Demitria Lunetta

De retour à l'extérieur mais protégé par son nouvel équipement, Amy s'interroge sur le sens de sa vie quand elle reçoit un message alarmant de Kay concernant Baby.



Seule solution pour lui venir en aide : retrouver Ken, un mystérieux scientifique, seul capable d'influer sur le destin de l'enfant.



Mais pour l'atteindre, Amy va devoir se rendre à Fort Black, une cité rempart où règne la violence et la loi du plus fort, dirigée par un homme étrange appelé "Le surveillant". La jeune fille va y faire une entrée...fracassante !



Tenter de survivre ne va pas se révéler plus facile qu'à New hope...



Un second volume qui contient la suite et fin de cette très bonne dystopie parsemée d'épreuves. Un tome divisé en deux parties. Dans la première nous découvrons un monde avec de nouvelles règles et de nouveaux secrets.



Il ne fait pas bon d'être une femme à Fort Black. Seul son entraînement précédent peut lui permettre de traverser indemne cette aventure remplie d'étroites cellules, d'arène mais aussi de rencontres où les sentiments vont aussi jouer leur rôle de catalyseur.



Chacun y développe ses passions qui vont de la recherche scientifique au meurtre en passant par les combats.



Un récit dense en évènements où la peur est omniprésente, celle des Floraes bien sûr mais aussi celle des hommes devenus souvent incontrolables face à l'idée de mourir.








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Un livre vraiment sympa sur un thème que j'apprécie ! Bon ,au niveau de l'intrigue ,ça ressemble un peu à une de mes séries favorites donc je n'ai pas été tellement surprises de toutes les révélations sur les "aliens". Mais concernant New Hope ,c'est assez incroyable que les gens acceptent en souriant ce genre d'organisation ...et je me demande bien comme Amy va se débrouiller dans le futur !

Voilà un roman qui se laisse lire tout seul , que j'ai pas trouvé trop "ado" et où , pour une fois ,il 'y a pas véritablement d'histoire d'amour qui prend toute la place .Et puis il y a un bon rythme ,des décors différents ,bref pas de quoi s'ennuyer .

Nouvelle dystopie parue chez Lumen, In the After est le premier roman de Demitria Lunetta, une amatrice de dystopie comme vous et moi. Un point qui semble sympathique au début, mais qui se transforme en défaut très rapidement…



Car, pour les habitués du genre, il est difficile de ne pas se rendre compte que l'auteur exploite tous les éléments possibles de la dystopie dans une seule histoire : aliens, éradication de l'humanité (La 5e Vague), societé préservant l'humanité contre la liberté de ses pairs (Divergent, Hunger Games), une héroïne combative qui se lance dans l'action (Idem, Enclave), des secrets bien gardés, des révélations changeant l'image que le héros a de son monde, bref, rien n'est oublié.



Et c'est là quand même, le principal défaut d'In the After. Car, l'auteur, à tout utiliser, fait preuve de manque d'imagination.On ne retrouve aucune originalité pouvant démarquer son histoire des autres avant la troisième partie de son intrigue (soit les 100 dernières pages). Même au niveau des personnages, rien ne semble sortir du lot. Difficile de sympathiser avec Amy au début. Quant à Rice, rien à dire, il est le parfait modèle masculin utilisé dans l'univers dystopique : sympa, mignon mais pas trop, prêt à tout pour sauver la seule fille qu'il ait vu depuis des années (Ah l'amour dystopique ! On y fait pas attention, mais on adore ces histoires d'amour où les héros tombent amoureux de la première personne de sexe opposé qu'ils rencontrent. C'est bête, mais ça fait mouche). Seule Baby nous envoûte immédiatement. Impossible de ne pas craquer pour elle, seule personnage intrigant vraiment élaboré. Là où il faut attendre qu'Amy se construise, Baby est déjà dans nos coeurs dès les premières pages.



Néanmoins, au delà de ça, on ne peut le nier, In the After se lit plutôt bien. On passe un bon moment à la lecture même s'il faut attendre les 100 dernières pages pour voir enfin le potentiel du titre. On le sent, l'auteur se lâche dans cette partie où elle prend enfin ses marques et met en avant ce qui manquait dans les deux précedentes : l'élément original de son histoire. Amy devient plus badass et ce qu'elle vit, ce qu'elle devient pour survivre donne envie de la suivre dans la suite de ses aventures. J'ai aimé cette partie qui nous fait oublier les défauts des deux premières. Même s'il n'y a pas vraiment de surprise (ou alors c'est moi qui cogite trop rapidement), je me suis plongée corps et âme dans In the After. Et malgré ses défauts, ce titre a su s'imposer comme un parfait moment d'évasion lorsque je m'y suis plongée.



Je vous conseille donc la lecture d'In The After. Si, comme moi, les déjà-vu / déjà-lu vous gênent, accrochez-vous, continuez à lire et vous pourriez bien être surpris. J'attends maintenant avec impatience le tome 2 : In the End, qui propose enfin cette dose d'originalité tant attendue dans In the After. Il aura fallu attendre que l'auteur prenne ses marques, mais ça en valait clairement la peine !
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In the After est un roman young adult et pour aller plus loin, il s’agit d’une dystopie (ou contre-utopie).

