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Critiques de Durian Sukegawa (716)
Les délices de Tokyo

Gérant d’une échoppe de dorayaki (pâtisserie japonaise) sans grand succès, Sentarô accepte d’engager Tokue, une vieille dame aux doigts étrangement déformés, car elle détient la recette d’une excellente pâte de haricots rouges, le An. La clientèle se fait alors plus nombreuse, jusqu’à la disparition de la vieille dame qui semble cacher un lourd secret…



Feel-good book célébrant la vie et l’importance de la transmission, ce roman nous plonge dans la société japonaise et son histoire, à travers des personnages attachants et courageux. L’auteur, diplômé de philosophie mais aussi d’une école de pâtisserie, nous offre un roman délicat où poésie et gourmandise vont de pair. On ressort de cette lecture avec un sentiment d’apaisement mais surtout avec l’envie de déguster quelques dorayakis…
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Les délices de Tokyo

un vrai délice doux, raffiné, des personnages qui ont compris que tout nous parle : le vent, les animaux,, les plantes et parfois même les gens.

j'attends la traduction suivante avec impatiente
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Les délices de Tokyo

Durian SUKEGAWA

Les délices de Tokyo



Genre : feel good book, Japon, échoppe, vieille femme, maladie

Aux Editions Albin Michel

Sorti en février 2016 en France



Ma note : 4/5



Résumé :

" Ecouter la voix des haricots " : tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges dont sont fourrés les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait partager.

________________________



C’est lors de la critique de Gérard Collard sur LCI que je me suis précipitée sur ce livre et je l’en remercie.



La couverture :

Rien de bien attirant dans cette couverture à mon sens. Bien qu’elle retrace l’échoppe de Sentarô, et que l’on y devine Wakana, la jeune fille devant, si j’avais du me baser sur cette image pour lire le livre, je ne m’y serai pas fiée : les couleurs, le choix de ce dessin…



Mon avis :

Dès le début le cadre est posé, Sentarô est le gérant de Doraharu, il fait des dorayakis et vivote avec une petite clientèle. Ses gâteaux à la pâte de haricots rouge industrielle ne sont pas terribles, mais c’est le seul métier qu’il sache faire. Sa vie est marquée par des heurts, mais la main tendue du propriétaire de Doraharu lui donne une chance de pouvoir rembourser sa dette.

Sa rencontre avec Tokue va chambouler toutes ses convictions, sa façon de voir le monde, SON monde. Il va rechigner mais il se laissera voguer au rythme de cette vieille dame.



C’est une histoire d’amour de la pâtisserie, une poésie de la vie. C’est la rencontre de 3 êtres, Sentarô, Tokue et la jeune Wakana, souffrant de la vie, qui se trouvent et en perçoivent les méandres plus positifs. On se laisse porter dans cette échoppe, on vit la préparation du an le nez collé à la marmite, la cuisson des pancakes sur la plaque chauffante. Notre regard s’égard sur le cerisier mois après mois, porteur lui aussi d’émotions singulières.



Je ne suis pas ressortie indemne de cette lecture, un feel good book intense, beau, le cycle de la vie qu’il soit effrayant ou fait de bonté.

Merci pour cette histoire magnifique.



Un film a été réalisé. Je ne pense pas le voir de suite, préférant garder en mémoire ce que je viens de vivre dans ce livre.


Lien : http://saginlibrio.over-blog..
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Les délices de Tokyo

On est dans un conte avec cette belle, originale et touchante histoire où deux personnes que tout semble séparer vont se rencontrer autour d’un met et devenir grands amis. Une pépite, à lire !
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Les délices de Tokyo

Chronique de Sabbata :



Un grand merci aux éditions Albin Michel pour cette découverte. Quand on voit la couverture, on sent qu'il y a une certaine douceur, les couleurs sont vives et cela nous donne envie de se plonger dans l'histoire.



Que dire ? Les mots me manquent pour décrire ce roman lu en une journée. Raconter l’histoire ? Il suffit de lire la quatrième de couverture. L’effet que cela produit sur le lecteur, alors ?



Comme dans beaucoup de romans contemporains, il y a peu de personnages. L’action se concentre sur le façonnage de gâteaux à base de pâtes de haricots rouges, ce qui permet d’en apprendre plus sur les protagonistes, leur passé, leur façon de vivre, mais aussi de les découvrir lors de cette activité.



L’auteur a volontairement enlevé ce qui est superflu pour mettre en avant la relation entre Tokue, cette femme âgée et Sentarô, ce fabricant de Dorayaki, un homme pour qui la vie n’a aucune saveur jusqu’à cette fameuse rencontre.



