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Critiques de David Eddings (529)
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Première lecture dans l’univers du couple Eddings suite aux précieux conseils d’un ami (merci Anthony !) et c’est avec plaisir que je termine ce premier tome.



C’est une histoire relativement classique que nous propose ce cycle de fantasy : dans un monde où les forces du bien et du mal s’opposent dans un combat millénaire, nous suivons le destin d’un jeune garçon ordinaire au destin bien différent des autres enfants de son âge...



Alors que la paix semble régner sur le monde, un puissant artefact disparaît : l’orbe. Il peut servir à réveiller Thorak, un dieu maléfique. Tout cela est bien loin des préoccupations du jeune Garion, un simple garçon de ferme mais les événements vont se précipiter sans qu’il comprenne vraiment sa place dans tout cela.



Rien d’original donc mais un vrai coup de cœur pour le style et la narration. Elle est fluide et rythmée nous plongeant sans aucune difficulté dans l’histoire. Celle-ci se déroule facilement, les chapitres livrant progressivement des informations sur la destinée de Garion et sur le monde qu’il parcourt. Les deux gros point fort de la lecture à mes yeux sont l’humour omniprésent et les personnages très bien travaillés. On s’attache facilement à eux grâce à leur profondeur. Cela représente en plus un atout indéniable pour leur évolution dans un cycle aussi long.



C’est donc une belle lecture qui va m’entraîner au minimum sur les 4 autres livres de cette série voir plus sur l’ensemble des romans de cette univers.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Depuis plusieurs années, cette série traînait sur les étagères de mon ancien lieu de travail, les élèves ne s'y intéressent pas spontanément. Évidemment, on pense à Tolkien; la ferme où grandit Garion le jeune héros a quelques traits bucoliques, le mystérieux visiteur "sire Loup",que l'on imagine facilement habillé de gris et portant une longue barbe... passons. Les personnages sont cependant à mon sens bien campés, les intrigues elles se dévoilent progressivement. Le fait que l'intrigue principale soit cousue de fil blanc ne me semble pas gâcher le plaisir de la lecture autant que le style, qui en français me semble un peu fade. Mais tout à fait lisible. Je me suis plu à tisser des liens avec des auteurs de la même branche, le jeune Garion me faisant par moment penser au capitaine Carrotte de Terry Pratchett.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Dans son genre, si le lecteur ne recherche pas l'originalité, il est efficace. Il y a des emprunts au Seigneur des Anneaux, mais si c'est précisément ce que lecteur cherche, il n'y a pas de problème. Pour ceux-là, passez votre chemin et ne lisez pas le reste de ma critique. Pour les autres, là voici.



À force de faire des critiques, il est possible de se répéter. Au fil des mes critiques, j'ai commencé à développer le concept du Harlquin fantasy, c'est-à-dire un roman vite fait, mal fait où les «ingrédients magiques» sont réunis. Une quête, des objets magiques, un héros surhumain ou un groupe de plusieurs ethnies (ou races) différentes ayant chacune une particularité (un peu caricatural). La belgariade n'y échappe pas.



Le seul apport original du livre est la lutte entre les Dieux. La mythologie du livre est plutôt sympa, même si elle est très binaire et dichotomique. Encore une lutte du bien contre le mal. Une autre caractéristique du Harlequin fantasy. En résumé, du déjà-vu.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Une entrée en la matière réussie...en quelque sorte.





Ici nous faisons la connaissance de Garçon, un garçon orphelin qui vit avec sa tante Pol sur le domaine d'un petit seigneur où celle-ci fait la cuisine. Au fil du temps, il se rends compte qu'il est surveillé mais n'y prête pas attention car il est plus préoccupé par ses déboires d'adolescent. Quand Sir Loup, un vieil homme qui conte les histoires des grands dieux arrive un jour, il est grand temps de partir avec tante Pol à la recherche de quelqu'un ou d'un objet. Au cours de leur périple, ils vont se joindre à un petit groupe d'hommes qui au premier abord ne payent pas de mine, mais qui s'avèrent être des gens à qui il ne faut pas chercher de noises. Ils vont tous parcourir un peu de chemin pour se retrouver à chaque fois dans le collimateur d'un espion. Mais qui est donc cet homme, et surtout quels rôles ont-ils tous à jouer dans cette histoire. Pourquoi Garion ne sent il pas à sa place? Et surtout que lui cache tante Pol, et pourquoi à t'il ce sentiment de trahison envers elle.





