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Critiques de David Zaoui (205)
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Le financier en chef

Un livre pour une lecture détente, plutôt court (181 pages) j'avoue qu'à voir sa note je m'attendais à rire un peu plus et à être plus "addict"... C'est le premier livre de cet auteur que je lis, je retenterai ma chance car il ne m'a pas déplu je m'attendais juste à autre chose ! Mais on s'attache tout de même à Jackson et surtout à son papa !
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Le peintre du dimanche

c'est un livre feel good, qui se lit facilement et très loufoque. Parfois un peu vulgaire sur quelques propos qui m'ont un peu dérangé.

Si vous souhaitez passer un bon moment je vous le conseille.
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Le peintre du dimanche

Flop flop flop flop

Tout est dit, ce roman a été un flop pour moi. Heureusement, il est court, moins de 300 pages.

Je dois avouer que je n'ai absolument pas saisi la drôlerie, ou l'humour, dans ce texte.

Je n'ai pas réussi à m'attendrir sur le sort d'Alfredo, qui rêve d'être un artiste peintre reconnu, mais qui, en attendant son heure de gloire, envoie des lettres d'insultes à son conseiller Pôle Emploi et se lamente sur son sort.

Je n'ai pas non plus aimé que la maladie d'Alzheimer de la grand-mère ne soit qu'un prétexte pour introduire le fameux singe capucin, ou pour des gags douteux. Pourquoi l'affliger d'une maladie aussi grave pour ensuite la laisser seule dans son coin, libre d'être un danger pour elle-même ou pour les autres ?

Vous me direz, ce livre est censé être un roman réjouissant, loufoque, qui fait sourire. Et bien, soit, mais dans ce cas-là, l'égoïsme et l'insouciance de la famille vis à vis de la grand-mère devrait être un ressort comique et ce n'est pas vraiment le cas.

Oh par contre, le point positif du roman, c'est Schmidt, le singe capucin. Elle (oui c'est une femelle) m'a beaucoup plu avec sa propension à se déguiser, et ses petites attentions pour ceux qu'elle apprécie.

Mais elle ne suffira pas à changer mon Non en Oui et cette lecture fut heureusement courte mais pas vraiment agréable.

D'ailleurs, le titre a été changé entre la parution en grand format et la parution en poche. Il est passé de "Sois toi-même, tous les autres sont déjà pris" à "Le peintre du dimanche". Cette modification m'a intriguée, quelqu'un connait les raisons d'un changement de titre entre deux parutions ?
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Sois toi-même, tous les autres sont déjà pris

Drôle et original, ce n'est pas le genre que je lis habituellement, mais pas désagréable :)
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Sois toi-même, tous les autres sont déjà pris

Ce roman "feel-good" est un bol d'air frais : en vous redonnant le sourire, il permet de s'échapper d'un quotidien parfois pesant. J'ai été attendrie par les divers personnages, surtout mamie Daisy et Schmidt, la femelle singe. Même Alfredo, cet artiste incompris par le monde entier, a réussi à me faire rire. Disons que l'auteur combine des protagonistes hauts en couleur avec des situations complètement loufoques. Voilà comment on se retrouve avec Daisy, une grand-mère qui perd la boule et manque de faire cuire Schmidt dans un bouillon de poulet, singe qui elle-même raffole des beignets à la pistache et des déguisements en tout genre. Du coup, elle se déguise en curé, portant une kippa, pour peindre son maître en train de faire l'amour avec la femme de ses rêves… Ingénieux, non ?



D'ailleurs, ce sont les peintures de Schmidt qui déchaine le public et suscite les convoitises, au grand dam d'Alfredo. Et de son conseiller Pôle emploi, le mythique Bubard, véritable perroquet incompétent. Disons que la relation entre les deux individus est assez… conflictuelle. Mais très drôle aussi. Pendant que l'un s'évertue à lui proposer les métiers les plus incongrus pour le sortir du chômage, le second s'entête à persévérer dans la peinture. Après tout, imaginer l'inconscient des animaux, n'est-ce pas là une idée totalement inédite et surréaliste ? Comme on dit, à chacun son talent. Sauf qu'Alfredo a du mal à assumer le manque de reconnaissance de la part de ses pairs. Il doute de son art, mais surtout de lui-même. Aussi, quand il rencontre Céleste, une jeune fille en extase devant ses peintures, il se sent pousser des ailes. Jusqu'à ce qu'elle lui tourne le dos et l'abandonne lâchement. Seule Schmidt semble être apte à le soutenir coûte que coûte sans émettre le moindre jugement. Mais, quand elle fait la connaissance d'un autre singe, Baba Sanga, c'est le coup de foudre et elle se voit contrainte de rester à ses côtés. S'ensuit alors une longue remise en question identitaire pour Alfredo : que recherche-t-il vraiment ? Vaut-il mieux s'approprier le travail d'un autre et en tirer toute la gloire, ou s'assumer tel qu'on est quitte à rester dans l'ombre ? S'exilant en République dominicaine, il trouvera la réponse en rencontrant Doriane, la future femme de sa vie : "Rien ne devrait nous empêcher d'être nous-mêmes, et de réaliser nos rêves."
Lien : https://langageducoeur.wordp..
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