Pour résumer, c’est un beau roman, le genre de livre qui, à la fin, nous donne le sourire et nous fait oublier nos soucis. C’est un bon ouvrage qui nous fait poser les bonnes questions et nous donne l’envie de positiver. Oui, la chronique est très courte, car pour moi, inutile d'en dire plus, il faut simplement lire ce livre. Allez-y les yeux fermés.




Lien : http://www.lireoumourir.com/..
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Les délices de Tokyo

Un pur régal ! Et ce à tout point de vue. Tout d'abord parce qu'à la fin de ce roman, vous n'aurez qu'une envie : aller déguster des dorayaki ! Et ensuite parce que ce que vous n'aurez plus envie de lâcher le roman une fois commencé ou presque... car finalement, plus la fin approche plus on lit lentement : les personnages sont si attachants qu'on ne veut pas les quitter... Un texte magnifique, une histoire émouvante, poétique... A lire absolument !
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Les délices de Tokyo

Ce roman à la couverture et au titre emprunts d'innocence et de légèreté s'ouvre sans surprise sur des évocations gourmandes. Les descriptions de saveurs, d'odeurs et de textures sont justes et éveillent les sens avec subtilité.

Mais cette première partie toute japonaise : contemplative en ne laissant aucun détail de côté, laisse place à une intrigue bien plus profonde et touchante. Et d'un seul coup, vous voilà plongé dans une toute autre histoire.



J'ai été transportée par ce roman. Son intensité dramatique changeante m'a prise au piège car je m'attendais à une histoire bien plus contemplative et uniquement centrée sur la cuisine et la transmission. C'est une belle histoire, qui enseigne et bouleverse à la fois.
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Les délices de Tokyo

Immersion sucrée au Japon



Ce livre m'a donné l'impression de voyager en cette période où l'on est un peu bloqué chez soi... une jolie découverte toute en douceur. On ressort de ce livre avec une furieuse envie de goûter ces fameux Doryakis et émus d'avoir pu partager cette histoire avec ces personnages. A découvrir donc si vous souhaitez vous laisser emporter par un roman empreint de douceur, d'amitiés surprenantes, de renouveau et de résilience.
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L'enfant et l'oiseau

Après avoir lu Les délices de Tokyo et le rêve de Ryosuke, dont j’avais apprécié la poésie et la délicatesse, j’avoue que j’avais certaines attentes en entamant la lecture du roman de Durian Sukegawa.



Côté atmosphère, on est loin de l’optimisme qui perçait dans les deux autres romans. Le ton est sombre, voire désespéré. La vie d’un corbeau en milieu urbain n’a rien de réjouissant et Johnson, corbeau de son état, personnage principal, en est le parfait exemple. Encore incapable de voler, le voici éjecté du nid par un prédateur affamé. Recueilli par Ritsuko, soigné par son fils Yôichi, il est vite obligé de fuir les Hommes. Confronté à la violence de ses congénères, il sera sauvé par Rayon vert avec laquelle il fonde une famille. Mais le bonheur est de courte durée et les hommes, encore eux, y mettront fin dans le sang, ce qui ne sera pas sans conséquence. Parallèlement, nous suivons Ritsuko, mère divorcée qui élève seule son fils Yôichi. Et pour eux, non plus, la vie n’est pas rose.



Nous vivons l’histoire avant tout à travers les yeux de Johnson, et même si, l’auteur lui prête souvent des sentiments finalement assez humains, sa « voix » nous fait passer par diverses émotions (quand même plutôt négatives, il faut l'avouer) : colère, tristesse, etc. Dès qu’une légère lueur d’espoir perce, c’est pour s’évanouir aussitôt dans un désespoir encore plus profond. Il est donc difficile de ressentir des émotions positives et pourtant l’amitié improbable entre un corbeau, Johnson, et Yôichi, un jeune garçon un peu perdu, est la lumière qui illumine le roman de bout en bout, même s’il faut bien l’avouer, elle est bien ténue.



Faut-il y voir une lueur d’espoir pour l’Homme qui peut encore retrouver ce lien avec la nature qu’il s’obstine à nier et à repousser ?
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Les délices de Tokyo

le An, c'est une pâte de haricot Azuki qui, entre deux pancakes, compose une pâtisserie japonaise, le Dorayaki. Sentarô travail dans une petite boutique qui fait ces pâtisseries, sans grande passion. Mais un jour, une vieille femme, aux mains mystérieusement déformées, propose sa candidature.



Un roman qui m'a beaucoup rappelé le Restaurant de l'Amour Retrouvé d'Ito Ogawa, par sa sensibilité et ses thématiques (maladie, gastronomie...).

