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Citations de Emma Green (1611)


C'est toujours la même chose. C'est ce que la société attend des gens différents : qu'on se fasse oublier, qu'on prenne moins de place, qu'on s'écrase, qu'on s'excuse quand on dérange. Moi, je demande juste du respect et le droit d'exister telle que je suis. Mais ça a l'air impossible, dans cette vie.
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Être différent, ça demande du cran.
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- Tu t'es faite sexy en espérant croiser un bel étranger?
Disons un prince... sourit insolemment le titan en reculant jusqu'à être dos au mur.
- Un prince ou un autre, peu importe tant qu'il me trouble en un seul regard. Vert, de préférence... le provoqué-je à mon tour.
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Tout chez lui n’est que virilité, sex-appeal, sensualité.
Tout chez moi n’est que désir de son corps tout entier.
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Mr X recherche une nourrice à temps plein pour prendre en charge sa fille de 2 ans.
Cette mission consistera à veiller méticuleusement sur l’enfant, sa santé, sa sécurité et son bien-être.
Expérience significative exigée.
Lieu : Mayfair, Londres.
Rémunération : attractive, en fonction du profil.
Personnes irresponsables, susceptibles ou indiscrètes, s’abstenir.
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Parfois, même si c'est dur à admettre, on a juste besoin de quelqu'un d'autre...
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Je veux juste être, vivre, compter, aussi imparfaite que je sois. Avoir les mêmes droits que tout le monde, ne pas avoir à m'excuser d'être « comme ça », de prendre un peu plus de place et de respirer un peu plus fort que les autres. Je n'ai pas choisi de vivre dans ce corps, mais à force de vouloir en changer, j'ai cru mourir. Alors j'ai décidé de vivre avec... et j'ai trouvé la force de me battre. C'est ça qui m'a donné l'envie de me battre pour les autres aussi. À force d'humiliations, je me suis forgée une âme de guerrière.
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j’ai compris que la peur paralyse et n’empêche pas le danger
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Je lui prends l'écrin des mains, en sort délicatement la montre au bracelet gris, à l'intérieur duquel je peux lire ''Cent Facettes de Mrs Vénus''.Mon coeur fait un premier bond dans ma poitrine.Je me jette sur le bracelet doré, puis le rosé, qui affichent les gravures ''Call me Princess'' et '' Emma + Soren''.Mon coeur s'emballe, s'affole. Je mets quelques secondes à percuter : les titres de mes trois précédents romans, revisité par mon prince follement charmant.

