Corinne Javelaud

Une très belle découverte de l'autrice que je ne connaissais pas du tout .

Une plume élégante , fluide , un beau voyage dans le passée , avec pour ma part une belle découverte d'ancien métiers .



Ce qu'il ma beaucoup plu c'est de me retrouvé a nouveau dans le marais poitevins ou j'y passais mes vacances chez ma grand mère a Niort , tout y était les odeurs , les lieux ...



Une belle histoire d'amitié entre Poppé et Marianne sous le second Empire.

Je ne souhaite pas trop en dire de peur d'en dire trop et de gâché la lecture mais allez y c'est vraiment chouette , on passe un bon moment entre suspense et conteste historique qui pour l'époque n'était vraiment pas simple du tout .

Royan 1920 :

Anaïs Gersaud, peine à surmonter la mort de son époux François, survenue deux ans plus tôt.

Sous les yeux de son neveu Maxence Gersaud, elle s'étourdit dans les soirées mondaines lors de la saison estivale. Celui-ci voit d'un mauvais oeil l'attachement de sa tante pour James Ingram, un séduisant peintre américain.

Suite à sa troublante visite à l'ancien vignoble familial, Anaïs va suivre James à Boston.

Trop de secrets entachent son passé. Elle doit découvrir la clé du mystère au risque de bouleverser sa vie !



Ma 8ème lecture de cette auteure.

Dans ce roman, Corinne Javelaud m'a entraîné dans les Années Folles. Ces années, qui après la première guerre mondialement, soufflent un vent de Liberté et un besoin de s'étourdir dans la haute société.

C'est toujours de sa plume fluide, élégante et bien documentée que j'ai suivi son héroïne. Dans ses malheurs et bonheurs au son du Charleston et dans la couleur ambrée du Cognac.



Anaïs est une jeune veuve élégante qui a hérité de la Villa Saphir où elle héberge son neveu Maxence ainsi que James Ingram. Elle est autant spontanée que réfléchie, fragile et forte selon les circonstances et toujours sincère.

James Ingram, cherche la notoriété dans le milieu des artistes peintres. Ce personnage énigmatique dans son comportement va rendre Maxence, blessé de guerre, très suspicieux.



Secrets de famille, mensonges et trahisons vont s'échelonner dans la vie de la jeune femme. De son passé au présent.

Passé mystérieux sur la mort de son père. Présent ébranlé par une lettre qu'elle n'aurait jamais dû trouver.

Le séjour d'Anaïs dans la ville de Boston, en pleine prohibition et lutte pour l'émancipation des femmes, va lui permettre d'affiner ses recherches. Elle en reviendra encore plus volontaire.



Au fil des chapitres, malgré de troublantes révélations, Anaïs va s'activer à délier les langues.

Va t-elle retrouver la paix de son esprit ?





PS : Merci à Corinne Javelaud et aux Éditions deBorée pour cette proposition de lecture.
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Anaïs Gersaud, dans les années 20, n’est pas insensible au charme de James, un artiste peintre américain qu’elle loge dans la villa Saphir dont elle vient d’hériter, au décès de son mari. Cependant, Anaïs reste perturbée par des questions restées sans réponse à la mort de son époux. Ce dernier négociait aux états unis pour le compte du gouvernement français. Pour la grande guerre, le besoin de matières premières était criant, aussi passait-il beaucoup de temps outre Atlantique. Sitôt marié, il était parti pour Boston. A son retour, il a trouvé la mort à Paris, faisant d’Anaïs une jeune veuve, riche, mais en proie à des questions dont les réponses ne nichent dans des secrets de famille. Un voyage à Boston avec James, va lui donner une ébauche de réponse qu’elle va creuser plus avant dès qu’elle rentrera à Royan. Pour Anaïs, cette plongée en eaux troubles sera salvatrice, lui faisant voir le monde tel qu’il est, loin des rêves d’enfance qui jusqu’ici l’animaient.

Corinne Javelaud nous emmène en Charente au cœur des années folles. Issue d’une famille de vigneron producteurs de Cognac, Anaïs ne s’est jamais remise d’un drame familial suivit de la perte de leur domaine agricole. Comme toutes les filles de son époque, elle était maintenue en dehors des affaires, seulement destinée à faire un beau mariage. Sur fond de prohibition aux USA, Anaïs découvre une bouteille de cognac qui n’aurait jamais dû quitter le domaine familial. Elle perçois alors que son mari à un lien étroit avec les affaires de son père, Anaïs décide de tout mettre en œuvre pour avoir des explications.

