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EAN : 9782810203017
112 pages
Rue de Sèvres (15/06/2022)
4.13/5   154 notes
Résumé :
A Short Story retrace avec un souci du détail sans précédent la vraie histoire d'Elizabeth Short, plus connue sous le pseudonyme du Dahlia Noir, qui avait quitté son Massachusetts natal pour s'installer à Los Angeles, envisageant une carrière de star hollywoodienne.L'histoire et les dialogues, écrits d'après les documents déclassifiés du FBI, retrace la vie de cette jeune femme perdue dans Hollywood, en particulier les 3 mois qui ont précédé son horrible assassinat,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (46) Voir plus Ajouter une critique
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C'est dans l'Amérique de la fin de la Seconde Guerre Mondiale que se déroule ce récit contant la courte vie d'une certaine Elisabeth Short venue tenter sa chance dans la cité des anges. Elle va terminer malheureusement massacrée par le diable.

Celle qui était surnommée le Dahlia Noir était d'une beauté tout à fait extraordinaire avec de très beau cheveux et un visage frisant la perfection. C'était surtout un sacré nid à emmerdes pour la plupart des hommes rencontrés. La plupart d'entre-eux étaient des militaires.

On va la suivre dans ces derniers moments de vie dans ce décor idyllique. J'ai reconnu notamment le Figurea Hôtel de Los Angelès où j'ai moi-même séjourné pendant 6 jours sans savoir qu'elle y menait ses petites affaires. Par la suite, il y aura d'autres lieux de villégiature pour une femme qui cherchait visiblement à fuir.

Le dessin est absolument somptueux sans compter un ouvrage qui sur la forme regorge de mille détails pour notre plus grand plaisir. J'ai rarement vu un aussi bel écrin. A noter également un précieux dossier en fin d'album avec la liste de tous les suspects.

La fin m'a laissé sur une note assez glaçante. J'aurais aimé en savoir un peu plus mais j'ai l'impression que ce n'était pas forcément le but recherché par l'auteur. du coup, on reste toujours sur un parfum de mystère autour de ce dahlia noire.
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Club N°49 : BD sélectionnée
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BD lue dans sa version en couleur...

Travail d'investigation de titan : au lieu de s'intéresser au meurtre les auteurs se sont penchés sur la vie d'Elizabeth Short les mois qui ont précédé son assassinat.

L'illustration est tout simplement somptueuse...

Gros gros coup de coeur !

Isabelle
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Une idée originale : retracée les quelques semaines qui ont précédent le meurtre atroce de cette jeune femme, sa personnalité, ses rencontres, ses fréquentations, ses cercles vicieux.

Un énorme boulot d'investigation.

Rebuté au premier coup d'oeil par les compléments, je me suis laissé prendre.

Passionnant.

Éléphant
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Entre BD et documentaire.

Graphisme magnifique.

On plonge au coeur d'une enquête ultra connue déjà adaptée en roman et film.

Une page d'histoire bien glauque et un crime non résolu.

La première chose qui saute aux yeux, c'est que ça saute aux yeux !

Cet album est visuellement superbe, mélangeant des planches en noir et blanc (il existe semble-t'il une version colorisée), des copies de journaux de l'époque et des illustrations de l'agenda d'Elizabeth Short, plus connue sous le nom du Dalhia Noir.

Niveau contenu, les lecteurs de James Ellroy ne découvriront pas grand-chose.

On y suit la vie de Beth, dans son ordre chronologique avec les différents protagonistes que l'enquête avait révélés.

Rien de vraiment nouveau sous le soleil Californien, mais la patte graphique vaut le détour.

Intéressant pour ceux qui connaissent l'affaire, je ne suis pas convaincu que le format particulier, fascinera les autres.

Un bel ouvrage, une BD enquête qui reconstitue la vie de la victime dans un écrin très plaisant.

Greg
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Une enquête très précise et très documentée de la vie du Dahlia avant son meurtre.

Un dessin réussi, du texte un peu rébarbatif mais un achat sans nul doute utile.

VT
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Album intéressant et très bien documenté sur l'un des coldcases les plus célèbres d'Amérique.

Alternances de textes et des dessins (somptueux).

Après un livre (de Elroy) et un film (de de Palma) j'avais peur que cet album fasse un peu redit mais ce n'est pas le cas !