Il m'a bouleversé par sa tendresse ! L'écriture y est poétique et simple, comme les personnages qui nous touche au plus profond du coeur.

Quand l'auteur nous parle du An, c'est de l'univers dont il est question, et à travers un sujet sensible (dont je n'en dirais pas plus), on discerne l'espoir et la beauté du quotidien.

C'est fou (et tellement rare) de trouver un roman si puissant et si simple à la fois qu'à la fin, une fois le livre fermé, on reste les yeux clos, emplis de larmes heureuses et on attend, on laisse l'histoire nous pénétrer et laisser passer le doux frisson qui démarre dans la nuque et descend le long du dos en réchauffant tout le corps.



Fermons un instant les yeux et écoutons ! Ecoutons ce que ce livre (et tout les autres) a à nous raconter.



Chaque moments est aussi doux et sucré qu'une bouché de pâte de haricot Azuki.
Lien : https://leahurie.blogspot.co..
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L'enfant et l'oiseau

Le roman se divise en deux parties : Johnson recueilli par Yôichi, et Johnson qui va s’envoler et vivre sa vie. La première partie est plutôt agréable à lire : on suit la relation qui se fortifie entre l’enfant et l’oiseau, c’est chouette. Mais une fois que Johnson s’envole, le roman devient rapidement lassant. Les chapitres sont très courts donc la lecture est aisée, mais je ne me suis pas du tout intéressé à ce que devenait le corbeau, malgré la fin qui se veut choquante, et c’est bien dommage.
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Les délices de Tokyo

C’est un petit livre qui se lit rapidement. L’histoire est une belle leçon de vie. Une vieille dame qui veut seulement partager son savoir faire à un jeune homme. Sentarô qui avait des préjugés sur la vieille dame, va apprendre à l’écouter et à la connaître. Il va être là pour elle quand elle en aura besoin, comme elle elle a été là quand lui en avait besoin lorsque que son commerce de Dorayaki n’allait pas bien.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le rêve de Ryôsuke

Un roman où les choix de Ryôsuke sont conduits par le passé et l'héritage familial.

Je peux comprendre qu'on ne puisse pas accrocher au roman mais pour ma part, je me suis laissée emporter par ce récit et par cette quête de retrouver du sens à sa vie.

De beaux messages sont en toile de fond tels que le respect des autres, des traditions, de la cause animale et la volonté de croire en ses rêves
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Les délices de Tokyo

LES DELICES DE TOKYO, Durian SUKEGAWA, Ed.Livre de poche 2017



SYNOPSIS : Sentarô n’est pas cuisinier par passion mais par obligation. Il a une dette à rembourser. Ses dorayakis sont sans saveur et ont peu de succès. Quand une vieille femme aux doigts difformes s’invitent dans sa boutique, sa vie commence à changer.



QUE CE PETIT LIVRE EST JOLI ! Ce livre parle avec une délicatesse toute japonaise de l’art culinaire, de la confiance en soi, de l’amitié, mais aussi du sectarisme de la société japonaise.

Très intéressant. 4/5

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Le rêve de Ryôsuke

Je l'admets, ce roman gastronomique m'a donné faim. Il m'a donné envie de déguster des sashimis préparés avec des poissons aux noms exotiques et inconnus, fraîchement pêchés, et du fromage de chèvre, le vrai, l'authentique, celui qui provient directement du producteur local. Je n'imaginais d'ailleurs pas la complexité que requérait la fabrication de ce fromage, bien que me doutant qu'à l'instar de toute production artisanale, que cela induisait de la patience et une dextérité certaine.

Ryôsuke nous plonge dans ce monde. Acharné et accroché à ce rêve, à l'origine celui de son défunt père, il se lance à corps perdu dans cette quête. Ses pas le mènent sur une petite île aux habitants austères et aux coutumes locales bien ancrées. C'est donc assez vite qu'il se heurte à leur animosité, en plus des autres obstacles qui se dressent au travers de son chemin : le climat, la flore, l'inexpérience... Mais voilà, l'aboutissement de ce rêve devient essentiel, primordial, cela devient l'accomplissement de sa vie, sa raison de tenir encore debout. Ryôsuke n'a que la trentaine, mais sans famille et suicidaire, il peine à trouver sa place, tout glisse sur lui sans qu'il ne parvienne à s'accrocher, il semble voir le monde a travers un voile, fade et mélancolique...

Cette tranche de vie nous conte les espoirs et le mal être de Ryôsuke, sa détermination à réaliser ce rêve improbable qui se mue en obstination, au point de prendre tous les risques. Le hasard des rencontres qui bouleversent une vie, que ce soit une main tendue, un coup de poing bien senti, ou le coup de tête salvateur d'une chèvre alors que tout va mal.



