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Critiques de Frédéric Dard (1526)
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A prendre ou à lécher

Voilà ... San-Antonio vient de gagner un voyage à Bangkok. Tous frais payés. Payés d'ailleurs aux frais de la princesse, offert gracieusement par l'état français, via le Vioque. Que du bonheur ! En échange ? Oh deux, trois bricoles. Entre autre, retrouvé Victor Héatravaire, PDG des établissements Laguêpe, spécialiste de dessous féminins, gaines et soutiens-gorges. Quelques conditions, tout de même : emmené Béru, voyagé en première, un super hôtel et un bon paquet de fric pour les faux frais.

Un San-Antonio correct, on y trouve tous les ingrédients qui font le succès de ce policier : humour, dérision, suspense et jolie filles sexy.

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A prendre ou à lécher

102ème roman de San-Antonio publié le 20/01/1980.



L'histoire se déroule en Thaïlande en mai 1979.



Histoire : le Vieux demande un service personnel à San-Antonio : rechercher un de ses amis disparu à l'aéroport de Bangkok. Et c'est avec Bérurier qu'il tente de retrouver Victor Héatravaire. Mais arrivé à l'hôtel Oriental, un individu se jette d'un étage et manque d'écraser San-Antonio ...



Un bon San-Antonio avec la particularité que la mission est complètement éclipsée par le suicide. de l'action avec de nombreux rebondissements.



A noter l'absence de Pinaud dans ce roman.
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A prendre ou à lécher

Arrivent les années 80 avec ce 102ème San-Antonio paru cette année-là. Un voyage en Thaïlande, destination qui venait à la mode à cette époque, et une recherche d'un chef d'entreprise disparu. De belles envolées de Bérurier dans une histoire pleine de jolies filles sexy, à prendre ou à...
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A prendre ou à lécher

Et voilà notre commissaire préféré qui part passer des pseudos vacances en Thaïlande, à la recherche d'un chef d'entreprise qui s'est volatilisé à la sortie de l'aéroport de Bangkok. Accompagné de l'ineffable Alexandre-Benoit, voici la fine équipe qui va friser le pire avant de réussir à se sauver, ce qui n'est pas vraiment une surprise.



La langue de Frédéric Dard n'appartient qu'à lui. Elle est riche, imagée, illustrée et évolue au fil du temps. Dans ce livre, écrit en 1980, l'argot des années 60 a quasi disparu, et parfois, c'est presque du français moderne.



Quelques scènes béruréennes d'anthologie, irracontables bien entendu, mais qui témoignent d'une richesse d'imagination sans limite.



Côté intrigue, c'est pas mal, et ça vaut bien des policiers modernes.



Ne pas se priver de se faire un petit San Antonio de temps en temps, surtout en période de déprime ou par temps maussade.
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A San Pedro ou ailleurs

J'ai adoré cette histoire d'amour. pas beaucoup de suspens mais une histoire "tout" simple" et humaine.
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A San Pedro ou ailleurs

Je n'avais jamais lu Frédéric Dard, et je dois avouer que j'ai été très agréablement surpris. J'ai été happé par la curiosité des personnages, de leurs vies, de leur rencontre, et très rapidement par leur histoire d'amour improbable mais pourtant si réaliste.

Ce livre est une réussite, très bien écrit, agréable et envoutant, avec même un petit peu de suspens !
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A tue... et à toi

Ca fait du bien un bon vieux San Antonio, parfois!!

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A tue... et à toi

Le beau San Antonio se fait piéger. Comme à son habitude, M.Dard profite d'une histoire policière pour nous insuffler sa verve, son argot et ses pensées pessimistes sur l'Homme.
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A tue... et à toi

1956, numéro 20 de la série, on est encore dans les enquêtes de droit commun pour le commissaire et ses partenaires, Bérurier et Pinaud apparaissent à peine. L'histoire consiste en la résolution d'un meurtre camouflé en suicide. Bien sûr, San-Antonio en viendra à bout. Ce petit polar d'époque se laisse lire avec plaisir si on aime le genre Dard.
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A tue... et à toi

Il y a des invitations que l’on serait bien inspiré de refuser…même lorsqu’il s’agit d’un cassoulet.

C’est sans doute ce qu’aurait dû faire notre commissaire national ; mais non…



Tout commence par cette invitation à dîner chez le Docteur Dubois dont la chère et tendre est une spécialiste de ce fleuron de la gastronomie française. Un coup de fil viendra perturber le déroulement du dîner : une urgence. Le Docteur Dubois se rend chez son patient et ne tarde pas à appeler San-Antonio à la rescousse.