Corinne Javelaud explore les secrets de famille qui peuvent pourrir la vie en posant des questions sans réponse. Ils naissent plus d’un manque de communication que d’un réel vouloir de dissimulation. Anaïs découvre vite que la vie réelle est très différente que celle dont elle se berçait jusque-là. Une vie peut-être moins rose, mais tellement plus riche en émotions. Un roman qui baigne dans le milieu cognaçais, dans les années folles, de Royan à boston, pour nous offrir un superbe voyage.


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Histoire familiale avec des personnages touchants, en Corrèze et Haute Vienne. Un frère cherchera sa sœur , enlevée très jeune et sous sa responsabilité, sa vie durant.

Une bonne étude des différents personnages, une fidèle description des conditions de vie au XIX ème siècle en Limousin, une belle information sur la fabrication et la décoration de la porcelaine.

Je ne trouve pas l’écriture très fluide par moments, mais ce n’est qu’un sentiment très personnel, et en rien rébarbatif.

Paris mars 1942 :

Son mari étant porté disparu sur le front et sa maison détruite lors d'un bombardement, Eulalie Fontanel tente de survivre avec sa fille Baeta dans un Paris occupé. Passionnée par la danse classique et ayant une sublime plastique, elle est vite repérée par le directeur de revues des Folies Bergère.

Les contraintes du moment vont entraîner la jeune femme à transgresser ses principes et la mettre pour son malheur sur le chemin du colonel allemand Lubin von Baden.



Toujours un grand plaisir de retrouver la plume sensible, fluide et bien documentée de Corinne Javelaud.

Cette fois-ci, elle m'a entraîné dans la vie d'Eulalie qui va devoir survivre avec sa fille aux restrictions dues à la guerre. Mais c'est sans compter qu'elle va également affronter directement la suprématie allemande.



Ce récit est en 2 parties.

- Dans la 1ère partie, j'ai suivi Eulalie dans la tourmente.

c'est une femme aimante et tendre avec sa fille Baeta. Pourtant intelligente, elle va succomber par naïveté et confiance mal attribuée aux folles soirées mondaines. Ce qui va la contraindre à fuir vers la zone libre pour échapper à l'étau qui se referme sur elle. Mais les dès sont jetés, elle est devenue un appât !

Collaboration, réseaux de résistances, trahisons vont minés ses tribulations.

- Dans la deuxième partie 10 ans plus tard, Baeta est dans un orphelinat. Une circonstance miraculeuse l'en délivre et elle décide d'éclaircir les zones d'ombre qui entourent la vie de sa mère. Elle se lance sur les routes du passé. Elle veut des réponses à toutes ses questions, quitte à bouleverser son entourage et faire face à la vengeance.



Au fil des chapitres, une intrigue va voir le jour et des révélations seront faites jusqu'à l'épilogue.

Une nouvelle fois, Corinne m'a emporté dans son bel univers littéraire !



PS : Merci aux Éditions de Borée pour cette proposition de lecture.
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Le commentaire de Cathy :

Sortir de sa zone de confort quand il s'agit de lire un roman de Corinne Javelaud est toujours un plaisir.

Cette fois-ci, elle nous fait partir dans la Corrèze des années 60, on y rencontre Clarence Desprez, le jeune ornithologue qui décide de revenir dans sa maison d'enfance à Saint-Geniez-ô-Merle.

La cité perchée s'avère être l'endroit idéal pour observer le milan royal, une espèce qu'il veut protéger, une mission pas simple au vu de l'hostilité des chasseurs du coin.

Cette histoire m'a beaucoup plu, je me suis laissé porter par cette histoire que nous propose l'auteure, j'ai eu plaisir à découvrir plusieurs univers qui m'étaient jusque-là inconnus, en effet, j'ai pu en apprendre plus sur l'ornithologie et le monde de l'équitation.

Le récit prend un autre tournant quand nous faisons la connaissance d'Emma, une belle inconnue qui va semer le trouble dans la vie de Clarence, cette jeune femme m'a intriguée.

J'avais tellement envie de découvrir ce que pouvait cacher cette jeune femme, pleine ce mystère, que j'ai tourné les pages très vite.

L'auteure a une plume toujours aussi agréable, les descriptions et informations qu'elle nous donne sur l'ornithologie et le monde équestre le sont d'une façon claire sans longueurs et surtout sans plomber le rythme.

Je viens de passer un agréable moment de lecture, j'ai aimé me retrouver dans ce territoire de France que je ne connaissais pas.
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Avis : ATTRACTIF



Clarence est un homme séduisant, ramené par la mort de sa mère adoptive dans la maison corrézienne et sur des terres qui dans les années 60 ne se sentaient pas concernées par la préservation des espèces. Pourquoi les habitants et particulièrement les chasseurs de Saint-Geniez-ô-Merle voient-ils l’arrivée d’un ornithologue d’un mauvais œil ? Peut-être parce que Clarence va chercher et trouver des secrets familiaux et régionaux dérangeants ... Sa rencontre avec Philippa Beaulieu et le monde des courses hippiques l’amènera aussi à découvrir les intrigues et les mensonges d’un monde à part.