La plume de l'auteur est empreinte de cette mélancolie, de ce lyrisme propre à la littérature japonaise. Ce n'est pas joyeux, ni léger, on sent tout l'aspect dramatique de cette quête intime et introspective que mène Ryôsuke. Et si, en premier lieu, ce voyage sur cette île inhospitalière et abrupte était motivé par l'envie de rencontrer l'homme avec qui sa mère correspondait depuis des années, ce même homme qui fût le collaborateur et le meilleur ami de son père, ce n'est plus qu'un pâle prétexte sans importance face à l'ampleur de ce rêve insensé...
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L'enfant et l'oiseau

Encore un livre très sensible qui nous est offert par Durian Sukegawa. Nous y retrouvons toujours cette plume poétique, cette douceur malgré la cruauté des choses décrites que j'avais déjà pu trouver dans Les délices de Tokyo. J'ai beaucoup aimé le message que le roman nous fait passer, l'incroyable amitié qui a unit Yoichi et le corbeau, l'importance du respect des êtres vivants, quels qu'ils sont. J'ai également été touchée par la critique de la société japonaise, la difficulté de survivre pour une mère seule, malgré ces deux emplois, la mise à l'écart de certaines personnes (et oiseau aussi ici) par la société, le sentiment d'être démuni, livré à soi-même, il y a eu également l'évocation de mauvais traitements infligés par des hommes.

Mais pour moi, ce livre est également un hymne à l'amour, les sentiments étant décrits de manière très juste et très sensible. Hymne à l'amour, hymne à l'amitié et hymne à la nature.
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Les délices de Tokyo

Histoire qui se lit d'une traite, tant elle est légère et très agréable à lire! L'histoire peut sembler "simpliste" à première vue, mais c'est sans compter la touche japonaise qui étoffe cette intrigue. Les détails, les ressentis, l'air poétique de cet œuvre nous procurent une "pause". Je le recommande.
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Les délices de Tokyo

J'avoue : j'ai été déçue. Je pense que j'attendais trop de ce livre. J'aime beaucoup l'esprit des contes japonais notamment dans les dessins animés et là, la magie n'a pas opéré. Ou je ne l'ai pas lu au bon moment, parfois cela arrive. Je vais quand même essayer de regarder le film.
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Les délices de Tokyo

Avez-vous déjà goûté des « dorayaki » ? Ce sont un peu des petits pancakes, fourrés de pâte de haricots rouges. Sentarô les fait et les vend dans une petite boutique de Tokyo, et même si ce ne sont pas les meilleurs du Japon, ça ne lui demande pas trop de temps grâce à une fabrication industrielle. Cette boutique, il en est le gérant grâce à un homme qui lui a donné sa chance, après un court séjour en prison.

Un jour, il remarque la présence d'une vieille dame près de la boutique, qui le supplie pour travailler chez lui, même pour un salaire de misère. Rebuté au début par ses doigts crochus, il finit par lui donner sa chance… et ne le regrette pas. Madame Yoshii semble avoir une relation particulière avec la nourriture, et ses dorayaki deviennent les meilleurs du quartier. Mais au Japon, les traditions et les croyances perdurent...

Peu à peu, ces deux personnes, bousculés par la vie, vont se lier d'amitié, et Sentarô va apprendre le lourd secret de Madame Yoshii…. Mais chut…. A défaut de les goûter, apprenez l'art de les faire… Et on peut presque les sentir. Un joli roman, une belle écriture, et un hommage à la pâtisserie… et à l'amitié et à la toléance.

Ce roman a inspiré le film de Naomi Kawase, adapté au cinéma en 2015.
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Les délices de Tokyo

L'auteur nous transporte dans un univers doux, poétique et plein de délicatesse. L'histoire des personnages, notamment celle de Tokue est très touchante. Les liens que vont nouer Sentarô et Tokue sont forts. On est vraiment en immersion dans la culture japonaise, que ce soit au niveau de la cuisine ou des relations très prudes que les personnes ont entre eux. L'auteur aborde des sujets importants tels que l'exclusion, la solitude, la souffrance physique et morale avec une histoire simple mais efficace. J'ai pu enrichir ma connaissance en matière de cuisine japonaise dont je ne connaissais franchement pas grand chose, et c'est ce que j'aime dans la lecture: pouvoir enrichir ma culture tout en me plongeant dans une fiction.



La plume est fluide, sans chichi. Ca se lit très rapidement et facilement. Je recommande ce livre à tous les amateurs de poésie et de cuisine japonaise ! Il existe une adaptation cinématographique de ce livre, réalisé par Naomi Kawase en 2016.
Lien : https://littlemeggy.wordpres..
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