Samuel
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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A short story.
Une histoire courte.
Comme son nom, comme sa vie.
Mourir à 23 ans.
Jeune et belle.
C'est le destin tragique d'Elizabeth Short.
Mourir assassinée.
Mutilée, coupée en deux.
Abandonnée à quelques pas de paisibles maisons, une nuit de janvier 1947.
Depuis ?
L'un des plus célèbres Cold case qu'ait connue l'Amérique.
Tant de questions sans réponses.
Beth, rêvait.
La grande dépression, après le krach de 1929, avait détruit sa famille, rendu des lendemains qui s'annonçaient heureux à une perspective des plus sombres.
Avenir incertain.
Beth rêvait.
De gloire, de paillettes.
Beth a tout quitté, pour le meilleur et pour le pire.
C'est son histoire , notamment celle des derniers mois de sa vie, que Run, au scénario et Florent Maudoux au crayon (magnifiques dessins) retracent ici.
Quel travail !
Cet album est le fruit d'une enquête minutieuse, argumentée et augmentée de documents et photos d'époque.
Nombreux sont les romanciers qui se sont emparé de l'affaire du Dalhia noir (surnom donné à cette magnifique jeune femme a la chevelure noire), Elroy, par exemple, pour n'en citer qu'un.
Ici, pas de romance.
Du fait.
Triste histoire d'une jeune fille perdue et qui ne fera que se perdre jusqu'à cette fin tragique.
Ce qui est terrible, c'est qu'on ne saura jamais ce qui s'est passé ce fameux soir.
Et pourtant, le meurtrier est même allé jusqu'à jouer avec les enquêteurs et les médias.
Beaucoup de suspects, pas de coupable.
La personnalité troublante d'Elizabeth Short, son comportement au cours des mois qui ont précédé, n'ont pas aidé à tracer un portrait glamour de celle qui rêvait de conquérir Hollywood, bien au contraire.
Les textes et documents alternent avec des chapitres dessinés dans la continuité du récit, donnant à cet album une singularité qui le place dans mes coups de coeur BD de l'année.
Incontournable,  presque indispensable, un cadeau magnifique à offrir ou à s'offrir.
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J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman graphique, il faut avouer que je suis assez réfractaire au genre “true crime” qui reste pour moi un genre purement radiophonique.
Le dossier est très complet, beaucoup de témoignages, rapports, de détails sur la vie d'Elizabeth Short, Starlette qui a tenté de réussir à Hollywood et qu'on a retrouvé un jour, assassinée, découpée dans un terrain vague. Ça se passait pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a beaucoup de passages en bande dessinée qui racontent quelques moments de sa vie, des rencontres, son comportement. le graphisme de la partie bande dessinée est assez élégant, un peu vintage, il immerge dans ces années 40 par ses couleurs, ses tons naturels, son réalisme rétro, c'est soigné jusqu'à l'aspect feutré du papier, très épais. Les pages de commentaires en prose alternent entre les moments graphiques, racontant quelques moments moins détaillés de son histoire, additionnés de quelques notes, témoignages et rapports brefs, avec une mise en page de vieux journaux,

Le récit s'attache particulièrement à sa personnalité, franchement agaçante derrière tous ses mensonges. On découvre une jeune fille qui joue sur les apparences, totalement mythomane, instable et fragile derrière son assurance trompeuse. Je ne me suis absolument pas attaché au personnage, du coup, difficile d'entrer dans l'histoire. L'affaire criminelle reste au niveau du rapport de police, on ne va pas extrapoler, donner des pistes, l'enquête n'est d'ailleurs qu'une petite partie du livre, plutôt centré sur son parcours californien. C'est surtout un portrait.

Je n'ai pas très bien compris où voulait nous amener les auteurs : prendre connaissance d'un cold case qui a bouleversé la région, ou nous faire découvrir la vie de jeunes filles attiré par l'idéal hollywoodien. Ce qui m'a gêné, c'est le rapport entre les deux, le sociologique et le polar se parasitent l'un et l'autre, cela donne un côté “fable du petit chaperon rouge” retranscrit dans la réalité, on tombe alors dans le récit moralisateur, et là, ça coince un peu.

