Frances Hardinge

J’ai été prise par les manigances de Faith et j’ai englouti les pages en me délectant d’elles. La touche de fantastique est éclipsée au profit du comportement des hommes qui est dépeint. Ainsi, notre côté rationnel n’a pas le temps de s’interroger sur les explications de l’arbre aux mensonges. On l’accepte comme une réalité pour se concentrer sur la suite des évènements. J’ai été prise au jeu de l’enquête et jamais, les faits ne m’ont paru invraisemblables car l’auteure sait jouer avec les codes et convenances de l’époque pour nous surprendre. J’en voulais toujours plus.



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L’île aux mensonges est un thriller jeunesse qui se déroule en Angleterre, en 1860. Il met en scène une jeune fille, Faith, qui perd tragiquement son père peu de temps après leur arrivée à Vane et qui est persuadée qu’il a été assassiné, contrairement à la cause que toute la ville prétend connaitre : le suicide. Son père était un grand naturaliste, et sa venue sur cette île était justement un moyen pour lui et sa famille, d’échapper aux accusations, aux rumeurs qui l’accablaient. Mais cette île n’est pas si différente du lieu qu’ils ont quitté puisque sa mort est automatiquement sujette aux commérages et autres jugements faciles.

Néanmoins, Faith n’est pas dupe et sait pertinemment que si son père est mort, c’est parce que quelqu’un lui voulait du mal, en voulait à son travail et à ses recherches !

Elle se mit alors en quête de toute information susceptible de la conduire sur une piste, dans le but de prouver à tout le monde que son père ne s’est pas suicidé, mais qu’on l’a volontairement tué ! Un assassin se trouve sur l’île et elle veut absolument le démasquer, mais à quel prix... ?



Je ne suis pas une grande adepte du genre thriller mais pourtant j’ai beaucoup aimé cette histoire !

Dans un premier temps, le fait que le personnage principal (« l’enquêtrice ») soit une jeune fille permet de s’y attacher très facilement. De plus, c’est une personne très intelligente mais qui, à cette époque, en tant que jeune fille/femme, n’a nullement le droit de mettre à profit ses compétences ou de s’intéresser de trop près aux sciences (par exemple), domaine réservé aux hommes.

J’ai vraiment beaucoup aimé cet aspect de l’histoire qui renvoi un réel message féministe et qui, à l’heure d’aujourd’hui, met en lumière les inégalités au niveau du travail (certes moins prononcées qu’au 19ème siècle mais réelles) entre les hommes et les femmes.

J’ai également beaucoup aimé l’univers de cette île anglaise à cette époque, qui donne un côté vintage à l’histoire très sympa. L’auteur est extrêmement doué dans l’art des descriptions, très présentes dans le livre, qui nous permettent de visualiser en détails chaque lieu dans lequel se trouve le personnage principal, et donc nous permet de laisser libre court à notre imagination...
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Clairement, je n'ai pas du tout accroché au livre tant pour l'un des personnages que pour la plume de l'auteur et cette ambiance un peu malaisante qui règne dans le roman. Dès lors que j'éprouve une gène si grande envers un personnage ou un sentiment de malaise face à un livre, la lecture m'en est presque impossible. J'ai tout de même réussi à finir le livre, car le monde de ces anciens dieux m'a malgré tout plu.

🐻 Un univers ensorcelant, entre réalisme et fantaisie qui a sû me subjuguer dès les premières pages. J'ai véritablement dévoré la première partie de l'intrigue tant la plume de son autrice est addictive.



J'ai eu tout de suite beaucoup de sympathie pour la jeune Makepeace. Une jeune fille aussi rebelle que touchante. Son évolution se fait en douceur et c'est un plaisir de la voir s'ouvrir au monde, aux incroyables secrets de la famille Fellmotte. A travers elle, on découvre une Angleterre troublée, prise entre deux feux. Le sort du pays est incertain et Makepeace va devoir malgré elle prendre part à la guerre à sa façon.



J'avoue avoir néanmoins légèrement décroché une fois les 250 premières pages passées. C'est dommage car tout avait pourtant bien commencé. La dimension fantastique de cet univers m'a intéressée et le rythme donné à l'intrigue a fait que j'avais toujours envie d'en savoir plus.



Pourtant, dans la seconde moitié du roman j'ai trouvé que le rythme s'est peu à peu essoufflé. Certains passages m'ont donné le sentiments de tourner en rond sans trop savoir sur quoi la suite allait déboucher. Je ne me suis pas plus que ça attaché aux autres personnages. J'ai trouvé une sorte de décollage entre la construction aboutie de Makepeace et celle, trop sommaire, des autres protagonistes. Des pistes sont pourtant lancées mais je n'y ai pas trouvé ce que j'espérais. Ceci n'a pas été suffisant pour que la rencontre entre eux et moi se fasse pleinement.