Je remercie Babelio pour cette découverte classée dans les livres les plus populaires de la semaine.



L’auteur a découpé son œuvre en trois parties :

- L’Après :

Dans cette première partie nous découvrons l’horreur qui touche la terre et ses habitants. Amy se retrouve seule et doit (s’) organiser sa survie parmi les aliens qui ont pris possession des lieux et qui tuent tous les survivants en se nourrissant de leurs chairs. Au hasard de ses rondes, elle découvre Baby et à deux elles se montrent plus fortes pour faire face à la situation … malgré quelques rencontres malheureuses.

- New Hope :

Capturées, Amy et Baby sont emmenées dans un refuge, une forteresse qui s’avère être une communauté avec des règles imposées par une minorité … un docteur sordide et la mère d’Amy.

Au sein de New Hope, les filles doivent réapprendre à vivre normalement, à se sociabiliser. En bref, à vivre comme Avant. Mais tout ne se passe pas comme prévu, elles sont séparées …

- Les Gardiens :

Pour assurer la protection dans New Hope et récupérer des survivants appelés « post-aps », la communauté a développé une milice. Amy s’engage avec eux et passe les examens avec brio mais encore une fois, tout ne se passe comme prévu. Amy doit faire des sacrifices. Elle pourra tout de même compter sur Rice, Kay et Gareth pour s’échapper et commencer une nouvelle vie, retourner dans l’Après. Mais cette histoire fera l’objet du Tome 2 « In the End ».



J’ai dévoré ce roman en trois jours, il est prenant et l’envie de connaître l’issue est incontrôlable.

On se met facilement dans la peau d’Amy, on vit avec elle la situation post-apocalyptique, il y a des passages de solitude, d’angoisse. C’est prenant.

J’ai adoré In the After et j’ai hâte qu’ “In the End” sorte en France ! Toutefois, je déplore la non-relecture de certains chapitres (de 23 à 26) car j’ai moyennement apprécié les coquilles (manque un verbe dans une phrase, fin de phrase incompréhensible,…) C’est dommage mais du coup c’est une étoile en moins sur la notation. J’espère que le second tome sera mieux relu avant d’être édité.



En tout cas, c’est un 4/5 pour moi et je recommande vivement la lecture d’In the After.

Mais que voilà un bon roman prenant et surprenant.



Basé sur la question "Peut-on vraiment tout contrôler?" ce bouquin a su me captiver et pourtant dieu seul sait que je ne suis pas friande de créature bizarres mangeuses d'hommes!



Le livre est découpé en 3 parties bien distinctes:



1) on pose les bases



2) on sème le doute



3) ça éclate



Et le lecteur se laisse entraîner de pages en pages, d'événements en événements, de rebondissements en rebondissements. C'est rythmé, palpitant, ça nous emporte là où l'on ne pensait aller, les différentes explications liées au dénouement sont distillées petit à petit juste comme il faut, un tout bon roman pour moi.



Seul bémol: sur la fin les coquilles elles aussi s'enchaînent malheureusement et c'est franchement dommage lorsque cela entache un roman qui aurait pu être parfait.



Mais une très bonne lecture, encore une de celles qui réconcilieront les grands ados avec le monde du livre (et qui m'a réconciliée avec les créatures atroces).



Merci aux éditions Lumen pour ce partenariat, je me suis régalée et espère que la fin ouverte est un signe de suite de la même qualité!
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A la lecture des critiques, l'histoire m'a vraiment donné envie. j'ai accroché dès les premières pages et ce jusqu'à ce que nos 2 héroïnes intègrent new hope. Malheureusement mon enthousiasme est retombé comme un soufflé. Je n'arrivais plus du tout à me captiver pour l histoire et chose rare, je n'ai pas pu aller au bout de l'histoire.

Pour ma part un peu déçue.

Il ne suffit que d'un millième de seconde pour que tout dégénère, chaque seconde est précieuse à la survie de l'être humain. Ils sont arrivés, Ils ont tout détruits, Ils ont décimés la presque totalités des humains et Ils sont incroyablement rapide. Si vous avez le malheur de faire ne serait-ce que le plus petit bruit, vous êtes condamnés. Ils sont rapides et avides de chair fraîche.



Je tiens tout d'abord à remercier les éditions Lumen et plus particulièrement Emily pour son envois. En plus d'une sublime couverture, le contenu est tout à fait à la hauteur ! Je n'ai pas lu La 5ème vague mais c'est vrai qu'il y a un petit peu de The Walking Dead dedans et ce n'est pas pour nous déplaire ! Si vous n'aimez pas tout ce qui est glauque et qui touche aux sortes de zombies, ce n'est, en effet, peut-être pas pour vous à moins que ça ne vous réconcilie avec le thème ! Ce livre fut pour moi, un gros coup de foudre et pour le moment ma meilleure lecture de 2014 dans ce genre-ci ! In the After ce n'est pas seulement de la science-fiction post-apocalyptique ! C'est aussi un mélange de dystopie et de thriller ! Dans ce roman, il y en a donc pour tous les goûts !



