Franz Kafka

Une nouvelle bizarre, on ne comprend pas le chant de Joséphine ni son peuple de souris.Plus étrange que la Métamorphose ,moins angoissant et dramatique.Kafka n' a pas l' air de comprendre beaucoup la musique à la différence de Hoffmann et Stendhal et Thomas Mann

Tout, ou presque, a été dit sur le Château de Kafka. Je rajouterais simplement que de tous les écrits du Pragois (et j'ai lu tout ce qui était publié de lui et traduit en français, ses fragments, ses journaux, sa correspondance), son chef d’œuvre est bel bien ce Château, et plus je le relis, plus je me dis que son inachèvement, à un moment où la spirale de l'enfer semble devoir devenir infinie, sans qu'elle ne puisse véritablement se développer, contribue à son génie. Le Château accompagne ma vie, beaucoup plus que les textes aboutis en apparence.

Je laisse de côté ce roman dont l’histoire est invraisemblable. J’ai du mal à digérer son exagération fictive. J’ai besoin de lire quelque chose qui me tient éveillé. Je cherche encore.

Lu dans l'édition du Sillage.

Plaisant mais pas transcendant.

L'appareil critique de Guillaume Métayer me laisse assez dubitatif. Je ne dois pas être assez intelligent pour comprendre la subtilité du récit !



Lu parce que j'aime les petits textes des grandes plumes.

Roman inachevé. Kafka dénonce l'absurdité de la bureaucratie, à travers l'histoire de K., arpenteur, engagé par "Le château". Pendant tout le roman, il cherche désespérément à entrer en contact avec son commanditaire.

Les fonctionnaires abusent de leur pouvoir, créent un clivage social avec les subalternes et la population, développent un rapport maîtres-serviteurs. L'Administration engeendre l'avancée sociale : soit on accepte les règles et c'est l'ascension ; soit on les refusent et c'est la déchéance.

Recueil de nouvelles magistral. Prenez-en de la graine.

C est ok disons que j ai trouvee un peu long cette histoire... qui pour moi ne dit pas grand chose.

Décidément c’est vraiment très bien Kafka !!!

Lecture faite dans le cadre scolaire.



Livre très abstrait et vraiment particulier. Même si j'ai beaucoup de respect pour Kafka, j'avoue que s'il n'y avait pas eu d'examen dessus, je ne l'aurait pas lu de moi-même.

Franchement décevant

Contente de l'avoir lu.

Un univers particulier, trop sombre pour moi. Difficile à lire.

Olivier Deprez nous livre enfin les fruits de son travail de longue haleine sur Le château de Kafka. Huit ans de réflexion, d’expérimentations, pour accoucher de cet étrange objet, riche en apparitions...
Lien : https://www.avoir-alire.com/..

Portes arrestation juges invisibles

Une magnifique nouvelle traduction.

Ennuyeux et daté.

Effectivement un livre essentiel de l'histoire de la littérature, mais au final... que reste-t-il? Une trouvaille, certes excellente. Et ensuite?

Une condamnation de 90 pages d'un fils à un père qui n'aboutira à rien puisqu'au final, le père n'en verra jamais la couleur. J'ai trouvé ce texte d'une puissance et d'une précision surprenante, l'auteur décrit à la perfection ses ressentiments sur cette figure paternelle ultra autoritaire qui a oppressé son enfance. Une influence néfaste qui a eu comme répercussion une dévalorisation totale du fils, ce dernier se considérant plus tard comme un raté et parasite de la société. ( La postérité mondiale n'est pas d'accord )



L'auteur, en dépit de tous les défauts du père listés dans sa lettre, accepte néanmoins la condition despotique de ce dernier de par sa nature de caractère, venant même à se jeter la pierre. ( Il affirme qu'une telle éducation de ce genre aurait certainement convenu à un autre enfant "de la même pâte que lui" ) Le contraste entre le père et le fils est diamétralement opposé : d'un côté un fils introverti, peu sur de lui et de l'autre, un père à l'égo surdimensionné, une force de caractère écrasante et une certaine forme de malveillance à l'égard du monde entier. Pourtant malgré cette haine et ce mépris réciproque, cette relation n'est pas dénué d'amour, ce qu'on sent tout au long du livre. ( Le père qui se fait du souci pour un Franz souffrant, et l'admiration à la limite du divin que porte ce dernier à son père )

Une confession qui aura pour conclusion un constat à demi- fataliste.

Je l'ai acheté à Prague, en français et dans un bar, la bas ça paraissait une évidence de lire Kafka, comme si son âme était assisse à la table d'à coté. Ou comme si c'etait lui qui me racontait ses histoires. Mais de retour chez moi...Le charme était rompu, et décidément ce n'est pas un auteur pour moi. Mais j'ai été contente de passer quelques minutes avec lui.

Kafka - Le château

Roman inachevé de Kafka qui vaut vraiment la peine de se replonger dans les classiques du XXe siècle. K. géomètre "nommé" arrive dans un village imaginaire et est confronté au système administratif en place d'une absurdité abyssale qui est, hélas, terriblement moderne.

Oui, "moderne", "contemporain", voilà deux qualificatifs qui me viennent en tête en lisant "Le Château". Le service public/politique vole dans ses tours inaccessibles.

K. évolue parmi des villageois infantilisés, le rythme du temps est étrange et ajoute au malaise qui émane du récit. Toute ressemblance avec la société actuelle serait... Tristement inquiétante.