AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Eva Delambre (139)


Je regardai mon maître, l’esprit encore troublé par tout ce qui s’était passé durant ce week-end complètement insolite. Peu de gens auraient pu me comprendre, mais je l’aimais de plus en plus. J’aimais sa façon de m’obliger à dépasser mes limites, à me pousser toujours plus loin, à me remettre en question sur ce que je voulais. Avec lui, je n’avais aucun répit, aucune certitude sur ce que j’allais vivre le lendemain, il n’y avait ni routine, ni ennui.
Commenter  J’apprécie          260
Ce n'était pas seulement notre façon de faire l'amour que j'aimais, ni le rôle qu'il me faisait jouer, c'était lui, entièrement.
Je changeai de place et vins m'asseoir entre ses jambes, le dos contre son torse, la tête au creux de son épaule, il me serra dans ses bras, tendrement, m'embrassa dans le cou. Je sentis une larme couler le long de ma joue. Une larme de bonheur de vivre ce moment merveilleux, mais une larme qui représentait surtout le désarroi d'une femme mariée qui réalise qu'elle est follement amoureuse de son amant et qui sait que rien ne sera plus comme avant.
Commenter  J’apprécie          250
La première chose qu’il m’avait imposée avait été de le remercier de me permettre de le faire jouir dans ma bouche, après chaque fellation. Je m'y étais très vite habituée.
Commenter  J’apprécie          193
-Tu sais ce qui me fait bander ?
-…Moi ?
-Oui, toi, bien sûr. Mais là, à cet instant précis.
-Non Maître, je ne sais pas.
Je trouvais ça très excitant de le vouvoyer et de l’appeler « Maître » dans un lieu public, même si j’étais certaine que personne ne m’avait entendue.
-Je me dis que je pourrais relever ta robe jusqu’à ta taille, exhiber tes jolies fesses à tout le monde, et ce qui me fait vraiment bander, c’est de savoir que tu ne dirais rien, que tu te laisserais faire, honteuse, mais excitée.
Commenter  J’apprécie          180
- Tu aimes ça, que je te mette ma grosse queue dans le cul hein ! ?
- Oui… oui… j’aime ça… mmmm oui…
- Dis-le ! Chienne !
- Mmmm… oui… j’aime que… que vous me la mettiez… mmm dans le cul… oui… mmmm ouiii… oh oui… Hantz… c’est bon… je… oh ouiiii…
Il continua un long moment, je n’en pouvais plus, j’avais pris le risque de plier les coudes et j’enfonçais mon visage dans le lit pour étouffer un peu mes cris, il me laissa faire. Il finit par jouir dans un râle, s’enfonçant plus fort que jamais en moi, je hurlais. Il se retira et m’ordonna de ne pas bouger, et je restais ainsi, en sueur, haletante. Il me fit relever la tête en me tirant par les cheveux et m’obligea à nettoyer complètement son sexe avec ma langue. Je n’aimais vraiment pas faire ça mais refuser ne me vint pas une seconde à l’esprit. Je finis de le lécher alors qu’il débandait à peine. Il me lâcha et quitta le lit.
Commenter  J’apprécie          1711
Je me frottai à lui et sentis son sexe dur contre mon ventre. Comme j’aimais son corps contre le mien ! J’avais tellement envie de lui, de son sexe. Je glissai mes mains dans son boxer et le caressai, il gémit tout de suite mais retira ma main. Il s’allongea et je vins le prendre dans ma bouche. Je savais qu’il allait jouir et pris mon temps pour en profiter un peu.
Après quelques va-et-vient, je sentis son sperme gicler dans ma bouche à plusieurs reprises. J’avalai tout comme à chaque fois, et continuai de le lécher doucement quelques instants. Je me rallongeai près de lui, il me prit dans ses bras et me serra contre lui tendrement.
Commenter  J’apprécie          176
- A partir de demain, tous les soirs, à vingt et une heures précises, je veux que tu viennes me voir, où que je sois et quoi que je fasse. Tu seras nue, avec ton collier et ta laisse, tu tiendras le martinet dans ta bouche, et tu viendras vers moi, à quatre pattes. Tu déposeras le martinet à mes pieds, et tu me demanderas, tu me supplieras de te punir et de t’apprendre à être moins insolente et plus respectueuse. Et je te punirai, à chaque fois.