Bon on ne va pas se mentir, j'ai adoré l'univers que David Eddings nous dépeint.

Après le début où on est noyé sous une multitude de personnages, de dieux et de prophétie, on entre vite dans le récit. En effet la plume de l'auteur est d'une fluidité parfaite, très poétique par moment et sans longueurs là où peut-être il en aurait fallut.

J'ai aimé le destin du garçon qui ne nous est pas encore totalement dévoilé mais dont on en apprends un peu par-ci par-là mais j'ai surtout aimé cette quête où chacun a son rôle à jouer.

Les personnages sont tous attachants, ils ont tous leur petit truc qui fait qu'on ne veut pas se séparer d'eux.

On prends aussi plaisir à écouter Sir Loup conter les histoires des royaumes, mêlant mythologie et prophétie, mais toujours sous couvert d'anonymat.

En effet ici, certains personnages ne sont pas ceux qu'ils prétendent être mais on le sais dès le départ même si les mots ne sont pas mis.

Et c'est d'ailleurs ce petit point qui me chiffonne, on voit les choses venir dès le début de leur quête avec tout les indices qui sont disséminés tout au long du récit.

J'ai surtout aimé ici le sens de la répartie des personnages et leur humour, on ne s'ennuie jamais tellement il y a de l'action. Le roman se lit très vite, surtout grâce aux nombreux dialogues qu'il comporte. J'ai vraiment hâte de retourner dans cette saga pour retrouver tous nos héros, pour voir comment va évoluer Garion maintenant un peu au courant de son histoire.





En bref, parfait pour commencer dans la Fantasy malgré le trop grand nombre de personnages qui pourrait faire perdre la tête. Mais un fantasy qui se lit très vite, très bien, avec une touche d'humour mais dont on voit les choses arriver très rapidement.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Commentaire sur le cycle complet :



Le chant de la Belgariade (ou simplement La Belgariade) fait partie de la grande fresque La Grande Guerre des Dieux, composée de dix tomes (elle même composée de cinq tomes) et quatre préquelles.



Ce n’est pas un secret, même si son nom ne figure pas sur les livres, que la femme de l’auteur à grandement participé à l’élaboration de ses livres. Derrière chaque personnage féminin, chaque réplique, chaque décor, se cache sa patte (Cela me fait penser au personnage de Poledra, du chant de la Mallorée, invisible aux yeux de tous mais pourtant bien présente).



Les auteurs ont réussi à créer tout un monde cohérent avec sa géographie, ses différents peuples, leurs religions, politiques et origines propres.

Les cartes, nombreuses et détaillées, permettent de se représenter le périple des protagonistes.



Tout ce vaste univers est présenté par le biais de Garion, héros de l’histoire, qui, ayant passé son enfance dans une ferme, le découvre en même temps que nous.



Bien que je connaisse évidemment l’histoire sur le bout des doigts, je me surprend toujours à découvrir de petits détails à chaque lecture.

Évidement, ce n’est pas la raison qui me fait régulièrement replonger dans cette décalogie malgré la hauteur everestique de ma PAL.

La véritable raison se situe dans la panoplie de personnages aussi variés que fouillés.

A chaque réouverture de cette série, je prend un grand plaisir, presque réconfortant à retrouver chaque personnage, comme si je retrouvais des amis de longue date.

J’ai évidemment des préférences pour Silk et Polgara avec leurs répliques cinglantes, Belgarath le grand sorcier bourré de défauts et Durnik, au sens pratique désarmant.



En effet, l'humour est fortement présent dans cette série.

Les interactions entre les personnages, les diverses scènes cocasses et surprenantes et les dialogues et répliques cinglantes sont de petites merveille d’humours.

On s'imagine aussi facilement les scènes que si l’on était au coté des personnages et souvent on rit de bon cœur.



Bon, je remarque que je ne parle pas trop de l'histoire de ce cycle.

La trame est en soit assez classique et se met doucement en place dans le premier tome.

Garion et sa tante Pol vivent paisiblement à la ferme de Faldor où la dame est la cuisinière en chef. Ils reçoivent parfois la visite du Sire Loup, le vieux conteur.

Rien ne présageait pour Garion autre chose qu'une vie de fermier, quand un événement mystérieux mit me feu au poudres, obligeant Sire Loup et Tante Pol, à partir en catimini avec le garçon sous le bras et le Durnik, le brave forgeron à la traine.