Dès les premiers mots et la couleur de la 2 CV, à savoir, gris antoinette, j’ai cru comprendre que j’aurais affaire à une auteure ayant le sens du détail. Et je ne me suis pas trompée car outre une histoire captivante, elle a semé des connaissances telles que j’apprécie d’en trouver : les verreries de Goulles, le patriotisme québécois de la chanson à la claire fontaine, le barrage de Bort-les-Orgues et les maisons écrasées de Port-Dieu, et tant d’autres lieux ou faits liés à la Xaintrie.

Ce qui n’aurait pu être qu’une dramatique histoire familiale s’est transformée sous la plume dynamique et séduisante de la romancière en plusieurs enquêtes dans lesquelles héros et héroïnes sont fort attachants. Le fil rouge du roman est la préservation des milans royaux mais l’environnement équin donne une trame consistante et complémentaire.

Le rythme se maintient de bout en bout, alternant informations sur les rapaces, rencontres amoureuses, difficultés d’être une femme dans le monde hippique, rencontres entre des mondes très différents. Il y a de l’habileté et de la recherche sur tous les sujets évoqués tout en gardant une fluidité et une facilité de lecture remarquables.

Vous l’aurez compris, tous ces univers m’ont séduite et j’avoue avoir une vraie curiosité à lire les romans précédents. En attendant, celui-ci vient de sortir, je vous engage à vous rendre chez votre libraire.

Je remercie tout particulièrement Corinne Javelaud pour nos échanges et les Editions CALMANN-LEVY pour m'avoir permis de lire, en service presse,« L'Odyssée de Clarence ».




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Je ne vais pas y aller par quatre chemins, c’est un livre que j’ai beaucoup beaucoup aimé. Je pourrais même dire qu’il est mon préféré écrit par Corinne Javelaud.



Il faut que tu saches que Corinne Javelaud va au bout de ses recherches et rien n’est laissé au hasard. Si elle te parle ornithologie, elle t’explique le métier et le comportement des oiseaux avec une plume (sans jeu de mots) agréable . Si elle aborde le sujet des chevaux et le travail de Jockey, idem.



En toile de fond, tu as la Corrèze et les années 60, voilà pour le décor. Lorsque, dans ce village, les habitants adeptes de la chasse voient débarquer ce jeune Clarence Desprez qui veut instaurer une sorte de respect du milan royal, ils se moquent de lui et lui font savoir qu’il ne va rien changer du tout. Il est malheureusement le fils d’une femme qui a laissé des traces de scandale dans ce même village, son insertion est très difficile. Elle se fera malgré tout parce que Clarence tient bon et qu’il est passionné par son métier. Nous y découvrons le début du baguage de ces milans et parcourons avec lui les paysages de la Corrèze.



Si lui est subjugué par les oiseaux, Philippa Beaulieu est quant à elle férue de courses hippiques et souhaite devenir Jockey. Une femme dans ce milieu n’est pas courant. Elle devra y faire sa place et s’imposer au prix d’énormes efforts qui lui coûteront cher. Elle est dirigée par Marek, un entraîneur de renom au haras de Pompadour. Un homme séduisant qui connaît parfaitement les ficelles de ce métier exigeant.



Et puis, il y a les personnages qui à priori semblent secondaires et qui peu à peu prennent leur place. Sur fond de bal musette avec Jeantou Beaulieu et son accordéon, je découvre ses fils, pas fins pour deux sous, et Emma, la belle inconnue qui ne laisse personne indifférent. Voilà pour l’intrigue.



Corinne Javelaud nous embarque alors dans le monde difficile des courses hippiques où la jalousie et l’appât du gain avec les chevaux engendrent de monstrueuses machinations.



Comme je le disais plus haut, je sens à chaque ligne le travail de recherches de Corinne Javelaud et même si parfois je peux craindre quelques longueurs dans les descriptions et les explications, je ne m’ennuie pas une seconde. J’avoue ne pas être toujours fan des éclaircissements apportés au lecteur, mais ici, la plume fluide et agréable de l’auteur ne m’a pas perturbée, bien au contraire, j’étais ravie d’en apprendre davantage sur l’ornithologie et sur les chevaux.



