'à la Belle Epoque plus on avait de bagages, plus on affirmait son rang social

-le facteur enregistreur (même rôle que le guichetier mais pour les marchandises)

-le télégraphiste

-le lampiste

- le caleur, saboteur ou enrayeur, qui met sa vie en danger à chaque instant pour placer sous les wagons qui roulent les cales ou sabots qui doivent les arrêter à un endroit précis

Parmi ces cheminots, on compte aussi ceux qui œuvrent dans l'ombre : les ouvriers dans les ateliers, les hommes du dépôt qui préparent les "princesses" (les belles et prestigieuses locomotives de vitesse) mais aussi les machines moins nobles, les constructeurs, les apprentis...

Les femmes sont aussi présentes. La veuve d'un cheminot victime d'un accident du travail est logée dans une maisonnette au confort très sommaire, est peu prétendre à l'emploi de garde barrière au statut très précaire.



Dans les années 1850-1860, les distributrices-receveuses font leur apparition dans les gares même si à l'époque on redoute " par la réunion de personnes de deux sexes dans un même service et dans des locaux presque communs, de compromettre à la fois la discipline et la morale".



Cette plongée dans le monde des cheminots est richement illustrée avec 300 documents d'époque (photos de gare, photos d'objets comme le régulateur et les lampes du lampiste, photos des hommes au travail; photo de leur geste, illustration de journaux...).

Non seulement cette grande histoire des cheminots est une découverte d'un monde à part mais elle éclaire aussi les enjeux actuels autour de la SNCF.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Associé dans les esprits aux incendies, le métier de sapeur pompier est bien plus complexe et diversifié en réalité. Le grand livre des sapeurs pompiers dresse un portrait riche et complet de cette profession à travers son histoire.

Après avoir balayé la façon dont l'homme a lutté contre le feu à divers époques et comment est apparu le statut de pompier, ce beau livre s'attache à décrypter les tenues, le langage, les traditions, l'évolution des risques et les multiples missions.

Saviez vous qu'aujourd'hui le secours aux personnes représentent 80% de leurs missions ?

Le grand livres des sapeurs pompiers met en lumière également les équipements et les techniques qu'il s'agisse des moyens d'alerte, des poteaux et bornes d'incendie, des draps aux échelles de secours ou bien encore des véhicules de secours.



Au passage, vous découvrirez dans ce livre richement illustré de photos et d'extraits de journaux, des choses étonnantes comme ces sapeurs pompiers cyclistes dont le rôle était à la Belle Epoque de jouer du clairon.

La dernière partie de cet ouvrage rappelle, si besoin étant, que bien plus qu'un métier, sapeur pompier est une véritable vocation !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Clive Lamming, spécialiste renommé de l'histoire ferroviaire nous livre ici un ouvrage particulièrement riche et documenté sur les gares parisiennes.

A travers ses textes et les magnifiques illustrations issues en partie de la très belle collection de l'auteur, on apprend notamment pourquoi Paris comporte plusieurs gares et pas de grande gare centrale, ce que furent les gares que nous connaissons et ce que pouvait être Paris au début de l'aventure ferroviaire dans les années 1830-1840.

On y rencontre aussi des gares disparues et des lignes devenues tronçons du RER, un superbe bâtiment de l'exposition universelle de 1889 remonté à Asnières-sur-Seine et une gare Montparnasse qui a reculé de plusieurs centaines de mètres pour laisser place à la tour éponyme.

C'est riche et passionnant et on y trouve de nouveaux sujets de promenade dans Paris.

Dans La France en train, ce ne sont pas les machines, les wagons, la mécanique, les exploits techniques qui sont mis en avant mais les hommes…tous ceux sans qui ces trains ne pourraient pas rouler du cheminot au lampiste, de l’aiguilleur aux femmes garde barrière, du mécanicien au contrôleur.



Ces hommes ce sont aussi les voyageurs. Savez vous que les vacances et plus encore, le besoin de vacances, sont une création du chemin de fer ? En effet l’idée de partir pour se ressourcer ou se reposer nait avec le rail au XIXème siècle. Ces voyageurs sont inconnus ou illustres au contraire avec le récit de nombreux écrivains ayant décrit une scène se déroulant dans un train (Victor Hugo, Marguerite Yourcenar, Guy de Maupassant, Emile Zola, Maurice Leblanc, Philippe Delerm ; Tonino Benacquista entre autres).



Ceux qui montent dans le train ne partent pas tous en voyage : certains partent au front, d’autres en reviennent avec les trains sanitaires. Trains de la honte, trains de marchandise, trains de banlieue, l’usage est devenu une expression dans bien des cas.



