AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Franz Kafka (1137)
La métamorphose

un univers terrifiant ou l' homme est broyè par une force incomprèhensible
Commenter  J’apprécie          10
Lettre au père

Parfois, on entend ça et là quelques lecteurs moderne critiquer leurs ainés pour leurs phrases complexes, leurs descriptions à la loupe et la taille de leurs pavés.



C'est, pour certains, un obstacle à la lecture de grands auteurs.



Rien de tout cela dans lettre au père, juste un génie qui exprime le fond de son être, ses démons, ses chagrins, et fait exploser son style dans une lettre à son père, claire, incisive, puissante, et courte.



Nul besoin d'y passer des semaines, on peut s'imprégner du talent de l'auteur le temps d'un voyage en RER. Aucune excuse précitée n'est recevable, donc soyez curieux, lisez cette lettre que vous trouverez d'ailleurs gratuitement assez aisément si vous possédez une liseuse.
Commenter  J’apprécie          10
L'Amérique ou Le Disparu

Un autre roman inachevé de Kafka, dans la même veine que Le Procès ou Le Château. Toujours cette ambiance plombée, le danger et le sort qui s'acharnent, entrecoupés et habités par des scènes et des personnages déconcertants. Cette fois, le personnage principal est un adolescent fraîchement exilé en Amérique, chassé par ses parents allemands. À lire pour les amateurs de Kafka.
Commenter  J’apprécie          10
Lettre au père

"Une lettre adressée à son père, conséquence et bilan d'une relation très difficile.

D'autant plus puissant que j'y ai trouvé un contenu très autobiographique…"
Commenter  J’apprécie          10
La métamorphose

L'histoire d'un homme, soutien de sa famille qui un matin se transforme en un gros coléoptère. Dans un contexte familial assez lourd, la façon dont sa transformation est vécue par lui et par son entourage. Une ambiance pesante, mélancolique ; un roman intéressant.
Commenter  J’apprécie          10
Les aphorismes de Zürau

Des pensées éparses mais éclairantes sur son œuvre.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
Commenter  J’apprécie          10
La métamorphose

J'ai fini par lire cette fameuse nouvelle, tellement citée qu'elle en était devenue à mes yeux incontournable... Eh bien je dois dire que je suis passée à côté du truc.



Le langage m'a paru daté, le style parfois obscur. Quant à l'histoire, je l'ai trouvée assez obscure aussi, trop influencée par la psychanalyse, et elle ne m'a rien apporté de nouveau intellectuellement parlant... J'ai quand même fini l'histoire par curiosité de ce qui allait arriver à ce pauvre Gregor, et pour savoir comment était traité le sujet, mais sans accrocher particulièrement.



Pour moi, pas à la hauteur de sa réputation, donc...



J'ai essayé de lire les autres nouvelles du recueil, mais j'ai laissé tomber au bout de deux ou trois du même acabit...
Commenter  J’apprécie          10
Dans la colonie pénitentiaire (BD)

Le gros mérite de cette BD est quand même de vous faire découvrir un livre de Kafka. On prend connaissance du contenu sans pour autant jamais avoir ouvert un livre de Kafka.

Dans la colonie pénitentiaire on torture et on tue de manière très élaborée : le condamné est attaché à une machine qui grave dans son corps la sentence, jusqu'à mourir.
Commenter  J’apprécie          10
Le Procès

Le procès de Franz Kafka est un livre singulier et trés philosophique, mais sa complexité nous empéche d'en saisir le sens, ces pensées philosophiques qu'il faut decrypter et qui nous poussent à réflechir. On sent qu'il y un sens caché, mais qu'on n'arrive pas à saisir.

Même le style d'écriture, les descriptions , l'atmosphère du livre nous met mal à l'aise et semble parfois irréélle, étrange, comme si le narrateur vivait dans un rêve éveillé où tout est possible.