Car en réalité, tous sont beaucoup plus que ce qu'il ne laissent paraitre.

Le vieux conteur qui pillait les cuisines se révèle être Belgarath l'éternel, sorcier de sept-mille ans et véritable légende. Et Pol, malgré son talent dans les cuisines est en fait sa fille, Polgara la sorcière, aussi célèbre et presque aussi chargée d'ans que lui.



D'autre personnages les rejoignent rapidement dans leur quête dont le héros ignore tout : Silk, l'acrobate-marchand-voleur-espion, Barak le guerrier, Ce'Nedra la princesse mi dryade au caractère épicé, Lelldorin, l'archer dont le cœur est proportionnel à son absence de bon sens, Mandorallen, le chevalier persuadé (et presque à juste titre) d'être invincible, Relg, l'Ulgo, fanatique religieux capable de traverser la roche, Hettar, l'Algarois, capable de communiquer avec les chevaux, Mission, un garçon innocent et mystérieux et Taïba, la dernière des Maragues.





Au final, bien que cette série soit un peu lente à démarrer sur le début du premier tome (comme tout les premiers tomes, j'ai l'impression), elle fait partit de celle que j'ai relue (et que je relirais) un grand nombre de fois et que je conseillerai volontiers au même titre qu’un Gemmell ou un Bottero.



Mes seules réelles déceptions sont que le couple nous ai quittés et de ne pas avoir pu me procurer le seul de leurs livres que je n’ai pas lu : Le codex de Riva.
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Cette critique concerne les tomes 1 à 5. Après une longue absence qui s’explique par le volume de pages ingurgité dans cette saga, je reviens sur ce blog pour vous le présenter. Il y a longtemps que je n’ai pas lu de fantasy et en commençant cette série, j’ai eu du mal à m’arrêter et j’ai préféré finir tous les tomes avant de vous le présenter.

L’histoire était très intéressante, avec plusieurs péripéties et aventures, des personnages sympathiques, un univers cohérent et facile à appréhender… C’est plutôt épique et il faut aimer les batailles, les quêtes impossibles, les voyages harassants dans les plaines désertiques, les marécages boueux ou les forêts denses, les duels, l’intervention des dieux, la sorcellerie et quelques histoires d’amour. Bref, c’est un cocktail d’éléments de fantasy classique qui me rappelle étrangement le Seigneur des Anneaux.

Comme je l’ai dit plus haut, on s’attache vite aux personnages principaux et leurs traits de caractère sont bien travaillés. Ceux que j’ai spécialement aimés sont Silk, Belgarath, Garion et Ce’Nedra (même si elle reste une petite chipie!).

Pour le style d’écriture, c’est léger avec une bonne dose de dialogues et quelques descriptions succinctes. J’ai toutefois noté deux défauts. Premièrement, les trois premiers tomes se lisent vite mais les deux derniers ont été un peu plus laborieux. Cela s’explique par le fait que j’étais impatiente de voir la fin de l’histoire, à moins que quelques longueurs se soient insérées dans l’ouvrage. Il y a aussi un détail qui m’a dérangé et souvent agacé : les personnages s’en sortent toujours un peu trop facilement et lorsque je commence à prendre du recul, je trouve l’ensemble un peu niais.

A mon avis, ce type de lecture est plutôt destiné aux adolescents mais on passe tout de même un moment vraiment agréable donc lisez-le !




Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Ce livre est long et présente peu d' intéret. Si la narration n'avait pas été si agréable j'aurais abandonné. J'ai eu raison de continuer : Plus on progresse dans la Belgariade plus c'est passionnant ! Alors à ceux qui hésite, courage, ça va gagner en intensité !
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

J'ai lu le cycle (la décalogie) au fur et à mesure de sa sortie, il y a fort, fort, fort longtemps... A une époque où j'aimais (ou pas) les livres que je lisais sans me poser de questions, vu que je n'avais pas à écrire d'avis dessus !



Il m'avait laissé un souvenir "d'excellent", mais j'avoue que 26 ans plus tard, j'avais un peu (beaucoup, passionnément) oublié pourquoi.



Et bien je le sais de nouveau !



