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Critiques de Elisabeth Quin (68)
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Le détail qui tue : Petit précis de style de Ma..

Le détail qui tue : pas tant que ça quand c'est Elisabeth Quin qui s'y colle.

Enfin ils sont deux avec François Armanet à chercher le détail et je ne sais lequel des deux rédige la note d'intention. Je penche pour Elisabeth car je retrouve son style, ses mots, son humour, sa finesse et son intelligence pétillante.

J'ai découvert par hasard ce livre qui vient de sortir dans une nouvelle version remasterisée, la précédente étant épuisée. C'est un beau gros livre, de belle qualité et il n'en fallait pas moins pour apprécier le choix très personnel des photos du panthéon de nos deux auteurs.

Il semblerait que c'est au hasard ou au coup de cœur, car il n'y a pas de classement ni par ordre alphabétique, ni par âge, ni par qualité, que l'on doit cet assemblage et en plus la plupart des photos sont rares ce qui, par les temps qui courent et traversent Internet, est presque une anomalie.

Un beau cadeau à faire pour les amateurs de mode, d’humour, d’intelligence, à lire tranquillement dans son coin et revisiter ou tout simplement découvrir ce qui fait le charme et distingue certains personnages du commun des mortels, avec quelque fois des petits riens qui deviennent des phénomènes de mode.

Livre brillant dans tous les sens du terme !

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La nuit se lève

A travers ce récit très intime, E.Quin pointe majestueusement du doigt des questionnements et des situations auxquelles nous ferions face si un jour on apprenait que notre vue nous file entre les doigts.

C'est un récit très touchant. Les mots s'enchainent d'une façon très poétique. Si l'on traverse cette épreuve avec l'autrice, on prend conscience de ce sens à chérir, mais aussi comment la vie prendrait une forme nouvelle sans lui.
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Tu n'es pas la fille de ta mère

C'est un roman sur l'adoption très intéressant à lire.

Elisabeth Quin, célèbre journaliste, nous raconte sans tricher l'adoption de sa fille, une petite cambodgienne. C'est un récit poignant mais l'auteure a beaucoup d'humour et nous le fait partager.....j'ai bien aimé aussi comment elle nous emmenait dans son passé, un passé qui vient sans cesse bousculer non pas le présent ....mais l'avenir.

Enfin, c'est surtout un bel hommage à l'Amour d'une mère pour son enfant.



lu en 2006.
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La nuit se lève

Livre plutôt agréable a lire, un peu fouillis et quelques redondances.

Le chemin vers la cécité, ou pas...

Que ferait on dans son cas, tout laisser tomber ou avancer comme quelques cas décrit
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La nuit se lève

Elisabeth Quin livre ici ses réflexions après avoir compris que son glaucome la condamnait fatalement à une nuit imminente. Humour grinçant, réalisme, effort d’acceptation : la journaliste se met à nu et montre sa peur.

Suite de digressions, citations et références à de célèbres personnalités aveugles.

Je n’ai pas réussi à m’y intéresser et j’avoue avoir lu la seconde moitié en diagonale.

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Fantaisies bucoliques

Ouvrage collectif léger, tranquille et paisible. Ls textes sont essentiellement des monologues très courts. Une galerie de portraits toute en légèreté et en humour. Pas de perle cachée, certes, mais un bon et agréable moment de lecture naturellement décalée.
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La Peau dure

J'avoue ne pas bien savoir ce que j'ai lu !!!! Curieuse histoire sans intérêt avec de curieux personnages, j'utilise le mot "curieux" non pas dans le sens de curiosité, d'envie de comprendre, non il n'y a rien à comprendre, juste à suivre les turpitudes d'une donzelle qui a le feu au c.., plutôt prétentieuse, sans intérêt et d'une totale inconscience. Elle semble croire que son style de vie est ce qu'il y a de mieux, de plus branché.

Quel ennui, mais quel ennui !