J'ai néanmoins passé un bon moment de lecture globalement. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce livre. Je ne peux pas non plus dire que je n'ai pas été déçue quelque part.

Encore une fois, Frances Hardinge a réussi à dépeindre une héroïne forte, nuancée, courageuse le tout dans une ambiance attisée par les vents, la mer déchaînée et quelques esprits tourmentés. Une belle histoire avec du suspense, du romanesque, de la science et une étincelle de féminisme.

C’est beau, imagé, imprégné d’une atmosphère anglaise et pleine de nature et d’humanité. Une lecture « coin du feu » avec du suspens, de la poésie et un soupçon de magie. Une superbe découverte pour cette auteure anglaise qui donne envie de savourer chacun de ses livres&#xNaN

Etonnement, je n'arrive pas à me plonger dans cette lecture. J'ai pourtant bien avancé dans le roman qui est bien écrit et avec de belles idées, mais je n'ai pas la moindre accroche avec les personnages et ça ne me donne pour le moment pas l'envie de lire la suite.

J'ai beaucoup d'autres lectures qui m'attendent, alors peut-être que je reviendrai sur celui-ci plus tard mais pour le moment c'est le premier abandon de l'année.

L'abysse, cet endroit aquatique berceau des anciens dieux. Il en existe des légendes et surtout des pleurs ancrées aux plus profonds des âmes.

Cette immensité aquatique qui abrite les vestiges du temps ancien. Ces archipels, terrain de Jelt et Hark, deux orphelins unis par la fatalité. Mais, un jour, la paix de l'humanité se retrouve en danger, la puissante vibration du passé s'invite au présent.

Une longueur dans l'installation, une écriture vague mais des personnages attachants vous immergent sans les profondeurs et leurs mystères.

J’ai eu énormément de mal à rentrer et à me situer dans l’histoire qui est terriblement lente sur les quatre vingt dix premières pages. Je pense également que la relation assez froide de l’héroïne avec sa mère, en particulier au début du roman, m’a un peu dérangé. Une fois ces chapitres passés l’action se met en place, de plus on comprend enfin les étranges capacités de Makepeace et de certains membres de sa famille. Il faut savoir que ce récit se déroule en Angleterre dans les années 1600, alors sous le règne de Charles 1er et en pleine période de rébellion. L’ambiance de ce roman est donc assez sombre et on ne peut que se demander quand notre héroïne va enfin avoir droit à sa part de bonheur.

Une ambiance gothique à souhait, une héroïne courageuse qui sort des clichés du genre, une intrigue originale qui nous fait entrer dans la tête de cette jeune fille hantée par des esprits ... J'ai dévoré ce gros pavé sans peine, et j'ai tout de suite adhéré à l'originalité de cette histoire.

J'ai ce livre depuis longtemps dans ma PAL, le résumé m'a toujours attirée et je me suis enfin lancée... et j'ai été déçue

Dans La voix des Ombres, on suit l'histoire de Makepeace qui peut communiquer avec des âmes errantes et les abriter en elle. Elle finit par se rendre compte qu'elle n'est pas la seule à avoir cette faculté, sauf que ces autres personnes ne l'utilisent pas de la même manière...



Je pense que je m'attendais à tout autre chose quand j'ai commencé le livre et j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans... Je m'attendais à un truc un peu oppressant et au final c'était pas du tout ça 🤷‍♀️

Puis, une fois que je me suis faite à l'idée, je me suis juste ennuyée. J'ai pas apprécié l'écriture, c'était beaucoup trop long et trop répétitif. Et pourtant, certains passages étaient durs à lire et pas vraiment utiles au récit à mon sens. Ça n'a pas fonctionné avec moi...

Aussi, je me suis pas vraiment attachée aux personnages, je les trouvais froids et hostiles. Un peu comme tout le récit d'ailleurs et je pense que c'est ça qui m'a le plus dérangé... Du coup, j'étais hyper déçue parce que ce livre et cette intrigue avait un immense potentiel, et il a pas du tout été exploité comme je l'espérais.



J'ai jamais réussi à abandonner un livre mais j'avoue que pour celui-ci j'étais à deux doigts de le faire...
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Faith Sunderly a 14 ans et est la fille soumise et dévouée d'un pasteur naturaliste de l'Angleterre victorienne. Afin de fuir des rumeurs de fraude concernant les recherches paternelles, toute la petite famille (père, mère, oncle, Faith et son petit frère) se retrouve exilée sur une petite île battue par les vents au large des côtes anglaises. L'accueil sur place n'est pas des plus chaleureux et les choses se corsent encore plus quand le révérend Sunderly est retrouvé mort. Faith va alors devoir braver les interdits que l'époque fait peser sur son genre pour enquêter sur la disparition de son père et faire éclater la vérité au grand jour.