Les personnages sont géniaux ! Amy est attachante et c'est le genre d'héroïnes qu'on aime : elle est courageuse, ne se plaint pas, fait passer le bonheur des autres avant le sien. J'ai complètement adorée sa relation avec Baby. Baby, c'est un bébé qu'on voit grandir et avec laquelle on s'attache vraiment beaucoup (pour ma part, tout du moins) elle a une particularité, mais ça ne m'a pas empêchée de l'adorer ! J'ai beaucoup aimée les personnages « gentils » de la seconde partie du roman. Ils ont tous leurs « charme » et je me suis attachée à eux. Au début, je ne voulais pas parler d'Amber mais l'auteur à la capacité de nous faire changer d'avis sur les personnages et c'est pour ce fait que je veux juste ajouter que j'ai éprouvée une certaine compassion pour elle que je n'aurais pas pensé ressentir.



C'est encore une nouvelle sorte de créature qu'on a l'impression de connaître mais finalement pas. J'ai adorée l'originalité de l'auteur par rapport à ça ! Ce monde post-apocalyptique et dystopique est juste génialissime, en même temps un mélange de deux de mes « genres » favoris : Que demander de mieux ? Au niveau de la dystopie, c'est vrai que c'est un peu du déjà vu mais c'est revisiter et il y a plusieurs détails très originales qui ont été rajoutés et qui ont attisé ma curiosité ! C'est bourré d'actions, il y a toujours du mouvement et on est tenu en haleine tout le long ! L'univers est complexe, mais très développés, on a des tonnes de révélations, de mystères et de rebondissements ! Pour ma part, je suis passée par toutes sortes d'émotions : C'est un vrai travail d'artiste ! Et personnellement, je préfère mille fois vivre dans l'After que dans New Hope ! C'est juste horrible comment on peut contrôler les humains par leurs peurs les plus profondes !



Pour ceux qui ne le savent pas, In the after est un diptyque (j'espère ne pas me tromper) et vous ne savez pas comment j'ai hâte de lire la suite ! Si vous hésitez encore, je pense que maintenant le choix est fait : jetez-vous dessus ! Et je vais vous laisser quelques conseils : Rapidité, Silence et Discrétion sont les trois indispensables pour arriver à la fin de votre lecture dans les meilleures conditions... Pour le reste, je vous souhaite beaucoup de chance ! Vite ! Ils arrivent ! « Leur traque ne prendra fin qu'à votre dernier souffle ! »
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Mon avis sur…



L’histoire



Autant vous le dire tout de suite : « In the End » a été un vrai coup de cœur littéraire pour moi « Je l’ai adoré du début à la fin et les pages ont défilé toutes seules.

A nouveau, nous faisons face à trois parties dans ce livre, comme pour le premier. Mais contrairement à « In the After », « In the End » n’a pas de baisse de régime et je l’ai dévoré en quelques petites heures !

Nous nous retrouvons donc à Fort Black, un lieu sombre, déjanté et terrifiant. On a l’impression d’être revenu au temps des gladiateurs, tant la sauvagerie y est présente et le danger omniprésent. Pour survivre à Fort Black, il faut avoir soit des alliés puissants, soit une carrure de Rambo. Heureusement Amy peut compter sur les deux : le très beau Jack ainsi que ses talents de combattante.

Nous découvrons ainsi, en même temps qu’elle l’atmosphère noire de cette prison, ce que j’ai adoré. J’avais l’impression de retrouver l’ambiance apocalyptique de la première partie de « In the After », mais en encore plus ténébreuses car, outre les Floraes, le danger principal ici réside dans les hommes qui s’y trouvent, d’anciens criminels pour la plupart qui ont profité de l’arrivée d’Eux pour prendre un peu de pouvoir. L’expression « L’homme est un loup pour l’homme » prend ici tout son sens !

Les nouveaux personnages de ce tome sont encore une fois bien détaillés et accrocheurs ! Il y a une véritable profondeur en chacun, avec différents caractères et différentes forces. Ma préférence a été pour Jack, le jeune homme, ancien tatoueur devenu l’assistant du Doc, rempli de culpabilité pour la mort de sa jeune sœur. En plus d’être touchant, il était vraiment craquant !

De son côté, Amy a beaucoup changé. Elle demeure toujours aussi forte, bien qu’à présent on connaisse l’unique moyen de pression, son talon d’Achille : Baby. Dans le tome 1, j’avais l’impression que rien ne pouvait l’atteindre, pas même sa propre mort, et ici pourtant je l’ai trouvée plus bien sombre, allant jusqu’à s’interroger, au début du livre, sur la nécessité de demeurer en vie. Elle également terrifiée à l’idée de perdre Baby, le seul être pour lequel elle est prête à tout. Sa propre vie lui importe peu, tout comme celle des autres personnes qu’elle croisera sur son chemin, seule Baby compte.

L’action est constante dans ce deuxième tome, le danger omniprésent et la tension est à son maximum d’un bout à l’autre de « In the End ». Chaque partie a son lot de découvertes et de moments poignants et les pages se tournent d’elles-mêmes.