Une fois de plus, Corinne Javelaud nous emmène dans une région qu’elle nous décrit parfaitement et le roman de terroir y prend toute sa place. En conclusion, j’ai passé un très bon moment de lecture et je recommande vivement ce livre
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Dans les années 60, Clarence revient s’installer dans la maison de sa mère adoptive après son décès. Passionné d’ornithologie, il veut consacrer sa vie à la sauvegarde des rapaces trop souvent considérés comme des concurrents par les chasseurs. Son retour au village ne fait pas l’unanimité ! Hostile à la chasse, Clarence s’attire rapidement l’hostilité des chasseurs, pour qui ce sport est une tradition immuable. Puis, il y a Philippa, une jeune cavalière rêvant de devenir jockey. Très fière d’elle-même, elle regarde de haut ceux qui habitent le petit village dont elle est issue. Un peu honteuse de n’être pas née du bon côté de sa société, elle défend néanmoins avec vigueurs les deux fruits secs qu’elle a pour frères. L’irruption d’une jeune femme, aussi belle qu’élégante, au haras où Philippa s’entraîne, attise la jalousie de Philippa et séduit Clarence… Cette jeune personne, qui prétend avoir connu la mère naturelle de Clarence, déclenche chez lui l’envie de savoir qui est cette femme qui l’a abandonné. Aveuglé par la recherche de la vérité, par les sentiments qu’il éprouve pour cette belle amazone tombée par hasard dans sa vie, Clarence ne voit pas qu’un piège diabolique se referme sur lui !



Corinne Javelaud nous emmène dans un tourbillon dans lequel Clarence se trouve embarqué. En effet, Clarence dont l’ambition est de se consacrer à l’étude des oiseaux, dans le calme de son abri d’observation, ne prévoyait surement pas de se trouver au centre d’un thriller dont il serait le héros malgré lui… Quant à Philippa, elle dont la jeunesse la pousse à ne voir plus loin que le bout de son nez, elle n’avait pas envisagé que l’on se valorise mieux par ses actes que par la condition de sa naissance. Le complot ourdi par une jeune femme passionnée de chevaux, fera grandir Clarence et Philippa, plus rapidement qu’ils ne le pesaient, vers une réalité dont ils ignoraient tout.

Il est plaisant de voir évoluer des personnages aussi différents que Clarence et Philippa. La jeunesse dont ils jouissent met des œillères sur leurs ambitions. Centrés sur la seule chose les intéressant, ils ne voient pas qu’autour d’eux, il y a tout un monde qui évolue. Les difficultés vont se charger de leur apprendre que vivre c’est aussi regarder autour de soi… Corinne Javelaud décortique avec habilité le caractère de ses personnages. Elle peut les rendre aussi attachants que détestable selon la situation. Avec Corinne Javelaud, le lecteur est embarqué dans une tornade qui poussera chacun à se dépasser en puisant dans des réserves qu’il ne savait pas avoir.


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Mon avis



Je remercie Corinne JAVELAUD et Mélanie Editions CALMANN-LEVY de m'avoir permis de lire, en service de presse, « L'Odyssée de Clarence », dernier ouvrage de Corinne, auteure dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume fluide et majestueuse.



 Corinne JAVELAUD nous emmène dans les années 60, en Corrèze où nous faisons connaissance avec Clarence Desprez. Après le décès de sa mère adoptive, le jeune homme retourne vivre dans la maison de cette dernière.



Clarence, passionné d'ornithologie, désire protéger les rapaces et en particulier le Milan Royal, espèce qui pourrait bien être menacée par les humains.. Les chasseurs et les habitants du village ne voient d'ailleurs pas d'un bon œil l'arrivée de Clarence à Saint-Geniez-ô-Merle.



Il rencontre alors Philippa Beaulieu, jeune femme fort séduisante qui a pour ambition première de devenir jockey, ce qui à cette époque n'est pas courant.



Notre héros succombera-t-il au charme de la belle cavalière ? Parviendra-t-il à éclaircir des secrets anciens fort bien gardés ?





Corinne JAVELAUD a le don de captiver le lecteur par ses si jolis mots qui nous tiennent vraiment en haleine jusqu'au dénouement. Il faut dire qu'elle manie aisément et fort bien le suspense et les intrigues, rendant la lecture totalement addictive.



L'auteure réalise également une fine analyse des traits de personnalité des protagonistes de son ouvrage ce qui les rend attachants pour certains, détestables pour d'autres mais je ne vous en dirai pas plus, vous le découvrirez par vous-mêmes.



J'ai ADORE ce magnifique ouvrage, palpitant, aux multiples rebondissements, très bien écrit et documenté que j'ai lu pratiquement d'une traite et qui, pour moi, fut un COUP DE COEUR.