L'île aux mensonges est un remarquable thriller victorien, baigné d'une atmosphère vénéneuse, et qui nous plonge au coeur d'une société dont les convictions sur les origines de l'humanité ont été violemment secouées par la récente publication des travaux de Darwin. Ce contexte scientifique tout particulier se double également une réflexion fine sur la place réduite que cette même société daignait accorder aux femmes. Faith n'a rien d'une rebelle dans l'âme et s'efforce initialement de remplir consciencieusement ses devoirs filiaux. Mais comment ne pas être révoltée face à l'étroitesse du destin que sa famille lui réserve ? La résolution du mystère paternel s'accompagnera donc d'une émancipation libératrice pour notre héroïne. Par ailleurs les personnages féminins présents dans le roman sont particulièrement intéressants dans la mesure où ils s'avèrent tous plus complexes que ce que l'on pourrait soupçonner au premier abord, chaque femme devant trouver une stratégie qui lui est propre pour exister au sein du carcan victorien.
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Mon avis sur cette lecture est mitigé... J'ai beaucoup apprécié l'ambiance angoissante, l'intrigue, les personnages très attachants (surtout Makepeace et James) et l'originalité de ce roman. Malheureusement, celui-ci a souffert de mon manque de temps de lecture (trop prise par les bougies). Beaucoup de longueurs se sont installées, peut-être à cause du temps que j'ai mis pour le lire. Je regrette de m'être lacée de cette lecture, mais je suis certaine que si vous aimez les romans étranges et les ambiances lourdes, vous trouverez votre bonheur avec ce livre!

Dans ce livre, on suit Hark un jeune arnaqueur des Myriades, des îles mythiques avec  une mythologie très présente. Malheureusement, celui-ci se fait prendre et doit pour compenser sa peine s’occuper des prêtres, les gardiens des secrets des anciens dieux.



L’histoire de ce livre est tout simplement éblouissante, on est tout simplement happée par cet univers magnifique. Le travail de l’auteur est assez incroyable, c’est un vrai voyage vers les îles qu’il nous offre grâce aux légendes et aux paysages, il a réellement créé un univers impressionnant. Un des points que j’ai trouvés assez sympathique également c’est la présence de la langue des signes dans un livre, je n’avais jamais vu ça. Bien qu’on considère les malentendants comme « bénis de la mer » la frustration ainsi que les difficultés sont bien présentes et décrites.



Pour les personnages, j’avoue avoir eu un peu de mal au début avec celui de Hark, il laissait tout passer à Jelt et je ne comprenais pas pourquoi. Cette amitié toxique qu’ils entretiennent est assez bien décrite, pour faire simple, Hark souhaite partir mais Jelt le retient grâce à la culpabilité pour autant, les deux s’aiment de manière sincère. Pour ma part, je n’ai jamais lu de livre aussi poignant et touchant sur ce type de sujet. Une deuxième relation que j’ai aimé voir est celle de Selphine et de sa mère, bien que beaucoup moins travaillée, l’auteur nous montre qu’il est parfois difficile de faire écouter ses peurs dans sa propre famille.



Concernant la fin de ce livre, j’avoue avoir été touchée par l’amitié des deux personnages et leurs perspectives différentes sur ce qu’ils ont ressenti.



Pour conclure, c’est un livre magnifique, plein de mythologie et de paysage. Les relations entre les personnages sont bien travaillées et montrent que ses amis ou sa famille peuvent également nous faire souffrir.

Le roman est vendu comme un mélange de Jules Verne et Lovecraft : c’est un pari réussi ! Je suis personnellement fan de l’univers de Lovecraft et ce livre a su répondre à mes attentes. On s’attarde longuement sur la mythologie de l’univers avec l’existence de ces anciens dieux vivant au fond des Abysses et se nourrissant de la peur des humains qui leur vouent un culte, entre crainte et fascination. On retrouve aussi la thématique de la folie, ingrédient essentiel à tout bon récit Lovecraftien, qui se distille doucement chez les personnages. Ils sont d’ailleurs un gros plus de ce roman. Hark, le personnage principal, est un baratineur né qui sera pourtant en proie constant au doute, pris dans une relation toxique avec son « ami » Jelt qui n’aura de cesse d’user du lien qui les unis … jusqu’au point de non-retour. J’ai particulièrement aimé suivre l’évolution de Hark au sein même de cette relation qui m’a semblé centrale dans le roman. On voit bien l’ascendant psychologique qu’à Jelt sur lui et, même si j’ai parfois eu envie de secouer notre héros, la manière dont cela est amené nous fait bien comprendre qu’Hark est sous emprise, il a donc provoqué chez moi bien plus d’affection que d’agacement. Hark sera entouré de personnages tous plus intéressants les uns que les autres : Selphine, fille de contrebandière aussi têtu que sa mère et pourtant la plus lucide, Vyne, une scientifique fascinée par les reliques des anciens Dieux ou encore Quest, un ancien prêtre au service des Dieux dont les mémoires cachent de bien lourds secrets … Le récit basculera petit à petit dans l’horreur et donnera lieu à des scènes parfois sanglantes. C’est donc une excellente introduction aux thématiques lovecraftienne, mais où se trouve donc Jules Verne ? Et bien dans les machines utilisées pour explorer les fonds marins et la technologie en général, mêlant des matériaux bien humains aux artefacts des dieux, un univers assez steampunk. Je dois avouer avoir ressenti plus de Lovecraft que de Verne, mais ce n’était pas pour me déplaire ! En bref, j'ai passé un super moment de lecture.