Enfin, ce tome finit en apothéose et conclut parfaitement cette duologie post-apocalyptique. Les révélations nous permettent de refermer ce livre sans avoir le sentiment que rester sur notre faim, même si on regrette évidemment de dire au revoir à Amy, Baby et tous les autres personnages. On a les réponses que l’on cherchait et ainsi, les aventures d’Amy pourraient parfaitement s’arrêter là. Mais j’espère malgré tout un autre livre lié à cette histoire, avec pourquoi une vision d’avant les Floraes, où l’on verrait leur émergence, et où on pourrait comprendre davantage comment Baby a survécu jusqu’à ce qu’elle tombe sur Amy dans le tome 1. Un « In the Beginning » serait parfait pour saisir toute la profondeur de cette histoire !

Quoi qu’il en soit, un très gros coup de cœur pour moi et je recommande ce second tome, comme le premier, à tout le monde ! J’espère que Lumen le publiera très bientôt en français, car il en vaut vraiment la peine !



L’écriture

Le style de Demitria Lunetta est toujours aussi fluide, envoûtant et agréable que le tome 1. La violence est omniprésente, l’atmosphère étouffantes et sombre. Grâce à sa plume, j’ai pu m’immerger parfaitement dans ce second livre. Demitria Lunetta sait dépeindre les noirceurs de l’être humain avec simplicité, tout comme elle parvient à donner de la lumière à son récit au beau milieu des ténèbres. L’amour est présent dans ce tome-ci, mais elle sait le faire apparaître avec lenteur, sans jamais tomber dans le mièvre, se contentant ainsi de montrer que même dans l'obscurité la plus terrifiante l'espoir demeure.



Symbolique

La colonie de Fort Black est à l’opposé de celle de New Hope, sur bien des points :

New Hope est un lieu lumineux et glacial, où une multitude de règles régissent la communauté, où les femmes sont des machines à enfanter tous les 3 ans au minimum, où la technologie est omniprésente, comme un bon en avant dans le futur, permettant de se prémunir contre les Floraes tout en approfondissant les recherches pour un vaccin. Pour survivre, il faut se reproduire, il faut travailler, et ceux qui ne se fonde pas dans la masse ou qui font trop de vagues sont internés ou bannis.

Avec Fort Black par contre, nous retombons dans l’époque des Gladiateurs, où la violence et le sang dirigent la cité. L’atmosphère est sombre et étouffante. On en sent presque la moiteur sur notre peau alors qu’on lit ce livre. Il n’y a pas de lois à Fort Black et lorsqu’un procès est fait, c’est une véritable parodie de justice, où la sentence est toujours la même : Forcer l’accusé à quitter la prison et envoyer sur lui des Floraes.

Fort Black est un univers d’hommes, où rares sont les femmes qui y vivent. D’ailleurs, les seules qui peuvent y demeurer sont celles qui ont été choisie par un homme qui la protège. Elles font tatouer le prénom de celui qui les détient sur leur peau (comme un fermier va tatouer sa vache) et elles lui appartiennent alors. On leur enlève leur qualité humaine et elles ne sont plus vues que comme des objets dont les hommes peuvent disposer à leur guise.

Pourtant, ce qui m’a frappé dans ce livre, c’est à quel point les femmes (en solitaire ou uniques) sont fortes. Elles survivent, elles se battent, elles défient les hommes et les principaux personnages forts de ce second tome, en dehors de sexy Jack, sont des femmes. J’ai trouvé cette contradiction particulièrement intéressante, et cela donnait une lueur d’espoir au milieu des ténèbres.

Ainsi, New Hope et Fort Black sont en totale opposition sur bien des domaines, mais on découvre au fil de l’histoire que ces deux colonies sont reliées, que des secrets les lies et que l’une ne peut pas exister sans l’autre.

Avec elles, on se rend compte de jusqu’où l’Humain est prêt à aller pour survivre. Que cela soit dans l’obscurité ou dans la lumière, dans le Moyen-Âge ou dans le futur, la violence de l’Homme est partout. En cela, j’ai trouvé que Demitria Lunetta avait dépeint avec ces deux livres une vraie critique de la société, et qu’elle avait parfaitement réussi à représenter ses côtés les plus sombres.





En bref

Un univers sombre et terrifiant, une action omniprésente, une additivité à toute épreuve et une plume fluide et directe font de ce second tome un véritable coup de cœur littéraire !
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Comme les précédentes critiques , mon avis est également très bon ! J ai autant aimé ce second tome que le premier. Le suspense est toujours présent et les actions s'enchaînent.

Amy vit depuis 3 mois dans les environs de Fort Black , cherchant sa nourriture et tuant des monstres, les Floraes qui sont à l origine de l extinction de la majorité de la planète. Puis elle reçoit un appel sur son oreillette de Kay, son amie qui lui annonce que baby , sa soeur de coeur est en danger. Elle doit donc pénétrer Fort black, un endroit où sont regroupés des survivants qui vivent selon la loi du plus fort . Elle fera la connaissance notamment de Jack qui va l aider dans son aventure pendant laquelle elle va découvrir de nouveaux secrets sur l invasion des monstres !

Une dystopie vraiment sympa à lire que je conseille pour ses personnages attachants et son action !