- Tu n'avais pas besoin de me le prouver, lui murmuré-je. Notre conte de fées surpasse tout ce que j'ai jamais écrit... Tout ce que je n'aurais jamais osé imaginer.
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que ma passion pour toi allait me rendre folle et causer ma perte, mais j'ai enfin compris.Tu me rends vivante Gabriel, tu me fais vibrer, tu me fais aimer, tu me fais voyager, respirer,rire, fantasmer,jouir,espérer.Je n'aime que toi, pour toujours. Je t'appartiens!
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Si les hommes ont un problème avec le consentement, ce n'est certainement pas la faute des femmes. S'il suffit d'avoir le dessus pour prendre ce qu'on désire, alors on ne se comporte pas en humains mais en animaux. Aucun type ne devrait jamais penser qu'il a des droits sur les corps des autres. Ni les beaux ni les moches, ni les puissants ni les paumés, ni les brutes ni les manipulateurs. Aucun titre, aucun job, aucun talent, aucune hiérarchie ni aucune circonstance atténuante ne devrait justifier ou permettre ça.
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- Sawyer, le spectacle des frères Quinn est terminé, circulez, y a rien à voir, lâche-t-il en faisant le tour du comptoir.
- J'essayais juste de reprendre mon souffle après t'avoir vu debout si tôt le matin.
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Vadim, piqué au vif, bascule sa chaise vers l'avant, fait claquer bruyamment les pieds métalliques sur le carrelage et se lève enfin pour se diriger d'un pas traînant vers le premier rang, sans quitter le prof du regard. Aucun d'eux n'est décidé à baisser les yeux. Et je préférerais disparaître qu'être le trophée de ce combat de coqs perdu d'avance. Mais Abrams abandonne le premier, sûrement pressé de sortir pour aller fumer. Vadim s'affale en soupirant sur la chaise libre à côté de moi et s'enfonce à nouveau dans son Perfecto au cuir usé. Un silence pesant s'installe, empli d'électricité. Je cherche une phrase intelligente à prononcer, mais je suis absorbée par son profil à la fois enfantin et viril.La finesse de ses traits, et le grain de sa peau claire hâlée par l'été californien, son nez droit et légèrement arrogant, ses lèvres pleine délicatement ourlées sauf à l'endroit où une petite cicatrice lui fendille la bouche, et cette masse de cheveux bruns ondulés en bataille, qui contraste avec son visage d'ange. Sous ses longs cils bruns, ses yeux toujours dans le vagues sont d'un gris si clair qu'ils semblent parfois transparents. Mais ils sont sombres quand il les tourne vers moi, les sourcils froncés par la contrariété.
_ Bon, la Française, j'ai fait le premier pas, c'est ton tour.
_ Moi, c'est Alma.
_ Je sais très bien comment tu t'appelles, Alma Lancaster.
_ Alors je préférerais que tu utilises mon prénom, Vadim Arcadi.
_ Et moi, je préférerais bosser seul. Mais on n'a pas toujours ce qu'on veut dans la vie. Ah oui, sauf toi peut-être, Lancaster, me lance-t-il en prenant un air pincé en imitant l'accent de la reine d’Angleterre.
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Je ne peux plus supporter ces violences, ces injustices, ces préjugés devenus banals et tout le monde qui accepte en fermant les yeux. Pourquoi c'est moi qui passe pour une chieuse, d'ailleurs ? Pour être « normale », bien comme il faut et rentrer dans de jolies petites cases, je devrais tout accepter et me taire ? Dans ce cas-là, Rio, je préfère être anormale, mal vue, pointée de doigt. Je préfère passer pour une tarée, une emmerdeuse, une nuisible plutôt que rester la complice de ce système qui permet à un type connu et friqué de violer impunément son assistant
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- Mais vous voulez quoi à la fin ? Que je me roule en boule et que je pleure ? C’est moi la victime et c’est moi qu’on accule ! De toute façon, on me jugeait déjà bien avant cette vidéo ! On me traitait déjà comme un cas à part, comme une personne incontrôlable et hors norme. Et si c’est ce que je suis, alors laissez-moi être moi, merde !
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C’est fou comme l’être humain aime l’effet de meute, comme il a besoin du bruit des autres pour se mettre à beugler à son tour, comme il se jette à corps perdu sur le premier champ de bataille sanglant qu’il trouve. Il a suffit qu’un seul de ces sauvages se lance pour que tous les autres trouvent tout à coup du courage.
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-Sois ma chose, Amande. Sois mon amie, mon amour, mon amante. Sois tout pour moi . Je serai tout pour toi.
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Il s’installe plus confortablement
sur son fauteuil en cuir, pose
nonchalamment la cheville droite
sur son genou gauche et étend les
bras derrière lui.

Si c’est une opération
séduction, c’est réussi…
Ignore-le. Regarde ta feuille,
nympho !
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Pendant que j’échangeais ces mails fiévreux avec mon amant, Ferdinand m’a jointe sur ma ligne et m’a demandée dans son bureau. Immédiatement. J’essaie de rassembler mes esprits pour parer à toute question sur le dîner des créateurs ou les prochains événements. Je bouillonne intérieurement et je prie seulement pour que ce désir ardent ne se lise par sur mon visage.

– Bonjour Amandine, entrez. Très jolie jupe crayon. Comment allez-vous ce matin ?
– Très bien, merci.
– Je vois ça, vous avez une mine radieuse. Quoiqu’on puisse penser que vous avez le feu aux joues… Ce n’est quand même pas moi qui vous mets dans cet état ?
– Non, non… C’est… La chaleur. Ce mois d’août est caniculaire !
– Ah bon. Pourtant, la clim est à fond. Vous devriez aller vous rafraîchir un peu.
– C’est tout ?
– Oui. Juste un petit rappel : la messagerie est à usage strictement professionnel.
– Pardon ? !
– Et pour votre information, l’ascenseur est équipé d’une caméra.
– Ferdinand, je…
– Vous n’allez rien trouver pour justifier ça, je pense qu’il vaut mieux que vous n’essayiez pas. Et ça m’a fait une pause récréative. Distrayant, vraiment, très intéressant... Filez, ça restera entre vous et moi.
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On croit qu’on ne peut pas… mais on change d’avis, parfois.
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