Avant d'aborder cette lecture, je ne connaissais pas l'autrice Frances Hardinge. J'ai été attirée par le résumé, je m'attendais à une histoire autour de la mythologie, quelque chose d'assez original dans un univers marin. Question originalité, j'ai été servie ! Mais j'avoue avoir été déstabilisée par le côté très sombre - parfois glauque - de cette histoire. Entre des dieux monstrueux prêts à dévorer le monde entier et l'amitié toxique subie par le personnage durant tout le roman, je n'ai pas passé un moment très agréable. Heureusement, j'ai apprécié le personnage de Hark et son côté débrouillard, ainsi quecelui de Selphine et la place donnée au thème de la surdité. L'univers steampunk développé par l'autrice est original, certaines inventions très intéressantes. Enfin le style est agréable. En somme, j'ai un peu souffert lors de cette lecture, principalement parce que j'en attendais autre chose que ce qu'il avait à m'offrir, sans remettre en cause ses qualités. A réserver aux grands ados à partir de 15 ans, et aux adultes.

Dommage.



Lorsque j’ai vu la magnifique couverture de ce roman et que j’en ai lu le résumé j’ai été conquise. Cependant, je m’étais imaginé une histoire complètement différente. Même si je dois reconnaître que la mythologie proposée par Frances Hardinge est originale et complexe, je n’ai pas réussi à accrocher à cette histoire. Aux personnages tout d’abord, même si tout est fait pour que l’on déteste Jerk, Hark, le héros que l’on suit tout du long, est énervant, influençable et indécis.



Le récit met longtemps à se mettre en route, c’est bien après la moitié du roman qu’on trouve un peu d’action. On comprend alors que l’auteur avait besoin de temps pour mettre en place toutes les subtilités de l’histoire mais, pour ma part, il était déjà trop tard.

Une histoire qui avait du potentiel mais qui ne m’a pas séduite, la faute aux personnages et à l’intrigue trop tardive à se mettre en place pour un pavé de presque 500 pages.

J'avais beaucoup aimé L'île aux mensonges, très instructif et bien écrit.

Le début de La voix des ombres semble appartenir au même acabit (description d'une époque, jeune fille intéressante...) mais au bout d'une centaine de pages, j'ai décroché. Le fantastique ne m'a pas emballée ici alors que l'idée d'accueillir les morts en soi était une bonne trouvaille. J'ai survolé la fin.

Un récit sur fond de naturalisme, découvertes scientifiques, meurtre, enquête avec une pointe de féminisme. L'atmosphère est idéal en ce temps automnal de septembre. Un ouvrage littérature jeunesse très mature avec des thématiques intéressantes. Je recommande.

La voix des ombres est un roman fantastique qui dépeint une fresque familiale dans un contexte historique très intéressant. Le roman se déroule ainsi durant la Première révolution anglaise, période dont l’autrice a très bien su s’approprier pour créer le fil de son intrigue. On suit le personnage de Makepeace dans son enfance et son adolescence qui va partir sur les traces de sa famille et en découvrir ses sombres secrets. La très belle plume, très métaphorique, de Frances Hardinge nous emmène aisément dans ce récit à l’ambiance très particulière. L’atmosphère est très sombre, les évènements se déroulant dans le récit sont particulièrement tragiques, le tout étant accentué par la dureté de la vie à cette époque conflictuelle de l’Histoire anglaise. Heureusement, le beau personnage de Makepeace vient contrebalancer cette noirceur grâce à son dynamisme et sa positivité à toute épreuve. C’est un personnage extrêmement ingénieux réussissant à se sortir de toutes les situations et qui donne à l’intrigue une tournure toujours surprenante. Dans cette intrigue originale et bien menée, on retrouve également une part de fantastique grâce à la présence de fantômes (ou plutôt devrait-on dire d’esprits ?). Cette thématique est également abordée de manière originale et bien loin des clichés qui l’on peut trouver dans ce type d’histoire !




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