L’originalité du livre est qu’il présente une grande variété de sources : des textes et des photos bien sûr, mais aussi des cartes postales, des documents, des affiches, des brochures.



Vous pourrez même décoder le langage cheminot avec le lexique fourni à la fin : si on vous parle de pèlerin, comprenez voyageur, de long nez il s’agit de TGV. Quant à l’expression descendre les valises, elle désigne un train qui fait un arrêt brutal.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Il s’agit d’un beau livre, abondamment illustré de photos de jouets anciens. Le texte, qui n’est pas l’essentiel dans cet ouvrage, porte sur une brève histoire des différents types de jouets et permet de comprendre ce qui attire les collectionneurs. L’auteur commence par parler des petits jouets de tous les jours, comme les billes, les toupies, puis passe aux pantins et jouets optiques, aux animaux de ferme et aux soldats de plomb. Ensuite il passe à des jouets plus recherchés : petites voitures, trains, poupées et maison de poupée. A la fin du livre il y a une liste de plus célèbres marques anciennes, avec leur logo, ainsi que la liste des principaux musées de jouets du monde. Un très beau livre qui nous faire une petite plongée au 19ème siècle.

Nonobstant son format, j’aurais tendance à classer ce livre dans la catégorie ‘’beaux livres’’ tant il est riche en photos récentes, anciennes, couleur, noir et blanc…





‘’Metro insolite’’ est divisé en cinq chapitres :



I Panorama du métro parisien

- le réseau, les stations (dont certaines à disposition particulière), les styles de décoration, etc…

- les équipements disparus tels les portillons automatiques et les Pili (panneaux indicateurs lumineux d’itinéraires)

nota : vous découvrirez pourquoi il n’y a pas de toilettes publiques dans les stations de métro



II Histoires de lignes

- métros qui n’ont jamais vu le jour (métro à vapeur, métro aquatique, etc…),

- historique de la naissance du métro parisien,

- métiers disparus (tel les poinçonneurs de billets)



III Le matériel roulant d’hier et d’aujourd’hui

- photos, dessins et descriptifs de tous les matériels, des wagons en bois de 1900 aux rames sur pneus sans conducteur actuelles



IV Curiosités métropolitaines en 8 itinéraires

- des promenades à effectuer en métro et à pied

- les sous-stations

- les stations fantômes

- les stations à disposition spéciale

- les stations culturelles



V Métro collection – Métro pratique

- tous les objets, jouets, etc… dérivés

- adresses, sites, livres et associations qui organisent des visites





Ce livre va au-delà du simple guide ; très bien documenté c’est également un ouvrage historique et scientifique sur le métro parisien, pimenté d’anecdotes amusantes et/ou insolites. 

Clive Lamming, auteur de référence en matière d'histoire ferroviaire nous livre ici un petit guide original qui nous apprend beaucoup de choses sur le métro parisien, des péripéties qui émaillèrent le début des travaux au caractère insolite de certaines stations.

Indispensable pour compléter de manière agréable nos connaissances sur le métro qui transporte les parisien depuis près de 115 ans et ne cesse d'évoluer.

Histoire illustrée de la construction du métro Parisien !

poussé par l'échéance de l'exposition universelle, le premier chantier de la ligne N°1 a quasiment tenu ses promesses, au prix de sacrifices énormes des riverains, d'une paralysie quasi totale du centre de Paris, mais serait-on capable politiquement s'assumer ce genre de chantier aujourd'hui ?

Plein d'anecdotes (l'incendie qui a révolutionné la sécurité dans le métro, la signalisation des débuts, les difficultés à passer sous Montmartre et sous la seine) on comprend mieux pourquoi certaines lignes ont l'aire de s'arrêter à mi chemin (la 10), de ne pas savoir où aller (la 8) ou de se concurrencer la 12 et la 13 au sud ouest....

Très bien documenté, bien écrit c'est un livre à faire lire à tous les parisiens

Cet ouvrage présenté comme un guide n'en est, à mon avis, pas vraiment un, il s'agirait surtout d'un document à la fois historique, scientifique et insolite du fait des faits divers abordés. le métro parisien, comme bien d'autres certainement, est très attractif de part l'histoire ferroviaire et les difficultés rencontrées lors de sa construction. Il est évident que cet ouvrage s'adresse en priorité aux personnes désirant en connaître plus sur le métropolitain parisien comme par exemple sur les stations particulières type Arts et métiers, les entrées du métro très ouvragées type Abbesses.

L'ouvrage est dense en informations et découvertes du réseau parisien, les photos d'époque et actuelles agrémentent les textes de l'auteur.
Lien : https://leslecturesdestemilo..

