Citations de Florent Maudoux (101)
Je n'ai jamais eu de héros, mais aujourd'hui, vous êtes mon héroïne.
- Les enfants, faites moins de bruit derrière ! Tu vois comme tu les tiens mal ? Ils sont indisciplinés.
- Vos gueule, les chiards ! Sinon c'est la mort par la tounga !
- ...
- Expéditif et grossier... Mais... Tu vois que parfois il faut faire preuve d'autorité pour le bien de tous.
Il n'y a pas de mauvais jeu pour qui sait bluffer. (p.149)
- De notre temps, les petits jeunes n'étaient pas aussi turbulents. Si?
- Ta mémoire fiche le camp et tu parles comme un vieux, Scipio. En notre temps nous avons fait bien pire. (p.123)
Mais la frontière entre le rêve et le cauchemar est mince, et en un battement de cils, Elizabeth passe de l’un à l’autre.
p.51.
Bõrte a dit que le plus important était de rencontrer des gens qui méritaient son amour et de se montrer digne de leur confiance.
- On dirait que tu as touché le fond, fossoyeur !
- J'espère pour toi que tu ne prépares pas ce jeu de mots depuis trop longtemps.
Il existe des individus qui, sans être exceptionnels, sont à l’origine de mille aventures qui sont autant de légendes en devenir. Chaque génération mérite sa chance.
"La frontière entre l'individu vil et l'individu bon ne se situe pas dans sa motivation : l'un comme l'autre trouveront toujours les meilleures raisons du monde pour justifier chacun de leurs gestes. Tous les deux sont persuadés de faire le bien. Ne négligez jamais vos idéaux de justice, à chaque instant posez-vous la question de la méthode." (P 85)
- La guerre est comme un tango avec la mort.
- Voilà un entraînement qui me conviendra très bien. (p.83)
"La salle des archives est un endroit dangereux et plein de surprises. Ici, on part à la recherche de la connaissance comme on part à la guerre." (P 76)
— Tu sais ma fille, une lame est en quelque sorte comme une déesse de la mort. N'oublie jamais qui elle est. Traite-la, ne serait-ce qu'un instant avec légèreté et mépris... et tu risquerais d'y laisser un doigt. Mais si tu la tiens avec respect, si tu sais en prendre soin... alors elle peut devenir ta meilleure alliée. Une bonne lame ne te trahira jamais.
Plutôt mourir que de retourner à Medford !
On t'a vu te relever d'une blessure mortelle. Tu dois être une sorte de wolverine sans poils...
A L.A., Elizabeth n’a pas vécu. Elle a existé. Sans amis, sans travail, sans argent, ni logement stable, la jolie fille de Medford aurait voulu accéder à la célébrité. Paradoxalement, elle sera immortalisée dans la mort. Bien qu’anonyme, elle est devenue une icône d’Hollywood. Une icône macabre, terrifiante et fascinante. On se souvient peu des stars de l’époque, mais le nom du Dahlia noir résonne encore, soixante-quinze années après son meurtre, en chacun de nous.
Le Diable se cache partout...
Surtout dans les détails.
- Les monstres pour qui vous travaillez prétendent apporter la prospérité au peuple. Mais en réalité, ils l'asservissent et l'enferment dans une société de consommation qui ne peut être rassasiée.
- ... Je connais ce discours par c?ur. Inutile de me le répéter.
-Alors vous êtes encore plus bête que je le croyais. J'en attendais mieux d'une femme.
- Écoute, ma grande. Je bosse peut-être pour les méchants de l'histoire, mais franchement... S'acoquiner avec un mafieux et des royalistes... Quel manque de dignité.
-La fin justifie les moyens...
-Et c'est avec ce genre de compromission que l'anarchie accoucha de la démocratie. Sache-le, ma grande... Tous les chemins mènent à Rem !
Il est inscrit que dans tout récit historique, que la fille doit vaincre la mère. N’aie jamais peur d’affronter les anciennes générations !
Une bonne lame ne te trahira jamais.
Tu veux un gâteau de l'armée ? Le secret c'est de le garder sous le bras pendant trois jours.