Frédérick d` Onaglia

Une histoire menée tambour battant, des personnages forts, mais pas une once de Provence : rien qui n'évoque la région de Fontvieille et des Baux, au point que l'histoire pourrait se situer n'importe où, et un style très déroutant, voire peu travaillé ... En somme, une production littéraire "moderne".

Malheureusement, ce livre m’a laissée sur ma faim.



L’intrigue manque de dynamisme, l’enquête ne parvient pas à captiver, les personnages peinent à susciter de l’attachement et les histoires d’amours semblent presque risibles, apportant une dimension artificielle à l’ensemble.



Une lecture qui, malgré de belles descriptions, n’a pas réussi à éveiller mon intérêt.



Dommage!

Dans un village des Alpilles, la jeune Claire, directrice du parc des Cygalines, s’enthousiasme pour un nouveau projet : la mise en valeur d’un site et d’une stèle témoignant du riche patrimoine archéologique de la région. Mais son quotidien lui pèse. Suite à une opération qui l’a laissée handicapée, elle vit avec des douleurs intolérables que seule la chimie parvient à calmer. Alexis, son mari, s’inquiète d’une probable addiction tandis que Claire, se sentant diminuée et enlaidie, se montre agressive avec lui. Leur couple bat de l’aile. Dans l’ombre, Victoire de Montauban ne lâche rien, bien décidée à asseoir son influence sur le parc. Le projet culturel va révéler des affaires scabreuses et surtout un passé trouble lié à l’Occupation.

Un passé bien gênant pour certains, une opportunité pour d’autres.

Un bon roman qui m'a fait passer un agréable moment. Cependant, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire n'ayant pas lu "Le temps des convoitises".

Finalement, j'ai retrouvé la plume de l'auteur avec de belles descriptions de cette non moins belle Provence...

je ne suis pas très fan de ce genre de roman un peu "gentillet". Pas fan non plus du style de l'auteur. J'ai toutefois apprécié les descriptions de ce beau coin de Provence, de cette Provence authentique qui a su conserver ses traditions et respecte son environnement. Habitante du Var où on se dit aussi provençaux, je reconnais qu'il n'en a pas été de même malheureusement chez nous. Fontvieille, Les Baux, des lieux magiques !

Le titre du roman est transcendant "La Partition des illusions".

Je suis quelque peu surprise par l'avis, un peu dur, des autres lecteurs, mais, après tout, chacun ressent les choses différemment, et heureusement, d'ailleurs.



Mais peut-être, aussi, y a-t-il une explication concernant cette divergence des avis, à savoir que suivant la personne qui lit ce livre, cela réveille (ou pas) des traumatismes ou sentiments, une analogie avec sa propre histoire, heureuse ou malheureuse.

Le clan Lazaret a tout pour être heureux. Dans cette famille unie, les parents sont toujours là pour venir en aide à leurs enfants : Martin qui vient de s'installer dans leur Gard natal et qui est sapeur pompier, qui vient de se marier à la douce Elsa infirmière à domicile, Ophélie qui a repris la jardinerie familiale, et Paul, qui fabrique des effets spéciaux. Tout irait pour le mieux si le Vilourde, fleuve qui passe dans le village de Sommières n'entrait pas en crue une énième fois et détruit tout sur son passage. Et c'est cet évènement qui va bousculer la famille toute entière, qui se retrouve à partir de là au milieu de la tourmente, qui va les obliger à faire face, à panser leurs plaies et à se reconstruire.

Je reproche parfois à cet auteur de survoler les sujets de ses livres et de nous livrer des personnages peu attachants. Dans "La vie leur appartient" c'est justement tout le contraire. Le sujet des inondations dans le Gard est très riche et les personnages de ce roman sont très attachants. On traverse les épreuves avec eux, on a peur pour eux, et on a surtout envie que tout le clan Lazaret sorte indemne de ce cataclysme. Un très bon roman que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, et qui nous rappelle que la nature est parfois dangereuse quand elle décide de reprendre ses droits, qui nous raconte également l'importance de l'entraide et le soutien des uns envers les autres.

