un univers terrifiant ou l' homme est broyè par une force incomprèhensible
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Parfois, on entend ça et là quelques lecteurs moderne critiquer leurs ainés pour leurs phrases complexes, leurs descriptions à la loupe et la taille de leurs pavés.
C'est, pour certains, un obstacle à la lecture de grands auteurs.
Rien de tout cela dans lettre au père, juste un génie qui exprime le fond de son être, ses démons, ses chagrins, et fait exploser son style dans une lettre à son père, claire, incisive, puissante, et courte.
Nul besoin d'y passer des semaines, on peut s'imprégner du talent de l'auteur le temps d'un voyage en RER. Aucune excuse précitée n'est recevable, donc soyez curieux, lisez cette lettre que vous trouverez d'ailleurs gratuitement assez aisément si vous possédez une liseuse.
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Un autre roman inachevé de Kafka, dans la même veine que Le Procès ou Le Château. Toujours cette ambiance plombée, le danger et le sort qui s'acharnent, entrecoupés et habités par des scènes et des personnages déconcertants. Cette fois, le personnage principal est un adolescent fraîchement exilé en Amérique, chassé par ses parents allemands. À lire pour les amateurs de Kafka.
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"Une lettre adressée à son père, conséquence et bilan d'une relation très difficile.
D'autant plus puissant que j'y ai trouvé un contenu très autobiographique…"
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L'histoire d'un homme, soutien de sa famille qui un matin se transforme en un gros coléoptère. Dans un contexte familial assez lourd, la façon dont sa transformation est vécue par lui et par son entourage. Une ambiance pesante, mélancolique ; un roman intéressant.
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J'ai fini par lire cette fameuse nouvelle, tellement citée qu'elle en était devenue à mes yeux incontournable... Eh bien je dois dire que je suis passée à côté du truc.
Le langage m'a paru daté, le style parfois obscur. Quant à l'histoire, je l'ai trouvée assez obscure aussi, trop influencée par la psychanalyse, et elle ne m'a rien apporté de nouveau intellectuellement parlant... J'ai quand même fini l'histoire par curiosité de ce qui allait arriver à ce pauvre Gregor, et pour savoir comment était traité le sujet, mais sans accrocher particulièrement.
Pour moi, pas à la hauteur de sa réputation, donc...
J'ai essayé de lire les autres nouvelles du recueil, mais j'ai laissé tomber au bout de deux ou trois du même acabit...
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Le gros mérite de cette BD est quand même de vous faire découvrir un livre de Kafka. On prend connaissance du contenu sans pour autant jamais avoir ouvert un livre de Kafka.
Dans la colonie pénitentiaire on torture et on tue de manière très élaborée : le condamné est attaché à une machine qui grave dans son corps la sentence, jusqu'à mourir.
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Le procès de Franz Kafka est un livre singulier et trés philosophique, mais sa complexité nous empéche d'en saisir le sens, ces pensées philosophiques qu'il faut decrypter et qui nous poussent à réflechir. On sent qu'il y un sens caché, mais qu'on n'arrive pas à saisir.
Même le style d'écriture, les descriptions , l'atmosphère du livre nous met mal à l'aise et semble parfois irréélle, étrange, comme si le narrateur vivait dans un rêve éveillé où tout est possible.
Bref je n'ai pas beaucoup aimé.
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Que dire de Kafka, on dit d'une situation kafkaïenne, bon c'est vrai faut le sortir au quotidien, ça c'est moins évident.
Commenter  J’apprécie         10 ![Lettre au père par Kafka Lettre au père](/couv/cvt_Lettre-au-pere_5197.jpg)
J’ai lu cet essai dans le cadre d’un challenge de la littérature épistolaire. Ce choix, n’a rien d’innocent : le père, selon la définition, est l’initiateur, le fondateur de, le créateur de tout individu ,d’un auteur comme de son lecteur………..Et la relation tissée entre un père et son enfant, est loin d’être uniforme, est rarement un long fleuve tranquille, et de ce fait , même si elle ne conditionne pas tout, pose largement les fondations de tout individu.
Cette lettre, n’est jamais parvenue à son destinataire. Est-ce volontaire ?