Ça fait du bien de temps en temps des sagas courtes et déjà terminées! J’ai donc enchaîné sur la suite et fin de cette saga. On peut dire que je n’ai pas été déçue par cette suite que j’ai trouvé du même niveau que le premier tome et qui me laissera la même impression assez agréable, sans non plus que ça devienne une saga marquante pour moi.



On retrouve donc Amy et surtout on découvre un nouvel environnement. On est loin de la société codifiée et bien organisée de New Hope. Ici, c’est la loi du plus fort et comme on se trouve dans une prison d’hommes, c’est un univers très macho. J’ai tout de même bien aimé Fort Black et cette ambiance bien particulière. Heureusement que notre héroïne ne se laisse pas faire!



On fait bien sûr la connaissance de nouveaux personnages et je peux vous dire que j’ai de loin préféré le personnage masculin de ce tome. Je l’ai trouvé beaucoup plus intéressant et son histoire avec Amy m’a plus touché même si ce n’est clairement pas au coeur du roman et pour une fois, je n’aurais pas été contre un peu plus de développements sur la relation amoureuse.



Par contre au niveau de l’intrigue, j’ai trouvé que l’histoire avait quelques petites incohérences et il y a certains éléments auxquels j’ai eu du mal à croire comme l’excuse qu’il faut à Amy pour retourner à New Hope alors qu’elle avait dit depuis la fin du premier tome qu’elle y retournerait – apparement elle est plutôt longue à la détente – ou encore le dénouement ou « presque » dénouement j’ai envie de dire. On tombe malheureusement facilement dans quelques clichés de dystopies young adult.



Je vous avoue que j’ai quand même dévoré cette suite car comme pour le tome 1, je voulais savoir comment tout allait se finir et même s’il y a peu de surprises, j’ai passé un bon moment. L’écriture reste agréable et les pages se tournaient toutes seules.
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C' est l 'histoire d 'Amy une fille la seule survivante de la terre , attaquée par les Floraes des monstres verts à l' ouïe ultrasensible .Elle réussit à survivre avec baby une fille mystérieuse ; Amy la prend pour sa sœur .Elle découvre une sorte de vaisseau qui la kidnappe et l'emmène dans une sorte d'établissement.......

Je vous conseille ce roman pour ceux qui aiment la dystopie et la science fiction. Le langage est courant. Ii y a également une suite In the End .

Le pouvoir des cinqs

Lorsque l'impossible se produit, Amy est seule chez elle. Devant sa télévision, elle apprend qu'Ils ont débarqués. Ils ? Des créatures sans pitié, déferlant sur les humains pour les dévorer. On ne sait pas d'où ils viennent, ni comment ils sont arrivés sur Terre... Mais une chose est sûre, mieux vaut éviter de faire du bruit, car au moindre murmure, au moindre bruit de pas, ils accourent aussitôt dans l'espoir de se repaître de chair fraîche. Heureusement, grâce à la paranoïa de ses parents, la maison d'Amy est protégée par une clôture électrique, ce qui lui permet de rester à l'abri. Mais elle doit malgré tout faire des excursions afin de trouver de la nourriture, et peut-être d'autres survivants. C'est comme ça qu'elle rencontre une petite fille, qu'elle va ramener chez elle et surnommer Baby.

Elles vont devenir plus proches que des sœurs, survivre ensemble... Jusqu'au jour où elles vont rencontrer un groupe important de survivants, retranchés dans un endroit apparemment impénétrable. Est-ce la fin de la lutte, et l'espoir de trouver une vie à peu près « normale » ?

In the After était dans ma PAL depuis un an environ, et je n'avais pas encore sauté le pas. Même si Lumen fait des choses sympa, ce n'était jamais des lectures où j'étais conquise à 100 %, sans trop savoir pourquoi. Et là pourtant, avec ce premier tome... Je dois dire que l'alchimie a plutôt bien prit ! Pas un coup de cœur, mais malgré tout un livre que je n'ai pas réussi à lâcher avant la fin, et surtout un livre dont je suis pressée de lire la suite.

(Mon avis complet sur mon blog.)
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Ce livre, bien que long, n'est pas lassant ni décourageant pour les jeunes lecteurs - ce qui d'après moi, est un point positif - Il contient une bonne intrigue, finalement assez classique des œuvres post-apocalyptiques.

L'héroïne, Amy, se retrouve seule au début, chez elle, ses parents morts. Elle apprend très vite à rester discrète, lumière éteinte, et aucun bruits, pour qu'Ils ne la repèrent pas.

Certains codes tacites du roman post-apocalyptiques comme le classique:"ne sortez pas de nuit", sont renversés avec malice, pour le plus grand plaisir des lecteurs et lectrices.



J'ai particulièrement aimé le style d'écriture, bien dosé, mais pas trop pompeux et qui permet une plongée directe dans l'ambiance; Bien que certaines descriptions soient un peu longue.



J'ai été pris de pitié pour l'héroïne et sa "sœur" à l'idée de me retrouver à leur place seul dans un monde de monstres et de cadavres.



Ce livre est excellemment bien écrit, ce qui est, de nos jours, plutôt rare, surtout dans le style post-apocalyptique.

Car malheureusement, dans ce style la plupart des écrivains se concentrent généralement sur le côté "gore" et sur la tension généré, au dépit parfois de la qualité narrative.