Bref je n'ai pas beaucoup aimé.
Commenter  J’apprécie          10
La métamorphose

Que dire de Kafka, on dit d'une situation kafkaïenne, bon c'est vrai faut le sortir au quotidien, ça c'est moins évident.
Commenter  J’apprécie          10
La métamorphose

Je renoue enfin avec la littérature fantastique que j'avais un peu délaissé. L'histoire de Gregor Samsa est très connue mais pour pouvoir en parler, il n'y a rien de mieux que de lire l'oeuvre originale. J'ai plutôt appréciée cette nouvelle. C'est une bonne entrée dans la littérature fantastique.







Je comprends que cette lecture est proposée aux lycéens, même si je trouve qu'en matière de fantastique, il y a quand même vachement mieux. Cette nouvelle n'est pas vraiment captivante... Tout est dans l'ambiance. Un peu comme Carmilla de Sheridan Le Fanu.







J'ai tout de même trouvé le style peu confortable. Le texte est constitué de longues phrases, les chapitres sont très longs et le texte est très compact dans cette édition. Bref, tous ces éléments ne facilitent pas la lecture. J'aurais aimé quelque chose de plus aéré, surtout pour une lecture scolaire !







En quelques mots, je conseillerai tout de même cette lecture à ceux qui s'intéressent au fantatisque. C'est une oeuvre qui a son charme et surtout une atmosphère étrange.
Lien : http://iluze.over-blog.com/a..
Commenter  J’apprécie          10
Lettre au père

J’ai lu cet essai dans le cadre d’un challenge de la littérature épistolaire. Ce choix, n’a rien d’innocent : le père, selon la définition, est l’initiateur, le fondateur de, le créateur de tout individu ,d’un auteur comme de son lecteur………..Et la relation tissée entre un père et son enfant, est loin d’être uniforme, est rarement un long fleuve tranquille, et de ce fait , même si elle ne conditionne pas tout, pose largement les fondations de tout individu.



Cette lettre, n’est jamais parvenue à son destinataire. Est-ce volontaire ?



Kafka, dans un texte court, mais d’une rare densité, se livre à une charge assez véhémente contre son père, dont il a reçu une éducation autoritaire, et dépourvue de tendresse. Il y remet en cause ses principes éducatifs, lui reproche son attitude dure à son égard. Il s’est senti mal préparé à sa vie d’homme, rendu inapte à la vie conjugale.

Malgré cette charge, il y a malgré tout, entre les lignes l’affection d’un fils, qui au fond a suivi un chemin parallèle à celui de son père, mis sans vraiment le rencontrer. Il y a beaucoup d’ambivalences dans les sentiments de Kafka à l’égard de ce père : la peur, l’admiration, le ressentiment, le sentiment d’infériorité. Tout cela se mélange dans la pensée de Kafka.



Le style épistolaire, qui se conçois comme spontané, accentue le côté répétitif de certaines réflexions, et donne un côté brouillon, et confus à cette lettre. Le style est à mon goût un peu trop alambiqué et tortueux. C’est ce qui en fait pour moi une lecture moyennement appréciée, mais non dénuée d’intérêt.



J’ai peut-être fait une erreur d’appréhender l’œuvre de Kafka avec cette lettre, mais voilà qui est fait.

Commenter  J’apprécie          10
Lettre au père

A travers une lettre qu’il n’a jamais eu le courage de faire parvenir à son père, Franz Kafka s’adresse à la personne qui selon lui a le plus marqué sa conception du monde et qui fut la source de ses problèmes.

(Cliquez sur le lien suivant pour lire la suite)
Lien : http://aufildeslivres.over-b..
Commenter  J’apprécie          11
La Muraille de Chine et autres récits

Je connaissais les Best of, je découvre les Worst of et littéraires avec ça!