Excellement moment de lecture.





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Carennac 1906 :

Lorène Desobières, qui vient juste de sortir de l'Institution catholique, participe au pèlerinage qui se rend à l'église Saint Sauveur.

Son père, riche négociant, surveille de près Amaury Liféri dont la présence lui semble douteuse.

Les familles Desobières et Liféri étant en froid depuis quelques années.

Les prières devant les saintes reliques à peine terminées, Isabelle Octavie s'effondre et décède.

Lorène aperçoit Hermine qui s'empresse de subtiliser discrètement une clé dans la poche de sa défunte soeur.

Les dès sont jetés, Lorène est loin de s'imaginer que son retour à Carennac va modifier son destin.



Comme à son habitude, l'auteure bien documentée sur l'époque et la région nous fait découvrir dans ce récit l'univers des marchands, des gabariers, des vignerons et la place des femmes dans une société qui se dirige vers l'industrialisation et la guerre.

Sa plume est toujours aussi fluide, sensible et précise.



Lorène son héroïne, va affronter sa famille afin de pouvoir épouser Amaury mais également subir les tourments de la vengeance d'une discorde entre sa famille et celle des Liféri, bateleurs de profession.

Elle va devoir s'armer de courage pour élever tendrement son fils handicapé, garder son esprit d'indépendance pour devenir institutrice et être persévérante pour découvrir le secret de l'animosité qui règne entre les Desobières et les Liféri.



Au fil des chapitres, l'hostilité latente explose, espoirs et désillusions vont se succéder avec pour ingrédients l'amour, la tendresse, les secrets, la rancoeur, les affronts, les mensonges et les trahisons. Le tout, rythmé dans un décor de paysages du siècle dernier et des protagonistes ayant eux aussi une vie confuse. Les secrets ne manquent pas !

Les personnages sont attachants. Un coup de coeur pour Evangelista, la gouvernante d'Amaury, d'une grande humanité.



Les évènements s'enchaînent. L'intrigue s'accélère suite aux découvertes de Lorène jusqu'au

dénouement.



La vie de Lorène va être comme le fleuve de la Dordogne, aux eaux imprévisibles et terriblement impétueuses quand on s'approche trop près des écueils.



Retrouver la plume de Corinne Javelaud entraîne toujours pour moi de bons moments de lecture.



PS : Merci à Corinne et aux éditions City POCHE pour cette proposition de lecture.


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L'histoire se déroule entre le Limousin et le Périgord, où on fait la connaissance de la famille Leroux. Le père, Henri-Louis a dû faire face au choix de son fils Charles : celui de partir pour Paris, en refusant de reprendre l'étude notariale de la famille. On suit également Méline, sa fille, abattue depuis qu'Adrien, l'homme dont elle est amoureuse, est parti dans les Indes. Son père lui impose alors de se marier avec le fils du médecin du village.

J'ai aimé voir évoluer cette famille au fil des années, et notamment Méline. Malgré l'abnégation dont elle a fait preuve en se mariant, elle n'en reste pas moins rebelle et décidée.

C'est une lecture agréable, on se laisse porter par les événements de la fin du 19ème siècle au début du 20ème. Je me suis vite attachée à Méline, qui reste forte face à ce qu'on lui impose, sans jamais perdre espoir. L'auteure retranscrit parfaitement l'ambiance - notamment l'ambiance familiale - et les moeurs qui règnent à cette époque : famille connue et respectée, se devant d'être irréprochable. Si la famille paraît lisse d'un point de vue extérieur, c'est loin d'être le cas en réalité.

"Les petits papiers de Marie-Lou" est une lecture plaisante mais pour laquelle il ne faudrait pas se fier au résumé de 4ème de couverture. En effet, l'aspect d'engrenage de manifestations surnaturelles et étranges n'est pas l'élément central du récit. Ce côté mystique, associé notamment à ces petits papiers qui donnent le nom au roman on encore au personnage mystérieux de Virgile, ne constitue finalement que des chaînons à l'intrigue générale. On pourrait déplorer un manque de développement de ces composants, mais ce récit est avant tout une histoire de famille et d'héritage dans laquelle on notera de temps en temps des petites pointes de tension. La région Borlelaise qui également bien mise en avant avec son terroir et surtout ses vignobles avec des descriptions approfondies concernant la culture vinicole et la fabrication des vins.
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Au milieu du XIXe siècle, dans une ferme du Limousin, la famille Riberoux, Léandre, sa femme Brune et leur garçonnet de 8 ans, Léonard, viennent d’accueillir au foyer la petite Rose-May. Trois ans plus tard, confiée à la surveillance de son frère, la fillette disparaît mystérieusement. Le père de famille va remuer ciel et terre pour retrouver Rose-May, mais en vain. Les années vont passer et Léonard, qui ne ne s’est jamais pardonné son manque de vigilance le jour de la disparition de sa petite sœur, continuera les investigations commencées par son père Léandre. Est-ce que sa détermination dans sa quête de la vérité portera ses fruits ?