J'ai beaucoup aimé.

J'ai très vite plongé dans la vie de Marie Jourdan et son exploitation d'oliviers, entourée d'amis mais aussi d'un voisin ennemi Trophime Mourgues.

Une intrigue fait jour avec la découverte d'un squelette, même on se doute rapidement de qui il s'agit. Par contre, jamais je n'aurais imaginé l'auteur du crime.

L'histoire se passe en Provence, au pied des Alpilles. La description des lieux est très fidèle. C'est ma région de cœur, je la connais comme si j'étais de là. Les mots sentent bon la garrigue, les cigales chantent à chaque inter-ligne.... un festival pour les sens. Le livre raconte une rivalité entre viticulteurs. On est au cœur des vignes du Château de Montauban à Fontvieille. Pour l’anecdote c'est dans ce château que Daudet a écrit les Lettres de mon Moulin, non loin du Moulin de Daudet qui n'a de Daudet que le nom, en effet Daudet n'a jamais eu de moulin. Celui présenté aux touristes est un musée reconstitué. Bref, je parlerais de cette région pendant des heures. C'est dire que j'ai beaucoup aimé ce livre

Un roman du terroir avec une intrigue policière touchant à des secrets enfouis depuis plus de trente ans.



40 000 lecteurs pour ce roman, clame la quatrième de couverture avec fierté.

40 001 avec moi, donc, si j’ai bien compté…



On aurait dû en rester à 40 000 parce que moi, je n’ai pas accroché. J’ai eu l’impression de relire parfois un « Club des cinq » (cela m’a rajeuni), et d’autres fois un titre de la collection Harlequin (enfin, je crois, je n’ai jamais lu…).



Psychologie des personnages sommaire (tout le monde tombe vite amoureux de tout le monde. En revanche, l’amoureux transi depuis l’enfance passe très vite à autre chose quand il avoue sa flamme mais que celle-ci n’est pas partagée), histoire pas très originale, style plat…



Etant donné qu'il a déjà publié dix romans (toujours d’après la quatrième de couverture), je suppose que les 40 000 lecteurs précédents ne sont pas tombés sur ce livre par hasard comme je l’ai fait, mais ont aimé son œuvre.

Je suppose aussi qu’ils ont apprécié la fluidité de l’écriture, l’atmosphère agréable (ah, le Sud et les châtaigniers…), et l’histoire qui se tient.



Un roman du terroir, style téléfilm policier du samedi soir. Et après on va se coucher…




Lien : https://marc-torres.fr/

🔖 Un roman lu quasiment d’une seule traite qui nous plonge au cœur d’un village Provençale, de non-dits, et d’un drame vieux de 30 ans.

🔖 Un livre feel-good qui se lit très vite, j’ai adoré être bercé par les paysages de la Province tout au long de ma lecture, et on trépigne d’impatience de connaître la vérité sur ce drame. ⚡️

Venez avec moi sans le sud de la France pour découvrir Marie, jeune femme ayant repris une exploitation d'olives biologiques, qui rêve également d'ouvrir une pension équestre.



Autour d'elle, gravite Trophime Mourgues, un vieux voisin, bien décidé à récupérer ses terres, son fils, Serge, souffrant de problèmes d'alcoolisme, Mathias, son amoureux et un squelette, retrouvé par hasard qui risque de déterrer des anciens secrets datant d'avant la seconde guerre mondiale.



Il s'agit d'un roman avec une lecture facile, une histoire captivante mais on ne s'ennuie pas, le personnage principal, Marie, est une combattante et souhaite atteindre ses objectifs tout en faisant le bien autour d'elle. J'ai passé un bon moment, sans prise de tête, entre deux livres plus dures.

C'est une vraie saga digne des grands téléfilms estivaux.

Tout est là : amour, trahison, haine, lettres anonymes dans le décor paradisiaque de la Provence (d'ailleurs très justement dépeinte).

L'intrigue est captivante mais j'aurais aimé un peu plus de longueur, c'est bien écrit mais l'histoire est trop rapide, trop fluide.