C'est assez génial, en fait, même pour un tome d'introduction. Avec suffisamment d'action pour ne pas qu'on s'ennuie. Suffisamment de mystères pour qu'on reste accroché. Suffisamment de dialogues pour que ce soit super-vivant. Suffisamment d'humour pour que ce soit un plaisir à lire. Et avec des personnages hauts en couleur, attachants (ou pas), mystérieux, à multiples facettes, une quête dont on connait les grandes lignes mieux que Garion le petit garçon lui-même, sans pour autant trop savoir où l'auteur veut en venir.



En bref, tout ce que j'aime dans la fantasy de divertissement, pas prise de tête, facile à lire sans être simpliste.



Par contre, je crois que j'aurais pas du (re) commencer. J'ai envie de savoir la suite (que j'ai oubliée aussi) alors que j'ai trop d'autres choses à lire en même temps ! AAAAAAAARGH !



Je sais qu'aujourd'hui, les bouquins dans le genre sont légions. Mais à l'époque, il n'y en avait pas beaucoup, je les pistais, je les cherchais, je les suivais de très près (en allant souvent en librairie, et oui, une autre époque). Alors je pense que certains jeunes gens qui lisent ça peuvent se permettre d'être blasés et de dire que c'est naze ou moyen, mais moi, qui me souviens encore de mon état d'esprit quand je lisais ça, ou Elric, ou "les dragons de Pern", émerveillée, bah je réitère avec la note max, le coup de coeur, paf. Point fin.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Parfait pour une initiation à la littérature de Fantasy.

Le style de Eddings est clair, limpide et son écriture est tout à la fois précise, détaillée, et sans lourdeur.

Ses descriptions jamais trop longues posent à merveilles les fabuleux décors et l'atmosphère que les amateurs de Fantasy apprécient tant.

Le texte est plein d'humour et les personnages sont attachants.

L'aventure est épique et l'écrivain sait parfaitement ménager un suspens équilibré, pas trop tendu et laissant une place légitime au moment présent.

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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Dans le genre fantasy, il y a pire...

L'histoire, sans être originale (on ne sort pas une seconde des cadres classiques de la fantasy), est intéressante : une quête, un voyage, des aventures... Les différents personnages sont sympathiques...

Mais par contre l'écriture ! Peut-être que je suis tombée sur une mauvaise traduction, en tout cas c'était parfois un calvaire de lire des phrases aussi mal tournées (et pourtant j'ai déjà lu Guillaume Musso, c'est dire !)
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Le jeune Garion, orphelin, est élevé (de manière assez stricte) par Tante Pol. Mais un jour, sa vie bascule, un mystérieux inconnu Belgarath l'entraine sur les routes, à la grande inquiétude de Tante Pol qui le trouve trop jeune. Dans leur quête, ils sont rejoints par de bien étranges personnages, et on apprend bientôt que Garion est bien plus que ce qu'il parait et qu'il est amené à sauver le monde...

Avez-vous déjà lu une caricature des livres de fantasy, tous identiques, dans lesquels un sor... lire la suite

cier, un voleur et une épée magique permettent à un adolescent de sauver le monde du Mal ? Elle était sans doute inspirée de la Belgariade qui est la preuve écrite qu'avec une intrigue stéréotypée, on peut créer un chef-d'œuvre. Le quatrième de couverture annonce la plus belle décalogie de la fantasy : pour moi, ce n'est pas une exagération. L'univers est fouillé (l'auteur tient les 10 volumes, et plus par la suite sans aucune incohérence ou détour), les personnages typées et attachants, l'intrigue menée de main de maitre, et cerise sur le gâteau, des dialogues plein d'humour, où se confrontent la banalité du quotidien et l'héroïsme de la la quête. A lire et relire.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

J'ai lu les 2 sagas (la Belgariade, la Mallorée) il y'a fort longtemps.

Un univers très présent.

Des personnages nous faisant nous sentir près d'eux.

Des intrigues claires.

J'ai beaucoup apprécier cet univers et accompagner ces aventuriers.

De la très bonne Heroic Fantasy;))

A ne surtout pas hésiter;)
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Premier tome et dernier également... c'est un livre probablement agréable à lire quand on aime le style mais je n ai à aucun moment réussi à entrer dans l histoire ...

On m avait promis de l aventure et de l humour, que je cherche encore hélas ...

Garion est un petit garçon quand débute le tome 1. On comprend tout de suite que ce gamin a un statut particulier, protégé par une tante surprotectrice qui semble avoir des dons . Peu à peu , c'est l aventure et tous sont obligés de fuir et de chercher quelque chose qui a disparu . Les familles royales, les amis ...etc j ai été perdu dans un grand nombre de noms ...