Arrivé sur place, il constate que monsieur Vignaz, le patient, gît dans le salon, étranglé par le fil du téléphone, et que madame, les veines tranchées gît, elle, dans la baignoire.

Les officiels, chargés de l ‘enquête - Mignon pour ne pas le nommer - concluront à un double suicide, mais San-Antonio doute. Et quand San-Antonio doute, il fouine.

On sabote sa voiture et c’est l’accident. Blessé, le commissaire sera pris en charge dans la propre clinique privée du Docteur Dubois, en ami…



Voilà à ma connaissance le premier San-Antonio directement lié au crime de droit commun, après un bon nombre de volumes consacrés aux services secrets et à la poursuite de criminels nazis. De plus, on sent ici, même si ce n’est qu’à la fin, l’équipe se constituer ; San-A., Pinaud, Bérurier, même si c’est au tour de Pinaud déguisé avec le costume de facteur de son père de sauver la mise à son chef ; rôle plus souvent dévolu à l’inspecteur principal Alexandre Benoit Bérurier…



Bref, un bon San-Antonio, un peu moins marle que certains, mais bon tout de même ; de facture Frédérique Dard plus que San-Antonio.

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A tue... et à toi

San-Antonio passe tranquillement la soirée chez son ami Dubois. Celui-ci, docteur, se fait interrompre pendant le dîner pour une urgence. Quelques minutes plus tard, il appelle le commissaire à la rescousse : la patient est mort, étranglé par le fil du téléphone. Sa femme est morte dans la baignoire, les veines ouvertes. Tout converge vers la thèse du suicide. Mais le cinquième sens de San-Antonio n'accepte pas cette explication simpliste.



Un accident l'envoie à l'hôpital avec une épaule et quelques côtes fracturées. Pour une fois, il ne sera pas sur le terrain, mais dirigera les opérations par téléphone.



Ce livre est un peu en dessous de la moyenne de la série : le coupable se trouve très facilement, dès les premières pages, et l'intrigue est très classique, sans aucune surprise. Pour ne rien arranger, ni l'argot ni les jeux de mots ne sont à la hauteur, et les personnages secondaires (Bérurier, Pinaud, …) sont aussi aux abonnés absents. Ce tome sera vite oublié.
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A tue... et à toi

20ème roman de San-Antonio publié en 1956 (dépôt légal 2ème trimestre 1956).

L'histoire se déroule à Paris en août-septembre 1955.



L'histoire : San-Antonio est invité à dîner chez ses amis Dubois. Ce dernier qui est médecin reçoit un appel urgent pour soigner un malade. Quelques instants plus tard, il demande à San-Antonio de le rejoindre et constate que le malade et sa femme se sont suicidés. Mais San-Antonio ne croit pas à la thèse du suicide...



Pour son 20ème San-Antonio, Frédéric Dard sort des sentiers battus. Ce roman ne ressemble pas du tout aux précédents. On découvre même un San-Antonio sensible, plus humain. Ce qui rend ce livre intéressant.



Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :

- Taille : 1m80

- Poids : environ 80 kg

- Age : 34 ans nouvelle incohérence car il a 35 ans dans certains ouvrages précédents ("Du mouron à se faire" par exemple).
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A tue... et à toi

Invité à un repas chez des amis, San Antonio se retrouve vite à profiter de ses congés pour mener une enquête et voir si ce qui semblerait être un double suicide ne serait pas plutôt un double meurtre....



Commencé par la gastronomie, San Antonio se retrouve très vite immobilisé au point de devoir éviter l'enterrement grâce à Pinaud, c'est tout dire.



Les femmes sont très présentes dans ce roman, du côté des enquêteurs, et non pas seulement pour la bagatelle. Félicie est très active en particulier !



J'avais du le lire quand j'avais 14 ou 15 ans. 40 ans après, je l'ai relu avec un très grand plaisir. Et je viens de le terminer pour gérer le décalage horaire, à Lima au Pérou.
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A tue... et à toi

Effectivement après les aventures mouvementées de San Antonio à Barcelone, voici une vingtième aventure cent pour cent parisienne. Ce tome de 1956 raconte une aventure à huis clos. Tout commence par une invitation chez son ami le Docteur Dubois (dont on fait les cercueils) pour déguster un cassoulet avec une description mémorable de Madame DUBOIS dégustant ce plat riche. Notre commissaire va encore être mêlé à une intrigue hors norme.

L'intérêt de A tue... et à toi réside dans un fait divers oublié des français, "l'affaire des piastres indochinoises", un juteux trafic monétaro-colonial d'après-guerre qui couta la vie au journaliste d'investigation Jean-François Armorin (un peu comme Albert Londres de retour de son enquête sur le trafic d'opium en Chine).
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A tue... et à toi

"Des fantassins et des pétasses ! La voilà, l'humanité à l'état pur..."