J'ai aussi énormément aimé le coups de la double intrigue, perdant le lecteur.



Bravo, et encore Bravo.



"Ils ne sont pas comme dans les films d'horreur [...] Ils vivent de jour, lorsque la luminosité est à son point culminant."

J'ai aimé ce tome, mais beaucoup moins que le premier, qui avait un rythme soutenu et du coup était très prenant!



Même si l'auteur a une belle plume et que ce monde post apocalyptique me plaît, je me suis quelque peu ennuyé, malgré un résumé qui promettait de belles révélations, des actions ... Que j'attends toujours :(



Le livre est pour moi divisé en deux parties. Celle qui se déroule à Fort Black avec de nouveaux personnages et de l'horreur... J'étais contente car cela donnait un nouveau souffle par rapport au premier tome. La seconde partie, est plus dans la continuité du premier tome...



La fin ne m'a pas scotché! j'ai trouvé qu'elle était prévisible! Je dirais même bâclée!



J'ai mis du temps à le lire, alors que j'ai terminé le premier tome en 5 jours!
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On retrouve Amy trois mois après In the After, le premier tome, laissant Baby seule à New Hope, pour tenter de survivre et trouver sa place quelque part. Mais un jour, sans s'y attendre, elle entend Kay dans l'oreillette qu'elle a depuis son départ. Celle-ci l'informe que Baby est en danger et que seul Ken, le frère de Kay, pourrait peut-être l'aider à la sauver. Amy doit donc partir à sa recherche à Fort Black, où elle fera d'étonnantes découvertes...





J'appréhendais de lire ce dernier tome, pas parce que je me méfiais de ce que j'allais pouvoir y trouver mais plutôt parce que c'est la fin et que je n'avais aucune envie de sortir de cette histoire !

Le premier tome nous avait déjà bien servi en surprises mais ce n'est rien comparé à celui-ci ! L'auteure nous émerveille encore une fois avec ses rebondissements, son action permanente et ses révélations chocs. L'intrigue est de plus en plus étoffée, nous faisant tourner les pages avec toujours plus d'envie, sans aucun temps mort.

L'arrivée d'Amy à Fort Black nous amène notre lot de rebondissements et de révélations mais aussi de nouveaux personnages et de règles à suivre. On a tout à découvrir et on y prend beaucoup de plaisir !





Amy est toujours fidèle à elle-même : courageuse, indépendante, intelligente, débrouillarde, loyale... Il lui arrive de beaucoup se méfier ou de douter, mais ça ne l'a rend que plus humaine finalement et appréciable. J'aime toujours autant le lien spécial qu'elle a avec Baby, il rend certains passages très émouvants.

L'apparition d'un nouveau personnage, assez secondaire, est très agréable. Il s'agit de Brenna. Elle ressemble beaucoup à Amy car elle ne se laisse pas faire, dit ce qu'elle pense, n'accepte pas les règles si facilement et préfère être indépendante que de dépendre de quelqu'un même si sa survie est en jeu, contrairement aux autres femmes de Fort Black.

D'autres nouveaux personnages apportent de l'action car ils n'ont pas forcément un bon fond, quand d'autres nous laissent perplexe par rapport à leurs réelles intentions. Il y en a un qui instaure un petit triangle amoureux aussi, mais vraiment très très léger... L'action est toujours au premier plan.





C'est un diptyque post-apocalyptique que je ne peux que recommander tant tout y est : action, rebondissements inattendus, révélations chocs, personnages extrêmement attachants... L'auteure sait nous tenir en haleine, nous émouvoir, et nous faire frissonner du début du premier tome jusqu'à la fin du dernier !
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Tout d’abord, comme le premier tome était un quasi coup de cœur, je ne pouvais qu’attendre avec impatience la suite pour confirmer ou infirmer cet état.

C'est donc avec une hâte grandissante que j'ai entamé ce deuxième tome.



Au départ, après la noirceur de la couverture d'In the After, le lecteur est surpris et suspicieux de voir celle d'In the End. Les couleurs sont revenues.

Le rouge du sang?

Le vert des plantes (Floraes ou Renaissance de la planète?)

Et le blanc du renouveau?

Que de questions déjà sur ce qui nous attend sans même avoir ouvert le livre.



Amy s'est échappée de New Hope en y laissant Baby sous la protection de Rice. Depuis elle subsiste en autarcie à quelques encablures de Fort Douglas, l'ancienne prison devenue colonie de survivants.

Elle s'est créé son nid, littéralement parlant, dans un arbre. Et grâce aux matériels et équipements que lui ont laissé Kay et les gardiens, elle peut se sentir dans une relative sécurité.

Et puis, tout bascule lorsque lors d'un bref contact radio, Kay lui apprend que le Dr Reynolds, ce savant malveillant et cruel, a enlevé Baby et la séquestre pour l'étudier. Il a vu sa marque et sait ce qu'elle signifie.

La seule solution pour Amy est de trouver le frère de Kay, Ken, à Fort Black. Il est, lui aussi chercheur et pour avoir un "spécimen" comme Baby, il serait prêt à la faire s'enfuir de New Hope.