N étant pas fan des dieux, des quêtes mystiques , je n ai pas accroché mais sûrement que d autres y verront LE roman , comme la personne qui me l a conseillée :)
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Retour sur un grand immense classique de la Fantasy.

Superbe, magnifique, les qualificatifs manquent.

Grande saga, qui a l'avantage énorme d'être servie par des personnages époustouflants. Eddings a le don de créer des personnages incroyablement haut en couleurs et tellement attachants que on en a les larmes aux yeux quand on finit le dernier tome...comme si on quittait des vrais amis!!!

C'est une saga très classique dans sa construction (une quête, quoi de plus "Fantasy" que ça?!), mais il ne faut pas imaginer que ce coté 'classique' puisse avoir un aspect ennuyeux. On ne s'y ennuie pas une seule seconde et c'est très certainement grâce à la richesse des personnages ainsi qu'à la fluidité de l'histoire.

Je n'ai pas pu lâcher les 5 tomes avant de les avoir fini.

Franchement je n'ai qu'un conseil, hâtez vous de lire ce roman sans lequel vous serez a jamais perdu dans les limbes de la Fantasy!!!!!
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

La Belgariade, que de souvenirs.

Ce fût mon premier cycle d'Eddings, et directement un coup de coeur.

C'est un des cycles que j'ai le plus relu au fil des ans.

J'adore tous les personnage, tout particulièrement Belgarath et Silk.

Les décors sont grandioses, et l'univers développé au fur et à mesure des livres se révèle à nous avec ses peuples et son panthéon.

Les dialogues sont excellent et on se laisse entrainer dans l'histoire aux côtés des personnages. Les relations entre ceux-ci sont d'ailleurs un des points forts du cycle, toujours pleines d'humour.

La magie (le verbe et le vouloir° se dévoile aux yeux du lecteur au fur et à mesure de l'apprentissage du héros, et l'on en découvre de nouvelles formes dans les tomes suivants, toujours avec leur système et leur limites.

Si vous cherchez un cycle de fantasy, je ne peux que vous conseiller celui-ci!
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Le pion blanc des présages est le premier tome de la série La Belgariade. Il s’agit d’un tome d’introduction qui permet à l’auteur de poser le décor, l’univers, les personnages et l’intrigue.



Dans ce tome 1 (et dans toute la série je suppose), nous suivons les aventures du jeune Garion. C’est un jeune garçon, nous pouvons même dire un jeune adolescent qui ne sait pas qui il est; il ne sait pas qui sont ses parents et à donc été élevé par une de ses tantes nommée Pol. Le récit est écrit à la première personne du singulier, le narrateur est Garion et donc nous non plus nous ne savons pas qui il est; nous découvrons son histoire en même temps que lui.

Garion est apparemment un adolescent pas du tout banal et je suppose qu’il va devenir quelqu’un d’important dans ce monde ou plusieurs dieux cohabitent. J’ai hâte de lire la suite de la saga !



Ce tome 1 est entrainant et la plume de l’auteur est fluide. Il m’a cependant demandé pas mal de concentration afin de comprendre l’univers, l’histoire et la mythologie. Il est nécessaire de bien comprendre tout cela afin d’appréhender parfaitement la quête présente dans l’intrigue.

La quête justement ma tenue en haleine, on veut savoir qui à volé quoi, à qui, pourquoi et où est-il maintenant?



Bilan :

Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé ce premier tome de la Belgariade et j’ai très hâte de lire les quatre autres tomes !
Lien : https://vagabondagecreatif.c..
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Ce premier tome fut une agréable découverte. En effet, j'ai trouvé son univers très riche et assez bien présenté, même si comme d'habitude je me suis perdue avec les noms... J'ai aussi trouvé les différents protagonistes plutôt intéressants et j'ai hâte de voir le développement de chacun.

Seul bémol pour moi, un gros manque d'action....

Vivement le tome 2 !!!
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

La Belgariade est un chef d'œuvre. David Eddings a réussi à écrire une épopée passionnante, en se basant sur le principe ultra classique de la quête initiatique.



Points positifs: une écriture de qualité, avec un humour savoureux. Les personnages sont très attachants et malgré quelques longueurs, le lecteur s'empresse de dévorer les pages pour savoir ce qu'ils deviennent.