- Oui, Maître.
Commenter  J’apprécie          170
Ce qui venait de se passer avait été une expérience nouvelle, excitante. J’y avais pris du plaisir et avais découvert de nouvelles sensations, lorsque le sentiment d’humiliation devenait excitation, mais je ne souhaitais pas le revivre aussi vite, et surtout, c’était de lui que j’avais envie. Je me glissai nue sous les draps, le bandeau sur les yeux.
Commenter  J’apprécie          160
- Tu devras me remercier chaque fois que je te ferais jouir, tu dois considérer ça comme une faveur que je t'accorde, et non pas comme un dû. Tu es là pour mon plaisir, à moi. Uniquement. Tu n'auras d'ailleurs pas le droit de jouir si je ne t'y autorise pas.
- Oui Maître.
Commenter  J’apprécie          167
/ !\ Attention / !\ Ceci n’est pas vraiment une citation mais une critique segmentée, pour des raisons inhérentes au contenu du Livre.
/ !\ Attention (2)/ !\ Propos parfois très érotiques et un peu cru.
Partie 1 …
Nyotaimori. Position « table de chair » où la soumise s’allonge nue sur une table, est recouverte de mets et ne sert qu’ « agrémenter le repas ». Sans savoir qu’elle existait, je fantasmais déjà sur cette pratique tout petit… On l’aperçoit aussi dans la fin de Squid Game.
« Il caressa mon clitoris, m’obligeant à ne pas me contracter afin de ne pas mel laisser aller au plaisir et prendre le risque de bouger « (Ce qui ferait tomber les sushis…)
D’ailleurs, ça me rappelle une pochette d’album de Rammstein où les chanteurs devenus cannibales se régalaient d’une belle femme. Bah là, Tristan se régale SUR une belle femme.
Trsitan demande à sa soumise d’écrire sur leurs ébats dans des conditions toujours particulières et très précises à la hauteur de ses fantasmes. Je recommande ce Titre aux personnes célibataires de tout sexes, et horizons, car la plaisir (à petit dose ! en Lire trop baisserait votre moral…) sera bien plus dense que sur un site de c** …
Bonne Lecture si ça vous tente.
Phoenix
++
Commenter  J’apprécie          140
L'important ce n'est pas le lieu où on se trouve, c'est l'état d'esprit dans lequel nous sommes.
(Anna Gavalda)
Commenter  J’apprécie          140
J’avais mis une robe ce jour-là, avec des bas noirs et des bottes. Comme un vendredi sur deux, j’avais pris soin de me faire un peu plus belle, un peu plus sexy, car je savais que j’aurais ce moment, seule avec lui.
(Incipit).
Commenter  J’apprécie          120
/ !\ Attention / !\ Ceci n’est pas vraiment une citation mais une critique segmentée, pour des raisons inhérentes au contenu du Livre.
/ !\ Attention (2)/ !\ Propos parfois très érotiques et un peu cru.
Partie 2 …
« L’envol de l’ange » Qu’est-ce que c’est que ce truc ? Ça commence par un collier. Hautement symbolique le collier, ça veut dire « je t’appartiens corps et âme » … C’est l’Histoire de Tristan (dominateur) et de Ange (soumise).
Au début, Tristan engage Ange pour écrire ses mémoires. Cela dit, ses histoires vont l’exciter et elle va par la suite devenir son esclave. On peut lire « L’envol de l’Ange » « pour le plaisir » mais c’est aussi très instructif sur le tabou et méconnu milieu du Sado Maso ( ?) Quel terme utiliser ?
Tristan va forcer Ange à prendre un peu de recul, il veut être certain qu’elle ne changera pas d’avis, ni ne se décide sur un coup de tête. Ange a tout de suite envie de tout faire pour Lui, mais prend quand même le temps de réfléchir.
A l’avenir, elle devra respecter tout un tas de directives que lui donne son maître.
Comment va évoluer la relation SM des deux personnages ? Ange est-elle prête à aller jusqu’au bout ?
La suite au prochaine épisode…
Phoenix
++
Commenter  J’apprécie          100