Malgré sa qualité graphique, et le sérieux du dossier journalistique, je n'ai pas accroché, je me suis même plutôt ennuyé. Je sais que certains adoreront l'aspect “dossier” de ce livre qui donne l'impression de fouiner comme un détective, mais en ce qui me concerne, ce n'est pas mon truc.
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Le mystère de la femme coupée en 2 reste entier

Le 15 janvier 1947, la police de Los Angeles retrouve, abandonné sur un terrain vague, le corps d'Elizabeth Short sectionné en deux parties, exsangue et présentant d'effroyables traces de tortures.
Rapidement, les journaux vont surnommer la victime, "Le Dahlia noir", pour des raisons sans doute multiples : sa chevelure très foncée (teinture noire additionnée de roux), une fleur qu'elle portait dans ses cheveux et la proximité de ce fait divers avec l'intrigue du film "Le Dahlia bleu" sorti durant cette période.
L'auteur de ce crime atroce n'a jamais été retrouvé. Depuis, les enquêtes et les hypothèses pullulent, et parmi les livres qui ont relancé l'histoire, figure indéniablement au premier rang, "Le Dahlia noir" de James Ellroy, l'auteur restant à jamais marqué par la similitude de cette affaire avec l'assassinat de sa propre mère.
L'objectif clairement affiché par Run et Florent Maudoux, les auteurs de cette BD, est d'aller au-delà de cette légende noire en rendant hommage à la vie d'Elizabeth Short, complètement occultée par sa fin tragique, ensevelie sous son mythique surnom. S'intéresser à la victime plutôt qu'à son avatar.

"Short Story" est un album de qualité et un projet ambitieux, qui souffre toutefois selon moi, de quelques défauts gênants.

Édité en grand format, couché sur un beau papier épais, avec un dos toilé, l'objet présente très bien.
Qualitativement irréprochable, il est bâti autour d'une évocation chronologique de la vie d'Elizabeth Short, avec pour chaque date importante, un renvoi explicatif, des documents dont de nombreuses coupures de journaux, des dessins et pour certaines parties, quelques planches de BD. C'est donc un ouvrage très qualitatif, remarquablement conçu et qui inspire le respect.

Côté dessin, Florent Maudoux assure. Sa reconstitution et son parti pris graphique assumé de faire revivre les années 40 aux couleurs sépia, sont de toute beauté. La fin terrible est retranscrite avec beaucoup de délicatesse.

En revanche, j'ai plus de réserves sur le travail de Run.

Sur l'objectif poursuivi, d'abord.

Si personne n'a sans doute jusqu'à présent, autant fouillé autant la vie de cette jeune femme, c'est surtout - et on peut le déplorer- parce que le Dahlia noir fascine morbidement et phagocyte Elizabeth Short.

Dans ces conditions, je trouve un peu vaine la volonté louable de rendre hommage à l'individu plutôt qu'à la macabre légende. Et ambiguë. Car au fond, le portrait dressé de cette jeune femme n'est pas particulièrement flatteur dans la mesure où elle apparaît au mieux naïve, paumée, d'une beauté relative, allumeuse de soldats, mythomane...et rêvant d'une carrière hollywoodienne sans jamais l'avoir approchée, même de loin.

Sur la démonstration par abondance de documents, ensuite.

C'est entendu, Run s'appuie sur une documentation conséquente et la reconstitution fourmille de détails. Run ne manque pas d'insister sur cet aspect de son travail et on sent qu'il veut montrer le sérieux de son enquête retranscrite ici, qui s'appuie notamment sur les documents du FBI déclassifiés.

Mais je trouve toutefois qu'il en fait un peu trop. Quel intérêt de publier sur deux pages, sa correspondance par mails avec des interlocuteurs américains, son traducteur pour s'assurer de tel ou tel point de détail ? Comment peut-il se montrer aussi affirmatif dans ses reconstitutions et sous-titrer son ouvrage "La véritable histoire du Dahlia Noir" ? Car il a beau avoir réuni tous les documents de la terre, tout recoupé…Run a quand même dû lui aussi, remplir des blancs et imaginer.

Et quand Elizabeth Short devient tragiquement le Dahlia Noir et que Run s'intéresse à l'enquête criminelle, c'est pour sembler considérer qu'avant lui, rien de sérieux n'a été produit. Il démolit différentes hypothèses, tout en se gardant d'en avancer une ou au contraire, se lance dans des spéculations pour le moins hasardeuses telles que celle qui conclut le passage sur le Dr Walter Alonzo Bailey, qui ressemble à un cauchemar hitchcockien imaginé par Dali.