Points négatifs: l'auteur s'appuie parfois un peu trop sur cet humour qui fait sa force et ça donne un peu lourd, parfois trop de stéréotypes, trop de... lisez, vous comprendrez!!!



Alors pourquoi une note aussi moyenne?? le support. Mal traduit, plein de coquilles. Si vous baragouinez un peu l'anglais lisez-le en version originale, le plaisir est multiplié !
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Ces derniers temps, j’étais un peu nostalgique de la période où j’ai dévoré les livres du Trône de Fer. J’avais envie de me plonger à nouveau dans une grande histoire fantasy en plusieurs tomes. C’est ainsi que j’ai débuté la lecture de La Belgariade, une saga de fantasy classique écrite au début des années 1980 par l’auteur américain David Eddings (avec l’aide de sa femme Leigh).



La Belgariade comporte 5 tomes, que j’ai lus en 4 mois :



1. Le pion blanc des présages

2. La reine des sortilèges

3. Le gambit du magicien

4. La tour des maléfices

5. La fin de partie de l’enchanteur.



Cette saga nous raconte le périple de Garion, un garçon en apparence ordinaire, mais dont la destinée se révélera hors du commun. Lors d’un voyage initiatique, il sillonnera le monde imaginaire créé par Eddings, s’essaiera à la magie et découvrira une prophétie dont dépend l’avenir du monde, et dans laquelle il jouera un rôle clé. Je ne vous en dit pas plus pour ne pas vous gâcher la découverte de l’histoire !



J’ai aimé la lecture de cette saga, notamment pour la galerie de personnages charismatiques qu’on y rencontre. Le groupe qui accompagne Garion dans sa quête comprend des individus très différents et complémentaires, comme Polgara, la sorcière intransigeante, ou Silk, l’espion rusé aux répliques mordantes. J’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Ce’Nedra, une petite princesse aussi insupportable qu’attachante. Caractérielle, imprévisible et exaltée, c’est une héroïne qui m’a exaspérée, mais aussi beaucoup fait rire, et enfin agréablement surprise dans son évolution.



Cette saga est orientée sur le voyage de Garion, sur ses découvertes de peuples et de terres inconnus. L’univers est très fouillé, vraiment complet. On le sent cohérent et crédible. Je me suis parfois perdue dans les noms de peuples et dans la géographie du monde, mais les cartes sont là pour nous aiguiller. Le système de magie mis en place par Eddings est intéressant, lui aussi.



Les amateurs de longues descriptions y trouveront leur compte, car l’auteur prend le temps de bien bâtir les bases de son univers sans se presser. Il aime décrire les lieux, leur ambiance et leurs habitants. Il y a aussi beaucoup de détails sur la topologie ou le climat des endroits que parcourt Garion.



L’un des autres atouts de cette oeuvre, c’est le ton de l’auteur, qui est fluide, léger et emprunt d’humour. Les échanges entre les personnages sont rafraîchissants et les situations amusantes.



En contrepartie, j’ai trouvé qu’il lui manquait un petit côté trépidant, haletant. La quête de Garion comprend ses moments de tension, ses affrontements et ses situations de crise. Malgré tout, les personnages ne sont pas beaucoup mis en danger, et même quand c’est le cas, on finit par savoir à l’avance qu’ils vont s’en sortir indemnes … C’est une lecture agréable, qui détend, mais qui ne vous prend pas au tripes, et ne vous fait pas retenir votre souffle en attendant de connaître le sort des personnages, comme dans le Trône de Fer, par exemple (mais au moins, c’est plus reposant pour les nerfs !).



Malgré ce côté « gentillet », quelques dénouements un peu mous ou retournements de situation prévisibles, j’ai vraiment apprécié cette saga. Je me suis attachée à cet univers, dans lequel je prenais plaisir à me plonger, et que j’avais hâte de retrouver tous les soirs avant de m’endormir. J’en retiens en particulier les personnages hauts en couleur, les échanges amusants et le monde bien développé, construit sur des bases solides.
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La Belgariade, tome 1 : Le pion blanc des p..

Une très bonne série mais à laquelle il faut s’accrocher en effet la saga commence à été intéressant à partir de la troisième partie du tome 2 quand les personnages arrive en Nyissie mais l’attente vaut le coup les personnages sont attachants et l’univers est très complet
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