Clive Lamming, franco-britannique, est l'un des plus grands spécialistes du métro parisien en France. Son livre Metro insolite nous plonge à travers des textes mais aussi des illustrations: photos, dessins etc...dans les entrailles et dans l'histoire du métro. C'est sérieux, appliqué et bien documenté. Mais c'est aussi ludique, agréable et trépidant à lire.

Oui, vous avez raison. Encore une nouvelle revue dur la métro parisien. Ce livre, car c'en est un est paru en kiosque aux côtés de la revue qui en est à l'origine GÉO.

Alors quoi de neuf ? Rien si vous savez déjà tout ce qui concerne cet infaillible moyen de transport. De la nostalgie ? N'exagérons rien ; rien que des souvenirs qui remontent très loin. Plein de photos intéressants, oui.

Alors, installez-vous, insérez "Le poinçonneur des Lilas" dans le tiroir cd et voyagez dans le temps.

Ce livre s'adresse aux personnes intéressées par le métro parisien, par son histoire, son fonctionnement, ses originalités, bref, ceux qui veulent en savoir plus.

Car oui, il y a tant à découvrir derrière la façade grise de la description qu'en donnent les parisiens!

Pour ma part, il m'a accompagnée lors de mes transports et m'a littéralement fascinée. Et surtout, il change notre regard, car il est facile d'oublier toute l'histoire dissimulée dans la vie de tous les jours...

Longtemps le chemin de fer est resté un univers clos, avec ses règlements et ses hiérarchies traditionnelles que les grandes grèves ont révélées d'une façon spectaculaire.

D'où vient le terme de cheminot? Il est rapporté par de nombreux ouvrages, et quelques passionnés du rail, qu'à l'origine le cheminot était un nomade armé d'une pelle venant vendre ses bras sur les chantiers itinérants de construction des lignes, lors de l'application du plan Freycinet des années 1880. Bon nombre entreront comme cantonnier au service de la voie, le poste le plus mal payé de la compagnie. Le mot apparaît dans la presse syndicale dans les années 1890 où on lit des hymnes aux " cheminoux " ou cheminots, le Parti ouvrier de Jules Guesde utilisait ce terme pour dénoncer la misère de ces parias des compagnies. Mais il faut attendre la grève de 1910 pour qu'il se généralise. Jusque là, l'agent se disait Employé ou Ouvrier des compagnies de chemin de fer. Les cheminots ont bénéficies de privilèges sociaux dès le second Empire, les compagnies en effets se sont octroyées de manière intéressée leur confiance pour attirer une main d'œuvre à hauts risques professionnels et physiques. Ainsi les permis de circulation gratuite encourageant le retour à la ferme nourricière natale, où les économats permettaient au ménage de s'approvisionner en produits domestiques à bon compte, et permettre de tempérer à peu de frais la pression salariale. Parfois ce sont aussi des instruments de discipline pour faire révoquer suite à une faute professionnelle ou incitation à la grève, le cheminot impliqué perd sa mise dans les caisses de retraite et de maladie. Fort heureusement après des agissements illégaux observés dans le cadre des dirigeants la loi de 1911 a été supprimée.

Un petit guide très bien fait et à emporter avec soi pour une découverte pédestre des infrastructures actuelles ou passées du Paris ferroviaire.

Je viens tout juste de terminé ce documentaire fort intéressant sur les chemins de fer, de la première locomotive au TGV mais aussi ceux qui y travaillaient. Je ne savais pas, qu'il y avait autant de métier différent: les ingénieurs, les mécaniciens, les chauffeurs, les chefs de trains, les ambulants, les chefs de gare, les contrôleurs, les conducteurs de voiture lits, le personnel de la voiture restaurant, les porteurs, les guichetiers, les facteurs enregistreurs, les télégraphistes, les hommes d'équipes, les constructeurs de lignes, les ouvriers de la voie, les lampistes, les garde-barrières, les gardes voies, les aiguilleurs, les caleurs, saboteurs ou enrayeurs, les ouvriers des ateliers, les hommes du dépôt, les constructeurs de locomotives, les apprentis et les femmes au travail. Tout ce beau monde, on servi à la création de l'invention qui a changé l'histoire amenant la technologie aux peuples. Un livre fort bien documenter à lire pour les nostalgiques de cette époque ou pour ceux qui adore le steam-punk, ou pour ceux qui aime l'histoire.

Intéressant mais un peu trop technique à mon goût.

Cependant, de très belles illustrations, très bien documenté, ce livre est néanmoins accessible à tous par sa simplicité.