J’avais adoré La Métamorphose. C’était très bien écrit, bien pensé, une belle remise en question de l’existence, du travail, de la société… Mais en ce qui concerne La Muraille de Chine… Ce n’est pas mauvais, c’est juste inachevé, fragmentaire. Il y a de bonnes idées et un style toujours agréable mais ça reste du brouillon, de haut niveau sans doute mais du brouillon quand même.
Lien : http://marcanciel.over-blog...
Commenter  J’apprécie          10
Cahiers In-Octavo (1916-1918)

brides, ébauches de textes, repris, entrecoupés, avec trois plus gros ensembles "rêve déchiré" (en partie forme théâtrale), "le chasseur Gracchus" (repris, re-écrit), "la construction de la muraille de Chine" (l'ensemble le plus homogène), de très brèves notations, des brouillons, la mort, les chambres etc..;
Commenter  J’apprécie          10
Le Château

Je pense que Kafka avait la volonté d’en faire un roman de 5000 pages afin de voir si le lecteur allait abandonner la lecture avant que K abandonne sa quête.



Critique à prendre évidemment avec humour, il ne faut pas m’en vouloir je n’étais pas averti avant d’entamer ce livre.
Commenter  J’apprécie          00
La métamorphose

Les avantages premiers sont le prix très modeste et les notes de bas de page : elles sont très explicatives, quelquefois trop en choisissant de parler pour ne rien dire, mais elles sont bien plus souvent plaisantes que nuisibles.

Ainsi, le classique est à la hauteur de sa réputation, au point qu’avant même la fin de la lecture, on s’intéresse aux autres œuvres de Kafka, tel Le Procès, Le Verdict, Lettre au père, etc, puisqu'elles sont des œuvres qui ne sont pas dénuées de points communs avec La Métamorphose. On s’y intéresse avant même la lecture elle-même d’ailleurs, grâce à la préface qui, cependant, spoile méchamment (peut-être est-ce le cas de la majorité des préfaces, je l’ignore).

Entre haine du travail ou du père, rapports humains parent-enfant ou patron-employé, solitude, déshumanisation, emprisonnement, déni, problèmes de communication, parasitisme, misère, amour ou perte de l’innocence au profit du mal, La Métamorphose est un excellent condensé de sentiments et d’émotions qui me restera en tête aussi longtemps que je l’ai lu rapidement.
Commenter  J’apprécie          00
Lettre au père

Un peu dépassée par le caractère si personnel de cette lettre, haine crachée au visage, brûlures d'injustices que Kafka lance à son père. On se sent comme spectateur d'un théâtre où l'acteur seul trépigne, jette les accessoires et déchire les rideaux.

J'en viens à me demander si cette lettre a bien fait d'être publiée ; je ne doute pas qu'elle heurte là où il faut pour certains, mais elle revient au nez de ceux qui l'ont ouverte par curiosité morbide.



" Ce que j'écrivais parlait de toi, je ne faisais qu'y pleurer ce que je ne pouvais pleurer sur ta poitrine. "
Commenter  J’apprécie          00
Contemplation

le looser par excellence faites qu'il soit bien protégé au royaume des puceaux (son empire) (j'en suis le premier général)

excellent ce que tu dis mon gars, j'en voulais plus, c'est comme un bon vin on ne s'en lasse pas parle moi pour l'éternité et l'au delà (jpp d'aragon j'ai du faire une pause j'arrive pas a lire son gros livre d'obèse là, aurelien le fou qui suit les meufs dans la rue (mais ça c'est un autre débat))



en tout cas kafka dit:

''et puis enfin, n'avons-nous pas le droit d'être fatigué,n'avons-nous par bu force vin?'' and i really felt that.



Commenter  J’apprécie          00
La métamorphose

J’ai détruit le livre après l’avoir lu.

Djdkdidifidididifjffkfidkdkdkdkdkdkdkfkfkckckckckckckckcckkckckckckckckckckckkckcckkccickcicckcicicicfnfndnjdudfuccndznfjicciifdidieieizizieejebebfbfbfbfbfbfjfjfjicivigiggiffufuririeriozzpzpzofugugudejejejejeuf
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Franz Kafka Voir plus

Quiz Voir plus

La métamorphose, de Kafka

Comme d'habitude, quel est le prénom du personnage principal ?

Georges
Grégoire
Gregor
Grigory

7 questions
227 lecteurs ont répondu
Thème : La métamorphose de Franz KafkaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}