Seule face à la nuit d'un Paris déserté, elle repensait aux moments vécus, aux sensations retrouvées, à cette indescriptible impression de se sentir vraiment exister. A ce souffle d'abandon.
Commenter  J’apprécie          100
Ce soir, cette nuit, il ferait de moi ce qu'il voudrait à cet instant là, rien d'autre n'avait d'importance. Ni même d'existence.
Commenter  J’apprécie          70
Au-delà de l’aspect sexuel et de la position des plus indécentes, c’était son extrême soumission qu’il aimait, son application à obéir, sans jamais soupirer ou gigoter pour manifester une lassitude. Alors parfois, il s’approchait, un pied de chaque côté de sa tête, il se penchait pour la caresser et la découvrait généralement trempée, même dans l’attente, même juste reléguée au rang d’objet décoratif. C’était bel et bien cette condition d’esclave qui l’excitait, plus encore que les gestes sexuels. Elle gémissait alors très vite, immédiatement réceptive.
Commenter  J’apprécie          70
Je crois que tu as les capacités nécessaires pour être une bonne esclave. Je vais t’éduquer pour que tu me serves au mieux.Je vais te dresser, comme on dresse un animal, jusqu’à ce que tu sois la chienne obéissante que je veux que tu sois. Je ne veux pas de toi si tu es constamment imparfaite, si je dois te reprendre à chaque instant. Si tu ne te sens pas à la hauteur, tu es libre de partir, c’est la seule liberté que tu as. La seule. Si tu restes, tu te soumets. Tu obéis. Et tu me consacres tout ton temps, toutes tes pensées, tous tes gestes.
Commenter  J’apprécie          70
Il prenait son rythme. Souvent rapide, violent même. Il aimait le sexe quand il était intense, brutal quand les corps se mettaient à transpirer, quand les respirations se faisaient rapides, quand l’effort physique était à son comble. Il aimait sentir l’épuisement de ses partenaires, les sentir à bout de souffle, à bout de force. Il aimait les tourner et les retourner comme des poupées de chiffon, et sentir leurs cœurs palpiter comme jamais. Il aimait entendre leurs gémissements se confondre avec leurs cris de douleur ou de plaisir, et l’épuisement de celles qui n’en peuvent plus, mais qui se donneront, encore et encore pour lui, malgré les muscles tétanisés, malgré cette sensation de ne plus pouvoir faire un geste de plus. Il aimait faire durer, les amener là où elles n’étaient jamais allées, plus longtemps qu’elles ne l’avaient jamais connu. Et lorsqu'elles pensaient qu’il allait enfin jouir, il aimait se retirer violemment pour prendre leurs bouches, s’y enfoncer aussi loin que possible, jamais assez loin, pour leurs prendre leurs dernières forces. Il attendait de sentir poindre les dernières limites, leurs derniers soubresauts d’énergie, et alors, il donnait les derniers coups de martinet ou de cravache en même temps qu'il jouissait, enfin, d’un plaisir sans pareil, inondant leurs bouches de son sperme.
Commenter  J’apprécie          60
Je voulais vivre entourée de mots et de livres.
Commenter  J’apprécie          61
Je savourais les caresses de sa langue, je savais que je n’avais plus à m’inquiéter pour les marques rouges sur mes cuisses. Je me laisse aller, mais encore une fois, il s’arrêta juste avant l’orgasme. Je soupirais sans discrétion. Il me saisit par les cheveux et m’ordonna de me prosterner à ses pieds et de m’excuser. J’obtempérais, aussi vite que possible.
- Tu as l’air d’oublier que rien ne m’oblige à te donner du plaisir !
- Pardon, Maître… pardon…
- Qu’est-ce que je fais quand je te lèche la chatte comme ça ! ?
- Vous… vous m’accordez une faveur, Maître.
Commenter  J’apprécie          65



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Eva Delambre (179)Voir plus

Quiz Voir plus

Paris-Bagdad de Oliver Ravanello

Comment s’appelle le protagoniste

Martin
Leo
Jules
Arnaud

15 questions
48 lecteurs ont répondu
Thème : Paris Bagdad de Olivier RavanelloCréer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..