J'attendais vraiment mieux d'Elisabeth Quin, je la trouve mieux à l'oral qu'à l'écrit. Je suis en train de lire son Bel Ami Gérald Nanty, sur le swinging Parisss qui me semble ne pas être mieux, à suivre.....
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La nuit se lève

J'avais entendu des rumeurs autour de cette présentatrice d'une émission que j'aime bien, j'ai découvert une écrivaine. Du courage devant l'adversité : comment vivre en devenant aveugle ? Des espoirs inquiets devant les discours médicaux. Mais surtout la légèreté et l'humour parfois noir enrobent de nombreuses réflexions intéressantes.
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La nuit se lève

Un livre que l'on sent sincère et en même temps, il m'a un peu déçu, sans doute parce que j'aime bien l'auteure.

J'accompagne régulièrement aux Quinze-Vingts une proche également atteinte d'un double glaucome. Laquelle, contrairement à Elisabeth Quin, n'a pas eu la chance de s'en tirer avec une indolore intervention au laser. C'est lourd.

Le livre explore trois pistes, mais s'arrête en chemin. La plus utile me semble t'il serait le côté médical, insidieux de la maladie. Quelques phrases justes sur la position respective du patient et du médecin sachant. Sur la différence de traitement entre ville et campagne. (Un petit mot lucide sur le privilège d'avoir été opérée par le pr. Beaudouin en personne, eût été le bienvenu).

Ensuite, les digressions philosophiques éparpillées et au final banales, parmi une série de références culturelles qui m'ont paru fourre-tout.

Et pour finir, l'évolution psychologique du malade vis-à-vis de sa maladie. Ici elle se résume à l'angoisse de voir son compagnon quitter une femme aveugle. Je m'attendais à mieux.

Restent quelques jolies formules qui soulignent la distance, la politesse du désespoir, comme celle-ci: "regarder la maladie en fa(r)ce".



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La nuit se lève

Un livre intrigant qui semble à l'image d'Elisabeth Quin. A l'écran comme dans ses lignes, on aimerait la connaître davantage, briser un vernis qui semble retenir des merveilles qui ne veulent pas se révéler. L'attraction est d'autant plus forte. La déception à sa hauteur. Elle le dit elle-même ce livre était une tentative de se mettre à nue, sans complaisance, pour exorciser cette maladie qui la ronge. Sans cesse elle va nous faire naviguer entre une intimité dévoilée et une façade journalistique qui instruit, dissèque, s'informe pour mieux comprendre, avec une froide intégrité. N'en ressortez pas déçu. Finalement nous aurons appris, dans ce mouvement de flux et reflux qu'elle était bien cette femme là, celle qui séduit tant mais qui ne vous laissera jamais l'approcher.
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La nuit se lève

l'auteure nous parle de sa cécité en cours avec une certaine poésie et beaucoup de délicatesse,mais trop de citations m'ont lassées .
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La nuit se lève

Vraiment un livre drôle et distancié. A la lecture, on entend et on regarde l'auteure comme elle se donne à voir, une énergie et un humour communicatif !
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La nuit se lève

Un livre sincère sur la maladie qui frappe l’auteur avec quelques beaux passages, parfois des citations.
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La nuit se lève

L'animatrice-journaliste de 28 Minutes se raconte à nouveau dans La nuit se lève, récit à la fois piquant et émouvant de sa lutte contre un glaucome. Comme elle, sa plume ne manque pas de style.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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La nuit se lève

Ce livre est aussi un acte de magie blanche, une prière au ciel pour que le pire n'advienne pas. Et un cadeau au lecteur, paradoxal comme son beau titre : La nuit se lève.
Lien : https://bibliobs.nouvelobs.c..
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Tu n'es pas la fille de ta mère

Emotion et crudité des sentiments d’une femme à la quête de sa maternité. Très beau et bien écrit.
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Tu n'es pas la fille de ta mère

C'est assez facile à lire, quelques heures suffisent. L'auteure raconte l'adoption de sa fille, les jours avant la rencontre, le moment de celle-ci et les jours d'après.