Kafka, dans un texte court, mais d’une rare densité, se livre à une charge assez véhémente contre son père, dont il a reçu une éducation autoritaire, et dépourvue de tendresse. Il y remet en cause ses principes éducatifs, lui reproche son attitude dure à son égard. Il s’est senti mal préparé à sa vie d’homme, rendu inapte à la vie conjugale.
Malgré cette charge, il y a malgré tout, entre les lignes l’affection d’un fils, qui au fond a suivi un chemin parallèle à celui de son père, mis sans vraiment le rencontrer. Il y a beaucoup d’ambivalences dans les sentiments de Kafka à l’égard de ce père : la peur, l’admiration, le ressentiment, le sentiment d’infériorité. Tout cela se mélange dans la pensée de Kafka.
Le style épistolaire, qui se conçois comme spontané, accentue le côté répétitif de certaines réflexions, et donne un côté brouillon, et confus à cette lettre. Le style est à mon goût un peu trop alambiqué et tortueux. C’est ce qui en fait pour moi une lecture moyennement appréciée, mais non dénuée d’intérêt.
J’ai peut-être fait une erreur d’appréhender l’œuvre de Kafka avec cette lettre, mais voilà qui est fait.
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brides, ébauches de textes, repris, entrecoupés, avec trois plus gros ensembles "rêve déchiré" (en partie forme théâtrale), "le chasseur Gracchus" (repris, re-écrit), "la construction de la muraille de Chine" (l'ensemble le plus homogène), de très brèves notations, des brouillons, la mort, les chambres etc..;
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Je pense que Kafka avait la volonté d’en faire un roman de 5000 pages afin de voir si le lecteur allait abandonner la lecture avant que K abandonne sa quête.
Critique à prendre évidemment avec humour, il ne faut pas m’en vouloir je n’étais pas averti avant d’entamer ce livre.
Commenter  J’apprécie         00 ![La métamorphose par Kafka La métamorphose](/couv/cvt_La-metamorphose_1704.jpg)
Les avantages premiers sont le prix très modeste et les notes de bas de page : elles sont très explicatives, quelquefois trop en choisissant de parler pour ne rien dire, mais elles sont bien plus souvent plaisantes que nuisibles.
Ainsi, le classique est à la hauteur de sa réputation, au point qu’avant même la fin de la lecture, on s’intéresse aux autres œuvres de Kafka, tel Le Procès, Le Verdict, Lettre au père, etc, puisqu'elles sont des œuvres qui ne sont pas dénuées de points communs avec La Métamorphose. On s’y intéresse avant même la lecture elle-même d’ailleurs, grâce à la préface qui, cependant, spoile méchamment (peut-être est-ce le cas de la majorité des préfaces, je l’ignore).
Entre haine du travail ou du père, rapports humains parent-enfant ou patron-employé, solitude, déshumanisation, emprisonnement, déni, problèmes de communication, parasitisme, misère, amour ou perte de l’innocence au profit du mal, La Métamorphose est un excellent condensé de sentiments et d’émotions qui me restera en tête aussi longtemps que je l’ai lu rapidement.
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Un peu dépassée par le caractère si personnel de cette lettre, haine crachée au visage, brûlures d'injustices que Kafka lance à son père. On se sent comme spectateur d'un théâtre où l'acteur seul trépigne, jette les accessoires et déchire les rideaux.
J'en viens à me demander si cette lettre a bien fait d'être publiée ; je ne doute pas qu'elle heurte là où il faut pour certains, mais elle revient au nez de ceux qui l'ont ouverte par curiosité morbide.
" Ce que j'écrivais parlait de toi, je ne faisais qu'y pleurer ce que je ne pouvais pleurer sur ta poitrine. "
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le looser par excellence faites qu'il soit bien protégé au royaume des puceaux (son empire) (j'en suis le premier général)
excellent ce que tu dis mon gars, j'en voulais plus, c'est comme un bon vin on ne s'en lasse pas parle moi pour l'éternité et l'au delà (jpp d'aragon j'ai du faire une pause j'arrive pas a lire son gros livre d'obèse là, aurelien le fou qui suit les meufs dans la rue (mais ça c'est un autre débat))
en tout cas kafka dit:
''et puis enfin, n'avons-nous pas le droit d'être fatigué,n'avons-nous par bu force vin?'' and i really felt that.
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J’ai détruit le livre après l’avoir lu.
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