Il semble ainsi être son meilleur espoir de trouver de l’aide…



Amy semble plus sombre dans ce tome. Sa fuite et les épreuves passées l'ont bien éprouvée. Et puis après ces années passées avec Baby, puis à New Hope avec ses habitants, la solitude lui pèse. Je ne sais pas si j'aurai pu tenir seule comme ça.

Le moral est bas et parfois on la sent au bord de l'abandon. Pourtant elle relève la tête et continue.

Avec la nouvelle de la captivité de Baby on sent un vent de rébellion se réveiller. L'ancienne Amy, combative et forte, semble reprendre du poil de la bête.

Elle se dirige donc vers Fort Black à la recherche de Ken, le frère de Kay.

Fort Black était une prison, alors nous ne sommes pas vraiment étonnés de sa description, obscur, haut, dangereux avec ses tourelles et ses barbelés.



On retrouve un peu l'ambiance de la 1ère partie du tome 1. Le côté sombre et dangereux. Du coup mon petit cœur reprend le rythme irrégulier qu'il avait suivi lors de ce passage antérieur. Vous savez, comme lorsque vous regardez un film d'horreur et que la musique prend un ton sinistre et répétitif. Les deux tons qui s'amplifient et deviennent de plus en plus rapide dans les dents de la mer par exemple.



Ma lecture au début d'In the After m'a donné ce côté fébrile qui s'est calmé avec la 2ème partie pour reprendre ensuite à la 3ème. Eh bien ! L’auteur reprend sa recette et nous plonge à nouveau dans le grand bain sans bouée.

La menace insidieuse que fait planer Fort Black avec sa simple description est, à elle seule, déclencheuse de fébrilité.

On y fait aussi la connaissance de différents spécimens de survivants dans le Fort. Et rapidement nous y découvrons que les vindicatifs sont partout. Ici pas de Dr Reynolds mais des brutes épaisses comme Tank pour vous mettre la pression et amplifier ce sentiment d'insécurité que donne déjà le site en lui même.



Au contraire de New Hope où tout n'était que lumière, du moins en apparence, ici tout n'est que noirceur, obscurité.

Et pourtant, là aussi, à l’opposé de New Hope où nous avons découvert la méchanceté du genre humain caché sous un masque d'intégrité, ici nous voyons poindre la lumière dans l'obscurité.

Car là où nous nous attendons à des repris de justice, des personnages antisociaux, la lie de l'humanité, la présence de personnages au grand cœur, restés fidèles à eux même malgré l'adversité va entrouvrir la porte à un espoir.



Que ce soit sa rencontre avec Jacks, le bad boy au grand cœur, Brenna la guerrière ou Pam, nous découvrons que dans ce cloaque subsiste un peu d'humanité.



Ce deuxième tome nous emporte dans l'action de bout en bout. Contrairement au premier, les trois parties nous entraînent à part égale dans le suspens.

Que nous soyons à Fort Black, dans la nature ou à New Hope, nous suivons Amy et ses amis avec fébrilité.

Fébrilité qui parfois me fait dévorer certaines scènes un peu trop vite et m’oblige ainsi à retourner en arrière pour les relire cette fois avec plus de retenue.

Mais cela n'a pu baisser mon enthousiasme à suivre leurs aventures comme une folle.

Et chaque paragraphe, chaque action relue ne fait que m’obliger à en savourer encore plus la substantifique moelle (avis aux anciens et au cercle des poètes disparus )

Les émotions n'en sont ainsi que plus fortes et la tension plus aiguë.

L'auteure a fait fort dans ce deuxième tome pour nous harponner dès le début et ne plus nous lâcher jusqu'à la page finale.



Alors que nous pensons certaines actions finies, un événement vient à l'improviste nous chambouler et la panique alors enfle dans nos cœurs.

Pourquoi?

C'est la question que vous risquez fort de vous poser souvent?



Impatience, inquiétude, colère, surprise et parfois dégoût de l'âme humaine. Vous ne pourrez rester insensible à ce roman.

Toutes les figures y sont représentées: du héros au salaud, de l'innocente à la traîtresse, du lâche au courageux. Nous passons par tous les sentiments humains. Même l'amour est présent et c'est un courant d'air frais dans ce monde de désespoir.



Le premier tome m'avait plu mais laissée un peu sur ma faim avec sa deuxième partie trop calme. Je peux vous assurer qu'il n'en est rien avec ce tome ci. C'est bel et bien un coup de cœur.

Excellent titre ! Voilà qui devrait plaire aux amateurs de sensation forte !

Demitria Lunetta propose un univers extrêmement bien construit, envahi par des créatures cauchemardesques (que l'on nommera zombies pour faire simple) et auxquelles Amy a survécu pendant trois ans. Trois de ans silence partagés avec Baby, une autre enfant rescapée qu'elle a recueillie.

C'est un roman à la fois classique (zombies, survie, totalitarisme des survivants) et extrêmement original (les questions autour du langage, l'évolution des personnages, et la fin !). Mieux, c'est un vrai page-turner, il est très difficile de s'arrêter une fois commencé. Vivement la suite !
Lien : http://encresetcalames.wordp..