Bref, on en sait beaucoup plus sur Elizabeth Short, mais pas sur l'énigme persistante du Dahlia noir.

Enfin, dernier reproche, le texte qui accompagne le fil chronologique est tellement ampoulé, qu'il en devient souvent ridicule : "les eaux du Pacifique lui renvoient l'image…les rayons du soleil se perdent dans la mer et font miroiter les reflets aveuglants du rêve californien", "les murmures de la mer se font toujours entendre derrière les palmiers d'Ocean Drive. Les vagues balaient la plage et effacent toutes traces dans le sable", "Mais Matt ne quitte pas le coeur de la jeune femme, fantôme d'encre dans des souvenirs de papier", "Devant les miroirs anonymes, elle colore ses lourdes boucles en noir, puis en rouge, jusqu'à ce que la lumière, dans les méandres de sa chevelure, se pare de teintes rousses et carmin, comme un crépuscule ensanglanté sur une mer sépulcrale", "La femme la plus seule de la planète reprend sa route dans l'ombre de ses désillusions"…Arlequin n'a qu'à bien se tenir !

Au final, malgré toutes mes critiques, je considère que "Short Story" reste un très beau livre, sérieux, très bien réalisé et pétri de bonnes intentions. C'est d'autant plus dommage que des détails agaçants troublent un peu le plaisir.
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critiques presse (6)
BDGest
06 septembre 2022
La présentation de la cité des anges des années 1940 convainc et les décors sont toujours remplis. Enfin, la colorisation reposant sur des teintes pastel donne à l’ensemble l’allure d’une agréable vieille production cinématographique.
Lire la critique sur le site : BDGest
LigneClaire
06 septembre 2022
Un album qui fait vraiment la différence, une enquête de référence sur ce cas toujours sans meurtrier et donne une liste exhaustive, documentée des potentiels suspects ainsi qu’à la fin des fac-similés des journaux de l’époque.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BoDoi
01 septembre 2022
Un design ultra léché de Maudoux, reproduisant à merveille l’ambiance lumineuse de la Californie de l’immédiat après-guerre – sont entrecoupées de pages de textes denses, relatant tous les détails des événements connus et les hypothèses des auteurs sur les « trous » de l’histoire.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
31 août 2022
Florent Maudoux décline les derniers jours de la vie de la jeune femme avec son style propre, toujours proche d’un hyperréalisme coloré et lumineux, bien que jouant avec les codes du polar noir américain, ce qui ajoute de la crédibilité à ce qui s’apparente à une reconstitution historique.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
LaTribuneDeGeneve
30 août 2022
Après James Ellroy et David Fincher, les Français Run et Florent Maudoux déterrent le corps d’Elizabeth Short, assassinée à Los Angeles en 1947.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
BDZoom
29 août 2022
La rigueur documentaire de Run, ainsi que son attachement à la naïve protagoniste perdue dans Hollywood, apporte évidemment une authenticité bienvenue à l’efficace narration de son adaptation en bandes dessinées.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Plutôt mourir que de retourner à Medford !
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C'est comme ça que marche la vie ; avoir un but, s'y tenir … parfois, savoir faire des concessions.
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A L.A., Elizabeth n’a pas vécu. Elle a existé. Sans amis, sans travail, sans argent, ni logement stable, la jolie fille de Medford aurait voulu accéder à la célébrité. Paradoxalement, elle sera immortalisée dans la mort. Bien qu’anonyme, elle est devenue une icône d’Hollywood. Une icône macabre, terrifiante et fascinante. On se souvient peu des stars de l’époque, mais le nom du Dahlia noir résonne encore, soixante-quinze années après son meurtre, en chacun de nous.
Commenter  J’apprécie          20
Ecoute-moi, Elizabeth, je vais te dire une chose, et ne le prends pas mal. Il y a plus de femmes à L.A. que n’importe où dans le monde, et pourquoi à ton avis ? Parce que toutes veulent devenir une starlette, et qu’est-ce que tu penses avoir de plus que les autres, à part cette rose que tu montres au premier venu ? Les filles comme toi, avec le bacille de la bohème elles finissent serveuse, dans le rue, ou à la morgue.
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Mais la frontière entre le rêve et le cauchemar est mince, et en un battement de cils, Elizabeth passe de l’un à l’autre.
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Florent MAUDOUX
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