La vie leur appartient - Frédérick d'Onaglia - Editions du 123 :



Tout d'abord, je tiens à vous dire que ce livre, je l'ai adoré, dévoré, je me suis laissée emporter par l'écriture fluide de Frédérick. Un ouvrage à lire !



Sommières, dans le Gard. Quand la nature reprend ses droits, en proie aux incendies et aux inondations, c'est toute une région qui se mobilise pour sauver maisons, entreprises, patrimoine local. Drames familiaux, entraide, solidarité nourrisent ce roman d'une vérité parfois cruelle mais teintée de bonheur et d'espoir.



Elsa est sur un nuage depuis son récent mariage avec Martin Lazaret, l'homme de sa vie. Elle est infirmière, lui pompier, tous deux exercent à Sommières, dans le Gard, unis par les mêmes valeurs d'altruisme. La jeune femme a intégré avec un peu d'appréhension mais beaucoup de joie le clan Lazaret, soudé autour des parents de Martin et de Terre de garrigue, la jardinerie familiale.

En attendant la fin des travaux de rénovation de leur maison, ils se sont installés à La Desserte, la demeure des Lazaret. Alors que tout semble leur sourire, un épisode cévenol provoque de violentes inondations. Le Vidourle en crue emporte tout sur son passage.

A la caserne, Martin est au premier plan et échappe de peu à la noyade lors d'une mission de sauvetage. Terre de garrigue n'est pas épargnée non plus, avec une partie des serres totalement détruite. Pire encore, l'une des infirmières du cabinet où travaille Elsa est emportée par les flots. Sa mort suscite de nombreuses interrogations, d'autant que d'étranges soupçons pesaient sur elle avant sa disparition. Bientôt, les langues se délient... Traversée par cette onde de choc, la famille Lazaret ne sera plus jamais la même. Saura-t'elle surmonter les épreuves ?



Frédérick d'Onaglia est né à Lyon et réside aujourd'hui dans le Sud. La Provence et la Camargue, terres de contastes à l'identité forte, servent souvent de cadre à ses histoires, sagas familiales contemporaines au souffre romanesque puissant. Traduits dans plusieurs pays, ses livres attirent aujourd'hui un lectorat toujours plus nombreux. La vie leur appartient est le premier ouvrage de l'auteur à paraître aux éditions du 123.



Je vous conseille ce formidable roman où tout sonne tellement VRAI ! Et... tellement bien écrit !



Je remercie Geneviève Perrin, Attachée de presse aux Editions du 123 pour cet envoi en service presse. Livre disponible dans toutes les excellentes librairies indépendantes.



Bonne(s) lecture(s) à vous tous.
Lien : http://binchy.canalblog.com/..

Encore un roman que l'on ne peut lâcher une fois commencé.

L'auteur nous fait voyager dans un vallon des Alpilles où Marie Jourdan tente de sauver son exploitation d'oliviers après plusieurs années de mauvaises récoltes. Les passions se déchaînent dans le hameau alors que l'on découvre des ossements humains dans une remise de l'oliveraie...

Frederick D'onaglia a le don de mêler le terroir et une enquête menée avec brio. Les paysages et la description de l'oliveraie me donne presque l'impression de "sentir" les parfums des Alpilles et de la préparation de l'huile d'olive.

Je le recommande vivement...

Le commentaire de Cathy :

10 ans, cela fait maintenant autant de temps que Chloé, suite au décès de son mari, a quittée St jean du Gard.

Elle est de retour dans ce coin de Cévennes, Jean Chavanel, son beau-père, fondateur d'une grande marque de chaussures s'est suicidé.

Quelle est la raison qui a pu pousser un tel homme à se donner la mort ?

Quel plaisir de lire à nouveau Frédéric d'Onaglia.

Très vite, je me suis retrouvé plonger dans une histoire qui m'a tenu en haleine.

Chloé est une femme à laquelle je me suis facilement attachée, cette jeune femme qui pour survivre au décès accidentel de son mari s'est éloignée de tout en se créant une carapace afin de se protéger ainsi que ces enfants.