Pour en savoir plus, le lecteur va devoir tourner les 300 pages de cette histoire qui se lit comme un roman policier entre non-dits, mensonges, fausses pistes, recoupements et déductions. L’auteure, Corinne Javelaud, nous facilite la tâche grâce à sa plume alerte et son style plein de délicatesse.



Nous allons rencontrer dans ce roman une belle palette de personnages Parmi les plus attachants, on peut citer Léonard Riberoux le principal héros de cette histoire. L’enfant de 11 ans insouciant, manquant volontiers l’école, lui préférant les travaux des champs, va perdre son insouciance lors de la disparition de sa petite sœur. Il n’aura alors de cesse de la retrouver. Pour l’aider dans sa quête il trouvera un grand soutien en la personne de la lumineuse Bertille, fille de rebouteux, pleine de vivacité et d’intelligence, qui lui fera aimer la lecture et l’écriture, avant de devenir son épouse quelques années plus tard. Nous admirons également le courage des parents de Léonard, simples paysans, qui malgré leur chagrin, mènent une vie laborieuse rythmée par le cycle des saisons. Un peu plus tard, celui qui fera l’admiration de cette famille, sera Joséphin, le fils de Bertille et Léonard, élève très doué, qui découvrira, émerveillé, la Manufacture de porcelaine Haviland à Limoges. Poussé par son instituteur, le jeune garçon verra son destin tout tracé. Il sera céramiste !

Outre cette famille si attachante, nous allons rencontrer bien d’autres personnages, les uns très serviables surtout chez les « petites gens » ouvriers ou employés, mais Léonard va aussi se heurter, parmi les notables en particulier, à des êtres malveillants qui cachent de bien sombres secrets,



Je remercie Corinne Javelaud de m’avoir fait passer de bons moments avec cette intrigue passionnante et si émouvante, dont l’action se passe dans cette région du sud-ouest de la France qu’elle aime tant. Elle a su décrire à la perfection la vie d’un village avec ses habitants qui exercent des métiers, aujourd’hui disparus tels les rémouleurs, les colporteurs, les maquignons, les sabotiers et parmi les notables, un maître de Forge ou un Juge On voit vivre tout ce petit monde avec leurs coutumes, leur gastronomie, leurs croyances ! Et c’est avec beaucoup de véracité qu’elle restitue la manufacture de porcelaine Haviland créée dans la ville de Limoges en 1842. Toutes mes félicitations, chère Corinne, pour ce coup de cœur !

Les petits papiers de Marie-Lou - Corinne Javelaud - Calmann-Lévy - en librairie depuis le 24 février dernier !



Fêlures secrètes dans une dynastie bordelaise



Dans les années 70, Marie-Lou Beltran, serveuse à l'Auberge du bonheur, vit avec sa fille, Dora, et sa mère, Luce, dans la maison familiale du quartier des Chartrons à Bordeaux. La main verte de Luce et les talents culinaires de Marie-Lou font merveille pour créer un cocon harmonieux.



Un trouble naît lorsque pour son anniversaire, Marie-Lou offre à sa fille Dora une magnifique poupée, dénichée chez un antiquaire. Les femmes Beltran constatent bientôt que la poupée suscite des phénomènes étranges...



Un médium prétend qu'elle est habitée par l'esprit d'un proche assassiné. Comment ne pas penser au père de Marie-Lou, Josué, et à son oncle, Féréol, morts en héros sur leurs arpents de vigne à Saint-Emilion, alors sous la botte allemande ?



Prise dans un engrenage de manifestations surnaturelles, butant sur le silence de Luce, Marie-Lou va devoir affronter les démons d'une histoire familiale tourmentée...



Entre les ombres de la mémoire et la volupté des grands crus du Bordelais, Corinne Javelaud noue un intrigant suspense autour d'une jeune femme moderne et émancipée, qui devra faire la part entre son goût pour la liberté et les exigences de la vérité.



Dès les premières pages ont est transporté dans l'histoire de Marie-Lou, ses rapports avec sa mère Luce et sa fille Dora, sa tante Aude... Nous sommes également plongé dans les années hippies, nos chères années 1970 et, par l'intermédiaire des manifestations surnaturelles, Marie-Lou va entreprendre une enquête sur les faits qui se sont déroulés vingt-cinq ans auparavant, pendant la bien triste et sombre période qu'a été la seconde guerre mondiale où l'ennemi n'était pas toujours du côté que l'on croiyait...