C'est sensible, lucide, questionnant; Elisabeth Quin ne s'épargne pas dans sa quête de l'enfant. Je lui reprocherai peut-être d'être trop parisienne et donc caricaturale par moment.
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Tu n'es pas la fille de ta mère

D'abord agacé par la vision très "bourge parisienne" de la narratrice, mon avis s'est un peu nuancé par la suite. Notamment parce que l'auteure est transparente. Elle ne se cache pas des choix qu'elle a pu faire sur la couleur de peau de l'enfant, de ce que ça lui a coûté en argent, de ce qui l'a amenée à l'adoption. Et puis, l'histoire avançant, je me suis attaché à l'humanité du personnage.



Mais dans l'ensemble, c'est très brouillon, décousu. J'ai parfois eu l'impression d'être en train de lire des notes. L'auteure nous gave de références culturelles qui n'apportent pas grand chose. L'évocation de son passé lointain ou semi-lointain se rattache avec peine avec le récit principal. Le style est souvent pompeux. On utilise des mots compliqués pour se faire plaisir. Les personnages comme Bertrand Tavernier, d'Ormesson, Tesson ne sont pas introduits ou trop peu. Tout le monde est censé les connaître j'imagine.

La plupart du temps, je n'ai rien compris aux démarches administratives décrites (peut-être parce que je m'en fiche un peu).

Pour moi, le livre aurait pu être débarrassé des flashbacks, des histoires familiales, des excursions touristiques et des coucheries. On aurait eu un livre de 40 pages.



Dans le fond, je ne comprends pas qu'un éditeur imprime ce genre de livre. D'ailleurs, Grasset, il n'y a eu aucune relecture ? Aucune demande de réécriture ?
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La nuit se lève

« La vue va de soi, jusqu’au jour où quelque chose se détraque dans ce petit cosmos conjonctif et moléculaire de sept grammes, objet parfait et miraculeux, nécessitant si peu d’entretien qu’on ne pense jamais à lui…». Élisabeth Quin découvre que son œil est malade et qu’un glaucome altère, pollue, opacifie tout ce qu’elle regarde. Elle risque de perdre la vue. Alors commence le combat contre l’angoisse et la maladie, nuits froissées, peur de l’aube, fragilité de cet œil soudain trempé de collyres, dilaté, examiné, observateur observé… [extrait de la quatrième de couverture] Dans ce court récit, la journaliste et écrivaine Élisabeth Quin raconte sa maladie, celle qui risque de lui coûter la vue. Le texte est composé de chapitres courts, ce qui rapproche le livre d’un recueil de nouvelles. Si le sujet est difficile, les pointes d’humour et la sagesse d’Elisabeth Quin font de la lecture de La Nuit se lève un moment de plaisir.
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La nuit se lève

C’est un livre original que j’ai terminé : pas un roman mais un récit. Et totalement autobiographique, puisqu’il s’agit de « La nuit se lève » dans lequel la journaliste Élisabeth Quin ( 28 minutes sur Arte ) raconte sa vie depuis qu’on lui a diagnostiqué un glaucome.

Dit comme ça, on pourrait penser que c’est plutôt….glauque et pas franchement folichon. Ce n’est pas le cas : déjà, parce qu’Elisabeth Quin est aussi brillante à l’écrit qu’à l’oral. Si ça en énerve certains ( comme d’habitude quand une femme se montre intelligente, belle, cultivée, etc… on connaît le refrain….), cela suscite mon admiration au contraire. J’ai particulièrement apprécié son humour, ses tournures de phrases. Il y a aussi beaucoup d’émotion : que faire quand on sait que la cécité est certainement inévitable ? Comment faire alors lorsqu’on aime lire ? Voir ? Apprécier la beauté visuelle?

Elle raconte aussi son parcours médical, les effets indésirables des médicaments, la possibilité d’une opération, sa peur face à cette nuit qui se lève.

On y trouve aussi la figure de l’aveugle, dans l’art, dans la littérature : des peintres, des artistes, le lien qu’elle cherche à tisser avec ces gens, des compagnons de non-voyance, en quelque sorte.



Petit livre truffé d’anecdotes, bijou d’écriture, sensible et plein d’auto-dérision, « La nuit se lève » vaut vraiment la peine d’être lu.
Lien : https://imaladybutterfly.wor..
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