Le Montaigne de l'Extase, une épaule fracturée, est recueilli dans la clinique privée de son vieux pote médecin (Le La Boétie de la grisaille, rencontré au service militaire). Depuis son lit de douleur et assisté de sa douce Félicie, notre Artiste essaie de résoudre une ténébreuse affaire de double assassinat, le premier au coupe-chou, le second au bigophone étrangleur.



Sous influence ouvertement hitchcockienne, cet épisode, malgré sa prévisibilité, ménage le suspense et nous offre, en supplément, un San-Antonio fleur bleue, prêt à se laisser passer la bagouze au doigt.



On ne s'offusquera évidemment pas de la grossophobie de notre héros qui nous vaut de belles marrades, pas plus qu'on ne renâclera sur ses fusées philosophico-poilantes, au cynisme gouailleux.



Un huis-clos rhââââletant.
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A tue... et à toi

Après les aventures espagnoles du tandem San-A — Béru (« Fais gaffe à tes os »), ce roman m’a paru moins passionnant. Mais il y a quelques moments qui ont attiré mon attention et m’ont fait écrire ces brèves notes de lecture.



Primo, après un tas de volumes consacrés aux services secrets et aux nazis, vient le premier san-antonio consacré au crime de droit commun.



Deuxio, l’importance des gonzesses. Elles y sont présentes non seulement pour la bagatelle. Félicie qui joue à Sherlock Holmes, c’est pas ordinaire !



Tertio, un cassoulet et une invitation à dîner qui mènent pas aux gogues mais jusqu’à la mise au tombeau, c’est un supergala. Et avec un ami qui est à tu et à toi…



Bon, ben, ne permettriez-vous pas que je continuasse ?



Tout commence du dîner chez son ami Dubois. Ce dernier est docteur (pas le Petit Docteur, bien sûr) et sa femme est le plus beau fleuron de la cuisine française.



" La mère Dubois est une aimable baleine de deux tonnes qui cuisine comme un chef — un chef de chez Larue, bien entendu. Elle, sa spécialité, c’est la sauce ! Pour ça, elle est douée, y a pas ! Cette vocation lui est venue alors qu’elle était toute petite et qu’elle apprenait le piano… Le tabouret étant trop bas, on l’avait fait asseoir sur le Larousse culinaire. Tiraillée entre le Mozart ouvert devant ses yeux et le Brillat-Savarin fermé sous ses fesses, elle avait — parant la difficulté — fini par céder au second. "



Le coup de téléphone retentit : un appel urgent pour le docteur Dubois. Quelques minutes plus tard le médecin fait un appel au commissaire pour lui demander du secours : ses clients sont morts. Son patient, monsieur Vignaz, est étranglé par le fil du téléphone et sa femme s’est suicidée dans la baignoire, les veines ouvertes. Un vrai carnage.



Tout porte à croire qu’il s’agit d’un double suicide familiale. Même la police, l’inspecteur Mignon, est de cet avis. Mais San-Antonio flaire un super pot aux roses. Un super crime. Un crime parfait.



" Son crime est un crime parfait ! Plus que parfait ! Il comptera dans les annales du meurtre ! Il aura mené son affaire de main de maître, avec une précision extraordinaire… Il s’est entouré de toutes les précautions ; il n’a rien laissé au hasard… "



Et comme il a huit jours de congé, il a l’intention de s’amuser bien en découvrant ce mystère et même boule de gomme.



Un accident de sa voiture l’envoie à l’hôpital et pour la période d’observation San-Antonio vient, en ami, chez Dubois.



" — Oui, tu sais que l’étage au-dessus de mon appartement est à moi. Je l’ai transformé en petite clinique d’accouchement. J’ai trois chambres pour mes clientes qui veulent être soignées par moi… L’une est libre en ce moment. Tu vas t’y installer… Ainsi tu seras sous ma surveillance et tu auras tes aises… La nourriture est bonne, tu ne l’ignores pas… Le téléphone sera à ton chevet, tu pourras recevoir n’importe qui à toute heure du jour et de la nuit ! "



Pour une fois, le fameux commissaire va diriger les opérations par téléphone et va mettre en contribution Félicie, sa brave femme de mère…



À mon avis, c’est l’un des médiocres volumes de la série. L’intrigue est niaise : on trouve le coupable dès les premières pages. Le tempo et le côté criminel bien étudié du livre sont ses point forts. Mais ce n’est pas suffisant pour le succès et ma lecture était un peu ennuyeuse. Je dirais que Frédéric Dard y a relégué San-Antonio au second plan.