Un livre qui se termine comme je ne l'aurais pas imaginé et je vous en conseille la lecture. Je l'ai adoré, donc je vous le conseille.



Je remercie Valérie Taillefer de m'avoir permis de le lire en service presse. Valérie Taillefer, Attachée de Presse dans l'une des excellentes maisons d'éditions qu'est Calmann-Lévy.



A propos de l'auteure :

Après des études de lettres et d'histoire de l'art, Corinne Javelaud s'est tournée vers l'écriture. Originaire du Limousin, elle est l'auteure d'une dizaine de romans. Elle est membre du jury du prix des romancières remis chaque année lors de la Foire du livre de Saint-Louis en Alsace.



Bonnes lectures à vous toutes et à vous tous.
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Le commentaire de Cathy :



Quel plaisir de lire à nouveau Corinne Javelaud, grâce au service presse, j'ai eu la chance de découvrir cette auteure qui me fait sortir de ma zone de confort.

Cette fois, elle nous plonge au cœur des années 70, Marie-Lou Beltran vit, avec sa fille Dora et sa mère Luce, dans un quartier de Bordeaux.

L'harmonie est parfaite dans la maison familiale, le jour de son anniversaire, la petite Dora va recevoir comme cadeau une poupée ancienne que Mari-Lou a dénichée chez son ami antiquaire.

Quelques manifestations étranges vont avoir lieu, est-ce la poupée la responsable de cela ? Un médium en est, en tout cas, convaincu.

Quel secret va découvrir Marie-Lou ?

L'auteure a réussi à recréer l'ambiance des années 70, j'ai eu l'impression de faire partie de cette famille entre Marie-Lou qui excelle en cuisine et Luce qui s'occupe de ses plantes.

Le trouble va s'installer avec l'apparition de petits messages, il y a beaucoup de mystère autour de ces petits papiers.

Au fil des chapitres nous découvrons que Luce a caché énormément de chose à sa fille, les secrets du passé vont nous être dévoilés.

J'aime beaucoup le style de l'auteure, elle arrive à tenir un bon suspense, j'aime également les descriptions qu'elle nous fait des différents lieux où l'histoire se déroule, j'ai passé un bon moment de lecture.
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Mon avis



Je remercie les Editions de BOREE et en particulier Virginie de m'avoir permis de lire, en service de presse, »L'Oubliée de la ferme des brumes », roman de Corinne JAVELAUD, auteure dont j'ai lu tous les ouvrages tant j'aime sa plume fluide et envoûtante.



La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont immédiatement interpellée.



Corinne JAVELAUD nous emporte en Limousin dans les années 40. Nous suivons la jeune Colombe qui, depuis le décès de ses parents, gère la ferme familiale avec ses frères Marceau et Silvère. La vie est rude et sans joie pour notre héroïne jusqu'au jour où M. Anselme, recruteur d'un atelier de dentelles, vient la chercher afin qu'elle apprenne le métier.



Colombe réussira-t-elle à s'épanouir et à accéder à la liberté ?

Va-t-elle découvrir les secrets liés à ses origines ?





Je me suis de suite sentie happée par les jolis mots de l'auteure qui manie si bien le suspense et les intrigues. Comme à son habitude, Corinne JAVELAUD décrit à merveille les traits tant physiques que psychologiques des protagonistes de son ouvrage, les rendant ainsi attachants pour certains, détestables pour d'autres.



Les nombreux rebondissements tiennent vraiment le lecteur en haleine jusqu'au dénouement très difficile à anticiper ..



J'ai beaucoup aimé ce roman historique régional émouvant, mystique à souhait, extrêmement bien écrit et documenté que j'ai lu d'une traite ne pouvant me résoudre à le quitter tant il me passionnait et refermé à regret.



Un excellent moment de lecture.