Dans l’Avant, Amy est une jeune fille qui mène sa vie d’adolescente plutôt aisée et protégée.

Des parents à la situation professionnelle confortable, une maison plutôt cossue.

Mais un samedi, toute cette abondance prend fin.

Alors qu’Amy est seule chez elle, des Extra-terrestres affamés envahissent les rues et n’ont pour seul but de dévorer chaque humain qu’ils croisent sur leur chemin.

Dotés d’une ouïe et d’une rapidité effarantes, un humain n’a que très peu de chance de survivre s’il n’a pas les codes.

Amy va vite comprendre comment faire et quoi faire pour sa survie et va, en plus, prendre la responsabilité de la petite “Baby”, une fillette de 4 ans qu’elle trouve dans un supermarché lors d’un ravitaillement à la sauvette.

L’Après est une vie de silence, de méfiance.

À qui et à quoi se fier dans un décor post-apocalyptique?



Quand j’ai constaté que nous allions naviguer sur un fond d’individus venus d’une autre planète, j’admets avoir fait la moue.

Figurez-vous que je n’ai pas pu lâcher le livre avant de l’avoir achevé.

Au-delà des Aliens cannibales, il y a un vrai fond notamment sur les relations, la confiance, les faux-semblants aussi.

Trois ans de survie, trois ans à être aux aguets quand soudain, un vaisseau peuplé par tes semblables vient te secourir.

Bienvenue à New Hope.

New Hope, une société de rescapés prometteuse d’un avenir meilleur.

Tout y est réglé, hiérarchisé, pas un seul grain de sable dans l’engrenage.

J’ai beaucoup aimé comprendre la mécanique de New Hope, sa politique, l’endoctrinement et le goût de liberté qui n’en est pas un.

Que cache New Hope?



J’ai adoré ce roman, les personnages sont attachants pour certains et détestables pour d’autres, l’univers post-apocalyptique m’a régalé.

La plume de l’autrice est simple et captivante, une entrée en matière immersive très appréciable.

J’ai eu les réponses aux questions que je me posais notamment à propos des Floraes (les Extra-terrestres) et cette civilisation nouvelle.



Merci à Netgalley pour la découverte.

Dans le monde de “in the after”, si vous faîtes du bruit, vous êtes morts. Si vous allumez une lumière la nuit, vous êtes morts. Si vous sortez en plein jour, vous êtes morts. Si vous ne faites pas attention, vous êtes morts. C’est dans ce nouveau monde ravagé qu’Amy apprend à survivre.



“In the after” est une dystopie adolescente dans la lignée de “labyrinthe” et des autres titres de ce genre. Dans son genre il est réussit. Pour me contenter il m’a manqué un petit quelque chose. Il n’est pas mauvais loin de là, il est même bien écrit, mais il est “lisse”. Je n’ai pas ressenti de tensions comme j’aurai aimé ressentir avec une histoire de survie dans un monde ravagé par des monstres qui nous mangent (sur une idée similaire, le film “sans un bruit” s’en sort mieux).



Je n’ai pas complètement accroché non plus à la seconde partie de “in the after”. C’est là qu’on rejoint “divergente” et les autres et où j’ai légèrement décroché. Le public cible ne doit pas le lâcher par contre (j’ai vieilli, il faut se l’avouer, je ne suis plus le public cible.)



“In the after” : le monde d’après… la fin du monde !

Pendant les premières pages on n’y croit pas vraiment car elle nous explique que les monstres apparus – qu’elle appellera “eux” – ont mangé une grande partie de la population. Ils sont apparus un jour, de nulle part. Ils sont attirés par le bruit et la lumière qui leur annoncent qu’un humain se trouve là, sont rapides et voraces. Ils ont fait tomber toutes les sociétés car ils sont dangereux. Mais pendant les premières semaines elle n’a pas semblé faire attention en mangeant devant la télévision. A ce moment j’avais besoin d’être convaincue.

Et puis elle sort pour chercher de la nourriture et cette fois les choses deviennent concrètes. Elle s’adapte aux nouveaux codes de survie. Cette partie m’a énormément plu ! Elle fera la rencontre de baby, une toute petite fille, encore bébé. Comment a t-elle survécu seule ?

J’ai moins adhéré à la seconde partie qui vient enrichir cet univers. Mais je n’en dirais pas plus (à vous de découvrir.)



Le conseil de la bibliothécaire : “In the after” est à destination des adolescents à partir de 13 ans (environ.) Il leur offrira un monde post-apocalyptique. Il pourra convenir aux jeunes adolescents qui demandent ce genre de roman sans que la romance soit trop présente (j’en parle car de mon côté j’ai eu plusieurs fois cette demande de la part des adolescents de la médiathèque.)
Lien : https://journaldunebibliothe..

Un deuxième tome à la hauteur du premier. Un livre qui se lit tout seul, sans temps mort. Notre héroïne, toujours aussi attachante, découvre la vie dans la communauté de Fort Black, s'y fait autant d'amis que d'ennemis et tente de sauver Baby des griffes du Dr Reynolds qui en a fait son principal cobaye. De nouvelles révélations, de nouvelles menaces et de nouveaux dilemmes. Un bon deuxième tome et des personnages qui vont nous manquer.