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Citations de Gaston Leroux (605)


Gaston Leroux
Les coïncidences sont les pires ennemies de la vérité.

Gaston Leroux (Le mystère de la chambre jaune)
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- Les coïncidences, me répondit mon ami, sont les pires ennemies de la vérité.
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La presse quotidienne commençait déjà à se transformer et à devenir ce qu'elle est à peu près aujourd'hui : la gazette du crime.
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Sa tête était ronde comme un boulet, et c'est à cause de cela, pensai-je, que ses camarades de la presse lui avaient donné ce surnom qui devait lui rester et qu'il devait illustrer : "Rouletabille!"
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Mais il y a des gens, n'est-ce pas ? avec lesquels on n'a jamais raison...
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Je n'aime point les journalistes. Ce sont des esprits brouillons et entreprenants qu'il faut fuir comme la peste. Cette sorte de gens se croit tout permis et ne respecte rien.
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Il ne m'a manqué que d'être aimé pour être bon !
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Avocats criminels et journalistes ne sont point ennemis, les uns ayant besoin de réclame et les autres de renseignements.

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Avocats criminels et journalistes ne sont point ennemis, les uns ayant besoin de réclame et les autres de renseignements.
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Préservez, vous autres, la société, comme vous pouvez, c'est la vôtre… Mais ce n'est pas moi qui apporterai une tête au bourreau.
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Les coïncidences sont les pires ennemies de la vérité.
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- C'est un système bien dangereux, monsieur Fred, bien dangereux, que celui qui consiste à partir de l'idée que l'on se fait de l'assassin pour arriver aux preuves dont on a besoin !... Cela pourrait mener loin... Prenez garde à l'erreur judiciaire, monsieur Fred ; elle vous guette !...
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De M. Supia lui-même, que savons-nous? Peu de choses. Sachons donc qu’au physique, il n’avait pas volé son nom de Supia, qui en dialecte niçard, désigne la seiche. Maigre et dégingandé, flottant dans les plis d’une longue redingote noire sans laquelle il ne se montrait jamais à son personnel, le teint bilieux, l’oeil glauque, le nez et le menton pointus, le poil rare mais ramené avec un soin jaloux sur son front aride, ce cinquantenaire aujourd’hui peu plaisant avait eu il y a une vingtaine d’années, son succès auprès des femmes.
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Qui dit : auteur, dit toujours un peu : romancier, et, Dieu merci, le "mystère de la Chambre Jaune" est assez plein de tragique horreur réelle pour se passer de littérature. Je ne suis et ne veux être qu'un fidèle "rapporteur".
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Ce n'est pas précisément un drame policier ; c'est plutôt une histoire extraordinaire ...
(Mr Guy Launay (Léon Blum) à la suite de la répétition générale dans "Le Matin")
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Certes, il était encore fort bel homme, mais enfin, un bel homme de quarante-cinq ans, pour une jeunesse de dix-sept ans, ça n’est séduisant qu’au théâtre.
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Les coïncidences,... sont les pires ennemies de la vérité.
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J'ai connu Joseph Rouletabille quand il était petit reporter. (...) Il avait, comme on dit, une bonne balle. Sa tête était ronde comme un boulet, et c'est à cause de cela, pensai-je, que ses camarades de presse lui avaient donné ce surnom qui devait lui rester.
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Il avait peur de la perdre, après l'avoir si étrangement retrouvée. Il ne sentait plus de haine contre elle. Il ne doutait même plus qu'elle dût "n'avoir rien à se reprocher", si bizarre et inexplicable qu'apparût sa conduite. Il était prêt à toutes les mansuétudes, à tous les pardons, à toutes les lâchetés. Il aimait.
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Le fantôme de l’Opéra a existé. Ce ne fut point, comme on l’a cru longtemps, une inspiration d’artistes, une superstition de directeurs, la création falote des cervelles excitées de ces demoiselles du corps de ballet, de leurs mères, des ouvreuses, des employés du vestiaire et de la concierge.

Oui, il a existé, en chair et en os, bien qu’il se donnât toutes les apparences d’un vrai fantôme, c’est-à-dire d’une ombre
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