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Alors que la France vit sous la menace de la seconde guerre mondiale, Colombe vit avec ses frères dans une petite ferme limousine. L’un d’eux ne rêve que d’entrer dans les ordres, mais Marceau, l’aîné, est violent. Souvent ivre, paresseux il aime traîner avec ceux qui lui ressemble. Colombe est seule à faire fonctionner la maison. Depuis le décès des parents, aucun des fils n’a repris le flambeau. Colombe peine à maintenir un semblant de vie dans une ferme dévastée, sans bétail ni récoltes. Lorsque qu’un recruteur cherchant des employés pour un atelier de couture arrive, Marceau vend sa sœur sans état d’âme. Colombe y voit rapidement une échappatoire à cette vie de quasi recluse, fuir la passivité de Sylvère qui ne pense qu’à prier et la violence de Marceau n’est pas pour lui déplaire. Un nouveau monde l’attend, d’autre codes qu’il lui faut apprendre vite. Intelligente, elle sait nouer des amitiés durables. Lorsque la guerre éclate, l’économie du pays s’arrête. Colombe s’éprend alors d’un garçon qui la convainc de la suivre. A son contact Colombe quittera l’adolescence pour devenir une femme décidée. A force de volonté, elle parviendra à gagner son indépendance. Cependant, il persiste des ombres sur son parcours. Par l’un de ses amis, elle découvre qu’un lourd secret pèse sur sa famille. Le découvrir risque bien de bouleverser sa vie !



Colombe et ses frères vivent chacun sur une planète différente. La ferme est devenue une friche, rien ne va plus. Lorsque colombe quitte la maison, le fragile équilibre s’écroule. Personne ne faisant vivre la maison, Sylvère entre dans les ordres. Marceau laissé seul maître à bord commence à faire des petits larcins pour pouvoir boire. Colombe apprend le métier de dentelière, puis change pour travailler dans une boutique de chapeau. Mais lorsque Marceau surgit de nouveau dans la vie de colombe, la violence de la rencontre lui fait perdre son travail. La guerre venue, la France vit sous l’occupation. La jeune femme fréquente alors un garçon de son âge, communiste convaincu qui peu à peu lui instille ses idées. Colombe accepte de le suivre dans la clandestinité. Là, elle découvrira que chaque famille cache des mystères, que derrière les apparences des drames se sont produits. Lorsque l’heure de la libération arrive, Colombe découvrira que la réalité peut être encore un peu plus compliquée…



Un roman qui rebondit souvent, qui fouille les secrets de famille et montre qu’à force de volonté il est toujours possible de grandir réunit tous les ingrédients d’un bon livre. Un roman qui se laisse lire d’une traite. Certes, il y a les atrocités de la guerre, la violence d’un frère marginalisé et ivrogne, mais aussi la force de l’amitié pour animer les sentiments du lecteur. La grande force du roman est de brouiller les pistes. Corinne Javelot nous conduit vers des évidences qui ne sont qu’apparences ! La vérité se cache souvent afin de couvrir quelques illusions, pour se montrer tel que l’on doit être, non pour ce que l’on aurait voulu. C’est aussi le reflet d’une époque où le paraître était de bon goût, le qu’en dira-t-on une épée de Damoclès dont on craignait les retombées. La guerre en changeant la façon de voir et de penser à fait souffler un vent de liberté, balayant les dernières barrières protégeant certains secrets de famille. Corinne Javelaud nous offre ici un roman avec des mystères comme on les aime et, des rebondissements tout au long du livre.


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C'est l'histoire de la disparition d'une petite fille chérie aimée de sa famille, de la tristesse d'un grand frère qui culpabilise, du désespoir d'un couple uni… Dans une campagne, à une époque où l'on travaille dur aux champs pour faire vivre la famille…



L'histoire d'un drame familial…



Mais où est-elle ? Qu'est-il arrivé à la jolie Rose-May ?



L'histoire se déroule dans le Limousin, c'est un roman très documenté sur la région, les champs, le patois, la porcelaine… C'est un roman passionnant – et comme à chaque roman, on apprends beaucoup de choses en lisant les romans de Corinne Javelaud – Nous voyageons dans le Temps au fil de son écriture si émouvante.



Une très belle intrigue… Jusqu'au bout…



L'histoire de cette disparition n'est pas si simple…



Mais chuuut je ne dirais rien sur Rose-May… Tout est dans le livre
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Le commentaire de Cathy :

Dans une ferme du Limousin, la famille Ribéroux mène une vie de labeur.

La petite Rose-May vient de naître, Léonard le grand frère ainsi que ses parents sont très heureux de l'arrivée de cette petite fille.

Âgée de trois ans, sous la surveillance de son frère, la petite Rose-May va disparaître, que s'est-il passé ?

Qui l'a enlevée ?

La lecture de ce roman m'a fait ressentir énormément d'émotions. L'époque où se déroule l'histoire m'a beaucoup plu, j'ai aimé découvrir la vie de nos campagnes à cette période.

La culpabilité de Léonard est grande, toute sa vie, il continuera à chercher sa sœur, j'ai été captivée par cette histoire.

Le suspense est bien présent, la plume de l'auteure est très agréable.

C'est un très beau roman que j'ai eu la chance de lire, émouvant, touchant.

Premier roman que je lis de cette auteure, mais sûrement pas le dernier.
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