3.0/5
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A tue... et à toi

Alors que notre commissaire préféré casse la croûte chez son ami Dubois et son pachyderme d'épouse, le téléphone sonne, appelant le bon docteur pour une urgence.

San-Antonio continue donc le dîner en tête à tête avec Mme Dubois qui boulotte son cassoulet avec gloutonnerie, jusqu'à ce que le téléphone ne sonne à nouveau.

C'est Dubois qui appelle son ami pour lui signaler qu'il se trouve surement sur une scène de meurtre...

Notre héros le rejoint aussitôt et découvre une femme suicidée dans sa baignoire, et son mari raide mort sur le tapis du salon, étranglé par le fil du tel, s'étant manifestement également donné la mort après avoir découvert sa femme dans la salle de bain, le poignet tranché au rasoir...

Voilà les bases de cet épisode un peu atypique sur la forme, mais toujours aussi excellent!

Une sorte de huis-clos étrange et rapidement inquiétant se met en place pour un dénouement où se mêle les coups de tournevis et les larmes...
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A tue... et à toi

Et une nouvelle fois dans l'ensemble, j'ai trouvé cette lecture plaisante. C'est léger, c'est rythmé et c'est du San Antonio dans son jus. On retrouve les cadavres, les filles, le jargon de Frédéric Dard et le sens de la répartie de San Antonio qui nous invite à participer à son enquête. La carte est connue d'avance et ça fait toujours plaisir de rentrer dans ce restaurant. C'est un endroit sûr où on y entre en toute sécurité pour le plaisir de se laisser prendre au jeu.



Malheureusement, ça s'arrête là pour moi. Il y a tout ce que je m'attends à retrouver dans un San Antonio mais je n'ai pas été passionné plus que ça par ce récit. Le fait que l'intrigue soit beaucoup cloisonnée à un seul endroit façon huis clos à peut être un peu joué mais au-delà de ça, le fait de deviner très rapidement qui est derrière ce double crime fait que je n'ai pas su être emporter par cette enquête. Même la révélation finale est prévisible d'ailleurs même si elle nous offrait un nouveau visage du Commissaire que je trouvais intéressant.



En lisant un San Antonio, je sais que Frédéric Dard ne fait pas toujours dans la dentelle (et c'est aussi ce qui me plait) mais ici, le fait de ne pas réussir à m'impliquer dans ce récit fait que tout ce qu'il y à autour (scènes grivoise, jeux de mots, relation avec la nourriture..) m'a paru juste là pour combler des trous. C'est d'autant plus dommage qu'il y a quand même des aspects que je trouve plaisant. La vision du couple de San Antonio, l'implication de Félicie qui a un vrai rôle ici, notre Commissaire que l'on sent véritablement en danger...



Autant le dire de suite, je suis passé à côté de cette enquête. Je ne l'ai pas détesté car le style de l'auteur fait que je m'amuse toujours avec sa façon de jouer avec la langue française et l'argot mais je regrette que l'intrigue n'est pas su me plaire davantage.



Je l'ai déjà dit par le passé mais statistiquement, avec 175 enquêtes dans la série officielle, il y a forcément des titres qui me plaise plus que d'autres. "A tue et à toi" fera parti de celles qui ne me laisseront pas un souvenir mémorable mais qui n'entache en rien le plaisir que je prends en lisant San Antonio et l'envie de passer à l'enquête suivante.
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A tue... et à toi

C’était jusqu’à maintenant mon meilleur San A ; cela restera mon meilleur San A. Je ne m’en lasse pas. Le style épuré, épuré au sens Dardien du terme mais cela ne durera pas, l’intelligence de l’histoire, la mise en scène, car ce roman ressemble à un film, et le suspense final, tout me va. J’oublie les rebondissements et les nombreuses surprises. Et puis la dernière phrase du livre qui est un petit chef d’œuvre et met les frissons quand on connait l’histoire.

Extraits :

La dernière phrase du roman :

Machinalement je mets en route… Je tourne une rue, une autre… Je déclenche l’essuie-glace, mais ma vue reste brouillée… Y a maldonne, les mecs… Ça n’est pas sur le pare-brise qu’il pleut !

FIN

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A tue... et à toi

San-A est coincé dans le lit d'une clinique. L'intrigue, articulée autour de cette contrainte formelle, prend la tournure d'un huis-clos classique, sans fioriture, et se construit à grand renfort de matière grise et de déductions bien formulées, jusqu'à une chute qu'on voit venir un peu tôt mais dont l'approche est intelligente. Les scènes d'actions habituelles laissent donc place à la réflexion, l'auteur en profite pour parsemer celle-ci de pensées sur l'existence et se laisse même aller à une intéressante philosophie pessimiste, voire fataliste.



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