Son retour dans le domaine familial ne va pas plaire à tout le monde, Gérard fait partie de ceux-là.

J'ai aimé suivre le combat de la jeune femme afin de redonner tout son lustre à l'entreprise de son beau-père, il va être semé d'embûches et de coup bas.

Une certaine intrigue se met très vite en place, cela donne un roman très agréable, très bien construit.

J'ai passé un très bon moment de lecture, Frédéric d'Onaglia est un auteur que je lirai à nouveau avec plaisir.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...

Un bon roman du terroir qui, comme le titre l'indique, nous font revenir aux sources. L'auteur nous décrit à merveille les paysages. On s'y croirait !

Les personnages sont attachants. Bref, si l'on veut passer un bon moment, n'hésitez pas une seconde...

Un roman teinté de terroir par ses références aux lieux mais pas par la nature du récit qui le rattache au genre du roman. Un sujet basé sur un secret de famille dans un contexte villageois de taiseux ne révolutionne pas le genre mais le traitement est honnête et nous entraîne dans l'atmosphère de suspicion, d'interrogations, de jalousies, de silences, de secrets mais aussi d'affection, d'attachement, d'entr'aide.

Le style ne révolutionne pas non plus le genre et c'est une excellente chose car l'on a un texte clair, compréhensible qui permet de s'immerger totalement dans l'histoire sans avoir à dépister les intentions de l'auteur.

L'intrigue est bien menée et nous emmène dans les environs de ce village. Si on connaît un peu ce secteur, on se rend bien compte que l'auteur respecte les lieux, qu'il s'inspire, notamment pour la fabrique de marrons glacés, de lieux existants.

Un récit plaisant, ni trop court car laissant le temps de s'immerger, ni trop long avec des dissertations creuses, tout à fait dans la veine de ce qu'il annonce et répondant entièrement aux attentes de ce que propose la quatrième de couverture.

Un polar au fin fond de la Camargue, une histoire prenante, des personnages attachants. Iris aidé par Léo ancien capitaine, mis à pied, vont mener une enquête, pour la découverte d'un site archéologique dans les fonds marins de Beauduc. Forcément, ça attise la convoitise des chercheurs, des fouineurs, et... un corps est découvert.



Toute la subtilité de ce très bon polar, réside dans la construction très imagée des lieux, et tout laisser à penser que la résolution de l'enquête est dans ce milieu là.



Et... à la fin Frédérick d'Onaglia mène tranquillement en bateau le lecteur sur une fin totalement inattendue !

Une histoire bien ancrée dans la Provence avec les cigales qui chantent et la chaleur du midi.

Un, enfin deux romans qui se lisent facilement.

M'a gêné le côté un peu trop "guide touristique"

Mon avis



Je remercie Centre France MonPoche et en particulier Virginie de m'avoir donné l'opportunité de lire, en service de presse, « La Fille du delta », roman de Frédérick d'ONAGLIA, auteur dont j'ai découvert la plume fluide et sensible lors de la lecture d'un grand nombre de ses romans.



Frédérick d'ONAGLIA conte l'histoire de Leila, jeune parisienne issue de l'immigration qui, après une déception amoureuse, décide de changer de vie et part avec Anselme un homme âgé qui possède une manade en Camargue.



Une nouvelle vie s'offre à notre héroïne qui est courageuse et passionnée d'équitation.



L'auteur nous offre un très beau voyage en Camargue et il dépeint à merveille les paysages et les traditions camarguaises, nous permettant ainsi de les imaginer aisément.



L'histoire est belle, intéressante et les pages défilent sous nos yeux à grande vitesse tant le suspense et les rebondissements nous tiennent en haleine.



Les personnages sont très bien décrits tant sur le plan physique que psychologique, vrais et attachants.



J'ai beaucoup aimé ce roman régional contemporain mêlant secrets de famille, passion, amour, trahison et intégration, que j'ai lu pratiquement d'une traite et refermé à regret.



Très bon moment de lecture.